Des réseaux d’observation se mettent en place pour suivre le
changement de l’océan mondial
Variations de l’océan global entre janvier 2003 et décembre
2008 (Von Schuckmann et al., 2009). En haut: le contenu
thermique, au milieu le contenu de sel (converti en anomalie
d’eau douce), en bas : la hauteur stérique déduite des courbes
précédentes (trait plein) comparée à l’élévation de la surface
mesurée par les satellite (pointillés).
Pour effectuer des prévisions réalistes de
l’évolution du climat et en évaluer précisément
les impacts il faut être capable de décrire
chacun des aspects de ce changement et en
comprendre les mécanismes.
L’océan est l’une des composantes du
système climatique.
Pour en détecter et quantifier la variabilité nous
combinons des observations effectuées à
distance au moyen de satellites et des mesures
in-situ recueillies depuis différents types de
supports: navires, bouées dérivantes, stations
fixes, engins autonomes.
C’est ainsi que nous arrivons à suivre
l’évolution du contenu thermique et halin (en
sel) de l’océan global. L’augmentation lente de
la température en particulier provoque une
augmentation du volume des océans.
Il faut maintenir et développer ces
réseaux