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Lors de la lecture, les deux yeux regardent dans la même direction. La vue d’un œil permet de nommer l’iris, la pupille
et la sclérotique. La pupille, située au centre de l’iris a un diamètre qui varie avec l’éclairement. Plus la lumière est
intense et plus son diamètre est petit, limitant ainsi la quantité de lumière qui entre dans l’œil.
Durée 30 s
Séquence 3 : dissection d’un œil
La dissection d’un œil de porc frais suivant un plan perpendiculaire à l’axe optique permet de reconnaître l’enveloppe
blanche ou sclérotique, la cornée, l’humeur vitrée, le cristallin qui fait loupe, le fond de l’œil ou rétine et le nerf
optique. Un œil coupé, dans un plan qui contient l’axe optique, permet de voir l’organisation suivant le chemin suivi
par un rayon lumineux. Un dessin conventionnel rappelle les différents noms.
Durée : 95s
Séquence 4 : la tache aveugle
Si l’image d’un objet se fait sur la racine du nerf optique, on ne peut pas voir cet objet. On appelle tache aveugle cette
partie de la rétine où les cellules nerveuses sensibles à la lumière sont absentes. Pour réaliser soi-même cette
expérience, il suffit de cacher l’œil gauche, de fixer la croix avec l’œil droit à environ 50 cm. En rapprochant
lentement la feuille on constate la disparition du triangle qui finit par réapparaître.
Durée :15 s
Séquence 5 : analogies optiques
Une diapositive éclairée joue le rôle de l’objet lumineux à regarder. Un diaphragme plus ou moins ouvert illustre la
pupille. La lentille convergente correspond au cristallin et l’écran translucide figure la rétine. Pour avoir une image
nette, il est nécessaire de faire la mise au point ; ici, on décale la lentille.
Durée 60s
3. Partie 2 - le fonctionnement de l’œil
Séquence 6 : accommodation
Quand on voit nettement l’objet proche, ce qui est plus loin est flou. Si Elise est vue nettement, les objets proches et
lointains sont flous.
Enfin si l’objet lointain est net, les objets plus proches sont flous. L’œil accommode : il adapte ses caractéristiques à la
position de l’objet observé. Un changement de courbure du cristallin permet de faire la mise au point, cela fatigue les
muscles ciliaires.
Durée 25s
Séquence 7 : maquette d’un œil normal
Quand l’œil est au repos, les objets, ici un « Y lumineux » situés à des distances éloignées sont nets. L’image que l’on
observe sur la rétine est petite. Si on approche le Y, son image grandit et devient floue. La mise au point est effectuée
en gonflant plus ou moins le cristallin à l’aide de la seringue. Quand le « Y » est trop près, on arrive plus à faire la
mise au point. On a atteint les limites de l’accommodation, c’est le punctum proximum.
Durée 75s
Séquence 8 : persistance rétinienne