Spencer Bright avec études de cas Imunobran et la lutte pour renforcer le système immunitaire L’immunomodulation et ses avantages pour les patients atteints de cancer Préface rédigée par le Dr. Anthony Soyer M.B., B.S. Copyright Japan Functional Food Research Association (JAFRA) 2006. Rédacteur : Merima Nikocevic Ibrahimpasic Correcteur : Greer Hunter Dessin de la couverture : Zlatko Havoic Dessin de la page interne et typographie : DD Studio Edité et imprimé par Planetopija, 2006, Zagreb, Croatie Tous droits réservés. Il est interdit de reproduire ce livre, même partiellement, de quelque manière que ce soit, sans l’accord préalable écrit de l’éditeur, à l’exception de brèves citations formulées dans les articles ou revues littéraires. ISBN 4-9903039-0-3 Sommaire PRÉFACE INTRODUCTION LE SYSTÈME IMMUNITAIRE Deux systèmes Reconnaissance Médiation du système immunitaire Imunobran et le système immunitaire 5 8 9 9 9 10 10 FIBRES ALIMENTAIRES ET IMUNOBRAN Fibres alimentaires Glucides Le rapport glucides/fibres alimentaires Le rapport Imunobran 11 11 11 11 12 FAIRE FACE À LA CRISE SANITAIRE ORIGINE DE IMUNOBRAN VALEUR DE IMUNOBRAN COMME ALIMENT FONCTIONNEL RECHERCHE DE TÉMOIGNAGE DE L’EFFICACITÉ DE IMUNOBRAN AMÉLIORATION DE L’ACTIVITÉ DES CELLULES TUEUSES NATURELLES OU LYMPHOCYTES NK AMÉLIORATION DE L’ACTIVITÉ DES LYMPHOCYTES NK CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS DE CANCER Propriétés anti-cancer : cancer du sein Propriétés anti-cancer : cancer de la peau Propriétés anti-cancer : leucémie Patients atteints de cancer à un stade avancé Freiner la propagation du cancer Amélioration de l’activité anti-tumorale des lymphocytes NK Patients atteints de cancer avec une faible activité des lymphocytes NK Contre-attaquer les effets de la chimiothérapie Amélioration de la production d’interféron Effets antioxydants Renforcer le système immunitaire Normaliser l’activité des lymphocytes NK Dysfonctionnement du foie Protection contre les produits chimiques Renforcer le système immunitaire CE QUE DISENT LES MEDECINS Dr. Patrick J. Kinsley Dr. Ben Pfeifer Dr. Julian Kenyon Professeur Serge Jurasunas Dr. Roger Lichy ETUDES DE CAS DE PATIENT Cancer de la vessie Cancer du nasopharynx Cancer de la gorge Cancer de l’estomac Carcinome gastrique 13 14 17 18 19 20 20 21 22 22 23 23 23 24 25 25 26 26 27 27 28 29 29 30 31 32 33 35 35 35 37 38 39 Leucémie Lymphome folliculaire non hodgkinien Carcinome ovarien Cancer du colon avec métastase au foie Cancer du colon Cancer de la peau (mélanome) Cancer de la prostate Cancer du sein Mélanome malin (jambe droite) Cancer du poumon Cancer qui s’est propagé vers le poumon Myélome multiple (les tumeurs se propagent partout dans la moelle osseuse) CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE 40 42 42 43 43 44 46 48 52 52 54 55 56 58 PREFACE Lorsque nous nous posons la question « Qu’est-ce que la santé ? », nous sommes habituellement confrontés à un vaste choix de réponses, aussi déconcertantes les unes que les autres. Si la forme physique ne rime pas avec santé, nous sentons qu’il y a une vérité cachée derrière cette idée. La forme physique du système immunitaire fait partie intégrante de notre santé. Sans un système immunitaire actif, les défenses cellulaires, les défenses cellulaires (le système des globules blancs qui nous protègent) sont endormies. C’est donc sur le réveil des mécanismes de défenses cellulaires que les scientifiques ont porté toute leur attention et se concentrent désormais. L’augmentation extrême du taux de cancers de tous types a demandé innovation, invention et investissement dans l’approfondissement de notre connaissance de l’immunité. Il est devenu un impératif de créer des méthodes pratiques, en vue d’aider et d’améliorer la fonction immunitaire. Notre niveau d’immunité, ou comment notre système immunitaire est activé, dépend de la qualité et de la quantité des substances nutritives présentes dans notre alimentation, ainsi que les quantités de polluants dans notre corps. Les individus avec des systèmes immunitaires affaiblis ou lents ont probablement plus de chance de développer des maladies, y compris le cancer, car le corps est moins apte à se défendre contre elles. Lorsque la force du système immunitaire dépend de facteurs externes, comme l’alimentation et la pollution, la plupart des cancers ont donc un agent environnemental comme élément de provocation. Un composant essentiel de nos défenses immunitaires est les cellules tueuses naturelles ou lymphocytes NK. Ce genre de globule blanc ou lymphocyte est produit dans la moelle osseuse (avec tous les autres types de lymphocyte comme les cellules T et B) et les cellules matures avec la cellule T dans la glande du thymus. La production de ces cellules de défense augmente par la présence de cellules tumorales. De tous les gardiens du système immunitaire, les lymphocytes NK sont les plus agressifs. Ils sont la base du système immunitaire et notre première ligne de défense contre les cellules mutantes et infectées de virus comme les cellules tumorales et le récent Syndrome respiratoire aigu sévère (SARS), qui menace notre santé. Les cellules tueuses naturelles sont des lymphocytes sans mémoire immunologique et font partie de notre système immunitaire inné. Cela signifie qu’ils agissent par pur instinct – préprogrammés pour détruire les cellules infectées et cancéreuses. Ces cellules représentent environ 5 à 16 pour cent de la population totale de lymphocytes et sont totalement préoccupées par cette mission de recherche et de destruction. Cependant, les lymphocytes NK ne tuent pas sans discernement. Ils recherchent une « bannière » arborée par les cellules normales et s’ils trouvent cette bannière, ils éviteront ce genre de cellule. Ce signal outrepasse la forte envie des lymphocytes NK de tuer. Si cette bannière est absente sur la cellule cible, le lymphocyte NK attaque : il se fixe sur la cible et libère une dose mortelle de produits chimiques, qui pénètre la paroi cellulaire. Les liquides commencent à s’infiltrer et à s’échapper et, le cas échéant, la cellule explose. Les lymphocytes NK accumulent le plus souvent dans les tissus lymphoïdes secondaires – les amygdales, les ganglions lymphatiques et la rate – après être sortis de la moelle osseuse. Ici, ces lymphocytes NK attendent une activation (probablement après la stimulation par les cellules dendritiques sentinelles), avant de réagir de deux différentes façons. Soit ils secrètent rapidement des cytokines, protéines de messager chimique qui modulent les réponses de cellule T et B. Ou bien les lymphocytes NK deviennent de puissants tueurs de tumeurs et de cellules infectées de virus. Bien que les lymphocytes NK fournissent une première défense cruciale contre plusieurs agents infectieux et cellules tumorales, ils le font plus avec discrimination que pure détermination. Cependant, les lymphocytes NK ne réussissent pas toujours à détecter les cellules tumorales. Ces cellules tumorales non détectées peuvent manquer de propriétés antigènes, qui provoquent normalement le système immunitaire ou les lymphocytes suppresseurs peuvent freiner l’assaut par les lymphocytes NK. Les lymphocytes NK ont un rôle majeur dans le système immunitaire, en attaquant le cancer. Les lymphocytes NK sont également supprimés par les maladies chroniques, comme les maladies virales chroniques. Par conséquent il convient de prendre en compte une plus grande série de facteurs sur un sujet atteint de cancer, que simplement le nombre total de lymphocytes NK. Des études ont démontré que des patients avec une malignité persistante et des masses tumorales importantes ont une baisse d’activité des lymphocytes NK. La faible activité des lymphocytes NK est associée de manière significative au développement de métastases. Chez les patients atteints d’une maladie métastatique, la durée de vie correspond directement au niveau de l’activité des lymphocytes NK. En enlevant une tumeur primaire, les cellules malignes potentielles peuvent être remises en circulation et se développer dans des foyers métastatiques secondaires. De plus, les effets répressifs de la chirurgie et de l’anesthésie sur l’activité des lymphocytes NK peuvent faciliter la survie de cellules tumorales libérées de la croissance de tumeur primaire ou métastatique et contribuer à une augmentation de fréquence de métastase. La radiothérapie et la chimiothérapie réduiront l’activité des lymphocytes NK et donc il est important de réduire l’effet défavorable sur le système immunitaire. La faible activité des lymphocytes NK se produit également dans les maladies auto-immunes et dans le syndrome de fatigue chronique. Le fait que plusieurs produits chimiques courants endommagent, affaiblissent et diminuent la fonction et le nombre de lymphocytes NK, est très inquiétant. Les modificateurs de la réponse biologique peuvent augmenter l’activation, la prolifération ou la cytotoxicité de lymphocytes NK pré-existants. Les cytokines comme les interférons IL2 et IL12, les produits bactériens, les lectines végétales et les extraits de plantes, le coriolus versicolor, les champignons médicinaux, le facteur de transfert et les antioxydants, comme la vitamine C sont tous puissants dans l’amélioration de la fonction immunitaire. En outre, il y a des demandes d’efforts visant à surmonter les effets répressifs de la chirurgie et de l’anesthésie sur l’activité des lymphocytes NK. Cette répression peut, de plus, faciliter la survie des cellules tumorales libérées de la croissance de tumeur primaire ou métastatique et contribuer à l’augmentation de la fréquence de métastase. Par conséquent, de faibles doses d’interféron et l’utilisation complémentaire d’extraits de plantes peuvent se révéler sans danger et, si appliqué correctement, efficace dans la prévention de propagation de tumeur et de métastase. L’activation des lymphocytes NK peut être facilement réalisée par le traitement avec l’interféron, des inducteurs d’interféron, l’interleukine 2 et des adjuvants bactériens. Toutefois, les coûts sont élevés – en terme d’argent et d’effets secondaires. Un désir d’alternatives a conduit à rechercher des dérivés alimentaires fonctionnels capables de produire, sans effets secondaires, des effets positifs sur l’activité des lymphocytes NK. Ce livre traite, avant tout, le thème du soutien immunitaire lors de l’utilisation de Imunobran, un extrait de son de riz. Les recherches exposées dans les grandes lignes soutiennent les effets bénéfiques sur l’activité des lymphocytes NK par l’utilisation de Imunobran. L’auteur, Spencer Bright, est un journaliste britannique expérimenté, qui a rédigé ce livre à partir de plusieurs entretiens avec des médecins et des chercheurs de renommée mondiale et de patients dans le monde entier. Il est tout à fait objectif dans sa démarcher et n’a aucun préjugé envers les remèdes naturels. Il rapporte simplement les propos des personnes, qui ont utilisé ce complément alimentaire. Je peux seulement vous conseiller d’utiliser les informations contenues dans ce livre et d’en tirer vos propres conclusions. J’espère que vous utiliserez Imunobran dans le cadre de votre traitement du soutien immunitaire. Ça marche vraiment !! Dr. Anthony Soyer, M.B. B.S. The Diagnostic Clinic 50 New Cavendish Street London W1G 8TL Londres, décembre 2004 INTRODUCTION Imunobran est un puissant complément alimentaire immuno-modulateur – une substance qui peut renforcer des systèmes immunitaires affaiblis. Daiwa Pharmaceutical l’a développé au Japon au début des années 90. Depuis, il est devenu le complément de choix pour beaucoup de médecins et leurs patients et un complément pour les programmes de traitement pour les maladies et les troubles, qui peuvent bénéficier d’une optimisation du système immunitaire. Le système immunitaire n’est pas seulement notre défense contre la maladie, mais également le système grâce auquel l’organisme maintient son intégrité et ses fonctions. Il fournit les renseignements dans l’économie domestique quotidienne, qui sont essentiels pour nous afin de rester en vie. Quand nous utilisons les termes « santé » et « vitalité », nous faisons référence en fait à la santé et à la vitalité du système immunitaire. Les scientifiques considèrent le système immunitaire comme le système intelligent « extérieur » ou « autre » dans notre organisme – à l’opposé du système cérébral et nerveux. En effet, c’est un peu équivoque d’utiliser les termes « extérieur » et « autre ». De nouvelles recherches ont montré que les deux sont intimement liés – une connexion qui a donné naissance à une nouvelle branche médicale appelée psychoneuroimmunologie (PNI). Si nous nous sentons faibles, c’est probablement que notre système immunitaire est faible et si nous nous sentons en bonne santé et heureux, notre système immunitaire est également en bonne santé et heureux. En d’autres termes, non seulement la santé affecte nos émotions, mais les émotions affectent également notre santé. Certaines maladies – comme le cancer, le SIDA et les infections – peuvent mettre le système immunitaire sous une énorme pression, car il lutte pour que l’organisme soit de nouveau en bonne santé. L’ironie est que beaucoup de traitements pour ces états ont des effets secondaires, qui impliquent la dépression de la fonction immunitaire. La chimiothérapie et la radiothérapie, par exemple, mettent les défenses immunitaires à plat au moment où l’organisme en a le plus besoin. C’est pourquoi, de plus en plus de médecins utilisent des compléments comme Imunobran, en vue de renforcer les programmes de traitement. Voici l’histoire de Imunobran, des recherches associées à ce produit et la raison pour laquelle il est utilisé par un grand nombre de médecins dans le monde entier. LE SYSTEME IMMUNITAIRE Le terme « immunitaire » vient du latin immunis, signifiant « exempt », qui dans le contexte du système immunitaire réfère aux agents envahissants étrangers. Le système immunitaire est notre armée collective – un milliard de globules blancs, de la moelle des os, des anti-corps, des cytokines et une glande du thymus – qui permettent d’identifier et de détruire les millions de microbes (bactéries, virus, parasites et fongus), qui pénètrent dans nos organismes chaque jour et les milliers de nos cellules, qui sont devenues génétiquement anormales ou cancéreuses. En faisant ce travail vital, notre organisme garde son intégrité ; sans cela nous serions morts en quelques jours. Tous les animaux – depuis l’amibe unicellulaire jusqu’à l’homme – ont un système immunitaire. En général, plus un organisme est complexe, plus son système immunitaire l’est également. Le système immunitaire humain est aussi complexe que notre système nerveux et peut lire les réponses aux maladies spécifiques et se rappeler de ces réponses des décennies plus tard. La mémoire du système immunitaire est, bien sûr, la base de la vaccination – l’injection des toxines de maladie dans le sang pour stimuler une réponse immunitaire, de sorte que, si la maladie est contractée ultérieurement, le système immunitaire est déjà prêt à lutter contre elle. Deux systèmes Le système immunitaire humain peut être divisé en deux parties distinctes, qui nous protègent de différentes façons. La première est l’immunité naturelle (ou non spécifique) et la seconde est l’immunité adaptative. La première est un réflexe ou système de réponse automatique, qui est pré-programmé à la naissance pour nous protéger. Par exemple, si nous nous coupons, il y a immédiatement une réponse inflammation, suivie d’un amas de macrophages, qui absorbent les bactéries. C’est une réponse non-spécifique, comme cela se produit de la même façon quelque soit la nature de l’infection. L’activité des cellules tueuses naturelles est un autre exemple de l’immunité non-spécifique. Ces lymphocytes NK peuvent automatiquement détruire les cellules cancéreuses et les cellules infectées de virus. Le second type d’immunité – l’immunité adaptative – est bien plus complexe et basé sur la capacité des lymphocytes T et B à répondre de manière sélective à des milliers de non autoantigènes différents – virus, bactéries, cellules et grandes molécules de protéines et polysaccharide. Un antigène est, en effet, quelque chose qui déclenche une réponse immunitaire. Ce système est capable d’adapter une réponse à l’envahisseur spécifique qu’il rencontre et se rappelle cette réponse, de sorte que le système immunitaire apprend par expérience, autant que notre système nerveux apprend. Même si nous n’avons pas une bonne mémoire, notre système immunitaire en a une. Reconnaissance Avant que notre système immunitaire détruise les envahisseurs ou les cellules cancéreuses, il doit les reconnaître. Après tout, la grande majorité de nos cellules, qui sont saines, doivent être laissées en paix. En d’autres termes, le système immunitaire doit être capable de parler lui-même du non-soi. Dans le cas d’une cellule génétiquement endommagée, elle doit être capable de lire les signaux révélant un problème dans la cellule. La reconnaissance joue donc par un rôle essentiel dans l’immunité et c’est le problème le plus complexe pour le système immunitaire – notre organisme et ses cellules sont en constant changement et nous sommes sans cesse exposés à de nouveaux envahisseurs. Un équilibre délicat est demandé. Si le système immunitaire est hyperactif, nous finissons par attaquer notre propre organisme, comme dans le cas des maladies auto-immunes et des allergies. Si le système immunitaire est trop « laxiste », les envahisseurs causent de graves dommages à notre organisme et les cancers peuvent se développer de manière incontrôlée. Médiation du système immunitaire Toutes les réponses du système immunitaire sont obtenues par médiation par les globules blancs (leucocytes, y compris cellules T, B et lymphocytes NK, les monocytes, les phagocytes, les basophiles, les neutrophiles et les éosinophiles), les cellules spécialisées dans divers tissus (macrophages, mastocytes) ainsi que l’hormone et autres messagers chimiques transportés par les systèmes sanguins et lymphatiques. La grande majorité des cellules du système immunitaire proviennent des précurseurs dans la moelle osseuse et circulent dans le sang et les tissus. Par exemple, les cellules lymphocytes T et B, qui fonctionnent par le système lymphatique, ont leur origine dans la moelle osseuse, mais les cellules T migrent vers le thymus, où elles parviennent à maturité (d’où « cellule T »). Imunobran et le système immunitaire Imunobran, un complément alimentaire à base de son de riz et d’enzymes du champignon shiitake, peut considérablement augmenter l’activité des systèmes immunitaires affaiblis. Bien que son fonctionnement reste encore un mystère, ce produit stimule la production de cytokines – molécules de messager qui contrôlent l’activité du système immunitaire. Imunobran est donc capable de stimuler un système immunitaire affaibli et d’optimiser notre immunité face à la maladie. FIBRES ALIMENTAIRES ET IMUNOBRAN Fibres alimentaires Les journaux parlent constamment de la crise sanitaire de l’ouest causée par une mauvaise alimentation et l’épidémie d’obésité, mais nous avons encore beaucoup à apprendre sur la relation entre la nourriture et la santé. La plupart d’entre nous ont compris l’importance d’une alimentation équilibrée, mais nous commençons seulement à comprendre les effets subtils des diverses substances sur notre système immunitaire. Nous savons tous que les fibres alimentaires sont bonnes pour nous et que c’est un composant essentiel pour rester en bonne santé. Toutefois, ces fibres sont absentes d’un grand nombre d’aliments transformés. Le terme « fibres alimentaires » apparaît seulement au début des années 50. Depuis, plusieurs débats se sont tenus pour savoir comment les définir. Ce terme peut signifier différentes choses pour différentes personnes dans différents pays. La plupart des gens acceptent que ce terme réfère à des aliments végétaux non raffinés, comme les céréales, les légumes et les fruits – aliments contenant une paroi cellulaire végétale. Nous pensons qu’une alimentation riche en aliments végétaux non raffinés peut protéger contre les maladies occidentales. Glucides Les glucides ont déjà subis des caprices de la mode et de l’industrie alimentaire et n’ont été pas pris au sérieux en ayant une faible valeur nutritive. Les aliments contenant des glucides sont la source la moins chère d’énergie. Nous les trouvons agréable à manger, surtout sous la forme de sucres. Sous leur forme raffinée, ils causent ou contribuent à la carie dentaire, au diabète, à l’obésité, aux maladies coronariennes et au cancer. Les glucides se trouvent sous diverses formes. Depuis le début des années 80, les hydrates de carbone complexes ont été de plus en plus reconnus comme source principale d’énergie et de substances nutritives et comme alternative aux lipides. Les sucres sont des formes simples de glucides. Lorsque les sucres sont unis en chaînes, ils sont connus comme polysaccharides. Les polysaccharides se trouvent sous forme digestible, comme l’amidon, ou polysaccharides non amidonnés non digestibles comme la cellulose et l’hémicellulose. Comme ils passent à travers l’appareil gastro-intestinal, les polysaccharides digestibles sont décomposés par les enzymes digestifs en monosaccharides constituants, qui sont ensuite absorbés. Le rapport glucides/fibres alimentaires L’opinion générale était que les résidus végétaux non digestibles avaient une faible valeur nutritive, voire aucune. Toutefois, au cours de la dernière décennie, on a réalisé que pour rester en bonne santé l’appareil digestif dépend des fibres alimentaires. En conservant la santé et le tonus des muscles entourant l’appareil digestif, les fibres insolubles permettent une absorption correcte des substances nutritives. Le rapport Imunobran Les fibres insolubles ne sont pas seulement un facteur de gonflement, qui aide la digestion. En décomposant les fibres insolubles, sa capacité - jusqu’ici cachée - à stimuler le système immunitaire a été déclenchée. Imunobran est composé de fibres décomposées ou prédigérées, provenant du son de riz – les enveloppes riches en substances nutritives du riz complet jetées dans le processus de transformation du grain cru en riz blanc plus savoureux. Imunobran est créé en utilisant un procédé de décomposition de la liaison entre les enveloppes et les grains de riz, en utilisant les capacités enzymatiques des champignons Shiitaké. Il garde les bénéfices pour la santé des sucres complexes, mais les rend solubles, digestibles et facilement absorbés dans le sang, d’où il peut commencer le procédé de renforcement du système immunitaire. Beaucoup de substances végétales sont incapables d’agir sur le système immunitaire, car leur poids moléculaires élevés et structures moléculaires complexes sont reconnus comme des corps étrangers et donc pas absorbés. Imunobran avec son faible poids moléculaire, peut être facilement absorbé dans l’appareil digestif et activer le système immunitaire. FAIRE FACE A LA CRISE SANITAIRE La plus grave crise sanitaire que la plupart des gens dans les pays développés doivent probablement affronter, est le cancer. Lorsqu’ils sont confrontés à une tumeur maligne, les médecins ont trois principales armes dans l’arsenal de la médecine occidentale – la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Bien que ces techniques ont été améliorées, les méthodes générales ont peu changé en cinquante ans. Pour la plupart des gens, un diagnostic de cancer est une sentence de mort, bien que de remarquables progrès - et réconfortants – ont été faits dans les cas de la leucémie de l’enfant, du cancer de la prostate et des lymphomes non hodgkiniens. Seulement 10 pour cent des adultes atteints d’un cancer courant survivent plus de cinq ans. Il est toujours stupéfaction de constater que les docteurs et les chirurgiens préconisent de violentes agressions sur le organisme par le biais de la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie, sans d’abord stimuler le système immunitaire afin de contrecarrer la destruction simultanée des cellules saines et cancéreuses. Bien que les malades et les aides à domicile de la sphère du VIH et SIDA sont informés de l’importance de renforcer le système immunitaire, pour combattre les infections opportunistes, cette connaissance ne semble pas avoir été reporté aussi efficacement dans la sphère du cancer, où le renforcement des globules blancs est tout aussi crucial pour enrayer la progression des tumeurs et compenser les effets des traitements orthodoxes agressifs. L’importance de l’immunothérapie s’est développée, comme notre compréhension de comment les cellules interagissent entre elles augmente. Les immunothérapies sont des traitements qui utilisent le système immunitaire pour attaquer les tumeurs, les virus et autres pathogènes. La médecine cellulaire basée sur l’immunité entraîne une réponse à médiation cellulaire. Parce que les médicaments de l’immunothérapie stimulent l’organisme pour répondre biologiquement, ces médicaments sont parfois appelés des modificateurs de la réponse biologique (MRB). L’immunothérapie est désormais considérée comme une quatrième modalité de traitement du cancer – en plus de la chirurgie, de la chimiothérapie et de la radiothérapie. Au cours des quatre dernières décennies, la capacité à cloner des cytokines a créé une forte excitation. Les cytokines sont de puissantes molécules de signalisation, que les cellules dans le système immunitaire utilisent pour susciter, rassembler et réorienter une réponse immunitaire. Les versions cultivées artificiellement et traitées par la bio-ingénierie de ces cytokines – interférons, interleukine et le facteur de nécrose tumorale (TNF) – ont donné l’espoir qu’un vaccin contre le cancer pourrait être développé. Toutefois, des tests coûteux avec peu de résultats et des effets secondaires épouvantables ont entraîné un sérieux réexamen de la situation au début des années 90. Néanmoins, les défenseurs sont confiants et pensent que ce secteur de recherche portera éventuellement ses fruits comme traitements de maladies virales, de mélanomes, de la maladie de Hodgkin et la leucémie. ORIGINE DE IMUNOBRAN Les concepteurs de Imunobran ont choisi un chemin différent, plus naturel que celui prôné par les établissements pharmaceutiques. Comme Monsieur Yasuo Ninomiya, le fondateur de Daiwa Pharmaceutical, le fabricant de Imunobran, explique : « Nous pensons qu’il est de la plus haute importance de croire en la nature, avec laquelle nous devons co-exister. Nous pensons que le pouvoir de guérison naturel de l’organisme fournit la base nécessaire pour corriger les déséquilibres physiques. » Avec l’occidentalisation de l’alimentation au Japon, ce qui signifie une augmentation des calories et des protéines, on assiste à une augmentation de la fréquence de maladies liées au style de vie, comme le cancer, le diabète, l’hypertension et les affections cardiaques. Daiwa Pharmaceutical a voulu développer un produit composé de fibres alimentaires, afin de contrecarrer les effets de régimes déséquilibrés, qui sont à l’origine de ces maladies. Le riz, également l’alimentation de base de l’Asie, a longtemps été vénéré pour ses qualités procurant la santé. La littérature indienne, il y a des milliers d’années, a parlé des propriétés curatives du riz dans le traitement des ulcères à l’estomac, de l’hypertension, du taux de cholestérol élevé et de l’hyperglycémie. Les sucres complexes (polysaccharides) connus pour leurs qualités anti-tumorales et boostant le système immunitaire sont présents dans le son de riz, riche en substances nutritives. Le Dr. Hiroaki Maeda, directeur de la recherche et du développement à Daiwa, s’intéresse à des solutions de phytonutriments (à base de plantes) pour la santé de l’être humain et l’agriculture. Il a une licence en chimie nutritionnelle de l'École Supérieure des Sciences et des Technologies, de la faculté d’horticulture de l’Université Chiba au Japon. Depuis la fin des années 80, il a étudié les qualités bienfaisantes des sucres complexes des plantes et des champignons. En 1992, lors d’une visite à Los Angeles avec la Société japonaise pour la médecine complémentaire et alternative, Monsieur Ninomiya a été présenté au Dr. Ghoneum, un immunologiste étudiant les polluants de l’environnement à l’Université de Californie, Los Angeles, pour les Institutes nationaux de santé (NIH). Cinq composants, chacun avec une masse moléculaire différente, ont été envoyés de Tokyo au Dr. Mamdooh Ghoneum, qui travaille maintenant dans les laboratoires de recherche à l’Université de Médecine et des Sciences Charles R. Drew, Los Angeles, où il est maître de conférences dans le service d’otorhinolaryngologie (nez, gorge, oreilles). Le Dr. Ghoneum est né en Égypte et a passé une licence de biologie à l’Université Mansoura. Il a obtenu une bourse pour étudier au Japon, où en 1980 il a obtenu un doctorat à l’Université de Tokyo pour ses études sur les effets des rayons à faible dose sur la glande du thymus. Étant donné l’héritage des bombes atomiques qui sont tombées sur Hiroshima et Nagasaki, l’étude de la radiation au Japon était particulièrement poignante. En 1982, il est venu au États-Unis, où il est devenu un associé de recherche à l'École de médecine UCLA. Le Dr. Ghoneum était intéressé par les lymphocytes NK et la capacité des lymphocytes NK à brûler les cellules tumorales ainsi que la capacité des cellules cancéreuses à combattre et détruire les lymphocytes NK affaiblies. « J’ai étudié pendant presque dix ans ce qui affaiblit les lymphocytes NK et les facteurs qui suppriment le système immunitaire. Il y a trois facteurs que j’appelle inévitable : le stress, le vieillissement et les carcinogènes chimiques. Nous savons que le stresse détruit le système immunitaire, mais personne n’en a recherché le mécanisme, comment cela se passe » explique le Dr. Ghoneum. En ayant recherché les facteurs d’inhibiteur immunitaire, le Dr. Ghoneum était curieux de trouver comment le système immunitaire pourrait être amélioré. Il a commencé à étudier l’immunothérapie, plus particulièrement les modificateurs de la réponse biologique (substances qui renforcent le système immunitaire). Comme avec beaucoup de progrès scientifiques, il y avait un élément d’heureux hasard dans la rencontre du Dr. Ghoneum avec Monsieur Ninomiya. Les recherches du Dr. Maeda pour les solutions à base de plantes pour les problèmes de la santé humaine et la fascination du Dr. Ghoneum pour l’activité des lympocytes NK se sont associées pour fournir le creuset d’où Imunobran a été développé et la preuve de son efficacité. Au début de la recherche sur Imunobran, le Dr. Maeda a envoyé au Dr. Ghoneum des variétés de son de riz, qui était brisé en constituants. Le Dr. Ghoneum a utilisé une technique simple pour déterminer l’efficacité de chaque constituant. Il a testé l’efficacité envers les capacités anti-tumorales des lymphocytes NK et la capacité des macrophages (un globule blanc qui entoure et tue les micro-organismes, enlève les cellules mortes et stimule l’action des cellules du système immunitaire), pour libérer les molécules de signalisation qui stimulent l’activité anti-tumorale. Il a fallu plusieurs mois au Dr. Ghoneum, au début de l’année 1995, avant de trouver la structure chimique la plus efficace pour les sucres détériorés par les enzymes. « Depuis le jour J, nous ne savions pas si ça marcherait. Parfois, nous n’avons presque pas pu dormir la nuit, en nous demandant si ça allait marcher ou pas. J’étais inquiet des résultats et ils étaient inquiets quand ils me les ont envoyés. C’était comme un examen où vous attendez le résultat. » Le résultat, un composé biologique soluble dans l’eau de cellulose modifiée de son de riz, a révélé posséder des qualités augmentant fortement l’immunité. Beaucoup de matériaux à base de plantes sont incapables d’agir sur le système immunitaire, car la masse moléculaire élevée et la structure complexe suggèrent, qu’il y a des corps étrangers et donc pas absorbés. Un élément-clé dans le succès de Imunobran est la facilité avec laquelle il est absorbé dans la circulation sanguine. Les premiers tests du Dr. Ghoneum ont été réalisés in vitro sur des cellules en laboratoire. Puis il a fait ses tests sur des souris et des rats. Les animaux vieillissant avec des systèmes immunitaires affaiblis ont été utilisés comme sujets d’expérience. Trois doses différentes de Imunobran ont été données à des groupes de rats, et l’activité des lymphocytes NK a montré une augmentation jusqu’à 142 pour cent, en proportion de la dose. Lorsque Imunobran a été testé sur des souris et des cellules humaines, les résultats ont montré une augmentation dans les molécules-signaux, qui activent l’activité anti-tumorale. « Je ne pouvais pas moi-même le croire, lorsque j’ai vu pour la première fois les effets de Imunobran », déclare le Dr. Ghoneum. « On avait à faire à une substance influençant considérablement la fonction immunitaire, notamment l’activité des lymphocytes NK ». Daiwa Pharmaceutical a effectué les premiers essais sur les humains, sur vingt quatre personnes en bonne santé (9 hommes et 15 femmes) d’une moyenne d’âge de 34 ans. Les sujets ont été répartis en trois groupes-test et ils prirent différentes doses de Imunobran pendant 60 jours. Au cours des tests, ces sujets ont eu la ferme interdiction de prendre des médicaments ou des vitamines. L’activité de leurs lymphocytes NK a été mesurée par intervalles. L’activité des lymphocytes NK pour le groupe le plus faiblement dosé a presque doublé un mois après le début des tests, et dans les autres groupes, elle a triplé. Après deux mois, l’augmentation moyenne avait quintuplée. Les tests ont été également réalisés sur des rats, en leur donnant deux médicaments courants de chimiothérapie anti-cancer, Cisplatine et Adriamycine. Les rats à qui on a donné Imunobran avec les médicaments ont gardé des poids plus importants et ont eu des symptômes plus doux. Les rats à qui on a donné seulement Cisplatine ou avec une faible dose de Imunobran sont morts, tandis que ceux à qui on a donné une forte dose de Imunobran et de Cisplatine ont survécu. Un facteur important qui concernait le Dr. Ghoneum était l’hyporéactivité à Imunobran. Courant dans le monde des médicaments, « l’hyporéactivité » signifie que des doses plus fortes sont demandées pour avoir un effet similaire. Il fallait du temps pour tester si c’était le cas pour Imunobran. Jusqu’ici, y compris une étude qui a duré quatre ans, on ne savait pas si l’hyporéactivité était un problème. Également, des tests ont été effectués quant à une possible toxicité. Après des tests sur des souris, le Dr. Ghoneum a déclaré : « Imunobran a des niveaux de sécurité très élevés, comparable aux aliments consommés dans une alimentation ordinaire. Il n’a aucun effet secondaire connu. » VALEUR DE IMUNOBRAN COMME ALIMENT FONCTIONNEL A cause de son effet immunostimulant, Imunobran est classé comme un aliment fonctionnel. Bien que la plupart des recherches effectuées a concerné les capacités anti-tumeur et anti-virale de Imunobran, le produit a également été utilisé par les médecins pour traiter un grand nombre d’états. Les utilisations comprennent : • • • • • • La recherche d’aliments anti-oxydants Une meilleure tolérance au glucose Augmentation de la fonction du pancréas Augmentation de la fonction hépatique (foie) Réduction des effets néfastes de la chimiothérapie Une meilleure qualité de vie RECHERCHE DE PREUVES DE L’EFFICACITE DE IMUNOBRAN Des tests approfondis ont été effectués, afin de déterminer la sécurité et l’efficacité de Imunobran en traitant de nombreux états. Ces tests comprennent : • Un test in vitro (laboratoire) pour déterminer les effets de Imunobran au niveau cellulaire. • Un test in vivo sur des organismes vivants. Les études ont été réalisées sur des souris, des rats et des hommes. Les souris et les rats ont été infectés avec des tumeurs cancéreuses ou le diabète, afin de reproduire les maladies humaines correspondantes. On a donné aux souris et aux rats du Imunobran et les médicaments couramment utilisés pour traiter ces états, et les effets ont été contrôlés. • Des essais cliniques, au cours desquels Imunobran est administré aux patients souffrant de maladies majeures et ayant compromis le système immunitaire. Afin de permettre de faire des comparaisons, les tests sur les animaux et les hommes peuvent inclure un groupe de contrôle, pour lequel Imunobran n’a pas été administré. Dans le cas des hommes, le groupe de contrôle doit être réglementé sur le plan éthique et avec le consentement donné en connaissance de cause. AMELIORATION DE L’ACTIVITE DES LYMPHOCYTES NK Les lymphocytes NK jouent un rôle essentiel dans le renforcement du système immunitaire et la défense contre la maladie. Les lymphocytes NK sont la première ligne de défense contre le développement des tumeurs. Elles reconnaissent et tuent les cellules tumorales et les cellules infectées de virus. Les lymphocytes NK ont reçu une attention considérable à cause de leur rôle potentiel dans la résistance contre le cancer. Cependant, on ne sait pas encore avec précision comment elles résistent au développement, à la progression et à la propagation de tumeurs induites ou spontanées. Des études ont révélé que l’activité des lymphocytes NK est supprimée sur des rats et des souris atteints de tumeur. En résultat, il y a eu plusieurs tentatives d’augmenter l’activité des lymphocytes NK, en utilisant des substances qui peuvent améliorer la réponse naturelle de l’organisme à la maladie. Cette substance est Imunobran. Dans une expérience destinée à déterminer l’effet de Imunobran sur l’activité des lymphocytes NK, on a donné à trois groupes de rats différentes concentrations de Imunobran, et un quatrième était le contrôle. Une autre expérience a permis d’examiner, si le sexe a fait une différence dans la réponse pour Imunobran. Quatre jours après, on leur a donné pour la première fois Imunobran, les rats avec la dose la plus forte ont montré une amélioration de l’activité des lymphocytes NK. Au cours de l’essai, tous les rats ont montré une nette amélioration, variant en moyenne entre 119 et 142 pour cent. Plus la dose est forte, plus l’augmentation est importante pendant l’essai. Il y avait une différence entre les sexes. Les rats femelles ont montré une augmentation de 162 pour cent, comparé au 135 pour cent pour les mâles. Imunobran n’a pas augmenté le nombre réel de lymphocytes NK. Au lieu de cela, il a renforcé les lymphocytes NK existants et les a rendu plus combatifs. Mais ce ne sont pas seulement les lymphocytes NK qui ont bénéficié de Imunobran. Les lymphocytes NK renforcés stimulent un type de cellule T qui reconnaît les corps étrangers et les tuent et peuvent donc avoir un rôle anticancer. On ne s’explique pas encore comment Imunobran améliore l’activité des lymphocytes NK. On sait que Imunobran améliore la production d’interféron, une substance naturelle fabriquée par l’organisme qui améliore la capacité de l’organisme à lutter contre les infections et la maladie. L’interféron à son tour augmente l’efficacité des lymphocytes NK. AMELIORATION DE L’ACTIVITE DES LYMPHOCYTES NK CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS DE CANCER Le traitement conventionnel contre le cancer est immunosuppressif, affectant donc la capacité de l’organisme à lutter lorsqu’il essaie de vaincre le cancer et maintenir une santé optimale. Une étude a été réalisée auprès de 90 patients atteints de cancer, certains étant encore sous traitement conventionnel – y compris chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie et traitement hormonal – et d’autres ayant terminé le traitement. Ils ont pris 3 gr. de Imunobran par jour, 45 mgr. par kg de poids du corps, pendant un maximum de cinq années. L’activité des lymphocytes NK a été mesurée chaque mois après les tests hebdomadaires initiaux, selon son efficacité contre les cellules tumorales. Les patients étaient atteints des cancers suivants : Prostate (22), sein (20), myélome multiple (16), ovaire (5) et autres (27). Dans les essais, 86 des 90 patients (95,5 pour cent) ont montré une augmentation de l’activité des lymphocytes NK de deux à dix fois et cela une semaine après avoir pris pour la première fois Imunobran. Cette activité a été maintenue à un niveau élevé pendant un maximum de cinq ans. Les résultats ont montré que Imunobran offre une nouvelle approche immunothérapeutique contre le cancer, en augmentant la réponse anti-tumorale de l’organisme, grâce à l’augmentation de l’activité de lymphocytes NK. La longue période d’étude a également donné l’occasion de mesurer les effets des niveaux de stress sur l’activité des lymphocytes NK. Le stress peut sérieusement affaiblir la force du système immunitaire. Au cours du traitement, sur les 86 patients dont l’activité des lymphocytes NK s’est améliorée, dix ont souffert de stress, comprenant privation de sommeil, deuil, surcroît de travail ou problèmes financiers. Ces patients ont montré une diminution de l’activité des lymphocytes NK de 40-75 pour cent, comparé aux niveaux précédents. Cependant, une fois le stress estompé, les lymphocytes NK ont augmenté leur activité aux anciens niveaux. C’était bien la preuve que la réduction du stress est une part importante du traitement avec Imunobran. Ces résultats ont été présentés lors de la conférence anti-âge et l’exposition à Las Vegas en décembre 1999. La conférence a été sponsorisée par l’Académie américaine de médecine antiâge et l’université du Centre des sciences et de la santé de l’Arizona. Propriétés anti-cancer : cancer du sein Cinq patientes atteintes de cancer du sein avaient une baisse de l’activité des lymphocytes NK, après avoir subi le traitement. Elles prirent une forte dose quotidienne de Imunobran et en deux semaines le traitement a commencé à montrer des résultats positifs. Avant de prendre Imunobran, l’activité des lymphocytes NK allait de 12,7 pour cent à 58,3 pour cent. Pendant la période de test, l’activité des lymphocytes NK a augmenté en moyenne de 41,8 pour cent à 89,5 pour cent, bien au-dessus de la norme. Deux patientes ont été en phase de totale rémission dans les six à huit mois ; deux autres ont été en phase de rémission ultérieurement. L’essai a été effectué, pendant que les patientes étaient en traitement de chimiothérapie. Les chercheurs ont conclu ainsi : « Dans notre étude, nous avons observé que Imunobran augmente considérablement l’activité des lymphocytes NK et n’a aucun effet secondaire. L’immunothérapie avec Imunobran et la chimiothérapie est considérée comme assez efficace pour le traitement contre le cancer. » Ces résultats ont été présentés à Baltimore, Maryland, en novembre 1995 lors d’une conférence intitulée : Cancer : l’interface entre la recherche basique et appliquée. La conférence fut sponsorisée par l’Association américaine pour la recherche contre le cancer. Propriétés anti-cancer : cancer de la peau Le cancer de la peau devient plus courant parmi les gens à peau claire. Aux États-Unis, c’est la forme la plus courante de cancer, touchant un américain sur sept – près d’un million de personnes – chaque jour. Les causes de la prolifération du cancer de la peau varient, comprenant une durée de vie plus longue et donc une plus grande exposition au soleil, alors que l’augmentation des loisirs et l’aisance encouragent les gens à passer plus de temps dehors. La peau est l’organe le plus important du corps, nous protégeant de la chaleur, de la lumière, des blessures et des infections. Il régule la température corporelle et stocke l’eau, la graisse et la vitamine D. La couche externe de la peau (épiderme) est composée surtout de cellules minces et plates, à lamelles (cellules squameuses). Imunobran a été testé pour voir s’il peut être efficace pour cibler les cellules cancéreuses. Les cellules de carcinome à cellule squameuse ont été cultivées avec Imunobran. La croissance de la cellule tumorale a été stoppée, diminuant de 30 pour cent après 48 heures et de la moitié à 72 heures. Le nombre des cellules non traitées avec Imunobran mais incubées a continué à diminuer. D’autres analyses ont montré qu’après 16 heures de traitement des cellules squameuses avec Imunobran, il y avait une augmentation de huit fois de l’interleukine 10, une substance qui a une fonction anti-inflammatoire et une augmentation de trois fois dans l’interleukine 12, une substance qui active les lymphocytes NK et joue un rôle crucial dans la défense du système immunitaire. Toutefois, il y avait peu de changement dans le niveau de type d’interféron, qui a été vu ailleurs être stimulé par l’effet de Imunobran sur les lymphocytes NK. Ce type d’interféron est un composant important dans le renforcement du système immunitaire. Cette étude semblait indiquer que Imunobran agit en non seulement en augmentant la fonction immunitaire principale, mais également par une modification directe de la croissance de la cellule tumorale et par la production de cytokines, substances essentielles pour stimuler la réponse immunitaire. Imunobran est également une grande réussite médicale pour les 32 patients, qui ont été contrôlés pendant quatre ans. Les résultats ont été présentés lors du Congrès international sur les technologies anti-âge et biomédicales, à Las Vegas, Nevada, en décembre 2000. Propriétés anti-cancer : leucémie Il a été prouvé que Imunobran pouvait améliorer le renforcement de la fonction des lymphocytes NK. Un des effets bénéfiques de cette amélioration peut être le fait de rendre la chimiothérapie plus efficace tout en diminuant les effets secondaires. A la lumière de cette recherche, Imunobran a été étudié pour voir son degré d’efficacité à défendre le corps contre les cellules leucémiques destructrices. Une de ces lignes d’attaque du système immunitaire est d’entraîner les cellules cancéreuses à se suicider. Aider une quantité de cellules à se tuer elles-mêmes est un des processus les plus importants dans le maintien d’un système immunitaire en bonne santé, bien que ce soit un processus à l’équilibre précaire qui, s’il devient incontrôlable, peut conduire le système immunitaire à s’attaquer lui-même. Dans un test de laboratoire, Imunobran a été associé à des cellules leucémiques et le processus par lequel l’organisme stimule le suicide de cellules fut reproduit. Les résultats ont suggéré que les cellules leucémiques avaient été détruites en plus grand nombre et de façon plus efficace, lorsque Imunobran était présent. L’expérience a été réalisée à l’université Charles R. Drew par le Dr. Ghoneum et son collègue le Dr. Sastry Gollapudi. Ils ont présenté leurs résultats à la conférence organisée par l’Association américaine pour la recherche contre le cancer, en octobre 2002. Patients en phase de cancer avancé Imunobran a été testé sur dix patients ayant des malignités avancées et sous traitement conventionnel. Tous les patients ont été testés pendant six mois. L’activité des lymphocytes NK a plus que doublée juste après deux semaines. Il y avait également des améliorations dans la fonction des cellules T et B. L’effet bénéfique de Imunobran sur l’activité cellulaire semblait se produire par le facteur de nécrose tumorale (TNF) et l’interféron, substances qui améliorent la réponse naturelle de l’organisme à la maladie. Les Dr. Ghoneum et Maeda ont réalisé l’étude. Ils ont présenté leur rapport en 1998 à Kyoto lors du Premier symposium international sur la prévention contre la maladie par les composants IP6* et autres composants de riz. * IP6 est un composant de fibre trouvé d’abord dans les céréales complètes et les légumes et peut avoir des effets anti-cancer. Freiner la propagation du cancer Dans des études à l’université de Chiba, on a trouvé que Imunobran avait un effet inhibiteur de croissance sur trois types de cancer – la leucémie, le cancer de l’estomac et du poumon. Dans le test, Imunobran a été ajouté à trois lignées cellulaires cancéreuses associées à la leucémie et aux cancers de l’estomac et du poumon. Après trois jours, l’activité cellulaire a diminué dans les trois lignées. Les tests ont été réalisés à la « Graduate School of Science and Technology » à l’Université de Chiba. Les résultats ont été publiés en mars 2002 dans le journal de la Société japonaise pour la bioscience, la biotechnologie et l’agrochimie. Amélioration de l’activité anti-tumorale des lymphocytes NK Les lymphocytes NK peuvent détruire des cellules tumorales. Ils tuent à l’aide de l’interleukine 2, une cytokine (substance capable de cibler les cellules spécifiques). L’efficacité de Imunobran à aider la stimulation de l’interleukine 2 a été testée dans un laboratoire à l’université de Chiba, au Japon. Imunobran a été ajouté à des globules blancs et à des cellules tumorales. Sans l’aide d’une cytokine, Imunobran n’avait aucun effet significatif. Cependant, lorsque l’interleukine 2 a été incluse dans l’expérience, il y a eu une visible augmentation de l’activité des lymphocytes NK. L’équipe de cinq chercheurs – y compris le Dr. Hiroaki Maeda de Daiwa Pharmaceutical – a conclu que Imunobran active les lymphocytes NK en cas de présence de l’interleukine 2. Les résultats ont été publiés en mars 2002 dans le journal de la Société japonaise pour la bioscience, la biotechnologie et l’agrochimie. Patients atteints de cancer avec une faible activité des lymphocytes NK Les patients atteints de cancer avancé ont été réceptifs au traitement avec Imunobran. Sur les 27 patients atteints de cancer, entre 42 et 57 ans, tous avaient une faible activité des lymphocytes NK. Ils souffraient d’une multitude de tumeurs malignes en stade avancé, y compris cancer du sein, de la prostate et du col de l’utérus, myélome multiple et leucémie. Tous ont pris 3 g. de Imunobran par jour. Deux semaines après la première prise de Imunobran, il y avait une augmentation remarquable de l’activité des lymphocytes NK. Chez les patients avec un myélome multiple, l’activité a augmenté de plus de cinq fois ; chez les patientes souffrant de cancer du col de l’utérus l’activité a presque triplée ; et pour les patientes atteintes de cancer du sein, les patients atteints de cancer de la prostate et de la leucémie, l’activité a plus que doublé. Bien que l’état de la grande majorité des patients a été amélioré à chaque période de test – deux semaines, trois mois et six mois, il y a eu trois patients pour qui Imunobran n’a eu aucun effet. Au cours de cette étude, le renforcement de la fonction des lymphocytes NK a augmenté. Les lymphocytes NK sont peuplés de granules. Les faibles niveaux de granulation signifie que les cellules sont fatiguées ou immunosupprimées. L’effet de Imunobran était de re-granuler les cellules et de restaurer l’efficacité. Les chercheurs ont conclu que l’augmentation de l’activité des lymphocytes NK par Imunobran peut être due à une augmentation des granules des lymphocytes NK. Ces résultats ont été présentés en 1996 à la réunion annuelle de l’Association américaine pour la recherche contre le cancer, à Washington DC. Contre-attaquer les effets de la chimiothérapie Cisplatine et Adriamycine sont deux médicaments importants, utilisés pour traiter le cancer. Cisplastine est un composé comportant du platine ; les médicaments contenant du platine sont le fondement du traitement moderne pour les cancers des ovaires, des testicules et certains autres cancers. L’Adriamycine est un antibiotique. Ces deux médicaments sont des agents chimiothérapeutiques, qui empêchent la croissance des cellules cancéreuses dans l’organisme. Ils ont tous deux de graves effets secondaires. L’efficacité de Imunobran à limiter les effets toxiques de ces médicaments a été testée dans une étude-type sur petits animaux, qui a été divisée en plusieurs groupes : ceux sous Cisplatine seulement, ceux sous Cisplatine et Imunobran (dose forte et faible), ceux sous Adriamycine seulement, ceux sous Adriamycine et Imunobran (dose forte et faible), et un groupe de contrôle. Pendant onze jours, Imunobran a été administré en rapport avec le poids du corps et sa capacité à atténuer les effets secondaires des médicaments de chimiothérapie a été notée en contrôlant l’état des organes, surtout de l’appareil digestif. Les résultats de cette recherche ont révélé que l’ajout de Imunobran a aidé à prévenir la perte de poids habituelle dans 72 pour cent dans les groupes qui en prenaient. Ceux sous Cisplatine seulement, ont perdu 1,5 pour cent de poids, et ceux sous Adriamycine seulement, ont augmenté leur poids de 30 pour cent. Le groupe, placé sous faible dose de Cisplatine et faible dose de Imunobran, a augmenté en poids de 11 pour cent, tandis que ceux sous Adriamycine et faible dose de Imunobran a augmenté de 46 pour cent. Le groupe sous Cisplatine et forte dose de Imunobran a augmenté en poids de 44 pour cent et ceux sous Adriamycine et forte dose de Imunobran a augmenté en poids de 43 pour cent. Qui plus est, aucun des groupes sous Cisplatine et forte dose de Imunobran, n’est mort pendant le test, tandis que plusieurs des autres groupes, qui ont reçu des quantités plus faibles de Imunobran ou rien du tout, sont morts. Les chercheurs ont signalé dans leur rapport que les survivants, qui ont pris Imunobran, étaient en meilleure santé, avaient pris du poids et moins de problèmes intestinaux graves. Les chercheurs ont conclu que Imunobran était efficace pour maintenir son poids après une dose toxique, soit de Cisplatine ou Adriamycine et protégeait contre certaine pathologie gastrointestinale grave. Ils ont senti que Imunobran pouvait jouer un rôle dans l’amélioration de la qualité de la vie des patients traités par chimiothérapie. Les tests ont été dirigés par des chercheurs scientifiques, y compris le Dr. Hiroaki Maeda, Directeur de la recherche et du développement à Daiwa Pharmaceutical ; Products Safety Lab de East Brunswick, New Jersey et Creative Strategy Inc. de Tokyo. Un journal exposant un compte rendu de leurs résultats a été présenté lors de la réunion annuelle de l’Association américaine de gastroentérologie à San Diego, Californie, en mai 2000. Amélioration de la production d’interféron Le Dr. Ghoneum a signalé l’efficacité de Imunobran à aider les lymphocytes NK humaines infectées par des cellules tumorales dans un document de 1996. Il a également mesuré comment des lymphocytes NK plus saines augmentent la production d’un type d’interféron, la substance qui améliore la capacité de l’organisme à lutter contre les infections et les maladies. On a trouvé que les lymphocytes NK traitées avec Imunobran étaient deux à cinq fois plus efficaces pour lutter contre les cellules tumorales juste 16 heures après avoir été en contact avec elles. La production d’interféron a augmenté de dix fois. Grâce à de telles propriétés curatives et améliorant la vie, il est certainement approprié que la nature a fait les lymphocytes NK en forme de cœur. L’étude a également révélé que l’amélioration de l’activité des lymphocytes NK semble augmenter l’activité des cellules T et B. Comme le Dr. Ghoneum l’a expliqué : « Le mécanisme par lequel il semble être à travers une connexion en boucle d’évènements : Imunobran stimule les lymphocytes NK, qui à leur tour provoque la sécrétion de l’interféron-gamma, Celui-ci, à son tour, entraîne une activation de la part des cellules immunitaires ». Les cellules T et B sont cruciales pour maintenir un système immunitaire en bonne santé. Le Dr. Ghoneum a conclu que : « Imunobran, en tant que traitement complémentaire au traitement continu du cancer, est une méthode facile, sans danger, non toxique et indolore, pour redonner de l’énergie aux patients atteints de cancer ». Effets anti-oxydants L’effet scavenger antioxydant de Imunobran a été testé envers trois types de radicaux libres. Le dommage de radicaux libres est impliqué dans la plupart des maladies menaçant la vie ainsi que dans le processus du vieillissement. En fonction de la dose, les taux scanvenger ont augmenté de 4,4 à 64,6 % dans un cas pour la substance, entre 3,3 et 94,9 % dans le second cas et de 11,5 à 72,6 % pour le troisième. L’étude a été dirigée par des chercheurs au Service d’infirmiers pour adultes et service de chirurgie de l’Université médicale et pharmaceutique de Toyama, avec le Dr. Maeda. La conclusion fut que l’activité scavenger de Imunobran contre les radicaux libres est élevée. Renforcer le système immunitaire Les macrophages sont probablement le principal type de cellule dans le système immunitaire. Spécifiquement, les macrophages produisent des molécules, qui agissent comme médiateurs cellulaires. Une étude a été conçue pour déterminer l’efficacité de Imunobran dans la stimulation des macrophages à produire ces médiateurs. Les cellules humaines et de souris ont été testées. Les résultats ont montré que Imunobran a stimulé une forte activité dans les cellules de souris et étaient bien plus efficaces sur les cellules humaines. En conclusion de l’étude, le Dr. Matsuura de l’Université Jichi Medical, service des infections et de l’immunité, a trouvé que Imunobran est « une substance puissante » qui active les cellules macrophages des souris et des hommes. Normaliser l’activité des lymphocytes NK Bien que l’effet bénéfique de Imunobran sur l’activité des lymphocytes NK est bien documenté, la recherche comportait des lacunes sur la façon dont Imunobran a influencé les personnes avec des niveaux variables de l’activité des lymphocytes NK. Au cours de la recherche effectuée à l’Université de Chiba, on a trouvé que Imunobran, comme on s’y attendait, augmente l’activité des lymphocytes NK chez les personnes avec des taux bas de lymphocytes NK, mais diminue l’activité des lymphocytes NK chez les personnes avec des taux élevés de lymphocytes NK. (Imunobran est un immunomodulateur et pas simplement un immunostimulateur, ce qui implique qu’on peut le prendre sans aucun risque.) Les globules blancs ont été prélevés sur des personnes dont l’activité des lymphocytes NK était de 20 pour cent au-dessous de la norme et de 40 pour cent au-dessus de la norme. Puis les cellules ont été cultivées avec Imunobran. Les globules avec une faible activité des lymphocytes NK ont montré une augmentation importante de l’activité, tandis que les globules qui avaient déjà une activité élevée de lymphocytes NK ont montré peu d’augmentation ou aucun taux d’augmentation a montré une diminution. Les résultats suggèrent que Imunobran normalise l’activité des lymphocytes NK. Un document basé sur cette recherche a été publié dans l’édition d’octobre 2002 du Journal de l’American College of Nutrition (JACN). Dysfonctionnement du foie Afin de pallier au manque de recherche sur l’efficacité de Imunobran dans l’examen du dysfonctionnement du foie, une équipe de l’Université de Chiba au Japon, a élaboré un test sur des rats de laboratoire. On a donné à cinq groupes de rats avec un dysfonctionnement du foie induit, différentes doses de Imunobran, par voie orale et interne, et on était testés face à un groupe de contrôle de rats avec un dysfonctionnement de foie, mais auquel on n’a pas donné Imunobran. Il en a résulté que les cinq groupes de rats, auxquels on a donné Imunobran, ont eu une suppression significative du dysfonctionnement du foie, comparé aux rats sans Imunobran. L’équipe des six chercheurs de l'École Supérieure des Sciences et des Technologies de l’Université de Chiba et le Service de science de bioproduction a inclus le Dr. Maeda de Daiwa Pharmaceutical. Leurs résultats ont été publiés dans le journal de l’Association japonaise pour la recherche sur les fibres alimentaires. Protection contre les produits chimiques On sait que les produits chimiques toxiques dans l’atmosphère créent un risque de cancer et peuvent être à l’origine d’un grand nombre d’autres affections. Parce que des personnes travaillant en contact avec les produits chimiques sont plus à risque, ces employés sont les sujets idéaux pour tester si Imunobran peut les aider. Une étude a été élaborée pour examiner le changement immunitaire associé à l’exposition aux produits chimiques toxiques et la possibilité de lutter contre la toxicité chimique en utilisant Imunobran. Onze personnes, qui avaient été exposées aux produits chimiques sur leur lieu de travail, ont participé à l’étude. Tous ont montré des signes de dysfonctionnement immunitaire et de faibles niveaux de l’activité des lymphocytes NK et tous avaient une réponse défavorable mesurable de lymphocytes T et cellules tueuses B, qui affectait la capacité à lutter contre l’infection. Les patients ont pris une dose quotidienne d’entretien de Imunobran de 45 mg/kg de poids de corps par jour (environ 1g) pendant quatre mois. L’activité des lymphocytes NK a augmenté de quatre à sept fois, en deux et quatre mois respectivement. Les fonctions des cellules T et B étaient de 130 à 150 pour cent plus élevées. Cette étude, qui fut présentée à la Conférence anti-vieillissement et l’exposition à Las Vegas en 1999, a montré que la suppression de l’activité des lymphocytes NK par l’activité chimique peut être complètement rétablie avec Imunobran. L’Académie américaine de médecine anti-âge et l’université du Centre des sciences de la santé de l’Arizona ont sponsorisé la conférence. Renforcer le système immunitaire Les lymphocytes NK contiennent des substances qui aident à combattre les tumeurs et certains virus. Les lymphocytes NK libèrent le facteur de nécrose tumorale (TNF) – qui semble jouer un rôle dans la détérioration des cellules cancéreuses – et l’interféron, qui entrave la division des cellules cancéreuses et peut ralentir le développement des tumeurs. Lorsque le processus est en cours, les molécules reliées à la surface des lymphocytes NK sont également activées. Ces molécules alertent les cellules T qu’une attaque va se produire, de sorte qu’elles peuvent joindre la réponse. Une étude de laboratoire a été élaborée pour voir si les doses faibles et élevées de Imunobran pouvaient améliorer le fonctionnement des lymphocytes NK en répondant à ces modulateurs du système immunitaire. Les résultats montrent que Imunobran était efficace en augmentant la production du facteur de nécrose tumorale. La production a augmenté de 22 fois en utilisant une faible dose de Imunobran, à 47 fois en utilisant une forte dose. La production d’interféron a également montré une augmentation, bien qu’à de faibles niveaux pour un facteur de nécrose tumorale. L’étude a également testé des substances destinées à aider avec des réponses immunitaires spécifiques. Imunobran a également stimulé ces substances. De plus, Imunobran a permis d’améliorer la capacité de réaction de l’interleukine 2. L’interleukine 2 est une cytokine, une substance qui peut améliorer la réponse naturelle de l’organisme pour les infections et maladies. Imunobran a besoin de l’aide des cytokines pour être efficace dans le renforcement des lymphocytes NK. On a trouvé que les lymphocytes NK activés par l’interleukine 2 stimulent la libération du facteur de nécrose tumorale et l’interféron. Les chercheurs en ont conclu que Imunobran peut être utilisé comme un moyen fiable pour stimuler le système immunitaire, notamment dans la lutte contre le cancer et certains virus, soit comme un traitement alternatif soit en association avec d’autres traitements. Le Dr. Ghoneum des Services de neurobiologie, de microbiologie et d’immunologie à l’Université de Californie, à l'École de médecine et de dentisterie de Los Angeles et le Dr. A. Jewett, du Service de neurobiologie et de microbiologie de la même université, ont publié un article détaillant ces résultats en l’an 2000 dans la détection et la prévention du cancer, la publication officielle de la Société internationale pour l’oncologie préventive. CE QUE DISENT LES MEDECINS Les personnes confrontées à des maladies pouvant être mortelles et celles qui veulent simplement maintenir un système immunitaire en bonne santé se tournent de plus en plus vers Imunobran. De même, les médecins avec des méthodes personnelles incluent Imunobran dans leurs protocoles de traitement. Parfois, Imunobran sera au centre d’un programme de traitement. Pour d’autres programmes, Imunobran sera l’une des nombreuses substances et méthodes de l’arsenal. Voici une sélection de praticiens (anglais pour la plupart), pour qui Imunobran est un outil précieux. DR. PATRICK KINGSLEY L’expérience du Dr. Patrick Kingsley travaillant pour une société pharmaceutique et mettant en place des tests cliniques sur des produits chimiques et des médicaments, montre son approche de traitement de nouveaux patients. Les patients atteints de cancer qui viennent à son cabinet près de Loughborough, Leicestershire, arrivent dans divers états – depuis ceux récemment diagnostiqués et cherchant un traitement alternatif, à ceux conscients qu’il pourrait être leur dernier recours après avoir subi une opération, une chimiothérapie et une radiothérapie. Le plus souvent ils arrivent avec des systèmes immunitaires, qui sont dans un état très médiocre. A leur première visite, les patients subissent des tests approfondis, qui déterminent avec précision ce qui se passe dans leur organisme. Les tests indiquant la force du système immunitaire sont parmi les plus important. Le Dr. Kingsley utilise un test interféron gamma pour mesurer l’activité des lymphocytes NK, « peut-être l’approche anti-cancéreuse la plus importante du système immunitaire ». En utilisant des valeurs de référence pour les analyses de sang de 3000-10000, il dit qu’il a eu des patients dont l’activité des lymphocytes NK a augmenté en passant de moins de 50 à l’arrivée à plus de 100 000 après le traitement. De même, le Dr. Kingsley utilise un test interleukine 2, pour mesurer l’activité des cellules TH1, qui sont importantes pour aider les cellules à combattre les tumeurs et un test interleukine 12, pour mesurer l’activité des macrophages et cellules dendritiques, tous deux combattant efficacement le cancer. Il est fier des programmes de traitement personnalisés, développés pendant trente ans de pratique qu’il appelle « médecine environnementale nutritionnelle ». L’alimentation et la nutrition forment une partie-clé du programme de traitement. Il utilise également des enzymes digestives, des anti-oxydants, de l’acidophilus, de la co-enzyme Q10 et des produits à base de plantes. « Il y a certaines choses comme Imunobran que j’utilise actuellement chez tous les patients atteints de cancer. Je trouve que Imunobran est un produit incroyablement bon pour booster le système immunitaire ». La majorité de ses patients atteints de cancer a le cancer du sein, les autres souffrant surtout de cancer des intestins, de cancer du poumon, du myélome multiple, de tumeurs au cerveau et de leucémies. Comme c’est le cas de tout praticien responsable, il hésite à utiliser le mot « remède ». « Je dirais simplement qu’il y a de nombreux patients avec à la fois de multiples scléroses et atteints de cancer et beaucoup d’autres patients qui sont venus à moi et dont les symptômes ont disparu et sont restés dans cet état aussi longtemps que possible ». Toutefois, le résultat n’est pas toujours heureux. « Il y a des patients qui sont dans un état très très extrêmes, lorsque je les vois pour la première fois et je me pose la question de savoir quelle chance il existe de les aider, mais ils veulent essayer, alors j’essaie ». Parmi ceux qui sont décédés, il dit que ces patients et leurs parents croient qu’il a aidé à prolonger leur vie. Imunobran est une des nombreuses possibilités, qu’il utilise pour lutter contre le cancer. Il utilise également Imunobran pour les infections, les bronchites et en prévention contre la grippe. Il le prend lui-même pour diverses affections, une fois lorsqu’il avait un panaris sur son orteil. « C’est d’une efficacité surprenante et étonnant. Presque dès les deux premières doses, le panaris a commencé à se disparaître très rapidement ». Il utilise également Imunobran, lorsqu’il voyage à l’étranger. « Je prendrai une dose de Imunobran par jour, avant de prendre l’avion pour m’assurer que mon système immunitaire est boosté et que toute infection, que je pourrais contracter, sera sous contrôle ». DR. BEN PFEIFER Le Dr. Ben Pfeifer a rassemblé des données de 1 250 patients atteints du cancer de la prostate, qui étaient allés à la clinique Aeskulap, près de Zurich, pendant une période de trois ans et croit qu’il détient une preuve convaincante que sa méthode phytothérapeutique (à base de plantes) pour la maladie fournit des avantages essentiels. Il utilise Imunobran en association avec Postasol, une composition de plusieurs extraits de plantes et un complexe de curcumin. Le Dr. Pfeifer déclare : « Dans les 15 dernières années, j’ai vu 1 000 à 1 500 patients atteints de cancer de la prostate et j’ai eu en consultation bon nombre d’entre eux et j’ai appris une chose – c’est que la chimiothérapie pour le cancer de la prostate en phase terminale n’a vraiment pas grand chose à offrir. C’était la raison pour laquelle j’ai cherché dans une autre direction, dans la phytothérapie. « Les traitements reconnus aujourd’hui pour le cancer de la prostate avec métastases sont l’ablation androgénique (traitement hormonal), la chimiothérapie ou ne rien faire du tout (attendre en étant vigilant). J’étais découragé par cette méthode. J’ai donc essayé d’élaborer un protocole de phytothérapie ». Il utilise Imunobran dans le cadre de sa méthode, surtout pour sa capacité à booster les lymphocytes NK. « Avec Imunobran, j’ai voulu savoir s’il est important que les lymphocytes NK augmentent chez les patients atteints de cancer ». Le cancer du poumon a montré une réduction de l’activité des lymphocytes NK de 20 pour cent, le cancer du colon de 30 pour cent, le cancer du sein de 45 pour cent et le cancer de la prostate de 25 pour cent. Il a trouvé les chiffres assez significatifs pour mériter qu’il cherche si Imunobran pourrait être efficace dans l’augmentation de l’activité des lymphocytes NK de ses patients. Il a donné à 15 patients, dont le cancer de la prostate s’était propagé, une dose quotidienne de 2 g de Imunobran pendant six semaines. Tous sauf un ont montré une augmentation de l’activité des lymphocytes NK, d’environ 90 pour cent à plus de 200 pour cent. En général, il dit qu’il y a une amélioration de l’état général de 70 pour cent des patients, qui utilisent le traitement proposé par cette clinique. Il remarque et s’attend à un déclin de 50 pour cent des niveaux d’antigène prostatique spécifique (PSA) pour 65 pour cent de ses patients. Il a trouvé que la douleur liée à la tumeur diminue dans 70 pour cent des cas, qui avaient des douleurs avant le traitement. DR. JULIAN KENYON Le Dr. Julian Kenyon cherche constamment des façons plus efficaces de stimuler l’immunité à médiation cellulaire. Dans son cabinet à la Clinique Dove pour la Médecine intégrée – près de Winchester, Hampshire et Londres – il incorpore divers traitements incluant l’acupuncture, la vitamine C à haute dose et les champignons médicinaux. Fondateur et président de la British Society of Integrated Medicine, le Dr. Kenyon a travaillé en Chine et a plus de 25 ans d’expérience. If fut attiré par inclure Imunobran dans son arsenal, car comme c’est le cas des champignons médicinaux, il utilise les protéoglycanes pour stimuler le système immunitaire. « Une préparation de protéoglycane est une protéine avec un sucre simple ajouté, qui peut être du xylose, mannose ou arabinose. Il existe toute une variété de sucres simples », explique le Dr. Kenyon. « Ces préparations fournissent des pistes intéressantes pour pénétrer dans la cellule. La protéine se colle dans la membrane de la cellule, mais le sucre sort comme une antenne. Fondamentalement, Imunobran me semble lier la matrice d’une cellule à l’autre. La matrice est la substance dans laquelle les cellules se trouvent et elles doivent être liées, et je pense que les préparations de protéoglycane ou les glycoprotéines – il y a plusieurs noms pour elles – sont essentielles pour lier la matrice ». Le Dr. Kenyon admet que cette théorie n’est pas entièrement prouvée, mais c’est sa forte intuition. Il croit que le son de riz modifié, d’où Imunobran est dérivé, permet à Imunobran d’être mieux absorbé dans les systèmes digestif et sanguin. Sa capacité à aider l’augmentation de la réponse immunitaire à médiation cellulaire rend ce complément efficace dans la lutte contre les maladies comme le cancer. « La réponse immunitaire à médiation cellulaire est une réponse efficace anti-virale, antibactérienne, qui est également une réponse anti-tumorale efficace. C’est le type de réponse immunitaire qui globalement s’aggrave, probablement parce que la pollution pousse les réponses immunitaires humaines à produire trop d’anti-corps. « Chez nos patients atteints de cancer, en général plus de 80 pour cent ont une réponse immunitaire TH2 marquée (une réponse humorale associée à une production d’anticorps). C’est un mouvement remarquable loin de l’immunité à médiation cellulaire (réponse immunitaire TH1). Par conséquent, vous vous attendez à une augmentation dans la fréquence du cancer. « Il y a des études, qui montrent que si vous avez un patient atteint d’un cancer et que vous le traitez par chimiothérapie et radiothérapie et faites exploser son système immunitaire, si vous restaurez son immunité à médiation cellulaire à la normale, il a 50 pour cent de chance en moins que le cancer réapparaisse ». Les études du Dr. Kenyon sont basées sur l’utilisation des champignons médicinaux pour stimuler le système immunitaire. Le Dr. Kenyon conclut que « Imunobran est facile à prendre, il est sans risque, il n’y a aucun effet secondaire, il peut être pris en très grande quantité et aide en cas de maladie grave. « Si vous avez une fonction immunitaire à médiation cellulaire affaiblie, je vous donnerai très certainement du Imunobran. Il n’y a aucun médicament classique qui a l’une de ces fonctions et qui est loin d’être aussi efficace. » PROFESSEUR SERGE JURASUNAS Le Professeur Serge Jurasunas est un médecin naturopathe, qui exerce depuis plus de 35 ans. Pendant plus de 20 ans, il a traité les patients atteints de cancer avec plusieurs types de produits et divers protocoles dans sa clinique de Lisbonne, l’Institut Holiterapias. Comme il utilisait déjà des traitements efficaces, il lui a fallu un certain temps pour prendre en considération les bénéfices de Imunobran, une fois qu’il connu ce produit. Le déclic s’est produit, lorsqu’il a traité des patients atteints de cancer de la prostate. « Quand j’ai donné Imunobran à un patient, son PSA (antigène prostatique spécifique) a baissé. Quand je lui ai donné autre chose, son PSA est remonté ». Cette expérience l’a amené à considérer Imunobran plus avec plus de sérieux. Il dit maintenant : « J’ai découvert que dans plusieurs cas c’est le meilleur produit, non seulement pour le cancer de la prostate mais également en cas de tumeurs du poumon. J’ai de bons résultats avec le cancer du sein ». « J’ai vu que Imunobran stimule le système immunitaire plus que tout autre produit. Les gens sentent la différence. Ils se sentent plus forts ». Le Dr. Jurasunas utilise Imunobran avec des produits qu’il a développés, y compris Anoxe, qui contient de nombreux anti-oxydants et des « facteurs alimentaires avec de nombreuses utilisations dans le cancer ». Il attache une grande valeur aux techniques de diagnostic, y compris l’iridologie et la microscopie à contraste de phase à haute résolution. Il est guérisseur et insiste sur l’importance de la détoxification pour réduire les troubles intestinaux, comme étant une condition sine qua non dans la réussite du traitement anti-cancer. DR. ROGER LICHY Par la nature des techniques qu’il utilise – y compris la médiation, la visualisation et la psychothérapie – les résultats du Dr. Roger Lichy sont ouverts au défi pour ceux qui se sentent plus à l’aise avec les données brutes des statistiques. Cependant, les observations anecdotiques du Dr. Lichy et l’utilisation de Imunobran valent la peine d’être enregistrées, malgré le manque de preuve concrète qui conviendrait aux scientifiques. « Je ne mesure pas le succès en terme de vie et de mort » dit-il. « Je mesure le succès en terme de bien-être des patients et d’efficacité de ce qu’ils font pour les aider à gérer leurs symptômes. « Voici ce que je leur dis : Ces outils que je vous enseigne, si vous vivez, amélioreront la qualité de votre vie, et si vous allez mourir, améliorera la qualité de votre mort. Cela vous rendra plus attentif, plus conscient, plus concerné par ce dont vous avez besoin pour vous préparer vousmême. » Ancien généraliste, le Dr. Lichy a contracté une pneumonie par épuisement en travaillant au Service de Santé National et la pneumonie a entraîné une détérioration douloureuse de sa santé. Sa maladie l’a laissé presque infirme et définitivement désabusé par les limites de la médecine orthodoxe. Le Dr. Lichy a quitté son cabinet médical et a changé de style de vie, tout en recouvrant peu à peu la santé. Contacté par un collègue à la retraite, qui fut infirmier en chef à l’hôpital et qui est devenu herboriste, il a commencé à s’intéresser à la médecine complémentaire. Il a suivi une formation d’homéopathe et s’est spécialisé dans d’autres disciplines complémentaires. Par la suite, il est devenu médecin principal au Centre renommé d’Aide contre le Cancer à Bristol, où il est encore l’un des deux médecins principaux. Il admet, comme le font plusieurs docteurs spécialisés en médecine complémentaire, qu’il est souvent le médecin de la dernière chance pour les gens à qui la médecine orthodoxe ne peut plus rien offrir. « La plupart des gens qui viennent me voir entrent dans la phase terminale ou ont d’énormes dépôts cancéreux. Les techniques que je leur enseigne – méditation, visualisation, usage de l’homéopathie – demandent quelques semaines, même un mois ou deux, pour arriver à méditer. Parce que nous ne pouvons pas tout faire en même temps, il peut s’écouler deux, trois, quatre semaines avant que vous arriviez à faire une session de visualisation, qui les aide à entrer en contact avec leurs émotions. « Imunobran est une façon rapide de les aider à renforcer leur système immunitaire. Il y a un plan que nous utilisons. Imaginez l’activité de vos lymphocytes NK au nombre de 100 à la naissance. Après tous les traumatismes de l’enfance, les brimades à l’école et la déception du premier amour, le système immunitaire devient un peu moins fort à chaque traumatisme additionnel – divorce, travail, chômage. « Une fois qu’il est inférieur à 30 pour cent d’efficacité, c’est le moment où nous commençons à développer un cancer. Ainsi l’activité des lymphocytes NK pour une personne atteinte de cancer est 30 pour cent ou moins. Normalement, c’est environ à 60 - 70 pour cent qu’il est efficace. » Inévitablement, la médecine défiera de telles affirmations. Après qu’un groupe de médecins ont été satisfaits de la recherche qui leur a été présentée, Imunobran est désormais reconnu comme un composant légitime des programmes de traitement par les médecins du Centre d’Aide contre le Cancer à Bristol. Comme Imunobran a été introduit relativement récemment, aucune donnée n’a été encore collectée sur son efficacité. Le centre n’est pas une clinique. C’est légalement un organisme d’éducation, ce qui signifie que tous les traitements sont proposés en option et les patients choisissent eux-mêmes le traitement. ETUDES DE CAS DE PATIENT Cancer de la vessie Le Dr. JK avait 49 ans, lorsque les médecins lui ont diagnostiqué un cancer de la vessie à Salzburg, en Autriche en décembre 1993. Docteur en droit, il était à ce moment-là président d’une société multinationale européenne et fumait régulièrement. La tumeur a été détectée à un stade modérément avancé. Elle a commencé à se propager de la vessie, il y avait des signes de la tumeur dans les ganglions lymphatiques et elle était assez agressive. Son espérance de vie ne dépassait alors pas trois à cinq mois. Il pris conseil auprès de son médecin et suivit un traitement complet. Il dit de « tout couper ». Au mois de février suivant, sa prostate et son urètre étaient enlevés et une vessie artificielle placée. Le même mois, il commença une chimiothérapie classique en quatre étapes, qui a continué jusqu’au mois d’août suivant. « La chimio suivante m’a énormément fatiguée. Je n’ai pas accepté la quatrième chimio. J’ai senti que cela me tuerait, mais ne me guérirait pas. Je n’avais plus aucune force. » Il avait entendu parler de Imunobran par sa secrétaire de Tokyo, qui en avait entendu parler par des amis, et a accepté d’essayer. Il était septique en ce qui concerne la médecine complémentaire mais néanmoins il a senti que cela valait la peine d’essayer. A la fin de sa chimiothérapie, il prit trois à quatre cachets de Imunobran par jour. « J’ai complètement changé ma façon de vivre – c’est-à-dire de folles conditions de travail et une vie privée très riche, ce qui à côté de nombreux autres facteurs était à la longue trop lourd à porter pour mon esprit et mon corps. Je peux seulement recommander que toute personne ayant des symptômes similaires devrait changer radicalement sa façon de vivre, pour avoir une chance de vivre. Être si proche de la mort est une bonne occasion de commencer à s’habituer à elle et de ne pas la voir comme un ennemi mais plutôt comme quelqu’un qui doit faire son travail ». Il a fallu plus de trois ans à JK pour recouvrer sa force physique et mentale, et encore trois ans avant qu’il ne sente qu’il pourrait vaincre sa maladie. Il ne sait pas si c’est grâce à Imunobran ou à un traitement orthodoxe, mais près de dix ans après son premier diagnostic, il dit « Le cancer est définitivement parti. D’habitude, on que sans récurrence depuis 5 à 6 ans, on est en phase neutre. Je n’ai jamais dit j’étais en rémission. Je suis toujours en vie et me sens très bien ». Quant aux causes de son cancer, il sent que le stress a joué un rôle important, globalement en ce qui concerne son travail, sa vie sociale et familiale. Il prend encore Imunobran une fois par jour et déclare « Je vis maintenant une vie beaucoup plus riche et pleine de sens ». Cancer du nasopharynx Le Dr. Teiichiro Fukushima*, Directeur, Service obstétrique et gynécologique, Université de médecine et de sciences Charles R. Drew, Los Angeles. * Nous avons fait une exception en révélant l’identité du Dr. Fukushima pour des raisons de transparence et de clarté. En tant que médecin hyperactif à l’hôpital où il a travaillé pendant 20 ans et responsable du service obstétrique et gynécologique, le Dr. Teiichiro Fukushima était concerné par sa propre santé. En croyant d’abord que sa constipation et saignement rectal indiquaient une hémorroïde, il fut alarmé lorsque le saignement devient plus grave. Une biopsie en avril 1999 a révélé qu’il avait un cancer du colon. D’autres tests ont montré que le cancer s’était propagé vers son foie. Envoyé par des collègues à l’Université de Californie du Sud à Los Angeles, il fut planifié par deux équipes de chirurgiens de se relayer en l’opérant. Tout d’abord une partie de son colon fut enlevé, puis pendant qu’il était encore sous anesthésie la seconde équipe se mit à travailler sur son foie. Quand ils l’ouvrirent, ils eurent la surprise de trouver des milliers de petites tumeurs. « Comme il était inutile de couper la moitié et de laisser l’autre moitié avec des milliers de tumeurs, ils ont donc arrêté l’opération », dit le Dr. Fukushima calmement. « La perspective était très médiocre. Le docteur me dit que j’avais entre six mois et un an à vivre ». Il avait alors 57 ans. C’était un cancer très agressif et il savait qu’il était inutile de transplanter un foie ; le cancer s’était probablement propagé au-delà du foie. Cependant, dans un effort pour améliorer la qualité de vie il était resté, quatre semaines après l’opération on lui a conseillé de commencer un traitement de chimiothérapie (5FU) au moyen d’une pompe à perfusion continue. Environ six semaines après la colectomie, le Dr. Fukushima fut de retour au travail à l’Université de Médecine et Science Charles R. Drew, continuant sa vie aussi bien qu’il le pouvait. Il reçut làbas la visite d’un collègue immunologue le Dr. Mamdooh Ghoneum, qui lui conseilla de prendre Imunobran. En juillet 1999, Fukushima commença à prendre 3 g de Imunobran par jour. L’activité des lymphocytes NK du Dr. Fukushima était à une faible efficacité de 15 pour cent, lorsqu’il commença à prendre Imunobran. Trois semaines plus tard, l’activité avait augmenté à 35 pour cent. Tous les deux ou trois mois, il devait passer un CT scanner pour contrôler la progression des lésions. Bien que de minuscules lésions ne pouvaient pas être vues sur un CT scanner, la plus grande mesurant 1,1 cm rétrécissait et un an après n’était plus visible. Mais les CT scanners avaient leurs limites, et un PET scanner plus précis révéla que le cancer était encore présent dans le foie. Il continua la chimiothérapie pendant un mois. Le PET scanner suivant s’est révélé négatif. « Nous savons objectivement que la tumeur a régressé et tout le monde à ce moment-là m’a appelé un « miraculé », car les trois ou quatre personnes qui ont commencé une chimiothérapie en même temps que moi avec des lésions malignes similaires, étaient tous morts en un an ». Est-ce qu’il pense que c’est grâce à la chimiothérapie ? Le gars de la chimiothérapie le croît. Mon pasteur pense que ses prières ont été exhaussées. Quant à moi, je pense que tous ces paramètres m’ont certainement bien aidé. « En tant que scientifique, je pense que les lymphocytes NK sont la seule façon de soigner des tumeurs de l’intérieur. Il y a des rapports de disparitions miraculeuses de grosses tumeurs incurables ; cela peut seulement arriver de l’intérieur, votre organisme prenant soin de la tumeur. Et c’est la mission des lymphocytes NK. Je n’ai aucun doute quant au fait que Imunobran a aidé mes cellules tueuses, et elles ont augmenté et combattu la tumeur pour moi ». Le Dr. Fukushima est resté à une forte dose quotidienne de 3 g de Imunobran pendant trois mois, diminuant ensuite la dose à 2 g par jour. Puis en juin 2002, il a remarqué un ganglion lymphatique enflé du côté droit de son cou. « Il était assez gros pour qu’on le voit de loin ». Une biopsie a confirmé que le ganglion était cancéreux. Après une coloscopie pour vérifier que le cancer du colon d’origine n’était pas revenu, et un scanner du corps entier, aucune autre tumeur n’a pu être détectée. Ils ont finalement trouvé un rare cancer du nasopharynx. C’était une tumeur agressive, la taille d’une olive, derrière le nez. Malgré sa proximité, il n’y avait aucune preuve qu’elle s’était propagée vers le cerveau. D’août 2002 à février 2003, le Dr. Fukushima a enduré une radiothérapie « brutale » cinq jours par semaine et une forte chimiothérapie toutes les trois semaines. Il a perdu 11,36 kg. Pendant ce temps, il a augmenté sa dose quotidienne de Imunobran à 3 grammes par jour. Après une période initiale de radiothérapie et un traitement de chimiothérapie, le ganglion lymphatique du Dr. Fukushima a été contrôlé par son radiologue. Il a dit « Il diminue déjà. Ce ne peut pas être dû aux rayons, car les rayons prennent des semaines pour être efficaces. C’est bon signe. Cela signifie que la tumeur est très sensible à ce que nous donnons ». Le Dr. Fukushima a complété la radiothérapie et chimiothérapie et a passé deux examens importants, qui n’ont révélé aucune présence de tumeur. « Tant de gens demandent « Si ce que vous prenez est si bon, comment avez pu développer un deuxième cancer ? » Je ne sais pas depuis combien de temps je l’avais, il s’est développé lentement. J’avais de la peine à retrouver mon souffle et étais fatigué pendant longtemps ». Comme le déclencheur du cancer reste encore un mystère, il est impossible de savoir quelle différence peut avoir une dose forte de Imunobran prise régulièrement. « Très peu de gens peuvent dire avoir survécu à deux cancers importants – un cancer du colon très avancé et le second, un cancer du nasopharynx complètement différencié, très agressif de niveau trois. Je suis en complète rémission des deux cancers. Je suis parmi les 5 pour cent de gens ayant un cancer de niveau 4, qui ont survécu cinq ans ». Cancer de la gorge En février 2003, les médecins ont diagnostiqué à HK, un tchèque de 47 ans, un carcinome de l’œsophage. Ses symptômes étaient une difficulté à avaler et de la fatigue. Le médecin de HK lui a expliqué la nécessité de commencer immédiatement une chimiothérapie et radiothérapie et relaté certains des effets secondaires, auxquels il pourrait s’attendre à cause de son traitement lourd. « Je savais que je devais aider mon système immunitaire, afin d’avoir les meilleures chances de guérison et j’ai donc demandé des informations à des pharmacies et également regardé sur Internet, afin de trouver des compléments pour m’aider dans cette période de défi. C’est à ce moment là quand j’ai découvert Imunobran, qui semblait très bien. J’ai immédiatement commencé à prendre 1000 mg par jour et j’ai continué à prendre cette quantité pendant tout mon traitement. Je n’ai pas dis à mon médecin que je prenais Imunobran car, en général, les médecins n’apprécient pas le rôle des compléments alimentaires ». (Imunobran était le seul complément alimentaire que HK a ajouté à son régime pendant cette période.) Bien que HK a suivi un traitement lourd de chimiothérapie et radiothérapie, en tant que patient en consultation externe, il n’a souffert d’aucune perte de poids, d’aucune douleur ni d’aucune diminution d’énergie. Cela est inhabituel. Son humeur pendant cette période est restée optimiste et même s’il avait des problèmes pour avaler, son appétit est resté bon. « Je pouvais endurer un traitement radical – un traitement quotidien de chimiothérapie avec chimiothérapie et radiothérapie à haute dose pendant le week-end – et continuer à conduire tout seul jusqu’à l’hôpital et travailler après. Je n’ai pas senti de difficultés et j’étais en assez bon état physique. » Pendant son traitement, HK a essayé de maintenir son niveau de stress bas, quelque chose qui relevait du défi en raison de sa décision de ne pas arrêter le travail. « Je me suis détendu plus souvent qu’autrefois », admit-il. « Mon état mental était très important pour moi, mais je n’avais aucun effet secondaire, je me sentais en très bonne forme. J’ai essayé de manger plus sainement et j’ai arrêté de boire de l’alcool. » HK a terminé son traitement de chimiothérapie de cinq mois en juillet 2003. Après cela, il a subi une intervention chirurgicale, pour enlever ce qui restait de la tumeur, et aujourd’hui il est en bonne santé mais continue à prendre 500 mg de Imunobran par jour, afin de garder son système immunitaire fort. « Je ne sais pas exactement comment Imunobran m’a aidé mais pendant le traitement je me sentais très bien et je suis toujours en vie. J’ai été surpris de l’efficacité de ce complément et je crois que la combinaison du traitement traditionnel et le complément Imunobran m’a vraiment aidé à lutter contre le cancer et à garder ma qualité de vie ». Cancer de l’estomac Lorsque les médecins d’Hokkaido, au Japon, ont ouvert l’estomac d’une femme âgée de 53 ans, pour enlever des tumeurs de son estomac, ils ont décidé d’abandonner la chirurgie et l’ont refermé. Les tumeurs étaient si généralisées, qu’il n’y avait rien qu’ils ne pouvaient faire. On n’a donné à la femme que trois mois à vivre et elle fut renvoyée chez elle pour y mourir. Sa famille a refusé l’offre de chimiothérapie, en croyant que cela ne servirait à rien. Elle avait souffert de douleurs à l’estomac pendant une année, avant que le diagnostic ne fut prononcé en mars 1996. Bien qu’elle puisse très bien avoir suspecté ce qui n’allait pas, la famille ne lui a jamais dit qu’elle avait un cancer. Sa fille a observé le déclin. Ce fut à ce moment-là que la fille a entendu parler de Imunobran. Sa mère a commencé à prendre 3 g par jour. «Elle n’avait pas un gros appétit, mais en une semaine sa santé a commencé à s’améliorer. Son appétit a commencé à revenir et dans les bons jours, elle était capable de faire le tour de la maison », dit sa fille. Six mois plus tard, après des visites régulières à l’hôpital et des séances périodes de rayons, la fille fut appelée à l’hôpital, en vue de donner son accord pour une autre opération. « Le docteur m’a montré deux radios, une prise au moment de son premier examen et l’autre lors d’une récente visite. C’était un remarquable changement et la plupart des taches était partie. » En septembre 1996, la femme a subi une autre opération, au cours de laquelle les tumeurs restantes dans son estomac ont été enlevées. « Les docteurs ont été stupéfaits de trouver la plupart des tumeurs partie. Son médecin m’a dit que c’était la première fois qu’il voyait un tel cas. « Nous pensons que c’était un vrai miracle. Ma mère est maintenant heureuse de vivre une vie normale et saine. » *** Une japonaise de 62 ans a refusé tout traitement après que des tumeurs bénignes ont été trouvées dans son estomac en mars 1997. En janvier 1999, elle a vomi du sang et fut immédiatement hospitalisée. Elle a refusé la chirurgie recommandée pour enlever la tumeur devenue maligne. Un examen deux mois plus tard a révélé que la tumeur était maintenant agressive. La patiente a de nouveau refusé la thérapie traditionnelle et elle est allée dans une clinique holistique, où elle prit une dose quotidienne de 4 g de Imunobran comme partie d’un régime qui incluait un jeûne partiel et un complément d’enzyme végétal destiné à améliorer l’état de son sang. Deux semaines après avoir commencé Imunobran, elle a signalé que la douleur avait diminué et que son appétit s’était amélioré. Un mois plus tard, elle avait pris 4 kg. Au même moment, un examen n’a révélé aucun signe de tumeurs malignes. Deux mois plus tard, en juillet 1999, les tumeurs dans l’estomac ont été examinées et se sont révélées bénignes. Carcinome gastrique A part son diabète décelé au début de ses cinquante ans, SN avait une bonne santé. Mais en 2001 et au premier semestre 2002, il a commencé à se sentir mal. En mai 2002, il a d’abord remarqué des selles avec sang mais a refusé d’admettre la possibilité que quelque chose n’allait pas. Il cacha ses symptômes à sa famille et à son médecin. En voyage d’affaires à Singapour, il se rendit à l’hôpital universitaire national et s’est plaint de problèmes d’estomac. Il souffrait constamment de nausées, de vomissements, de diarrhées occasionnelles et de selles avec sang. En août 2002, à l’âge de 57 ans, on lui a diagnostiqué un carcinome gastrique – une tumeur ulcéreuse de taille moyenne dans l’œsophage. Il suivit un traitement de chimiothérapie pendant trois mois, mais le traitement ne réussit pas et sa condition se dégrada. De retour à Ras Al Khaimah, aux Émirats Arabes Unis, il vit une publicité pour Imunobran, commercialisé localement sous Lentin-Plus. Il s’était toujours intéressé à la médecine complémentaire et consommait régulièrement de la gelée royale, de l’extrait de feuilles d’orge et autres préparations à base de plantes. Il commença à prendre 3 g de Imunobran par jour en décembre 2002. Au même moment sous les soins du Dr. Rafe’h Bechir, il modifia son alimentation. Il arrêta de manger de la viande et des produits laitiers, et consomma des légumes bouillis et des fruits frais de saison ainsi que des salades et but beaucoup d’eau. Il diminua également son niveau de stress. Un mois après avoir pris Imunobran, il dit que ses problèmes diminuaient. Il a eu un soulagement quant à ses problèmes de diarrhée, de vomissements et d’anémie. Il fut soulagé au niveau des brûlures d’estomac et de l’acidité et le sang dans ses selles avait disparu. Son appétit est redevenu normal, comme sa digestion s’améliorait. Il a aussi trouvé que sa chute de cheveux à cause de la chimiothérapie disparaissait progressivement et les taux de globules blancs et d’hémoglobine s’amélioraient. Bien qu’il a hésité à prendre Imunobran au début, après un mois il devenait confiant et pensait que cela pourrait aller mieux. Il pense que Imunobran est « 100 pour cent » responsable de sa guérison. Leucémie Après avoir vécu une longue vie active en bonne santé et sans maladie importante, EC âgée de 72 ans, s’est entendu dire par un oncologue qu’elle pouvait s’attendre à ne pas vivre plus d’un an. En juillet 2001, elle était allée chez son médecin en se plaignant d’ulcères de la bouche qui refusaient de s’en aller. EC, qui a vécu toute sa vie dans un village près de Pontefract, West Yorshire, dans le nord de l’Angleterre, a été envoyée à l’hôpital général de Pontefract. Cela prit jusqu’en novembre de cette année-là pour diagnostiquer une leucémie myéloïde aigue. « L’oncologue lui a dit qu’elle ne verra pas Noël 2001 », explique sa fille, JT. « On lui a dit de commencer immédiatement un traitement de chimiothérapie et de s’attendre à être malade et hospitalisée pendant deux mois. Même avec la chimiothérapie, elle ne devait pas s’attendre à vivre très longtemps. Lorsqu’ils lui ont dit cela, elle s’était résignée à mourir et a dit « Dix ou douze mois, c’est juste assez de temps pour mettre ma maison en ordre ». Enthousiasmée par ce qu’elle a vu comme l’intensivité du système, le pronostic médiocre et inquiète de la résignation de sa mère, JT entreprit de trouver des traitements alternatifs. Elle fit quatre ou cinq jours de recherche intensive sur Internet et a visité le Centre d’Aide contre le Cancer de Bristol, avant que sa mère n’aille à Somerset. « Au moment où elle y est allé, j’étais convaincue que la chimiothérapie n’était pas le meilleure solution. Car ses tests sanguins étaient si mauvais, la chimiothérapie aurait complètement détruit son système immunitaire et elle serait probablement morte d’une pneumonie et jamais sortie de l’hôpital ». JT a imaginé son propre programme de régime détox intensif, qui comprenait la suppression des produits laitiers et de la viande, la consommation de légumes et de fruits bio, plus des minéraux et des compléments. « L’idée était que moins son système immunitaire avait à faire aux toxines, plus il pourrait cibler ce qui n’allait pas chez elle ». Pendant plus de 18 mois à deux ans, le programme de régime détox intensif a très bien marché, et les relevés d’EC stabilisés. Son oncologue a été très surpris et lui a dit de continuer à faire ce qu’elle faisait. Les check-up ont d’abord été effectués toutes les trois semaines puis seulement tous les deux mois. A partir de novembre 2002, le taux de globules blancs a commencé à baisser peu à peu et la chute a continué pendant le mois de janvier 2003. JT a lu sur Internet que Imunobran pouvait aider les malades atteints de leucémie et sa mère a commencé à le prendre en février 2003. Six à huit semaines après avoir pris une dose de 3g, les relevés d’EC se sont inversés et ont remonté. « J’ai choisi Imunobran parmi d’autres produits car il semblait y avoir une recherche de bonne qualité derrière », déclare JT. « Le taux de globules blancs (cellules CD4) a commencé à remonter ainsi que ses plaquettes. L’hémoglobine s’est modifiée ; il y avait toujours des hauts et bas. Le taux de globules blancs était celui qui m’a le plus embêté. Si on peut arriver à ce que le taux de globules blancs augmente, alors les cellules cancéreuses ne gagnent pas du terrain. C’est la chose sur laquelle je me suis concentrée. « Nous avons réalisé que cela commençait à avoir un effet et nous avons gardé ce choix. Les médecins disaient de nouveau qu’ils n’auraient pas besoin de la voir pendant six semaines, au lieu de toutes les trois semaines. « Je pense que si nous n’avions pas trouvé quelque chose que nous savions qui ciblerait en réalité un élément spécifique du cancer et boosterait les lymphocytes NK, alors je pense que probablement oui, elle aurait pu continuer à décliner. En février, lorsque nous avons commencé Imunobran et que ses relevés ont remonté, elle fut à nouveau forte mentalement. » Lymphome folliculaire non hodgkinien JL est une femme de 39 ans, qui vit à Rijeka, en Croatie. En mars 2005, elle a été diagnostiquée d’un lymphome folliculaire non hodgkinien de niveau IIIA et a commencé un traitement de chimiothérapie le mois suivant, comme patiente en consultation externe. Avant de démarrer sa chimiothérapie, JL a considéré deux façons d’aider son système immunitaire et a découvert Imunobran, qu’elle a immédiatement commencé à prendre en « dose d’attaque » de 3 g par jour pendant les deux premiers mois de son traitement. Elle a également modifié son alimentation et opté pour un régime macrobiotique. Le résultat de sa méthode complémentaire était que, pendant la chimiothérapie, elle a pu garder une bonne qualité de vie et un meilleur niveau d’énergie. Bien que le médecin a décrit les effets secondaires de la chimiothérapie, JL a été agréablement surprise de constater qu’elle souffrait moins que prévu. Ce n’est pas pour dire que la chimiothérapie n’était pas difficile, mais le régime et Imunobran l’ont aidé à l’endurer. « Mon médecin était heureux, car, de cette manière, j’étais capable de continuer la chimiothérapie ». JL continue ses traitements de chimiothérapie et a désormais réduit son dosage de Imunobran de 3 g par jour à une dose d’entretien de 1 g par jour. Elle croit fortement que Imunobran, avec un régime macrobiotique, l’aide à endurer tout autre traitement de chimiothérapie et à récupérer plus vite entre les visites à l’hôpital. Carcinome ovarien En février 1993, il a été diagnostiqué à une femme âgée de 53 ans un cancer agressif des deux ovaires. La chirurgie fut suivie d’une chimiothérapie. Au même moment, elle commença à prendre 3 g de Imunobran par jour. Son état a commencé à se normaliser et l’activité des lymphocytes NK s’est améliorée considérablement juste trois semaines après avoir commencé le traitement de chimiothérapie et Imunobran. Les chiffres ont continué à s’améliorer et à quatre mois et demi, l’activité des lymphocytes NK était de 72,6 pour cent, plus élevée que la normale. *** JF est une bibliothécaire tchèque de 43 ans, à qui on a diagnostiqué un cancer des ovaires en mars 2005, après avoir trouvé une grosseur dans son aine. Malheureusement, la tumeur était à un stade très avancé et le pronostic était très mauvais. Un mois après le diagnostic, JF a été hospitalisée pour être opérée, afin d’enlever la tumeur, puis elle fut traitée par chimiothérapie comme patiente en consultation externe. Juste après la chirurgie et avant de commencer la chimiothérapie, JF a commencé à prendre 1000 g de Imunobran par jour. Un ami lui avait recommandé le régime. JF n’a pris aucun autre complément alimentaire pendant cette période mais a essayé de se concentrer sur un régime sain. Après l’opération, elle n’avait pas beaucoup de douleurs et un plus gros appétit que les autres malades qui étaient confrontés à une épreuve semblable sans avoir le bénéfice du soutien du système immunitaire. « Imunobran m’a aidé à gérer la pire période de ma vie, » déclare JF. Pendant son traitement de chimiothérapie, un traitement au cours duquel la plupart des patients se sentent extrêmement mal, elle s’est sentie dans une remarquable forme physique et émotionnelle. Une exception était l’impact émotionnel de la chute de ses cheveux et une perte de poids de 8 kg, qui était moins que beaucoup d’autres ». Lorsque j’ai commencé à prendre Imunobran, je me suis sentie très positive quant à ma guérison. Imunobran est super pour le psychisme ! » Bien que JF a informé son médecin qu’elle prenait Imunobran, il n’a fait aucun commentaire sur sa décision – c’est un médecin traditionnel qui ne croit pas aux traitements complémentaires. Mais il a bien remarqué que ses marqueurs tumoraux avaient chuté, passant de 1980 au début du traitement à 78 seulement au milieu du traitement (le traitement est en cours, donc aucun niveau de marqueur de fin de traitement n’est disponible). JF continue à prendre 1000 mg de Imunobran par jour, pour s’assurer de continuer sa guérison. « Je suis convaincue que, grâce à Imunobran, je me sens très bien tout le temps et peut mieux faire face à ma maladie. Je suis encore sous traitement, donc mon combat continue, mais grâce à ce complément alimentaire je me sens beaucoup mieux. Bien que ce cancer m’est tombé dessus de manière complètement inattendue comme un éclair, j’affronte ce défi. Bien qu’ayant dû arrêter de travailler pendant six mois, je souhaite désormais reprendre mon travail dès que possible. » Cancer du colon avec métastase au foie La propagation du cancer du colon malgré trois opérations et une chimiothérapie pendant deux ans a conduit un médecin à dire à son patient qu’il ne pourrait plus rien faire. Le patient, alors âgé de 67 ans, a d’abord subi une opération en janvier 1996 à l’hôpital dans la région de Shizuoka au Japon. Malgré la chimiothérapie, tout indiquait que le cancer se propageait et en novembre 1996 on a trouvé des tumeurs dans le foie. En avril 1997, il fut opéré pour enlever une tumeur au foie. En février de l’année suivante, une autre tumeur dans le lobe droit du foie a été enlevée. A ce moment-là, on informa le patient que l’opération n’était plus une option viable. En janvier 1999, le patient subit une chimiothérapie par injection. Une réaction négative au traitement a cloué le patient au lit. Le mois suivant, il est allé dans une clinique holistique, où il a suivi un jeûne partiel. La clinique a maintenu que le jeûne était un bon moyen de régulariser les fonctions intestinales. Le patient prit alors une dose inhabituellement élevée de 5 g par jour de Imunobran pendant cinq jours, puis deux jours sans Imunobran, puis à nouveau la dose forte. En avril 1999, la tumeur présente dans le lobe droit du foie avait diminué. Le mois suivant, les marqueurs tumoraux étaient normaux. Le patient est rapidement devenu plus fort et avait une bonne santé. Il a continué à prendre Imunobran. Cancer du colon Malgré des tumeurs bénignes dans son colon et un avertissement que certaines des plus grosses pourraient devenir malignes, un homme de 58 ans a refusé le traitement à l’hôpital dans la région de l’Okayama, lors d’une première visite en mars 1997. Deux ans plus tard, en mars 1999, les tumeurs étaient devenues malignes et agressives. L’homme refusait d’être opéré et il est alors allé dans une clinique holistique le mois suivant. Il a suivi un jeûne partiel, a reçu des enzymes végétales, afin d’améliorer son taux sanguin et a pris 4 g de Imunobran par jour, en vue de booster son système immunitaire. Deux mois plus tard, en juillet 1999, un examen révéla que les tumeurs étaient revenues bénignes. Cela a prouvé qu’il avait eu raison de refuser l’opération et a toujours gardé une grande qualité de vie. Cancer de la peau (mélanome) En ayant vécu une vie saine à Split, en Croatie, IP a mis en avant le stress important qu’elle a vécu, lorsqu’elle est devenue mère pour la première fois en mars 1999 et ses conséquences, comme étant le déclencheur probable de son cancer. A la naissance, sa fille n’a pas eu assez d’oxygène et IP a elle-même subi une infection de l’utérus et a eu des hémorroïdes. Le pronostic pour la fille n’était pas bon. Les médecins ont dit qu’elle aurait un handicap physique et mental. Toutefois, après deux ans de traitement intensif, l’état de la fille s’est considérablement amélioré ; elle n’est plus sous médicament et vit une vie normale. A six mois de sa deuxième grossesse, en mai 2001, à l’âge de 31 ans, en subissant un check-up à l’hôpital, un grain de beauté sur le dos de IP a commencé à saigner. Il a été envoyé pour une biopsie et on a trouvé qu’il avait un mélanome agressif (stade IV, niveau V). Elle n’a eu d’autre choix que d’être immédiatement opérée malgré son souhait que l’intervention soit repoussée après la naissance. Une tumeur a été enlevée de son dos et elle a été hospitalisée jusqu’à la fin de la grossesse. Trois mois après la naissance, une rechute du cancer a fait vivre à IP d’atroces souffrances. Elle est retournée à l’hôpital, où une tumeur a été enlevée sous son bras gauche, puis a suivi un traitement de six fois de chimiothérapie (DTIC). « Ce fut extrêmement difficile pour moi d’être en chimiothérapie. Cela a énormément affecté mon organisme et mon esprit, je me sentais constamment malade et mal en point ». Après un dernier traitement de chimiothérapie en août 2002, IP est allée voir un oncologue dans une clinique privée de Londres. « On m’a dit qu’à cause de la nature de ma maladie, je n’avais pas beaucoup de chance de guérir. D’après les statistiques, seulement 30 pour cent des gens arrivent à guérir et survivent cinq ans après que la maladie se soit déclarée. « Ce fut le moment où j’ai été complètement paniquée et sentit que la peur m’envahissait. Jusque-là, je n’étais pas consciente du danger que je courrais ». En octobre 2002, elle a eu une autre rechute, cette fois sous le bras droit et à nouveau la tumeur a été enlevée. Les médecins ont suggéré un autre traitement de chimiothérapie, que IP a refusé. « J’ai senti que le traitement initial de chimiothérapie n’avait pas aidé et je ne pouvais pas à nouveau affronter les mêmes tourments physiques et psychologiques ». A ce moment-là, IP a commencé à chercher des traitements alternatifs. Elle a contacté un herboriste dans la Bosnie voisine et ce dernier lui a donné des informations sur Imunobran. « J’ai commencé à prendre Imunobran et une association de plantes. Après 45 jours, j’ai passé une biopsie. L’échantillon de tissus était négatif. Les médecins ont été choqués en disant qu’ils n’avaient pas été le témoin de quelque chose de semblable au cours des 20 années de pratique médicale. J’ai continué à prendre Imunobran et les plantes pendant un an ». IP dit qu’elle ne sait pas quelle est la part de sa guérison qui peut être attribuée à Imunobran, mais remarque qu’en prenant Imunobran elle était moins fatiguée et que son humeur était meilleure. « Il y a eu une période où j’ai manqué de Imunobran et j’ai remarqué que tous les mauvais symptômes revenaient. Cela m’a convaincu que Imunobran était très efficace ». En prenant Imunobran, elle a changé ses habitudes alimentaires. « Je mange des aliments naturels et sains, seulement de la viande blanche, du poisson, des légumes, des fruits, des céréales et des légumes secs. Je ne mange pas d’aliments frits ou rôtis, aucune conserve, pas d’aliments tous préparés ni de produits laitiers. En plus de Imunobran, je prends des infusions de plantes, de la vitamine C et E, du bêta-carotène et j’ai recours aux traitements d’énergie. » En vue de réduire le stress, elle a essayé de garder une pensée positive et a trouvé foi en Dieu. Elle a eu la chance d’avoir également un puissant réseau de soutien de la part d’amis et de la famille. « Ils ont travaillé dur pour trouver de l’argent pour payer mes médicaments. Sans leur aide, je n’aurais jamais guéri ». Un an et demi après sa dernière opération, les médecins ont trouvé une grosseur dans son cou, mais une biopsie en février 2004 a révélé qu’elle était bénigne. « J’espère que ni moi ni personne d’autre n’aura de nouveau à vivre ce qui m’est arrivé. Ce n’était pas seulement difficile ; à ce moment-là ça me semblait irréel. J’attends avec impatience un avenir plus prometteur ». *** En janvier 2001, SM, un homme d’affaires de 42 ans, a remarqué une maladie de la peau sur un doigt de sa main droite. La maladie fut vite diagnostiquée comme étant mélanome et traitée par chimiothérapie. En retournant à l’hôpital à Coimbra, Portugal, en février 2002, on lui a dit que le cancer s’était propagé vers le poumon et le foie et qu’il ne pouvait espérer vivre que quatre mois. Il a eu un autre traitement de chimiothérapie mais est allé aussi voir le Professeur Jurasunas, qui lui a prescrit Imunobran et d’autres substances et qui lui a conseillé de changer d’alimentation. « J’ai mis le cancer sur le compte de nombreuses expositions au soleil et une vie active stressante », déclare SM. « Après avoir vu le Professeur Jurasunas, j’ai modifié mon style de vie et obéi à tout ce qu’il m’a prescrit, prenant Imunobran avec mes médicaments. Environ deux mois après ma première visite chez le Professeur Jurasunas, des signes prouvaient que j’allais mieux. » Les effets secondaires de la chimiothérapie diminuaient. Il a terminé le traitement de chimiothérapie en juillet 2002. « Mon médecin ne voulait pas croire ce qu’il voyait, mais la vérité était que chaque chose était en ordre. Je pensais que j’étais dans un rêve. Je suis très heureux et me sens renaître. » En novembre 2002, SM apprit qu’il n’avait plus de cancer au foie et que les nodules dans son poumon étaient nettement réduits. En mars 2003, on lui a dit que son cancer était totalement parti. Cancer de la prostate Lorsqu’on a diagnostiqué que JR, un chauffeur de camion de 63 ans, avait un cancer de la prostate, on lui a conseillé que l’opération était le meilleur traitement. Malheureusement, à cause de retards dans le service de santé au Portugal il devrait attendre pour être opéré. Pendant ce temps, il a été mis sous analgésiques afin de soulager ses douleurs. Une opération a été planifiée en janvier 2002, cinq mois après le diagnostic initial. En arrivant à l’hôpital, on lui a dit qu’aucune opération n’aurait lieu car le cancer s’était généralisé et qu’il n’y avait rien que les médecins ne puissent faire. Le mois suivant, il est allé voir un oncologue, qui lui a dit qu’il pouvait s’attendre à vivre entre six à douze mois. Dès lors, il était incapable de marcher tout seul. Le 1er avril 2002, JR a eu son premier rendez-vous avec le Professeur Jurasunas à Lisbonne. JR a pris 3 g de Imunobran par jour avec d’autres substances et on lui a dit de changer son alimentation traditionnelle portugaise riche en graisses pour une association plus saine de poissons et de légumes frais. Un mois après avoir commencé son traitement avec le Professeur Jurasunas, JR s’est senti mieux et a commencer à prendre du poids. Un test sanguin pour la prostate a révélé une amélioration. En avril 2003, les tests sanguins ont révélé que sa prostate était normale et qu’il n’y avait aucun signe de tumeur dans son organisme. JR déclare sans équivoque : « Imunobran m’a sauvé la vie ». Il est maintenant en retraite et dit apprécier de nouveau la vie. *** Un ancien capitaine de la marine marchande, AK a eu une bonne santé toute sa vie, une condition essentielle pour un travail difficile. Puis il a pris un travail de bureau moins physique et s’est basé à Londres, d’où il gère un organisme commercial représentant des compagnies japonaises de navigation. En juillet 2001, à l’âge de 62 ans, il est allé faire un contrôle de santé annuel et on lui a dit que son taux de PSA (antigène prostatique spécifique) indiquait la présence d’un cancer de la prostate et dans d’autres tests le cancer fut confirmé et révélé être moyennement agressif. Il fut d’accord pour être opéré et en septembre 2001 il a subi une prostatectomie. Une biopsie consécutive a détecté un cancer et en octobre il a suivi un traitement de six semaines de radiothérapie. Précédemment, alors qu’il était à l’hôpital en récupérant de l’opération, un ami lui a envoyé Imunobran, mais AK ne l’a pas pris. Cependant, lorsqu’on lui a dit qu’il avait besoin d’un autre traitement, il a commencé à prendre une dose quotidienne de 3 g de Imunobran en croyant que cela pourrait aider avec le cancer et être efficace en permettant de soulager les effets secondaires de la radiothérapie. « Je crois que c’était grâce à Imunobran que j’ai eu des effets secondaire minimes de la radiothérapie, ce que j’ai compris est assez inhabituel. Depuis, je prends 2 g de Imunobran par jour. » Le premier test sanguin suivant la fin de ce traitement de radiothérapie et après avoir pris Imunobran régulièrement, a montré que son taux de PSA était presque à zéro, sans cellule cancéreuse détectable. Par la suite il a fait des check-up réguliers tous les trois mois, mais l’intervalle est bientôt passé à tous les quatre mois puis à six mois. « Mon médecin a dit qu’il était inattendu que tout allait si bien. J’ai toujours été une personne en bonne santé et en bonne forme. Vous devez l’être en travaillant à bord de bateaux. Sinon ce serait très difficile. « Je ne sais pas si Imunobran m’a sauvé la vie ou non, mais j’ai décidé de le prendre aussi longtemps que je vivrais. Je crois également que grâce à Imunobran pendant les deux derniers hivers je n’ai attrapé aucun rhume, ce qui est inhabituel. Je suis donc très content ». *** Imunobran en association avec la chimiothérapie pendant une longue période a aidé un japonais, à qui on avait diagnostiqué un cancer de la prostate à l’âge de 78 ans, à retrouver une vie normale. Après lui avoir dit qu’il avait un cancer de la prostate en septembre 1994 et que la tumeur s’était propagée vers sa colonne vertébrale, l’homme a été opéré le mois suivant. Plus d’un an plus tard, en décembre 1995, il a commencé à prendre une dose quotidienne de 2 g de Imunobran avec une chimiothérapie continue. La chimiothérapie a été arrêtée pendant un moment pour cause d’anémie, mais l’homme a pensé que continuer à prendre Imunobran l’a aidé à surmonter l’anémie et lui a permis de reprendre la chimiothérapie. En juin 1996, on a trouvé que la tumeur dans la partie inférieure de sa colonne vertébrale avait rétréci de moitié et en décembre 1996, toutes ses tumeurs avaient disparu. *** Deux types de traitement de chimiothérapie n’ont pas eu d’impact sur américain de 68 ans à qui on avait diagnostiqué un cancer de la prostate agressif en juillet 1995. En janvier 1996, il a commencé à prendre 3 g de Imunobran par jour. Au mois d’avril suivant, il a été opéré pour exciser la tumeur. En novembre, les fonctions corporelles sont revenues à la normale. L’activité de ses lymphocytes NK était élevée, son taux de PSA était revenu à la normale et on a jugé qu’il était en rémission complète. *** Un homme de 56 ans, à qui on avait diagnostiqué un cancer de la prostate agressif qui s’était propagé vers ses ganglions lymphatiques, a été placé sous traitement hormonal à l’hôpital dans la région de Shizuoka du Japon, en novembre 1998. Le traitement a eu un impact sur la taille et le nombre de tumeurs, mais elles sont restées grandes et nombreuses lorsqu’il est sorti de l’hôpital en janvier 1999. Le patient a continué le traitement mais était incapable de faire d’autres progrès. Sentant que le traitement hormonal pouvait avoir des limites, l’homme est allé, en avril 1999, dans une clinique de médecine alternative, qui proposait Imunobran dans le cadre d’un traitement qui comprenait un jeûne partiel. Il a pris 5 g de Imunobran par jour pendant cinq jours avec une interruption de deux jours, en continuant ce roulement pendant deux mois. Deux semaines après avoir commencé Imunobran, son inconfort abdominal a disparu. Au même moment, son niveau de PSA a considérablement diminué et en juin 1999 était normal. Rien d’anormal n’a été trouvé dans les ganglions lymphatiques. Le traitement hormonal semblait avoir réussi en supprimant complètement le développement de la tumeur. Imunobran semble avoir aidé à augmenter les effets du traitement hormonal et à éliminer la tumeur. Cancer du sein Lorsque JB a été diagnostiquée pour la première fois d’un cancer à l’âge de 45 ans, en janvier 1998, elle s’est promise de vivre pour danser aux mariages de ses deux filles. En juillet 2003, quand sa première fille s’est mariée, la première partie de ce rêve est devenu réalité. JB était une personne en bonne santé qui avait recours à la médecine alternative, lorsqu’elle attrapait froid. En tant que distributrice d’une société de produits à base de plantes, basée près de la Forêt Noire dans le sud de l’Allemagne, elle prenait régulièrement des compléments pour rester en bonne santé. En 1997, elle avait commencé à sentir un nodule dans sa poitrine mais l’a ignoré. En décembre de cette année-là, elle était si épuisée qu’elle avait pris rendez-vous pour faire un check-up. Une mammographie un mois plus tard a révélé un cancer du sein moyennement agressif. Cela aurait pu être une coïncidence, mais elle croit que la douloureuse expérience d’avoir sa poitrine écrasée pour la mammographie pouvait être à l’origine de son problème. Elle fut d’accord pour qu’on enlève la grosseur de son sein, bien que parce que trop étendue elle ne fut pas complètement enlevée. Malgré une forte pression, elle refusa un suivi de chimiothérapie et de radiothérapie et sortit de l’hôpital trois jours plus tard. Un ami a enlevé ses points de suture. Bien qu’encore effrayée, elle était dans un état d’esprit stable. En cherchant un traitement alternatif, elle a décidé de changer d’alimentation, en adoptant le régime à base d’huile de graines de lin développé par le Dr. Johanna Budwig. Elle a arrêté de travailler, a appris la relaxation musculaire progressive (PMR) et a pris des antioxydants et des infusions à base de vitamine C. A la fin de l’année 1998, elle a fait un jeûne de six semaines selon le programme élaboré par le brillant guérisseur Rudolf Breuss. En mai 1998, elle est allée en convalescence dans la clinique alternative de biologie des tumeurs de Freiburg. Bien que c’était seulement pour un conseil psychologique et une alimentation naturelle, on lui a demandé d’être d’accord pour suivre une chimiothérapie, ou au moins une radiothérapie, mais elle a refusé les deux traitements. En octobre 2000, elle a subi une seconde opération pour enlever plus de tumeurs de son sein. Avec son activité de lymphocytes NK à seulement 5 pour cent, elle a fait elle-même une réservation à la clinique Veramed près de Munich, où elle a pris des infusions à base de vitamine C et un traitement par hyperthermie. Ce traitement implique de s’allonger sous une structure semblable à une tente, tandis que le corps est chauffé à 41 degrés Celsius (105,8 Fahrenheit) pendant qu’elle était sous anesthésie. Le traitement n’a pas marché et elle a quitté la clinique avec le même taux de 5 pour cent d’activité de lymphocytes NK. Elle a d’abord entendu parler de Imunobran, lorsqu’elle était en vacances en Floride en mai 2001. Toujours ouverte d’esprit et voulant tout essayer malgré sa fatigue, elle a commandé Imunobran car les informations disaient qu’il pouvait augmenter l’activité des lymphocytes NK. Quelques semaines plus tard, le 2 juin 2001, elle a commencé à prendre 3 g de Imunobran par jour. Elle faisait toujours attention à son alimentation. Elle suivait le régime Budwig, qu’elle continue aujourd’hui et prend des compléments, qui - pense t-elle- l’ont aidé à empêcher la propagation du cancer. Quatre jours après la première prise de Imunobran, elle a réalisé qu’elle avait de la force et son sentiment d’épuisement avait disparu. De retour en Allemagne, elle a passé un autre test sur l’activité des lymphocytes NK, le 25 juin et le résultat était alors de 28 pour cent. Le 14 juillet, il était à 38 pour cent. « Pour la première fois j’avais le sentiment qu’il y avait une chance que je survive », déclare JB. « Imunobran m’a donné plus de force et m’a aidé à être plus détendue de ne pas avoir de chimiothérapie ». En automne 2002, on lui a dit qu’il y avait probablement trois tumeurs de plus dans son sein. Elle prévoit d’avoir une autre opération du sein, mais pas avant d’avoir réglé le problème des plombages au mercure de ses dents, qu’elle croit être une des causes de son cancer. En 1993, 14 plombages en amalgames contenant du mercure, qui dataient de 20 ans, ont été enlevés. Elle croit que le travail a été mal effectué et que les résidus du mercure ont été laissés dans son système. Elle essaie d’éliminer le mercure à l’aide d’un kinésiologue. Elle croit que le stress était un autre facteur important dans le développement de son cancer. On a diagnostiqué à sa fille du diabète à l’âge de quatre ans et en raison de l’instabilité du taux de sucre dans le sang pendant son enfance, la famille s’est fait du souci pendant des années. Il peut y avoir une prédisposition génétique au cancer de JB. Deux demi-sœurs ont été également atteintes de cancer. Une demi-sœur, une fille par son père, a guéri d’un cancer de l’utérus. Elle a été opérée pour enlever la tumeur, a refusé la radiothérapie et a changé d’alimentation. Une autre demi-sœur, une fille par sa mère, a été diagnostiquée d’un cancer du sein, mais les médecins lui ont dit que la tumeur était bénigne et qu’elle n’aurait pas à s’inquiéter. Néanmoins, le cancer s’est propagé et elle a eu une hystérectomie en 1991 et un morceau de poumon a été enlevé en 1995. Elle a eu une chimiothérapie intensive et a refusé de prendre en compte les options alternatives. Elle est décédée en novembre 2002. *** DS, qui avait sa propre affaire de fabrique de jouets de foire, avait pris tôt sa retraite et aimait travailler dans son jardin. Presque quatre ans après qu’on lui a diagnostiqué un cancer, ayant une grosseur enlevée de son sein et sous chimiothérapie, DS a cru que son cancer était revenu. Son chirurgien a fait un examen et lui a dit que ce n’était rien de méchant. Mais la douleur a persisté et quatre mois plus tard, en septembre 2002, elle avait si mal qu’elle téléphona pour prendre un autre rendez-vous. A cette époque, son sein avait grossi et elle disait qu’elle sentait comme si elle portait un « sac à main dur » sous son bras. Cette fois le chirurgien a dit qu’il ferait une biopsie « et verrait ce qui se passent avec ces cellules ». Une semaine plus tard, on a diagnostiqué à DS, alors âgée de 57 ans, un cancer pour la deuxième fois. Elle a eu un scanner du foie et on lui a dit que le cancer s’était propagé. Tout d’abord, DS n’a pas réalisé la gravité du diagnostic. Quand on lui a dit qu’elle en avait « seulement des mois », elle a cru que le médecin faisait référence à la durée qu’elle aurait à attendre pour être opérée, et non au temps qu’il lui restait à vivre. En état de choc, elle prit rendez-vous pour voir son chirurgien initial à Dumfries and Galloway Infirmary, en Écosse. On lui a conseillé qu’une opération n’était plus adaptée et de suivre un traitement « fort » de chimiothérapie. « Je ne pouvais pas dormir à cause du gonflement. J’avais une douleur terrible. » Elle a commencé le traitement de chimiothérapie mi-décembre 2002. C’était encore pendant le traitement qu’elle a entendu parlé de Imunobran et le 15 janvier 2003 – la date est gravée dans sa mémoire – elle a commencé à prendre 3 g de Imunobran par jour. En trois jours, elle dit : « j’ai me suis sentie différente. J’avais une bien meilleure énergie et j’ai commencé à me sentir à nouveau comme une personne normale ». Une semaine après la première prise de Imunobran, le gonflement dans sa poitrine a cessé et la douleur a disparu. Deux semaines après la première prise de Imunobran, elle est allée passer une autre scintigraphie du foie et osseuse. On lui a dit que le cancer avait disparu de son foie. Son médecin a exprimé sa surprise. « C’est étrange », dit-il. « Je ne peux pas croire qu’il est parti du foie, mais nous continuerons les visites de contrôle ». « C’était sans aucun doute dû à Imunobran et non à la chimiothérapie, car le gonflement semblait s’en aller les jours suivants le début de la prise de Imunobran », dit DS. « C’est un vrai miracle qui est arrivé car quand vous avez un cancer du foie, il n’y a aucun remède. J’ai des amis qui avaient un cancer du foie et ils ont eu une chimiothérapie et cela ne leur a fait aucun bien et ils sont morts. J’ai toujours dit si je crois en une chose, cela marchera, si votre propre esprit est dans la mouvance. Si vous vous dîtes : je vais faire en sorte d’aller mieux, alors vous irez mieux. Imunobran a fait le reste ». Le 7 mars 2003, DS est allée au Dumfries and Galloway Hospital pour passer une dernière scintigraphie du foie. Le dernier état indiquait : « Un examen d’ultrason de son foie aujourd’hui a confirmé plus aucun signe de maladie métastatique ». Un an plus tard, le cancer n’était toujours pas revenu. *** Après qu’une tumeur a été décelée dans le sein enlevé d’une femme âgée de 51 ans en décembre 1994, elle a commencé un traitement hormonal et une radiothérapie. Son état ne s’améliorait pas. En mars 1995, elle a commencé à prendre une dose de 3 g par jour de Imunobran, et l’activité de ses lymphocytes NK a bientôt doublée. Une mammographie passée en juillet 1995 n’a révélé aucun signe de tumeur. Elle a continué à prendre Imunobran et a passé un nouveau contrôle en janvier 1997. Aucune tumeur n’a été trouvée. *** On a diagnostiqué à une patiente japonaise de 75 ans un cancer du sein et on lui a enlevé son sein en novembre 1998, puis elle a eu traitement hormonal qui s’est terminé en avril 1999. En juin de la même année, le cancer est réapparu et elle a été mis sous chimiothérapie et a pris 3 g de Imunobran par jour. Pendant le premier cycle de traitement de quatre semaines, la tumeur a diminué. A la fin du mois de juillet 1999, après le second cycle de traitement, la patiente qui avait été réadmise à l’hôpital lorsque la tumeur a réapparu, était en assez bonne forme pour sortir et continuer son traitement à domicile. Au cours des quatre premiers mois de traitement, un marqueur tumoral clé a constamment chuté et revenu à la normale. Imunobran a semblé réduire les effets secondaires de la chimiothérapie tout en améliorant l’efficacité en maintenant le système immunitaire fort. La patiente a récupéré progressivement malgré son âge et pendant le traitement de chimiothérapie a gardé son appétit et énergie. Mélanome malin (jambe droite) Bien qu’étant en retraite depuis de nombreuses années, LS croit que son ancien travail à l’usine de produits chimiques en Slovaquie fut la cause du mélanome malin diagnostiqué sur sa jambe droite en octobre 2002, alors qu’elle avait 66 ans. Elle a subi immédiatement une intervention chirurgicale pour enlever les ganglions lymphatiques dans sa jambe et a eu ensuite un traitement localisé de chimiothérapie. Avertie par un ami de l’importance d’un système immunitaire fort, surtout pour quelqu’un de son âge, LS a pris Imunobran dès le début, à raison de 3 g par jour pendant les deux premiers mois, puis a réduit la dose à 2 g par jour pendant les sept mois suivants pour finalement descendre à une dose d’entretien de 1 g par jour jusqu’à la fin 2003. Elle n’a pris aucun autre complément alimentaire pendant cette période, LS a également inclus plus de fruits et de légumes dans son alimentation et a réduit sa consommation d’aliments riches en graisses. En prenant Imunobran, LS a immédiatement remarqué avoir récupéré après l’opération beaucoup plus vite que ce qu’elle attendait, surtout en prenant en compte son diabète pré-existant. La même récupération rapide s’est appliquée à sa chimiothérapie. Bien que comme personne âgée, elle souffrait beaucoup plus des traitements – elle s’est sentie dépressive après et a trouvé que la cuisine même basique et le nettoyage l’épuisaient – elle a senti qu’avec Imunobran sa récupération était plus rapide que la normale et que son niveau d’énergie plus facile à maintenir. Toutefois, même Imunobran n’était pas capable d’empêcher son système immunitaire de chuter à des niveaux critiquement bas à la fin de son traitement de chimiothérapie. Elle insiste sur le fait que bien qu’elle « ne sentait pas vivre plus longtemps », elle a trouvé que Imunobran lui redonnait rapidement son optimisme et vitalité. Aujourd’hui, LS apprécie sa santé retrouvée : « J’apprécie ma retraite au maximum et j’aime m’occuper de mes arrière-petits-enfants ». Cancer du poumon Bien qu’il ne souffrait d’aucun problème de santé majeur, YB, un fumeur chronique, avait des quintes de toux. En septembre 2002, sa toux devint persistante. Il a trouvé du sang dans ses crachats et a perdu l’appétit et du poids. En décembre 2002, son état a empiré. Son poids avait diminué en passant de 87 à 73 kg, il a senti des douleurs dans l’abdomen, il a complètement perdu l’appétit et souffrait de forte constipation. En janvier une IRM et biopsie ont révélé un cancer du poumon à petites cellules à un stade étendu, qui s’était propagé vers ses ganglions lymphatiques. On lui a dit qu’il n’avait plus que quelques mois à vivre. Professeur né en Syrie, YB réside à Dubaï, aux Émirats Arabes Unis. Le diagnostic de son cancer a été fait à l’Hôpital Universitaire Américain de Beyrouth, où il a commencé un traitement de quatre séances de chimiothérapie en février 2003. Ce traitement a permis d’améliorer son appétit. Il sentait que le cancer était vaincu et il a retrouvé une vie normale, bien qu’il souffrait de graves effets secondaires, y compris d’insomnie et de perte de cheveux. A son retour aux Émirats Arabes Unis, au début du mois de mars 2003, il est allé faire un autre traitement de chimiothérapie à l’Hôpital Tawam d’Al Ain. Au même moment, après avoir lu un article sur Imunobran et consulté le Dr. Bechir, YB a commencé à prendre 4 g de Imunobran par jour comme une dose d’attaque et dès la mi-mars il a senti que son état s’améliorait. Un mois après avoir commencé Imunobran, son appétit est redevenu normal et il a presque repris son poids normal. Ses nausées avaient disparu, sa perte de cheveux due à la chimiothérapie était désormais minime, sa toux avait disparu et il n’y avait plus de sang dans ses crachats. Toutefois, il avait toujours des douleurs abdominales, bien que fortement réduites. Deux mois après avoir commencé Imunobran, YB a senti qu’il pourrait venir à bout du cancer. En août 2003, il était en phase de rémission à 90 pour cent et certain de pouvoir survivre. Il a réduit sa dose de Imunobran pour un niveau d’entretien de 1 g. Il a senti que son fort tabagisme et une prédisposition génétique au cancer – tous ses six frères ont succombé au cancer – se sont combinés pour faire sortir la maladie. Désormais, il aide les autres à arrêter de fumer. *** Après avoir perdu du poids et souffert d’une taux sèche et trouvé du sang dans ses crachats, un homme âgé de 67 ans a été diagnostiqué d’un cancer du poumon et d’une tuberculose pulmonaire lors d’une visite à l’hôpital d’Osaka, au Japon en août 1996. En octobre 1996 il a été traité avec des antibiotiques pour la tuberculose et radiothérapie par implant pour le cancer. En décembre, la partie inférieure du poumon contenant la tumeur a été enlevée et en janvier 1997 il est sorti de l’hôpital. Cinq mois plus tard, il a senti une douleur du côté droit de sa poitrine et à l’examen on a trouvé que le cancer s’était propagé vers ses os. La première source du cancer était les côtes du côté droit de la poitrine. Il a été placé sous morphine pour soulager ses douleurs et a commencé à prendre une dose de 3 g par jour de Imunobran. Six mois après avoir commencé Imunobran, la dose de morphine a été peu à peu réduite lorsque sa douleur cessa. En juin 1998, la douleur avait disparu et la morphine a été arrêtée. Au cours de la prise de Imunobran, ses marqueurs tumoraux ont peu à peu diminué et retourné aux niveau normal, ce qui indiquait une rémission complète. On a estimé que Imunobran était un succès dans le cas difficile du traitement d’un cancer des os. *** DF a été diagnostiqué d’un cancer du poumon moyennent agressif, qui s’est propagé à l’abdomen et au bassin en août 2002. Le cancer ne pouvait pas être opéré et DF, alors âgé de 57 ans, a subis une chimiothérapie. DF croyait que le cancer était causé par le stress et son addiction au tabac. Le mois suivant, il est allé voir le Professeur Jurasunas à la clinique de Lisbonne. Jurasunas a remarqué que DF souffrait des effets secondaires de la chimiothérapie et lui a donné un protocole de traitement incluant Imunobran. DF a bientôt dit se sentir mieux et en novembre 2002 il a dit qu’il ne sentait pas d’effets secondaires de la chimiothérapie, qui était encore en cours. A la fin de l’année, il fut optimiste et pensait pouvoir revivre à fond sa vie. En janvier 2003, il est allé passer un CT scanner. Le scanner a révélé que la tumeur du poumon avait diminué de deux tiers et qu’il n’y avait plus aucun signe de propagation du cancer. Il dit que les médecins étaient surpris et ne pensaient pas qu’un tel progrès était possible. En mars 2003, la tumeur du poumon avait disparu. Son médecin a exprimé son étonnement. « Dans mon expérience, je pense que la chimiothérapie était inévitable, mais sans Imunobran et la médecine complémentaire je n’aurais pas pu avoir de bons résultats », dit DF. Cancer qui s’est propagé vers le poumon Après une opération pour enlever son sein droit cancéreux en 1996 à l’âge de 55 ans, une japonaise de la région de Tokushima a vu son cancer réapparaître dans les ganglions lymphatiques près de son aisselle droite. En janvier 1998, elle a subi une autre opération. En décembre 1998, un CT scanner a détecté une tumeur de 5 mm dans son poumon. Craignant les effets secondaires, elle a ignoré le conseil d’avoir une chimiothérapie. Au lieu de cela, en janvier 1999, elle est allée dans une clinique holistique, où elle a fait un jeûne partiel et a commencé à prendre 4 g de Imunobran par jour pendant cinq jours, puis deux jours d’arrêt. Ce régime a été maintenu en rotation pendant six mois. Dix jours après la première prise de Imunobran, elle a indiqué se sentir moins fatiguée et a commencé à retrouver ses forces. Un mois après, les symptômes de sa constipation et de son lumbago s’étaient améliorés, tout comme son bien-être. En juillet 1999, un CT scanner a révélé que son poumon était redevenu normal et aucune tumeur n’a été décelée. Comme plus aucune tumeur n’a été trouvée, son médecin a dit qu’elle avait complètement retrouvé la santé. Myélome multiple (les tumeurs se propagent partout dans la moelle osseuse) JM était dans un état sérieux, lorsqu’il alla consulter le Professeur Jurasunas à la clinique de Lisbonne, au Portugal, en décembre 1999. JM était un footballeur et sportif passionné, mais à l’âge de 38 ans il souffrait d’un myélome multiple agressif. Il a commencé un traitement de chimiothérapie à Lisbonne et a continué la chimio à Londres, car on lui a dit que le traitement y serait plus efficace. Les médecins londoniens lui ont conseillé une transplantation de moelle osseuse, mais il ne voulait pas être opéré. « C’était un cas désespéré et cela a pris plusieurs mois avant qu’il ne commence à récupérer », déclare le Professeur Jurasunas, qui lui donna divers produits, y compris du Imunobran, alors qu’il était toujours sous chimiothérapie. A la fin de son traitement de chimiothérapie, les médecins ont dit à JM qu’il était en phase de rémission. Il avait défié les ordres de ses médecins en n’ayant pas eu recours à la transplantation de moelle osseuse. Le Professeur Jurasunas pense avoir pu stopper la propagation du cancer. « A nouveau, j’ai pu observer la grande efficacité de Imunobran dans cette maladie difficile ». *** Une femme de 45 ans vivant à Palm Beach, en Floride et à qui on avait diagnostiqué un myélome multiple en mars 1998, a refusé tout traitement conventionnel. Elle souhaitait utiliser les traitements alternatifs, avec Imunobran comme complément principal. Elle a commencé à prendre une dose de 3 g de Imunobran par jour en avril 1999 avec d’autres compléments, y compris des algues d’eau douce et de la vitamine B 12. Son taux de globules blancs s’est nettement amélioré, avec des valeurs se normalisant. Elle a continué à travailler à plein temps et a vécu une vie normale tout en continuant à prendre Imunobran. *** Un musicien de 46 ans a été diagnostiqué d’un myélome multiple en mars 1994 et avait de faibles concentrations de globules blancs. En février 1995, il a commencé à prendre Imunobran. Une semaine après la première prise de Imunobran, l’activité des lymphocytes NK a doublé à 38 pour cent. En novembre 1995, ses analyses de sang ont montré des niveaux normaux et en décembre son médecin a dit qu’il n’avait aucun symptôme de myélome multiple. Il a continué à prendre Imunobran pendant deux ans et demi et pensait que son cancer était parti. CONCLUSION Ce livre témoigne que Imunobran – un modificateur de la réponse biologique (BMR) à base de son de riz et d’enzymes de shiitaké – peut avoir un effet puissant et bénéfique sur tout système immunitaire affaibli. Maintenant que nous sommes au 21e siècle, la santé du système immunitaire est finalement reconnue comme le pivot de la guérison des maladies et du maintien d’une santé optimale. Les informations contenues dans ce livre encourageront certainement à inclure Imunobran comme complément alimentaire dans tout programme de traitement. Comme le Dr. Soyer l’a indiqué dans son introduction : « ça marche ». Imunobran n’a aucun effet secondaire et il n’est pas toxique, vous pouvez donc comprendre pourquoi des milliers de médecins dans le monde entier l’ont recommandé à leurs patients et pourquoi Imunobran est devenu LE complément alimentaire du système immunitaire, N° 1 dans le monde. Bien que de nombreux médecins fervents de médecine orthodoxe commencent à reconnaître l’importance des BMR naturels, tel Imunobran, comme compléments essentiels dans le succès de leurs programmes de traitement, certains médecins n’en font aucun cas, car aucun essai clinique en double aveugle à grande échelle n’a encore été réalisé. Il faut cependant se rappeler que Imunobran est un composé naturel complexe et non un médicament et que toute personne concernée par de tels produits naturels se familiarisera avec la difficulté de l’intérêt des cliniques, hôpitaux et universités à faire des études cliniques en double aveugle à grande échelle, surtout si ces études demandent des fonds que seul les sociétés pharmaceutiques multinationales peuvent se permettre. L’actuel manque de telles études ne signifie cependant pas que des tests en double aveugle à grande échelle en utilisant Imunobran ne seront jamais faits – le complément est si efficace que ces essais seront à l’avenir inévitables. Actuellement, beaucoup de recherches sur Imunobran ont été réalisées sur des malades atteints de cancer, car ils ont tendance à avoir un système immunitaire dès plus amoindri, soit à cause de l’attaque du cancer lui-même ou en résultat des intenses traitements orthodoxes, comme la chimiothérapie et la radiothérapie. Quand les ressources sont épuisées, il est sage de concentrer la recherche dans cette direction. Cependant, les études pilotes ont indiqué que Imunobran pouvait être également un complément utile au traitement contre le VIH, le diabète, l’hépatite B et C et les maladies générales (comme les rhumes). Les futures recherches s’étendront à d’autres secteurs, mais pour lors la majorité des recherches sur Imunobran reste orientée vers le cancer. Les concepteurs de compléments de pointe comme Imunobran ont besoin d’avoir un équilibre entre l’innovation de produit et la recherche sur le produit. Sans une recherche adéquate, nous ne pouvons pas différencier entre un produit exceptionnel et un marketing exceptionnel. Plusieurs fabricants de produits renforçant le système immunitaire aujourd’hui sont très heureux de faire toutes sortes d’affirmations, mais sont peu enclins à étayer ces affirmations avec des recherches cliniques. Au lieu de cela, ils font une liste des recherches sur la catégorie du produit général plutôt que sur un produit spécifique. De cette manière, les affirmations semblent être soutenues par d’innombrables recherches, alors qu’en fait la vérité est bien différente. Imunobran est soutenu par un nombre important de recherches médicales sérieuses. Pour un produit naturel, ce soutien est assez inhabituel. Cela signifie que les patients souhaitant booster leur système immunitaire, peuvent avoir confiance dans le fait qu’en choisissant Imunobran, ils investissent dans un produit essayé et testé, dont on retire effectivement des bienfaits. Ces recherches sont l’un des nombreux avantages de Imunobran sur les compléments destinés à renforcer le système immunitaire, commercialisés par la concurrence, dont la majorité n’ont pas le niveau de recherche de Imunobran. En plus, des études montrent que Imunobran est plus efficace que les produits standard à base de champignons et les associations, formules à base de plantes, formules composées de vitamines et de minéraux et autres composés à base d’arabinoxylane. Lorsqu’un produit est le meilleur de sa catégorie, il est important que l’innovation et la recherche continuent à assurer qu’il le reste. Et c’est exactement ce que fait Daiwa Pharmaceutical. A l’avenir, Daiwa Pharmaceutical fabriquera certainement de nouveaux compléments renforçant le système immunitaire et plusieurs milliers de personnes à travers le monde seront aidées à guérir et à rester en bonne santé. Pour lors, cependant, nous avons Imunobran – l’immunomodulateur le plus efficace, sans risque, soutenu par de nombreuses recherches et le plus facile à prendre, actuellement disponible. J’espère que vous avez apprécié ce voyage avec moi dans le monde de Imunobran et l’immunomodulation et je vous souhaite une bonne santé, maintenant et pour les jours et les années à venir. BIBLIOGRAPHIE