4Remerciements
rigueur et de clairvoyance mathématiques. Merci également à Joseph Boutros, personnage haut
en couleurs qui m’a fait l’honneur de m’introniser dans la Boutros-connection et dont les coups
de gueule récurrents contre une administration poussiéreuse m’ont été grandement profitables.
Enfin, Gilles Zémor, toujours disponible, prêt à me recevoir dans son bureau et à me faire profiter
de ses connaissances, de l’intuition et du recul impressionnant qui le caractérisent, le tout sans
mépris, sans orgueil ni fausse modestie : simplement. Sa gentillesse n’a d’égale que sa finesse, son
honnêteté, sa rigueur et... son accent britannique.
Je tiens à remercier très sincèrement mes amis et collègues pour leurs conseils avisés et/ou
leurs relectures attentives : Sandrine Fontenelle, François-Xavier Bergot, Sébastien Vincent, Phi-
lippe Painchault, Olivier Le Roch, Éric Garrido, Alain Sauzet, Olivier Orcière, Olivier Lemaire
et Christine Poli.
Merci également à l’ensemble de l’équipe crypto-composants de Thales Communications, aux
différents chefs d’unité, de service et de laboratoire qui se sont succédés : la liberté qui m’a été
octroyée durant cette thèse CIFRE pourrait figurer dans le Guiness Book.
Un clin d’oeil à la bande des docteurs, impétrants ou accomplis, que j’ai eu le privilège de
côtoyer ces trois années durant : Alireza (interprète de H¯afez), Amal (ostensible, voire ostenta-
toire), Bruno (bagouzophobe), Cat (alias Callas, l’AROP, c’est TOP), Cédric (Tupper), Céline
et Bertrand (amis d’un évangéliste), Désiré (celui qui se fait), Drine et Fonto (fans des Beetles),
Fwanswa (buveur de lune), FX (écoute, écoute, surtout ne fais pas de bruit), Ghaya (compagne
de labeur), le Goss (chat-man herbophile), Hadi (adepte du skouairrre), Hedi (Chnah welik), Kito
(the sound of silence), Loïc (swimming cool), Mariam (Iranienne à plus de 50 %américanisée),
Mhmmad (t’es où ?), Olivier (Harry) Pothier (Always on top, surtout en été), Stefan (aimanteur
de Dunhill Light), Vasolis, Manolis et Iannis (guitaris’ de Moustakis), ainsi que tous les autres
thésards du labo.
Un grand merci aux amis que je n’ai pas encore cités, qui ont eu la patience d’écouter mes
complaintes de thésarde égarée, et qui, à la lecture de ces lignes – on peut rêver – cherchent
désespérément leur nom : Bébert, Caro, Cyp, Estelle, Franck, Hélène, Karims, Mai-Anh, Mar-
ceau, Maÿlis, Nabil, Rico, Winnie, Yiol, Seb, Yiol, Seb, Yiol, Seb...
Merci à ma famille, dont la singularité est une source d’inspiration certaine.
Merci à mes parents, mon frère (ave).