Partie
1
-du
mouvement de la
masse
m.
Une
masse
m ponctuelle est
lâchée
sans
vitesse, du point S au sommet
d'une
sphère
de
diamètre
D et
de centre O. On
néglige
tout frottement. On note M la position de la
masse
m au cours de son
mouvement
circulaire.
On
repère
la
masse
m par son
abscisse
angulaire 0 = (OS ,
OM
) ; on note n
et t les vecteurs unitaires de la
base
locale de Frenet (n
centripète,
et t
orienté
dans
le
sens
du
mouvement).
Les vecteurs sont
notés
en
caractères gras.
)
Faire un
schéma précisant
notamment les forces qui
s'exercent
sur la
masse.
)
Donner
l'accélération
de la
masse
m
dans
la
base
de Frenet en
fonction
de D et 6.
)
Ecrire les forces
dans
la
base
de Frenet.
)
A partir de la 2ndc loi de Newton,
établir l'équation*
en
fonction
de 9 et de sa
dérivée
seconde.
(
/*T^>
/rU-*"
)
a) Exprimer
l'énergie mécanique
Em de la
masse
m. notamment en
fonction
de 0
(l'énergie
potentielle
de
référence
est choisie en O).
b)
Par des
considérations énergétiques,
retrouver
l'équation différentielle précédente.
Partie 2
Soit
un
échantillon radioactif
contenant No noyaux à la
date
to , et N noyaux à la
date
t.
1
°)
Donner l'expression de la
loi
de
décroissance
radioactive en
fonction
de N et de la demi-vie T,
) Définir
la
demi-vie
T.
)
a) Pour
vérifier
la
loi
de
décroissance expérimentalement,
on souhaite tracer un graphe donnant
une droite de pente positive, et
passant
par
l'origine.
Sans
justifier,
donner l'expression de
l'ordonnée
y, de la pente k et de
l'abscisse
x de ce graphe.
b)
On trouve une pente k = 0,10 an"1. En
déduire
la valeur de T.
Donnée
: ln2 = 0,69.
Données : }H * 1,010 u ; \He =4,003 u ; = 0.0005 u ;
1
u » 900 MeV / cr ; c = 3,00.10e m s"1 ; g = 10
m
.s"
Valeurs
numériques
:
sin30c
= i ;
sin60°
= ; cos30' =
ÎCOSÔO"
= -
:taa3Û*
= 4 ; tan 60e = V3 ;
V5
= 1,7.
Exercice
1 : (0,5
point)
Sur un
écran
de largeur L,
placé
à la distance D
d'une
fente
éclairée,
on observe la
figure
suivante,
constituée
de
taches
lumineuses.
a- La distance d
représente
deux interfranges.
b-
Plus la largeur de la fente
éclairée
est
faible,
moins on observera de
taches
sur
l'écran,
c- Cette
figure illustre
le
phénomène
de
diffraction
de la
lumière
par un obstacle
circulaire,
d-
La largeur a de la fente
doit être
de l'ordre de grandeur de la longueur d'onde de l'onde
lumineuse pour que l'on obtienne cette
figure.
e- Pour une largeur de fente a
donnée,
les
taches
secondaires
sont d'autant plus larges que la
longueur d'onde de l'onde lumineuse est petite.
Exercice
n°
£Y
Dans
cet
exercice,
on
considère
l'œil
modélisé.
Le cristallin de l'œil est
assimilable
à une
lentille
conver-
gente L. Un objet
sera
vu nettement par l'œil seulement si son
image
se forme sur la rétine (on
assimi-
lera
celle-ci
à un
écran).
La
distance
lentille-écran
est constante et
égale à
15.4
mm.
Par contraction du
muscle
ciliaire, la courbure du cristallin peut se modifier et la
vergence
de la lentille varier.
Aides
aux
calculs
:
1/7.70
= 0.130 ;
1/7,80
= 0,128
;
1/7,90
= 0,127
;
1/6 =
0,167.
©
On
s'intéresse
à
la
source
lumineuse
éclairant
un
objet.
Le flux
énergétique
d'une
source
lumineuse
noté
*
correspond à la
quantité
d'énergie
lumineuse
émise
par unité de temps. En fonction des unités
de
base,
4>
s'exprime
en :
a.
m.kg.s-3.
u
b.m2.kg.s1.
cW.
d.
m2.kg.s-2.
e.
m2.kg.s.
u f.
Aucune
proposition ne convient.
©
On
suppose
que l'œil étudié ne présente pas de défaut de
vision
(on dit
qu'il
est «
emmétrope
»).
Sa
vergence
au
repos
C0
(en dioptries) est
donc
:
a. 62.
b.63.
c-64.
<J. 65.
Q
fi- 66. f.
Aucune
proposition ne convient.
©
On
suppose
que l'œil emmétrope
accommode
au maximum.
Sa
vergence
est
alors
Ct =
70 ô.
La
distance
minimale de
vision
distincte pour cet
œil
est de
:
a. 15 cm.
b. 20 cm.
c. 25
cm.
d. 30 cm.
e. 100 cm.
f.
aucune
proposition ne convient.
®
Lorsqu'un
œil présente un défaut de vision, on utilise un verre correcteur
assimilable
aussi
à une
lentille.
Lorsqu'on
associe
deux
lentilles
minces
(Lx
;
0^ et (L2
;
02) on applique parfois pour
déterminer
la
vergence
C du système une relation qui peut être :
Donnée :
e
=
ÇyJÏ2.
».r>C1*
+
C2*-eC1Cr b.C
=
C1
+
C2-e2C1C2.
u
c.C
=
C1
+
C2-eC/C/. u d.C
=
C1
+
C2-eC1.
«.C = C, +
C2-eCy
f.C
=
C1
+
C2-eC1C2.
®
L'œil présente en fait un défaut de vision. Il est
hypermétrope.
Pour
voir un objet à l'infini, il faut
accoler
une lentille de 5,0 ô.
Sans
cette lentille dite « correctrice », où se formerait
l'image
d'un objet
situé
à l'infini ?
a. 2,5 mm en
avant
de la
rétine.
b. 2,5
mm
après la rétine.
c.
1,5
mm
en
avant
de la
rétine.
d. 2,0
mm
après la rétine.
e. 1,3 mm après la
rétine.
f.
Aucune
proposition ne convient.
Exercice
n°
S!
©
On considère un objet noté AB, perpendiculaire à
l'axe
optique
d'une
lentille convergente
L,
ui
écran
E également perpendiculaire à
l'axe
optique de la lentille. On constate que pour une certain
distance
objet
-
écran notée D telle que D =
Â~Â,
on obtient
deux
positions de la lentille permettan
d'obtenir une
image
nette sur l'écran
(image
notée
A'B').
Le centre optique de la lentille est noté
0
e
sa
distance
focale
image
/'.
On
pose
x
=
AO.
a. La lentille (L) utilisée est une lentille à bords épais.
b. La lentille utilisée pourrait être une lentille
biconvexe.
c.
Dans
la situation qui
nous
intéresse,
l'image
peut être
qualifiée
de virtuelle.
d. On peut
écrire
OA' = x-D.
e. On peut écrireÔ/V =
D-x.
f.
Aucune
proposition ne convient.
®
En appliquant la formule de
conjugaison
de
entre x, D et /'qui est:
a.
xJ
+
Dx-/'D
= 0.
c.
x2-Dx-/'D
= 0.
e.x2-D2x
=
-/'D.
Descartes,
on trouve une équation du
second
degrt
b.x* + Dx
+
/'D = 0.
d.-x2 + Dx
+
/'D
=
0.
f.
Aucune
proposition ne convient.
0
Les
deux
positions de la lentille permettant d'obtenir une
image
sur l'écran sont notées Xj et
x2
On
pose
d
=
XJ-XJ,
dest
une distance.
U a.
Pour
obtenir les
deux
positions
précédentes,
on doit vérifier la relation
:
D2 + 4/'D >
0.
b.
Pour
obtenir les
deux
positions
précédentes,
on doit vérifier la relation
:
D2 - 4/D = 0.
c.
On peut
écrire
que /'
=
(D2
-
d2) + (4D).
d. On peut
écrire
que/'=
(D2 + d2) * (4D).
e. On peut
écrire
que /'
=
-
(d2
-
D2) + (4D).
f.
Aucune
proposition ne convient.
Pour
D = 2,0 m, on trouve d
-
1,4 m.
Aide aux calculs .on prendra 1,4
x
1,4 = 2,0
a. La lentille étudiée a pour
vergence
C = 8,0 8.
b.
La lentille étudiée a pour
vergence
C = 10 ô.
c.
La lentille étudiée a pour
distance
focale
/'
=
10 cm.
d. La lentille étudiée a pour
distance
focale
/'
=
12,5 cm.
e. La lentille étudiée a pour
distance
focale
/'
=
25 cm.
f.
Aucune
proposition ne convient.
©
On
place
maintenant un objet réel à 10 cm de la lentille dont on vient de déterminer la
distance
focale.
a.
L'image
obtenue est virtuelle.
b.
L'image
obtenue est réelle.
c
L'image
obtenue est rejetée à l'infini.
d.
L'image
obtenue est droite.
e.
L'image
obtenue est
rétrécie.
f.
Aucune
proposition ne convient.
Exercice 3.: (0,5 point)
Deux charges
électriques
ponctuelles q < o
et q'
> 0
sont
distantes de r. On rappelle
que
.a charge q
est
soum.se
a la force
électrique
F, tel que : F = q' Ë, où É est le champ
étectrique créé
par la
charge q a la distance r. S, « est
un
vecteur unit^e
colinéaire à
qq'
et dir^é
de q v
Jq'l'expreTsZ
de
Ë est :
S
U _
a-
£=r- '
b- Ë = 2 2
4«rlO-7r2
C fi — U
d-
Le vecteur champ
électrique
È
créé
par la charge q est
dirigé
vers q.
e-
Le vecteur champ
électrique
E créé par la charge q
s'éloigne
de q.
Exercice j| : (1,5
point)
On donne ci-dessous le
schéma
en coupe d'un aimant cylindrique. Dans son entrefer, on place une
bobine, de 5.00 cm de hauteur, libre de se
déplacer.
Cette
dernière
est
composée
de
1
000 spires et
elle
est parcourue par
un
courant
électrique
continu
d'intensité
I = 0,500 A. Le sens de ce courant est
figuré
de gauche à droite sur
le schéma.
bobine
I Aimant cylindrique
a-
La bobine se
soulève jusqu'à
la
butée.
b- La bobine
s'abaisse
jusqu'au
fond de l'entrefer.
c- La force
magnétique appliquée
aux spires de la bobine est
appelée
force de Laplace.
On
éteint
le
générateur
de courant. On place une plaque
rigide
de plastique transparent sur la face
supérieure
de i'aimant. On saupoudre la plaque avec de la limaille de fer.
Les lignes de champ
magnétique
s
orientent
:
d-
Selon des cordes concentriques.
e-
Selon des droites
sécantes.
g^^'^^Uorteur sur un pian
incliné
d'un angle o = rapport ^ La
mobte
est
lancé
selon un angle inconnu et
possède
une vitesse
mrtale
de norme v0. On re.eve pa.
étincetages
les positions M, du centre d'inertie G du mobile (voir enregistrement ci-dessous).
»
1
1
Échelle
1/1
Ligne
de plus grande pente
du plan
incliné
L'intervalle de temps entre chaque position
M,
de G
enregistrée
est de 50 ms.
a-
La norme v2 de la vitesse en M2 vaut approximativement 0,8 m s^.
b-
c-
d-
e-
La norme v2de la vitesse en M2 vaut approximativement 0,4 m.s
Les vecteurs vitesse V2 et % sont identiques.
Le vecteur
différence
à% entre deux positions M, et rVL,, est un vecteur constant.
Le vecteur
différence
Mc'; entre deux positions M, et
MM
est
colinéaire
à la
ligne
de plus
grande pente du plan
incliné.
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