Texte en PowerPoint - GEPI, UMR CNRS 8111 : Physique stellaire

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D'Hipparcos à GAIA
Catherine TURON
DASGAL / UMR 8633 CNRS, Observatoire de Paris
Haut Comité Scientifique
Observatoire de Paris, 28 janvier 2000
D'Hipparcos à GAIA ou
quand l'astrométrie globale apporte à l'astrophysique et à la physique
des mesures de distances et de mouvements si précis et si exacts
que de nombreuses idées en sont changées
Deux missions de
l'Agence Spatiale Européenne
Acceptée par l'ESA en 1980
Première mission spatiale
d'astrométrie
Lancée par Ariane le 8 Août 1989
Pas sur une orbite géostationnaire ...
Des données scientifiques obtenues
pendant 37 mois, de Novembre 1989 à
Mars 1993
Précisions obtenues : 1 mas = deux
fois meilleures que les spécifications
Proposée comme Pierre Angulaire du
programme Horizon 2000+
Décision attendue pour la Pierre Angulaire
n°5 en Sept. 2000
Lancement possible en 2009 si P.A. 5
Ariane 5, lancement double,
Orbite: L2 Soleil - Terre, mission de 5 ans
Spécifications: précision de 10 mas à V = 15
Livre rouge : prospective scientifique + préétude technologique prêtes
Catalogue publié en juin 1997
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
2
Nombre d'objets
118 000
> 1 milliard
Magnitude limite V
Complétude
12.4
7.3 - 9.0
20 - 21
 20
Précision astrométrique
Des distances à mieux que 10%
1 - 2 mas
 220 pc
pour 21
000 
Photométrie large bande
bande moyenne
multi-époques
Hp, VT, BT
non

Vitesses radiales
non
Observation systématique
non
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
4 mas pour V = 10
10 mas pour V = 15
150 mas pour V = 20
 27 000 pc
pour 220 millions d'
G, 4 couleurs
11 couleurs

1-10 km/s pour V < 17
oui
28 janvier 2000
3
Systèmes et repères de référence
Observations
3 étoiles / degré2 (25 pour Tycho)
48 astéroïdes
Rattachement indirect à l'ICRS via radio-étoiles et étoiles proches des
radio sources extragalactiques (Hubble + plaques Schmidt)
 rms  0.25 mas/an (spin) et 0.6 mas (orientation) à l'époque 1991.25
Comparaison avec le système dynamique via 48 astéroïdes à  1 mas
(mas/an)
Observations 25 000 étoiles / degré2
107 quasars
Réalisation directe de l'ICRS dans le visible par l'observation de
> 200 000 quasars bien identifiés par les mesures astrométriques et
photométriques, avec z < 2.2 et b > 20°
 spin résiduel < 0.4 mas/an (même avec une contribution de 100 mas/an à
l'erreur standard par objet et par composante du mouvement propre
venant
de l'instabilité des quasars)
Matérialisation du système dynamique par  106 objets du système solaire
 rms  1 mas/an
Kovalevsky et al. 1997 ; Bange et al. 1997 ; Lestrade et al. 1998 ; Hemenway et al. 1997
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
4
Système solaire
V < 13,  <  1 "
48 astéroïdes
5 satellites (Europe, Titan, Japet ; Ganymède, Callisto), Uranus et
Neptune
Observations
Sol + IRAS
Orbites améliorées test des éphémérides DE xxx et des théories
analytiques
Massespour
pourun
une
dizaine d'astéroïdes, peu précises
Masse
astéroïde
Diamètres de  2000 objets (mais problèmes de biais)
 60 000 objets connus
Observations systématiques
pour V < 20, vitesse < 40 mas/s, de
Vénus à la ceinture de Kuiper (0.7 à 30 u.a.)
105 à 106 astéroïdes (majorité
de nouveaux)
Masses précises pour > une centaine d'astéroïdes
Diamètre de  3000 astéroïdes + forme des plus gros
Détection de satellites d'astéroïdes, d'astéroïdes binaires
Données de base pour l'étude de l'origine et de l'évolution du système
solaire
Recensement + mouvements des étoiles du voisinage solaire
Bange 1998 ; Fienga 1998, 1999 ; Hestroffer
et al. 1998, 1999 ; Morrison
et al. de
1999
 ? perturbations
du nuage
Oort ?
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
5
Naines brunes et systèmes planétaires extra-solaires
Détection astrométrique : difficile pour des masses < 0.08 M
Naines brunes : sur 11 compagnons candidats naines brunes, 7 stellaires
 désert de compagnons naines brunes entre 10 et 80 MJ ?
Planètes :
Limite supérieure de la masse  7-22 MJ pour 47 UMa, 38-65 MJ pour 70 Vir
Transits de HD 209458 + détermination 20 fois plus précise de la période
Naines brunes isolées : recensement complet  100 pc, les plus jeunes  1
kpc
Naines brunes dans des systèmes : distribution des masses, P de 1 - 30
années
Planètes :
Détection astrométrique de Jupiters :
•systématique autour des étoiles < 50 pc, avec des périodes de 1.5 à 9
années
•partielle jusqu'à 2-300 pc, l'intervalle de périodes décroissant avec la
distance
Paramètres orbitaux à mieux que 30% pour au moins 50% des planètes
Perryman, Lindegren, Arenou et al. 1996 ; Halbwachs, Arenou et al. 2000 ; Robichon & Arenou 2000 ; Haywood 1999
Détection photométrique des transits : efficacité indépendante de la
distance,
Catherine Turon,
HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
6
Systèmes planétaires extra-solaires
détection astrométrique
± 1 mas
±1
mas
Figures : courtesy F. Mignard
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
7
Transit de la planète de HD 209458
Planète de masse 0.63 MJ à 0.045 u.a.
Photométrie Hipparcos  P = 3.524739 ± 0.000014 jours, décroissance du flux : 2.3 ±
0.4 %
Robichon et Arenou, A&A, 2000
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
8
Calibration des luminosités
Contribution de l'erreur sur p à l'erreur sur Mv
pour V = 10, et 100 pc
0.3 mag
sp / p < 10%

jusqu'à 220 pc, pour 21 000
• les classes de luminosité sont à redéfinir
complètement
• les distances spectroscopiques sol sont
systématiquement sous-estimées
• calibration des luminosités de nombreux
types d'étoiles
Contribution de l'erreur sur p à l'erreur sur Mv
pour V = 10, et 100 pc
0.001 mag
sp / p < 10% possible jusqu'à 27 kpc,
pour 220 millions
d'
Toutes Mv et tous types spectraux
Toutes populations, y compris bulbe, halo,
disque épais, bras spiraux et  brillantes du
LMC
Catherine Turon,
HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
Gómez et al. 1997
9
Calibration des luminosités
Etoiles observées avec sp / p ≤ 10 %
Zones sans absorption
MV
-5
0
5
10
15
15
17
20
Type
Vlimite
dlimite
[mag]
[pc]
OV
B0-G0 Ib
Ia – Ia0
A0 V
K3 III
G5 V
M2 V
DB
M7 V
12.2
27 000
15.0
15.2
17.6
20.3
19.7
22.5
10 000
11 000
3300
1150
870
320
DG
M8 V
naines
brunes
21.3
23.1
24.5
180
170
80
limite
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
10
Physique stellaire (1) : structure fine du diagramme HR
Structure fine du diagramme HR
position de la ZAMS en fonction de la
métallicité : les épaisseurs des séquences
théoriques sont en accord avec les
observations, mais il y a un décalage.
Effet de la diffusion microscopique ??
Pour la première fois, on peut placer des séquences
d'amas ouverts de métallicités différentes dans le
diagramme HR, et les comparer à des ZAMS
théoriques sans hypothèse a priori.
[Fe/H] = +0.17 pour Praesepe, -0.05 pour Coma,
-0.11 pour les Pléiades
 montre qu'il faudrait des mesures de métallicité
plus nombreuses et plus précises
Lebreton et al. 1997, Lebreton et al. 1999, Morel et Baglin 1999, Robichon et al. 1999
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
11
Physique stellaire (2) : détermination des âges
Distance et âge des amas globulaires par
ajustement sur la séquence de sous-naines de
même métallicité  âge des plus vieux amas =
12-14 x 109 années
sous-naines
Hipparcos
simples
doubles
M92
Hyades : comparaison avec isochrones
théoriques calculées pour [Fe/H] = 0.14
 âge = 625 ± 50 x 106 années
Y = 0.26 ± 0.02
Perryman et al. 1998, Lebreton et al. 1997, Cayrel et al. 1997, Pont et al. 1998, Robichon et al. 1999
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
12
Physique stellaire (3)
Sol
Naines blanches
Confirmation de la relation théorique
entre la masse et le rayon des naines
blanches
Etoiles naines A à F
Les étoiles naines A à F variables
(par exemple les d Scuti de population I
ou II), ou avec des abondances
particulières (Ap, Am), sont dans
la même région du diagramme HR
que les naines A à F normales
Hipparcos
Liu et al. 1997, Gómez et al. 1998, Gerbaldi et al. 1999, Vauclair et al. 1997
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
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Physique, formation et évolution des étoiles
Détermination de paramètres fondamentaux
•luminosité absolue, diamètre linéaire
• masses, transfert de masse, perte de masse
• Teff , abondances
pour tous types spectraux
et
classes de luminosité
Structure fine du diagramme HR
•position et forme de toutes les séquences selon abondances, v sin i, activité, etc.
•position et taille de la zone d’instabilité
•détection et caractérisation des phases d'évolution les plus rapides
Confrontation avec les modèles (structure interne et évolution stellaire)
• position des séquences
-->
âge (± 10%)
• position de la séquence principale + [Fe/H]
-->
abondance en Hélium
• pente de la séquence principale
-->
longueur de mélange
• étoiles variables : trajets évolutifs + sismologie
-->
taille du cœur convectif
Formation stellaire
• dynamique des régions de formation
• fonctions de luminosité et de masse des étoiles pré-séquence principale
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28 janvier 2000
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La Galaxie : cinématique, dynamique, milieu interstellaire
Fonction de luminosité : dans un rayon de 20 pc, les distances Hipparcos ont
montré que le nombre d'étoiles était surestimé (d'un facteur 2 pour les géantes)
 densité de masse en étoiles 0.039 M /pc3 (0.045 M /pc3 Wielen et al. 1983)
Distribution en métallicité des naines froides proches : peu d'étoiles déficientes
(compatible avec disque épais), et beaucoup d'étoiles avec [Fe/H] > 0.2.
Structure de la bulle locale
Dispersions de vitesse des étoiles du disque
variation avec l'âge : pas d'évolution
cinématique du disque au-delà de 4-5 109 ans
Populations parmi les étoiles chaudes à grande
vitesse
Amas, groupes, associations, ceinture de
Gould
Dispersion des vitesse [km/s]
Pas de masse manquante dans le disque
25
15
âge
3
5
7
Gyr
Gómez et al. 1997, Haywood et al. 1997, Palasi 1997, Robichon et al. 1997, Pham 1998, Sabas 1998, Gómez et al. 1998,
Perryman et al. 1998, Royer 1999, Meillon 1999, Sfeir et al. 1999
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
15
Milieu interstellaire
Les contours représentent les courbes
d’égale largeur équivalente de la raie
interstellaire du Na I.
La bulle est resserrée dans le plan
galactique, et s’étire de part et d’autre du
plan, son axe est perpendiculaire à la
Ceinture de Gould.
L’intérieur de la bulle est rempli de gaz
ténu et chaud, les parois sont constituées
de gaz dense et froid.
Intérieur : Te ~ 106 K, parois : Te ~ 103
K
Contours de la bulle locale de milieu
interstellaire entourant le Soleil,
dans le plan méridien
Sfeir, Lallement, Crifo & Welsh, 1999, A&A 346, 785
Observations réalisées principalement au T152 de l’OHP)
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16
La Galaxie : structure, dynamique, historique
Le voisinage du Soleil
•inventaire complet de tous les objets présents dans une sphère de 80 à 100 pc
•distances à mieux que 10 %, même pour les plus faibles, beaucoup mieux pour les autres
•détection de la présence de compagnons de toutes sortes
•précision d'Hipparcos dans 25 pc jusqu'à 10 kpc pour V = 15, 4 kpc pour V = 18
•données photométriques et spectroscopiques complémentaires
Observation de toutes les populations d ’étoiles, dans toutes les parties de Galaxie (disque
(plat, mince, épais, bras spiraux, Ceinture de Gould, warp, amas ouverts, associations),
bulbe (barre, bulbe, reliquat d ’une rencontre ?), halo (étoiles, amas globulaires, galaxies
naines sphéroïdales)
6 composantes de l'espace des phases + spectrophotométrie
 caractérisation de toutes les populations
Orbites
 distribution de la masse dans les différentes parties de la Galaxie
Distribution spatiale + mouvements  zones de formation d'étoiles, signatures de
rencontres ?
Distribution en âge  évolution du taux de formation dans différentes parties de la Galaxie
Distribution des abondances chimiques
 évolution chimique de la Galaxie
 Formation et évolution de la Galaxie
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28 janvier 2000
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Les Hyades vues par les parallaxes
sol
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
Gaia
Hipparcos
28 janvier 2000
18
Les bras spiraux vus par Gaia
Survey synthétique de 50 000 étoiles OB
distances photométriques
distances Gaia
Drimmel, Smart & Lattanzi, 1997
Catherine Turon, HCS, Observatoire de Paris
28 janvier 2000
19
La Galaxie vue par Gaia
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Hors de la Galaxie : observations d'étoiles individuelles
Echelle des distances : calibration des magnitudes absolues des étalons
(Céphéides, RR Lyrae, sous-naines)
 distances sol sous-évaluées, mais encore beaucoup d'incertitude sur
la
distance résultante du Grand Nuage de Magellan
 constante de Hubble plus petite
Paturel et al. 1998, Theureau 1998, Luri et al. 1999
 50 étoiles observées dans les Nuages de Magellan
 mouvement propre des Nuages
Echelle des distances
• calibration des magnitudes absolues de tous les étalons,
des effets de couleurs et de métallicité
• détermination directe de distances individuelles pour les étoiles
les plus brillantes des galaxies voisines
 distances moyennes de diverses zones de celles-ci
avec sp/p < 1% pour Sagittarius, < 1 à 5 % pour LMC, < 2 à 8 % pour
SMC
Nuages de Magellan : quelques millions d’étoiles observables
Autres galaxies du Groupe Local : discrimination d'avec les  de la
Galaxie, cinématique (warps, parallaxes de rotation), dynamique du
Groupe Local
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Galaxies extérieures
 Survey photométrique de > 106 galaxies
séparation étoile / galaxie par la parallaxe, le mouvement propre, la
photométrie
résolution spatiale ~ 0.35 "
 détection de ~ 100 000 supernovae, jusqu'à ~ 500 Mpc (z ~ 0.1)
 structure photométrique des régions centrales de quelques 104 galaxies
 ~ 5 106 quasars jusqu'à I = 20, latitudes hautes et intermédiaires
photométrie multi-couleur, redshifts à ± dz = 0.01 ou mieux, jusqu'à z ~ 5
 noyaux actifs de galaxies: variations de luminosité et mouvements du
photocentre
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Physique fondamentale : relativité générale
Déflexion des rayons lumineux par le
Soleil (angle minimum au Soleil 47°)
 paramètre g = 1 ± 3 x 10-3
Déflexion des rayons lumineux par le Soleil et les plus grosses planètes
(plus d'observations, beaucoup plus précises, angle minimum au Soleil
35°)
 paramètre g à ± 5 x 10-7
(g - 1  10-7 à 10-5 selon les théories)
Facteur de précession du périhélie des astéroïdes à ± 10-4 à 10-5
Moment quadrupolaire du Soleil J2 à ± 10-7 - 10-8
Variation séculaire de la constante de la gravitation à ± 10-12 - 10-13 année-1
(recensement des naines blanches les plus faibles)
Frœschlé et al. 1997
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Les différentes missions d'astrométrie spatiale
(acceptées ou en phase de définition)
Mission Agence Lancement Nombre Magnitude
Photométrie
Vr
d'étoiles
Précision
limite
(mas) pour mag
Hipparcos ESA
1989
118 000
12.4
1
10
3 bandes
-
DIVA
D
2003
30 106
15
0.2
5
8
15
1 bande
spectrophot.
-
FAME
USNO
NASA
2004
40 106
15
0.050
0.5
9
15
4 bandes
(Sloan)
-
SIM
NASA
2005
20 000
20
0.001-4
20
1 bande
-
GAIA
ESA
2009
> 109
20
0.003
0.010
0.200
12
15
20
11 bandes

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Distances maximales atteintes avec sp / p < 1% et
10%
Hipparcos, Fame, Gaia
Hipparcos
Fame
Gaia
12.4
15
20-21
V=9
sp / p Š 1 %
sp / p Š 10 %
sp < 1000 mas
25 pc
220 pc
sp = 50 mas
200 pc
2000 pc
sp < 4 mas
2700 pc
27 000 pc
V = 15
sp / p Š 1 %
sp / p Š 10 %
-
sp = 500 mas
20 pc
200 pc
sp < 10 mas
1000 pc
10 000 pc
Vmax
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Participation de l'Observatoire de Paris
Programme d'observation : coordination et production des versions
successives.
Phase finale de la réduction astrométrique pour les étoiles simples
Participation à la production du Catalogue et à la documentation
Conception et réalisation de Celestia 2000
Mesures de vitesses radiales complémentaires au sol
 20% des 1740 publications Hipparcos, dans de nombreux domaines :
systèmes de référence et système solaire, physique des intérieurs stellaire et
évolution, amas ouverts, âge des amas globulaires, calibration des
luminosités, structure fine du diagramme HR, cinématique et dynamique
galactique, milieu interstellaire, échelle des distances, planètes extra-solaires,
…
Départements
concernés
: Dasgal, IMC, Arpèges, Despa
Prospective scientifique
dans de nombreux
domaines
Algorithmes de détection à bord
Simulations d'observations (champs encombrés, amas globulaires,
astéroïdes)
Simulations des observations spectroscopiques
 20 communications à des colloques internationaux publiées
Départements concernés : Dasgal, IMC, Despa
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28 janvier 2000
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