01 48 40 97 88 & 06 60 43 21 13 / lastrada.cguizar[email protected]om
PRESSE CATHERINE GUIZARD GÉNÉRALE MARDI 8 MARS À 19H
8 > 26 mars 2016
Tél. 01 43 74 99 61
theatredelaquarium.com
SACRÉ, SUCRÉ, SALÉ GARDE BARRIÈRE ET GARDE FOUS
d’après deux interviews de femmes
mise en scène Jean-Louis Benoit ///////
Stéphanie Schwartzbrod
et Nicolas Struve ///////////
PAROLES DE FEMMES #2
8 > 26 mars 2016
PAROLES DE FEMMES #2
PRESSE
Catherine Guizard
01 48 40 97 88 & 06 60 43 21 13
lastrada.cguizard@gmail.com
TARIFS
Théâtre de lAquarium
La Cartoucherie - route du champ de manœuvre 75012 Paris / 01 43 74 72 74
> www.theatredelaquarium.com / Facebook, Twitter
> NAVETTE CARTOUCHERIE AU M° CHÂTEAU DE VINCENNES (LIGNE 1)
gratuite, elle circule régulièrement entre l’arrêt Château de Vincennes (sortie n°6 du
métro) et la Cartoucherie 1h avant et après le spectacle. Ou bus 112, arrêt Cartoucherie.
20 minutes à pieds depuis le Château de Vincennes. Parking gratuit sur le site.
2 Stations Vélib’ : Pyramide-entrée parc floral et 11 avenue du Tremblay-INSEP.
22 / 15 (+ 65 ans, collectivités et associations, à partir de 4 personnes) / 12 (étudiants,
demandeurs d’emploi, intermittents - 1 Ticket-Théâtre(s)) / 10 (scolaires)
> PASS 2 spectacles : 30 / 24 (+ de 65 ans, collectivités et associations, groupe à partir
de 4 personnes, étudiants, demandeurs d’emploi, intermittents - 2 Tickets-Théâtre(s)*) /
20scolaires
> ABONNEMENT SAISON : 4 spectacles 40€, spectacle supplémentaire 10
> en ligne theatredelaquarium.com
> par téléphone 01 43 74 99 61, du mardi au samedi de 14h à 19h
LOC.
ACCÈS
SACRÉ, SUCRÉ, SALÉ de et avec Stéphanie Schwartzbrod,
mise en scène Stéphanie Schwartzbrod et Nicolas Struve
> 2e partie
du mardi au samedi à 21h / dimanche à 17h > création
> 1e partie
du mardi au dimanche à 19h > durée 1h20
GARDE BARRIÈRE ET GARDE FOUS, d’après deux interviews France Culture
mise en scène
Jean-Louis Benoit
SACRÉ, SUCRÉ, SALÉ
cabaret mystico-drolatique et nourrissant
librement inspiré de
Saveurs sacrées
de Stéphanie Schwartzbrod (Éd. Actes Sud)
texte, conception et jeu Stéphanie Schwartzbrod
avec des extraits de
Gabbatha
de Fabrice Hadjadj et
Le repas
de Valère Novarina
mise en scène Stéphanie Schwartzbrod, Nicolas Struve
collaboration artistique Michel-Olivier Michel, lumière François Pierron, son Éric Sesniac
contact diffusion Emmanuelle Cros > emmacr[email protected]om / 06 62 08 79 29
Aujourd’hui, c’est fête. Tour à tour juive, musulmane ou catholique, elle coupe,
touille, pétrit et cuisine en direct, tout en racontant Esther et Mahomet, la Mer Rouge
et l’Eucharistie, Roch Hachana et le Ramadan... Parce que chaque plat renvoie à une
histoire, chaque ingrédient à un symbole, parce que manger donne à penser, parce
que les repas sont faits pour être partagés, et parce qu’il y a trop de points communs
entre les trois monothéismes commencer par la sensualité !) pour les opposer.
Une heure de jubilation culinaire et spirituelle...
À table, spectateurs !
production > Nest CDN de Thionville, Cie « l’oubli des cerisiers ».
Avec le soutien d’Arcadi Île-de-France.
Spectacle labellisé « Rue du conservatoire »(association des élèves et anciens élèves du CNSAD).
Création en janvier 2012 au Nest, CDN de Thionville.
SAVEURS SACRÉES : RECETTES RITUELLES DES FÊTES RELIGIEUSES
(Ed. Actes Sud)
Si chaque religion a pour caractéristique de prêcher pour sa « paroisse », elles ont
en commun de proposer à leurs fidèles tout un rituel de prescriptions et traditions
alimentaires. Stéphanie Schwartzbrod en dresse ici un inventaire comparé. Tout en
approfondissant leur sens théologique, elle explore le calendrier et les menus de fêtes,
rassemble quelques quatre-vingts recettes liées aux temps forts de chaque confession,
depuis l’Épiphanie et sa galette (janvier) jusqu’au boregh d’Hanoucca (décembre), en
passant par le hammentachen de Pourim, le couscous aux fèves de Pessah, la chorba
du Ramadan, la mrouzia de lAïd el-Kebir, le poulet aux épices et aux olives de Kippour,
la bûche de Noël... Autant dire que, si ce livre raconte et commente la sacralité de
certaines préparations, il nous transmet surtout, savoir-faire à l’appui, la tradition
festive et gastronomique des trois grandes religions monothéistes.
tournée 2016 > Centre des Bords de Mame à Le Perreux, (12 et 13 avril), Théâtre de l’Usine à Eragny-sur-Oise
(20 mai), Théâtre de Jouy-le-Moutier (27 mai), LAntarès à Vauréal (28 mai) Le Dôme à Pontoise (2 juin)...
Sacré, sucré, salé
est un spectacle qui parle du temps qui s’écoule, rythmé par les fêtes juives,
chrétiennes ou musulmanes, qu’elles nous soient proches, ou plus mystérieuses. C’est un spectacle
qui parle de la foi, mais sous l’angle particulier de la nourriture. Comment celle-ci porte un sens,
comment elle peut se faire parole tout en restant joyeuse, gourmande… comment l’on aime manger
«.non ce qui est bon à manger mais ce qui est bon à penser ». L’espace de jeu s’y remplit des odeurs
de la chorba, soupe qui rompt le jeûne chaque soir du mois du Ramadan, et qui est préparée sur la
scène durant le spectacle et servie au public après les applaudissements.
C’est une sorte de cabaret un peu mystique mêlant le burlesque avec peut-être quelque chose de
plus profond. Un cabaret rempli de récits et d’histoires : comment, à Roch Hachana, la nourriture
se transforme littéralement en parole ; comment l’ascèse se transforme en champ d’exercices.;
comment Esther déjoua la première extermination des juifs en préparant un immense festin ;
comment une petite vieille s’émerveille de manger chaque jour l’hostie ; comment une femme vit
tout au long du jour le ramadan ; comment les hébreux traversèrent la Mer Rouge et ce qui en
découla ensuite dans les assiettes de milliers de juifs du monde entier.… et bien d’autres choses
encore.
Stéphanie Schwartzbrod
TOUS AUTOUR DE LA TABLE
Réfléchir avant de parler est nécessaire pour vivre.
Nous, cerveaux, devons manger pour penser.
Le repas
de Valère Novarina (extrait)
Je suis comédienne mais également, par les
hasards de la vie et par passion, auteur de
plusieurs livres de cuisine. C’est pourquoi Jean
Boillot, directeur du Nest, CDN de Thionville, m’a
demandé d’inventer un spectacle autour de la
cuisine pour le festival qui a eu lieu en janvier 2012
entre Metz et Thionville. J’ai eu envie d’adapter
pour la scène un de mes livres auquel je suis
particulièrement attachée :
Saveurs sacrées
, paru
chez Actes Sud en 2007 et vendu à plus de 4000
exemplaires.
© Pierre Hecker
VISITE SPIRITUELLE ET GUSTATIVE DU MONDE
Une forme théâtrale multiple, empreinte de
burlesque
Ma préoccupation constante a été : comment
faire du théâtre avec quelque chose qui, à priori,
relève plus de la conférence. Et petit à petit, au
fil des répétitions, la scène s’est transformée en
un espace de conte, de sketch, même de cinéma
(avec un court extrait des 10 commandements de
Cécil B. DeMille, durant lequel les pains matsot de
Pessah se transforment en popcorn), ou encore
de liturgie, avec la Semaine Sainte. Le burlesque
est très présent. Car ce spectacle raconte aussi
que la « passion de croire » n’est pas tout à faire
étrangère à la passion de jouer et à l’état amoureux,
et que croire n’est pas chose sans sensualité.
Passion amoureuse, fantaisie imaginative du jeu,
et élan mystique sont frères et sœurs : ils ont en
commun le besoin de croire, et le ravissement
-.ou la béatitude.-, qui côtoient intrinsèquement le
burlesque.
Impliquer le public, convoquer les sens
J’avais envie de faire participer le public. Ainsi, je questionne les spectateurs, je leur fais agiter des
crécelles au nom d’Aman, le méchant, et pousser des cris de joie au nom de Mardochée, le gentil,
durant l’évocation de la fête de Pourim ; ou encore j’inspecte la salle avec une lampe de poche pour
voir s’ils n’ont pas laissé des miettes de ce qu’ils ont mangé avant de venir... Il me paraissait surtout
très important de faire participer les sens, car la nourriture est par nature sensuelle. J’avais envie que
les spectateurs sortent du spectacle en ayant envie de manger : c’est pourquoi je tiens à leur offrir la
chorba. Ainsi, j’ai voulu jouer avec l’odeur, le goût, mais aussi avec l’écoute, grâce à la musique qui
est très présente, des chants du muezzin, et du son des cloches, aux chants de Yossele Rosenblatt,
cantor ashkénaze des années 30, au violoncelle de Sonia Wieder Atherton, ou encore à une chanson
extrêmement contemporaine de Daniel Darc, « Sois sanctifié ».
De sept à quatre-vingt-dix-sept ans !
C’est un spectacle très ludique, les enfants sont tenus en haleine. Ils sont par ailleurs très sensibles
à la notion du « sacré », comme à la symbolique des choses ou des récits. Ils aiment apprendre le
sens des fêtes qu’ils traversent tout au long de l’année, et par là-même, de ce qu’ils mangent.
© Pierre Hecker
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