CHAP 2 - CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRÈS TECHNIQUE
2.1 QUELS SONT LES FACTEURS QUI CONTRIBUENT LE PLUS A LA CROISSANCE ?
Introduction : De la croissance potentielle à la croissance effective
1 - Les économies ont toutes des limites de vitesse. Laissez-les les dépasser pendant un temps et l’inflation repart.
Quelle est la limite de vitesse de l’économie mondiale? Rien que les chiffres de base donnent à penser qu’elle augmente au fil
du temps. Ainsi, entre 1983 et 1994, elle était en moyenne de 3,3%; entre 1995 et 2006, de 4,0%; et, depuis 4 ans, de 4,8%.
La vitesse de croissance économique est liée au potentiel sous-jacent de l’économie. La production potentielle part de
l’hypothèse d’un déploiement raisonnablement complet de la population active et du capital national. Dans les économies
arrivées à maturité, la croissance économique potentielle vient de la croissance de la population active (croissance
démographique naturelle, immigration et évolutions durables de la participation au marché du travail), de la croissance du
capital national (nouveaux investissements des entreprises) et de l’innovation ou de nouvelles technologies. Par exemple, le
potentiel de croissance américain est estimé à environ 3,0% par an, tandis que le potentiel français se situe autour de 2,0%.
La croissance effective est la croissance observée pour une période. À court terme, la production peut être supérieure ou
inférieure à son niveau potentiel en fonction des fluctuations de la demande finale (consommation des ménages, dépense
publique, investissement des entreprises, variation des stocks et demande étrangère).
Il en va autrement des économies émergentes. Leur croissance est généralement alimentée par un processus de
transformation sous-jacent lié à une forte augmentation du capital national (pour rattraper les grandes économies par des
investissements massifs) ou au passage de travailleurs d’emplois improductifs à des emplois productifs. En Chine, par
exemple, des entreprises d’État improductives sont progressivement démantelées et les travailleurs passent à de nouvelles
entreprises manufacturières, ce qui entraîne une augmentation très rapide du potentiel national. Beaucoup croient que le taux
de croissance potentiel de la Chine est d’environ 10%. Parallèlement, le potentiel de l’Inde augmente d’environ 6% par an, les
travailleurs passant de l’agriculture au secteur manufacturier et aux services. Ces deux taux de croissance potentielle
diminueront dans les 10 à 20 prochaines années, à mesure que ces deux pays rattraperont les grandes économies.
(Source : Stephen Poloz, Le relèvement de la vitesse de la croissance mondiale, http://www.edc.ca, 11 avril 2007)
2 - Contributions à l'évolution du PIB de 2010, aux prix de 2005, en points de PIB
2010
Dépenses de consommation finale
+ 1,1
Dont : Dépenses de consommation finale des ménages
+ 0,8
Dépenses de consommation finale des administrations publiques
+ 0,3
Formation brute de capital fixe
- 0,2
Dont : Sociétés et entreprises individuelles non financières
+ 0,2
Variations de stocks
+ 0,6
Commerce extérieur
+ 0,1
Dont : Importations de biens et services
- 2,2
Exportations de biens et services
+ 2,3
Taux de croissance du produit intérieur brut (en %)
+ 1,5
(Source : Insee 2011)
Q1 Quelle est la différence entre la croissance potentielle et la croissance effective d’une économie ?
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Q2 Quels sont les facteurs qui déterminent l’offre potentielle de production ?
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Q3 Expliquez la phrase soulignée :
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Q4 Faites une phrase avec 1,1 à la ligne : dépenses de consommation finale dans le tableau 2 ?
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Q5 Etablissez l’équation liant la croissance du PIB et celle des composantes de la demande :
Hausse du PIB =………………………..+…………………………..+…………………………+………………………..
Q6 A l’aide du vocabulaire suivant remplissez le schéma suivant : variation de la consommation, facteur travail,
progrès technique, variation de la FBCF, facteur capital, variation du commerce extérieur.
A La croissance extensive : le rôle de la quantité des facteurs de production
a) La notion de croissance extensive
La croissance économique est définie comme une augmentation durable de la production au cours du temps. […]
Prenons l’exemple d’un agriculteur, qui utilise une année de son temps, un hectare de terre et un cheval pour produire une
tonne de blé. Travail, cheval et terre sont les facteurs de production, le blé est le produit. […] La production naît de la mise en
œuvre simultanée des facteurs que sont le travail et le capital, terme générique désignant les instruments de tous ordres à la
disposition du travailleur (ici : le cheval et la terre).
Supposons maintenant que notre agriculteur ait eu deux enfants, maintenant à l’âge adulte, qui reprennent la ferme alors
que leur père se retire. Chacun s’équipe d’un cheval, et ils défrichent un hectare supplémentaire de terre. […]
Dans cette nouvelle situation, le produit a augmenté par rapport à la période précédente, il y a eu croissance de
l’économie. Le doublement du produit provient d’un doublement de la main d’œuvre et du capital utilisés. C’est là un
mécanisme de la croissance économique : l’augmentation du produit s’explique par celle de la quantité de facteurs mis en
œuvre dans la production.
(Source : Dominique Guellec, « Croissance et innovation », Nouveau Manuel de SES, La Découverte, 2003)
Q1 A partir de cet exemple, pouvez-vous donner une définition de la croissance extensive ?
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b) La quantité de travail
1 Marx, qui écrit un demi-siècle après les auteurs classiques, a sous les yeux l'immense transformation de la société
anglaise, induite par la révolution industrielle. Le point de départ de Marx est simple : si, comme le disent les auteurs
classiques, le travail est la source des valeurs produites, quelle est la nature du profit ? Si le prix de la marchandise était à
concurrence du coût salarial (ou encore : si la valeur d'une marchandise est égale à la valeur du nombre d'heures travaillées),
comment les capitalistes pourraient-ils réaliser un profit ? [...]
Seul le travail possède cette propriété de donner plus d'heures qu'il n'en coûte pour le reproduire (dans ses fonctions
physiologiques). Plus précisément, Marx introduit une nouvelle notion : la « force de travail », propriété de l'ouvrier et qui est
louée au capitaliste. La « force de travail », c'est l'ensemble des capacités physiologiques qui rendent un ouvrier propre à
travailler, et son prix - le salaire - est ce qui est nécessaire pour maintenir l'ouvrier en état de travailler : ce que les classiques
appellent le « salaire de subsistance ». Une fois qu'elle est louée au capitaliste, l'emploi de la « force de travail » appartient à
ce dernier. Ce produit correspond au nombre d'heures durant lesquelles l'ouvrier peut travailler : celles-ci excèdent (lorsque la
production des moyens de subsistance de l'ouvrier est suffisamment développée) le nombre d'heures qui sont nécessaires à
sa subsistance. Un ouvrier dont l'alimentation exige, disons, la consommation d'un produit qui coûte quatre heures à fabriquer
peut travailler huit heures ou plus. L'écart entre les deux, c'est à dire l'écart entre la valeur de la force de travail et la valeur
qu'elle peut produire, est « la plus value », qui donne la base de la théorie économique de Marx.
(Sources : Daniel Cohen, Les infortunes de la prospérité, Julliard Agora Pocket, 1994)
Croissance potentielle
Croissance effective
Q1 Quel est le seul facteur créateur de richesses selon les Classiques et Karl Marx ?
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Q2 Quelle différence fait Karl Marx entre le travail et la force de travail ?
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Q3 Quelle est la valeur de la force de travail ?
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Q4 Comment le capitaliste obtient-il la plus-value ? Que va-t-il en faire ?
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2 En 2002, le PIB de la zone euro est d'un quart inférieur à celui des États-Unis, le PIB par européen est inférieur de
28% au PIB par américain et la productivité par heure de travail en Europe est inférieure de 6% à la productivité par heure de
travail aux États-Unis. De 1993 à 2003, la croissance annuelle en zone euro a été inférieure de plus de 1 point à la croissance
de l'économie américaine, l'évolution du PIB par habitant moins rapide de trois dixièmes de point par an et celle de la
productivité horaire de 4 dixièmes de point par an.[…]
Les écarts sur la quantité de travail expliquent que le niveau de vie soit plus faible en zone euro alors que la productivité
observée est à peu près la même. En 2002, la population de la zone euro est légèrement supérieure à la population des
États-Unis, et la part de la population en âge de travailler dans la population totale est exactement la même dans les deux
économies, à 67%. Ainsi les caractéristiques démographiques ne sont pas un facteur d'explication du retard de production ou
de niveau de vie de la zone euro en 2002. Elle dispose même à cette date d'un peu plus de personnes en âge de travailler.
En revanche les caractéristiques du marché du travail et la durée du travail sont à l'origine d'un écart très important sur le
nombre moyen d'heures travaillées par personne en âge de travailler, 1 300 par an aux États-Unis et 990 en zone euro, soit
24% d’écart. Trois facteurs, aujourd'hui bien documentés, mènent à ce résultat. Le taux d’emploi est plus beaucoup plus faible
en zone euro chez les 15-24 ans et les 55-64 ans. Par ailleurs le taux de chômage est plus élevé d'environ 2 points. Au total,
parmi les 15-64 ans, 64% ont un emploi en zone euro contre 72% aux États-Unis. Enfin la durée annuelle du travail des
employés est inférieure de 15 % en zone euro à ce qu'elle est aux États-Unis. Ces éléments expliquent pourquoi la zone euro
accuse un tel retard sur le niveau du PIB par habitant alors que sa productivité horaire n'est que légèrement inférieure à celle
des États-Unis.
(Source : Laurent Ménard, Analyse économique de la Direction de la prévision, n° 37, avril 2004)
Q1 Quel sont les deux éléments retenus par l’auteur pour expliquer la différence entre la croissance des Etats-
Unis et celle de la zone euro ?
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Q2 A partir du texte et du vocabulaire suivant, complétez le schéma : durée annuelle du travail, population en
âge de travailler, population, population active occupée.
Quantité de travail
Q3 Quelle est la différence entre la population active et la population active occupée ?
Population active = ………………………………………..+……………………………………….
Q4 Quels sont les éléments qui déterminent selon-vous la croissance de la population active ?
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Q5 Comment calcule-t-on le taux d’emploi ?
Taux d’emploi = ………………………………………/………………………………………………………..
Q6 Quels sont les éléments qui déterminent selon-vous le taux d’emploi
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3 Emploi et quantité de travail dans certains pays
1913
1950
1973
2010
Population active occupée en millions
- Etats-Unis
40
60
88
141
- Japon
26
38
56
63
- France
19
19
21,5
26,6
- Royaume-Uni
19
22
25
27
Durée annuelle du travail en heures
- Etats-Unis
2 600
1 909
1 797
1 690
- Japon
2 620
2 076
2 166
1 713
- France
2 550
2 241
2 027
1 561
- Royaume-Uni
2 630
2 218
2 016
1 647
Quantité de travail en milliards d’heures
- Etats-Unis
104
115
158
233
- Japon
68
73
121
108
- France
48
43
43
- Royaume-Uni
50
49
50
44
(Source : B.Keizer, L.Kenigswald, La triade économique et financière, Seuil 1996, actualisé Ocde 2011)
Q1 Comment a-t-on calculé la quantité de travail dans le tableau ?
Quantité de travail =………………………………………….x…………………………………………………..
Q2 Complétez le tableau pour la France en 2010
Q3 Quelles informations tirez-vous du tableau ?
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c) La quantité de capital
1 - Le capital fixe productif comprend les moyens de production relativement durables (dépassant la durée du cycle de
production) et participant directement à la fabrication des biens ou à la réalisation de la prestation de service. C'est le cas en
particulier des biens d'équipement : machines, outils, bâtiments, matériels de transport,…
Le capital fixe productif se distingue du capital productif circulant qui se définit comme l'ensemble des biens et services
utilisés pendant un cycle de production : matières premières, énergie, fournitures, services nécessaires à chaque stade de la
production. Le capital circulant est le terme utilisé pour désigner les actifs détenus par l'entreprise et destinés à ne pas y
rester durablement, c'est-à-dire pendant moins d'un cycle d'activité. C'est le cas en particulier des stocks de matières
premières, des en-cours de production, des produits (intermédiaires, finis) et autres approvisionnements et des stocks de
marchandises.
(Sources : Insee 2009)
Q1 Qu’est-ce que le capital fixe productif ?
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Q2 Qu’est-ce que le capital productif circulant ? Connaissez-vous un autre terme pour le désigner ?
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2 La thèse de Karl Marx : Quittons l'exemple simple la production n'exige que du travail. Comment se présente le
capital ? Le capital est l'ensemble des machines et autres instruments nécessaires à la fabrication des marchandises que les
capitalistes doivent mettre entre les mains des ouvriers. La valeur d'une marchandise est dès lors la somme de ses coûts de
fabrication, travail plus capital. Mais tandis que la valeur de location du travail est inférieure au produit qu'elle délivre, le
capital, lui est comme du « travail mort » : il ne peut que « restituer » ce qu'il a coûté. La contradiction qui signe le destin du
capitalisme devient alors manifeste. Une immense accumulation de capital est cessaire pour produire des marchandises,
mais la base sur laquelle repose le profit est elle-même constante, ou à peu près : c'est la force de travail.
(Sources : Daniel Cohen, Les infortunes de la prospéri, Julliard Agora Pocket, 1994)
Q2 Comment Karl Marx considère-t-il le capital fixe ?
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3 La thèse des néo-classiques : En 1956, un économiste américain Robert Solow (prix Nobel en 1987), proposa une
théorie explicative de la croissance qui connut un grand retentissement. La croissance écrivait-il en substance, est comme le
sport automobile : il faut disposer d’une voiture disposant de carburant (le capital) et d’un conducteur (le travail). L’analyse de
la croissance repose sur l’idée qu’il existe une relation entre le volume du PIB et la quantité de facteurs mis en œuvre pour
l’obtenir, à savoir la quantité de travail et de capital. Pour déterminer la contribution du facteur travail, on tient compte de la
croissance de l’emploi et de la variation de la durée du travail. Pour mesurer la contribution du capital, on procède de la même
manière. On additionne les deux contributions et on observe si elles expliquent la totalité de la croissance du PIB.
(Source : Denis Clerc, Alternatives économiques, n° 162, Septembre 1998)
Q1 En quoi la thèse des néo-classiques diffère-t-elle de celle des Classiques et de Marx ?
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4 Si le stock de capital augmente au même rythme que le PIB, l’économie peut continuer à croître de manière équilibrée
sans buter sur les capacités physiques de production. Si le capital physique augmente moins vite que la production, un effort
d’investissement est nécessaire pour éviter l’apparition de goulots d’étranglement, venant entraver la croissance. Si, en
revanche, le stock de capital augmente plus vite que la production, l’apparition de capacités de production excédentaires est à
craindre.
Pour l’ensemble des secteurs de l’économie, le taux d’accroissement du capital productif physique, net d’amortissements,
était de 6 % par an au début des années 70. Il est tombé à moins de 3 % au milieu des années 80. La vague
d’investissements de 1986-1990 l’a fait remonter à 4,4 % en 1990. Puis, il a fortement diminué pour se situer à un niveau
inférieur à 2 % en 1994 et 1995. Il remonte ensuite très légèrement à partir de ce point bas. Mais il faut attendre l’année 2000
pour que le taux d’accumulation du capital retrouve son niveau de 1984, soit le niveau qu’il avait avant le cycle de reprise de
l’investissement de la fin des années 80. Il diminue pourtant dès l’année 2001. Le mouvement de reprise de l’investissement,
observé à la fin des années 90, apparaît donc bien modeste en comparaison de celui constaté une décennie plus tôt. Le
ralentissement du rythme d’accumulation du capital productif apparaît, en outre, plus marqué que le ralentissement de la
croissance. Une insuffisance du stock de capital est susceptible de faire obstacle à une accélération durable de la
croissance du PIB au-delà de 2 % l’an. Cette faiblesse prolongée de l’investissement contraste défavorablement avec la
vigueur de l’investissement américain, et fait craindre pour le potentiel de croissance de l’économie française.
(Source : Joël Bourdin, Les déterminants de l’investissement, Rapport du Sénat n° 35, Octobre 2002)
Q1 Comment doit croitre le stock de capital fixe pour que la croissance potentielle ne diminue pas ?
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