Cahier technique Cahier technique 1 Sommaire Recommandations de mise en œuvre des luminaires L’Ébénoïdpage 3 Fonctionnalités Détection de passagepage 6 Détection infrarouge page 8 Détection hyperfréquencepage 9 Détection hyperfréquence MOS24 page 10 Bi-alimentationpage 12 Ballast électronique DALI page 13 Éclairagisme Définition des principales grandeurs mesuréespage 14 Normes, recommandations et décrets relatifs aux luminaires et leur installation NF EN 12464-1 - Eclairage des lieux de travail intérieurs (Juillet 2011) page 15 Protection des luminaires Page 16 Tenue au fil incandescent Page 17 Réglementation relative à l’accessibilité des bâtiments ERP et IGH en matière d’éclairagepage 18 NF C 15-100 dans les salles de bains page 19 Efficacité énergétique RT 2012page 20 Directive EuP 2005-32page 22 2 Cahier technique Cahier technique 3 Recommandations de mise en œuvre des luminaires L’Ébénoïd Nos luminaires sont conçus et qualifiés en France selon les normes IEC 60598, IEC 61547 et IEC 62471. Ainsi nous proposons des produits répondant à tous les critères de sécurité requis. Afin de garantir un fonctionnement correct de nos appareils d’éclairage, il est important de respecter les précautions d’installation et d’utilisation suivantes. • Toute installation doit se respecter à la Directive Européenne dite “Basse Tension“ et doivent se conformer à la norme NFC 15-100 ; • pour toute opération de maintenance, il est indispensable de couper l’alimentation du système d’éclairage ; • en aucun cas, les appareils ne doivent être encastrés, même légèrement, dans leur support ; • l’installation des appareils doit être telle qu’une ventilation naturelle existe toujours autour du hublot, en face arrière et en face avant ; • ne pas installer les luminaires contre des isolants du type laine de verre, polystyrène expansé, etc. • veillez à ce que les hublots ne soient pas recouverts d’un magma isolant (peinture, poussière, etc.). • les lampes halogènes sont interdites, exceptées celles équipées de culot B22 ou E27 ; Luminaires équipés de lampes fluorescentes à ballast électronique. -Les ballasts sont équipés d’un système de préchauffage des lampes, afin de garantir une durée de vie optimale. Ce préchauffage dure environ 1,5 sec avant l’allumage de la lampe. -Pour les températures ambiantes inférieures à 0° C, le temps d’allumage des lampes est plus long. -Pour les températures inférieures à -10° C, il est possible que les lampes ne s’allument pas. -Le réglage de la temporisation de détection doit tenir compte des préconisations du fabricant de source(s) utilisée(s) et de l’environnement du luminaire. Un réglage et/ou des sources inadaptées à l’application réduisent la durée de vie du système. • en cas de pose murale, les hublots équipés de douilles B22 ou E27 doivent être installés douille en bas ; • les luminaires ne sont pas conçus pour une utilisation permanente ou continue (comme dans le cas d’une utilisation sur interrupteur crépusculaire, d’une utilisation 24h/24h ou d’un allumage permanent de nuit...) ; • il est recommandé d’utiliser nos luminaires sur minuterie ou avec détecteur de présence (intégré ou déporté) afin de préserver sa durée de vie. Protection contre la foudre : L’Ebénoïd impose l’installation de parafoudres en tête de ligne Les appareils électroniques utilisent des composants vulnérables aux surtensions. Les luminaires équipés de détecteurs de mouvement sont d’autant plus vulnérables qu’ils restent en permanence connectés au secteur, et subiront forcément un choc foudre s’il se produit. La NFC 15-100 impose l’utilisation d’un parafoudre lorsque le bâtiment est situé à moins de 50 m d’un paratonnerre (antenne GSM, structure métallique, église) et lorsque la sécurité des personnes est en jeu. En complément de ces obligations, le guide UTE 15 443 définit des obligations supplémentaires résultantes d’une analyse de risque dûment réalisée. Notamment, elle conduit à l’utilisation de parafoudre dés lors que le bâtiment est alimenté par une ligne partiellement ou totalement aérienne. On rappelle les types de parafoudres : - type 1 pour un bâtiment équipé d’un paratonnerre - type 2 pour un bâtiment avec absence de paratonnerre - type 3 après le type 1 et le type 2, au plus proche de l’appareil à protéger Un parafoudre de type 3 (protection fixe) se révèle généralement nécessaire dés lors que la distance entre l’appareil et le parafoudre est supérieure à 10 m (IEC 61643, paragraphe 6.1.2). Cependant, même si les conditions décrites précédemment ne s’appliquent pas, une protection fine devient obligatoire pour protéger le matériel électronique (IEC61643, paragraphe 6.1.3). Au regard des ces différentes normes et recommandations, L’Ébénoid impose l’installation de parafoudres quelque soit le type d’installation, rénovation ou travaux neufs, ainsi qu’une protection de type 3 au plus proche de l’appareil à protéger. L’absence de protection entraîne la déchéance de la garantie. Carte de niveau kéraunique en France Pour tout autre emploi que domestique, l’utilisateur doit vérifier que les contraintes environnantes soient compatibles avec les performances du produit. La responsabilité de L’Ebénoïd ne pourra pas être retenue en cas d’utilisation abusive du produit. Seules les lanternes peuvent être installées dans les locaux à atmosphère légèrement acide du type piscines, laiteries, locaux d’élevage, réservoirs d’eau potable ; et ce sans préjuger de l’effet de cette atmosphère qui peut diminuer sensiblement la durée de vie du produit. Les hublots marqués F ne conviennent pas au montage direct sur des surfaces normalement inflammables. 4 Cahier technique Cahier technique 5 Fonctionnalités Détection de passage Le choix du type de détection se fait en fonction de 3 critères principaux : Recommandations de mise en œuvre des détecteurs : • environnement de pose (intérieur, extérieur, couloirs, cages d’escaliers, halls d’entrée, etc.), • sens de déplacement (frontal ou transversal), • antivandalisme. •Le réglage de la temporisation de détection doit tenir compte des préconisations du fabricant de source(s) utilisée(s) et de l’environnement du luminaire. Détection infrarouge : •Un détecteur ne doit pas piloter plus de 2 hublots esclaves équipés de détecteur, afin de ne pas être lui-même perturbé par les interférences. - - - - Un réglage et/ou des sources inadaptées à l’application réduisent la durée de vie du système. convient pour la détection en intérieur et en extérieur : ne réagit qu’aux corps chauds en mouvement, performance de la détection en déplacement transversal, angle de détection réglable (ciblage plus précis des zones à détecter), portée de la détection généralement plus élevée que la HF, pas de déclenchements intempestifs à travers les cloisons fines. Détection hyperfréquence : - - - - •Il est conseillé de ne pas utiliser de lampes fluocompactes avec ballast intégré car elle peuvent être source d’interférence et perturber le détecteur. Nous préconisons des solutions avec lampes fluorescentes à ballast séparé. •Des surtensions transitoires sur la ligne d’alimentation (foudre, parasites, …) peuvent bloquer les détecteurs en position allumé. Il faut alors couper l’alimentation afin de réinitialiser l’installation. •Il est impératif de placer une protection foudre en tête de ligne (NF C 15-100) afin de diminuer les phénomènes de surtension transitoire et de protéger le matériel en cas d’orage pour éviter la destruction du circuit. idéale quand il y a nécessité de poser des luminaires antivandale (détecteur invisible), plus appropriée dans un environnement intérieur (voir cas d’applications ci-dessous), IP et IK préservés du fait de l’intégration du détecteur à l’intérieur du luminaire, performances de la détection identiques quelque soit le sens de déplacement. •Après l’extinction du luminaire, il peut arriver que celui-ci se rallume sans raison apparente. Si ce phénomène se répète, il convient alors de diminuer le réglage de la sensibilité du détecteur jusqu’à la disparition du phénomène. •A l’extérieur, le vent et/ou la présence de végétation dans la zone de détection peuvent déclencher des allumages intempestifs. Ces exemples sont à titre indicatif et ne constituent en aucun cas une liste exhaustive de cas d’installation. La fonction maître-esclave : Tableau comparatif : Détection infrarouge Détection hyperfréquence standard Détection hyperfréquence MOS24 Antivandalisme - +++ +++ Couloirs (sens de la marche : frontal) + ++ +++ Couloirs (sens de la marche : transversal) +++ +++ +++ Halls ++ ++ +++ Proximité cages d’ascenseurs +++ - + Maître/Esclave +++ +++ +++ Cages d’escaliers - ++ +++ Cloisons fines +++ - + Sanitaires collectifs - ++ +++ Locaux techniques - ++ +++ Parkings publics + +++ +++ Parkings privés +++ + + La détection de passage intégrée au luminaire qu’elle soit infrarouge ou hyperfréquence, simplifie le câblage et apporte un gain de temps a l’installation. 6 Cahier technique Cette fonction permet de piloter l’allumage de luminaires standard par des luminaires intégrant un détecteur de passage infrarouge ou hyperfréquence. Un hublot “maître“ (avec détecteur de passage intégré) peut commander jusqu’à 280 VA maxi. Couloir : Détection et éclairage automatique dans les deux sens de la circulation. Sans détecteur Avec détecteur Cahier technique 7 Fonctionnalités Détection infrarouge Caractéristiques du détecteur infrarouge pour les hublots Atoll et les réglettes Éo et XÉo2 Réglage du détecteur Portée (1) Seuil de déclenchement (2) Temporisation (3) Fonction maître/esclave Puissance de commande Sources dispo. Angle de détection Atoll Ovale Rayon : 10 m environ (Pose en applique) Réglable de 10 à 2000 lux 15 s à 4 min Oui 600 W 52 W HAL 18 W fluo 180° Atoll C320 Rayon : Réglable de 5 à 8 m H. de pose : 3 m Réglable de 10 à 2000 lux 15 s à 7 min Oui 800 W 2x9W 2 x 13 W 2 x 18 W 360° Éo et XÉo2 Rayon : 6 m env. (Pose en applique) A partir de 60 lux 4 min fixe Oui pour XÉo2 600 W 52 W HAL 11 W fluo 18 W fluo 36 W fluo 90° Atoll C320 + Seuil de luminosité réglable de 10 ( ) à 2000 ( ) lux. Position médiane correspondant à la tombée de la nuit. +− + +− Temporisation réglable de 15 s à 7 min (position médiane à 4 mn environ). Atoll Ovale +− − + − − Portée du champ de détection rayon de 5 mètres min (-) à 8 mètres maxi (+). Temporisation réglable de 15 s à 4 min. Crépusculaire jour/nuit ajustable en continu. Seuil de luminosité réglable de 10 ( ) à 2000 ( ) lux. Position médiane correspondant à la tombée de la nuit. (1) Données brutes pour une coupure transversale du faisceau. (2) Pour le réglage de la luminosité, se référer aux réglementations en vigueur. (3) Le réglage de la temporisation de détection doit tenir compte des préconisations du fabricant de source(s) utilisée(s) et de l’environnement du luminaire. Un réglage et/ou des sources inadaptées à l’application réduisent la durée de vie du système. Zones de détection effective Zone de détection 360° (Atoll C320) Zone de détection 160° (Atoll ovale) Zone de détection 90° (Éo et XÉo2) Portée et angle de détection 8 Déplacement transversal Déplacement frontal Portée maxi Réduction d’environ 50 % de la portée Cahier technique Cahier technique 9 Fonctionnalités Détection hyperfréquence MOS24 Témoins lumineux de fonctionnement • Qualité et fiabilité : produit conçu et développé par L’Ébénoïd en France. Réglage par micro-interrupteurs 2,5 m Modes et fonctions du détecteur • Précision et répétabilité : réglages par micro-interrupteurs permettant des pré-régalages avant installation. 2,5 m Notice pour luminaires équipés d'un détecteur de passage D-Motion HF 8m • Simplicité d’installation : mode test du détecteur et préréglages usine. Modes "Allumage progressif & Préavis d’extinction" et "Veille permanente" Ces fonctions ne sont disponibles que si vous avez acquis un détecteur D-Motion HF + "veille & préavis" 7Modes m etces fonctions Attention, fonctionsdu ne détecteur sont utilisables qu’avec des sources halogènes ou des dispositifs électroniques (CFL ou alimentations ou ballasts) compatibles variateurs. Valeurs données pour un détecteur MOS24 HF seul Sécurisation de l’installation : limitation automatique de la puissance fournie • avec avertissement de l’utilisateur en cas de surcharge de l’installation. Hublot Schéma détécteur HF • Solution à la réglementation PMR : préavis d’extinction disponible sur les versions avec “veille et préavis“. La veille temporisée permet également de réaliser un éclairage sécurisant dans les circulations des bâtiments tertiaires et résidentiels collectifs. • Economie d’énergie avec la fonction de détection d’absence “Marche manuelle et Arrêt automatique“ en réponse aux exigences d’économie d’énergie de la RT2012 dans les bâtiments tertiaires et ERP. Notice pour luminaires 4équipés d'un m détecteur de passage D-Motion HF Fonction Marche manuelle/Arrêt automatique (Détection d’absence) Bénéficiez de la technologie MOS24 dans toutes nos gammes de luminaires équipés de détecteur hyperfréquence intégré. Modes "Allumage progressif & Préavis d’extinction" et "Veille permanente" Ces fonctions ne sont disponibles que sid’extinction" vous avez acquis un détecteur D-Motion HF + "veille & préavis" Mode "Allumage progressif & Préavis Principe de fonctionnement Attention, ces fonctions ne sont utilisables qu’avec des sources halogènes ou des dispositifs électroniques (CFL ou alimentations ou ballasts) compatibles variateurs. Fonction “veille et préavis“ SW12 Mode : Allumage progressif & 1 Préavis d’extinction Ces Plafonnier fonctions ne sont utilisables qu’avec 0 des sources halogènes ou des dispositifs électroniques (CFL ou alimentations led) Murale 0 Non activé Préavis compatibles variateurs (s’assurer de la Plafonnier compatibilité auprès de L’Ebénoïd). lumineux Murale 2 s Préavis Temps d’extinction" programmé par Mode "Allumage progressif & 1 15 s SW12 Mode : Allumage progressif & Préavis d’extinction 0 Non activé 1 Activé 1 Préavis lumineux 0 Caractéristiques Connexions Connexions automatiques sans outil Réglages 12 micro-switches Puissance consommée 1 W (en veille) Hyperfréquence 24 GHz Distance de détection 1m/2m/3m/4m/5m/6m/8m Seuil de luminosité (extinction à partir de la valeur) 8* lux / 30* lux / 60* lux / 100* lux / 150 lux / 300 lux / 450 lux 2000 lux (éclairage diurne) * seulement pour la version standard du détecteur MOS 24 HF Temporisation 20 sec / 1 min / 3 min / 5 min / 10 min / 15 min / 20 min / 30 min Angle de détection Vertical : 138 ° Horizontal : 132 ° Détection de Murale Détection de Plafonnier passage IR passage HF Allumage progressif et préavis d’extinction Veille temporisée ou permanente Allumage manuel / Arrêt automatique (Détection d’absence) Fonction maître-esclave 10 - Niveau : 15 % de P nominale (non réglable) - Durée : 30 min ou illimitée - Sur les versions LED, halogènes et CFL dimmables (sous réserve de compatibilité) Permet de commander manuellement l’allumage du système d’éclairage. L’extinction étant commandée par le détecteur de présence. Oui Cahier technique Préavis lumineux Préavis lumineux 2s Temps programmé par le détecteur ou la minuterie 15 s Préavis Détection de ModeDétection de "Allumage progressif & Préavis lumineuxd’extinction" et "Veille permanente" passage IR passage HF 5 m. 100 lux Veille Corridor Détection de passage HF Détection de passage IR Mode 5 m. “Marche 100 lux Gradation Préavis de la lumière lumineux Préavis lumineux Niveau de veille : 15 % de P nominale 1 + Préavis et veille Veille 5 m. 0 100 lux Mode "Allumage progressif &2 Préavis d’extinction" et "Veille permanente" Veille Corridor s Gradation Temps programmé par 15 s Veille permanente de la lumière le détecteur ou la minuterie 1 + Veille Mode : Veille permanente Non activé 1 Activé ou temporisée 30 min Niveau de veille : 15 % de P nominale manuelle / Arrêt 0automatique“ - Détection d’absence Préavis lumineux SW13 0 SW13 Mode : Veille permanente 0 Non activé 1 Activé 2s Temps programmé par 15 sbouton Veille poussoir. permanente Mode "Test" CetteAntichoc fonction permet l’allumage manuel du système d’éclairage au moyen d’un Corridor Antichoc Gradation le détecteur ou la minuterie ou temporisée 30 min fonction est disponible les modèle détecteurintégré D-Motion HF. de la lumière L’extinction duAntivandale système estCette ensuite commandée parsur letous détecteur de de présence MOS24 HF. Antichoc Elle permet de Antichoc réaliser desAntivandale essais fonctionnement lors (luminosité, de l'installationportée, du matériel sans se préoccuper des réglages.etc.). Cette fonction est compatible avec tous les réglages dudedétecteur MOS24 temporisation, veille & préavis, Veille Fonctions de sécurité et confort - Rampe allumage : 2 sec. - Rampe extinction: 15 sec (non réglables) - Sur les versions LED, halogènes et CFL dimmables (sous réserve de compatibilité) Activé le détecteur ou la minuterie Détection 1 active mais lumière éteinte Antichoc Antichoc Antivandale Pré-réglage en usine : SW11 - Temporisation : 3 s "Test" -Mode Sensibilité : 1 m active Détection Détection active 0 est disponible détecteur D-Motion HF. 2 fonction 3 les et lumière éclairée sur tous etmodèle lumièrede éclairée -Cette Seuil : désactivé. 1 Elle permet de réaliser lors de l'installation du matériel sans se Plafonnier Murale car action sur des essais de fonctionnement avec début de bouton poussoir teporisation Pré-réglage en usine : SW11 - Temporisation : 3 s Sensibilité : 1 m 0 Témoins lumineux de fonctionnement - Seuil 1 : désactivé. Témoin (LED verte, clignotement lent) : témoin de fonctionnement du logiciel embarqué. 1 Mode : Test Non activé Activé préoccuper des réglages. Mode : Test Non activé Activé Témoin 2 (LED rouge allumée en continue) : témoin d'alimentation du module radar. Témoin 3 (LED orange allumée en continue) : Détection de témoin de fonctionnement dePréavis l'alimentation 5 V de la carte. Détection de lumineux Fin delumineuse temporisation : Témoin 4 (LED orange allumée en continue et passage HF lampe éteinte)passage IR : la source est défectueuse. lumière éteinte Témoin 5 (LED orange allumée en continue) : témoin de fonctionnement de l'alimentation 10 V de la carte. Témoins lumineux de fonctionnement Témoin 1 (LED verte, clignotement lent) : témoin de fonctionnement 5 m. du logiciel embarqué. 100 luxdu module radar. Témoin 2 (LED rouge allumée en continue) : témoin d'alimentation Témoin 3 (LED orange allumée en continue) : témoin de fonctionnement de l'alimentation 5 V de la carte. 11 Cahier technique Gradation Veille Témoin 4 (LED orange allumée en continue et lampe éteinte)Corridor : la source lumineuse de la lumière est défectueuse. Témoin 5 (LED orange allumée en continue) : témoin de fonctionnement V rue de la carte. Niepce ZAC de l'alimentation la Fouillouse -10 817 Nicéphore Réf. fiche technique 707 800 C (05.2013) ique 707 800 C (05.2013) • Innovant : premier détecteur HF du marché proposant la fonction “veille + préavis“ sur les lampes halogènes et sur les drivers de LED compatibles. 360° Fonctionnalités Bi-alimentation Fonctionnalités Ballast électronique DALI La bi-alimentation permet de réaliser une double commande en intégrant dans le luminaire deux alimentations séparées (ex. 2 ballasts électroniques). Gammes concernées : Sextan, Atoll C320, Alium, Dune, Dôme, Squad, Option. Le ballast électronique gardable DALI offre 2 possibilités de commande : Exemples d’applications : Circuit veille Circuit éclairage Applications Permanent Minuterie Sécurisation halls d’entrée, locaux sombres, cages d’escalier, parkings Permanent à l’intérieur d’une pièce Minuterie ou interrupteur à l’extérieur de la même pièce Chambres d’hôpital, cellules de prison, maisons de retraite... Minuterie, interrupteur Sécurisation, confort, gestion de l’énergie : couloirs d’hôtels, écoles, lycées, résidences loisirs... Veille programmée, tombée de la nuit (câblage avec un inter-crépusculaire) Atoll C320 bi-alimentation 7 W + 32 W Exemple de câblage Circuit 7 W + Circuit 32 W Bi-alimentation Interrupteur, Horloge, etc... Dans ce catalogue, L’Ebénoïd propose des luminaires équipes de ballast électronique DALI (de marque OSRAM), permettant la gradation et la gestion de la lumière (Atoll C320, Squad et Sextan) : Soit - par le biais du protocole de communication DALI (Digitable Adressable Lighting Interface), ou - par l’utilisation d’un simple bouton poussoir (spécificité du ballast DALI integre dans nos luminaires). DALI est le standard de communication pour la gestion de l’éclairage. Les principaux fabricants de l’industrie de l’éclairage et en particulier les fabricants de ballasts électroniques se sont regroupés pour définir ce nouveau standard. Les champs d’application peuvent être nombreux et rejoignent la préoccupation quotidienne de la protection de l’environnement et des économies d’énergie. Exemples d’applications : Immeubles de bureaux, couloirs, halls d’accueil, restaurants, hôpitaux, salles de cinéma, etc. Le protocole DALI est compatible avec le protocole KNX via les passerelles de conversion d’un signal type KNX, permettant ainsi la gestion technique complète d’un bâtiment. Ces passerelles de conversion KNX/DALI sont disponibles dans l’offre KNX d’ABB (DG/S 1.1 ou DG/S 8.1). Principales caractéristiques du ballast DALI : •gradation de 3 a 100 % des lampes fluorescentes compactes, •stockage des informations (adresses, vitesse de variation…) et renvoi des informations au système de gestion (état, défectuosité de la lampe…), •câblage simple : pas de polarité du circuit de commande DALI, •pas de problèmes d’harmoniques. Circuit 32 W Circuit veille 7W •gradation et variation de lumière par simple bouton poussoir, •gestion de l’éclairage via le protocole de communication DALI. Interrupteur, Horloge, etc... Le câblage d’un luminaire équipé de ballast DALI OSRAM est extrêmement simple : Câblage par bouton poussoir Atoll C320 bi-alimentation 7 W + 26 W avec détecteur hyperfréquence Câblage via protocole de communication Exemple de câblage Synchronisation des hublots à effectuer à l’installation Raccordement de 30 hublots maxi. Circuit veille + Circuit pour pilotage multiple Circuit veille 7W Hublots Circuit maîtres automatique 18, 26 ou 32 W selon modèle Circuit veille 7W Circuit automatique 18, 26 ou 32 W selon modèle DA DA L N DA DA L N Note : dans toutes les applications où l’on fait varier la lumière des lampes fluorescentes, prévoir un rodage de 100 heures environ avant de faire varier l’intensité lumineuse DA DA L N Interrupteur Horloge, etc... Bus DALI Hublots esclaves 800 VA maxi La fonction bi-alimentation 7 W + 26 W a été développée pour apporter un éclairage sécurisant dans les pièces sombres. 12 Dans cette configuration d’installation, la veilleuse ne permet pas l’utilisation du seuil de luminosité du détecteur ; Chaque détection devant initier l’allumage de la lampe 26 W, quelle que soit la luminosité ambiante. Cahier technique DA DA Ne pas combiner un pilotage DALI avec un pilotage par bouton poussoir (destruction du maître DALI) Ne pas combiner un pilotage DALI avec un pilotage par bouton poussoir (destruction du maître DALI) Cahier technique 13 Éclairagisme Définition des principales grandeurs mesurées Normes, recommandations et décrets relatifs aux luminaires et leur installation Flux lumineux NF EN 12464-1 - Eclairage des lieux de travail intérieur (Juillet 2011) Cette grandeur est exprimée en lumen (lm), c’est la puissance du rayonnement visible. Le flux lumineux utile est la quantité totale de lumière émise par un appareil lumineux. Il est soumis au rendement de l’appareil. Par exemple, un hublot émet un flux utile de 1350 lm alors que sa source émet, quant à elle, 1500 lm, soit un rendement de 90%. La norme NF EN 12 464-1 (Eclairage des lieux de travail intérieur) donne les prescriptions d’UGR maximal à ne pas dépasser et de l’IRC minimal pour l’éclairage intérieur par zone, tâche et activité. Rendement d’un luminaire et classe photométrique La distribution du flux lumineux émis par un luminaire (flux utile) est composée de deux parties. La première est celle émise vers le sol (partie directe) et la deuxième est la partie du flux orienté vers le plafond (partie indirecte). Chaque partie est composée d’un chiffre, qui correspond au rendement du flux de l’appareil d’éclairage, et d’une lettre qui caractérisent la classe du flux selon la norme NFC 71-121. Flux utile fourni par le luminaire Rendement du luminaire = Flux émis par la source Exemple Partie directe 0.84 F Rendement du luminaire, 84% de flux utile restitué Partie indirecte + Classe du flux, direct intensif 0.01 T Rendement du luminaire, 0,01% de flux utile restitué Classe du flux, indirect Éclairement moyen à maintenir (lux) UGR Valeur maxi. IRC (ou Ra) Valeur mini. Zones de circulation et couloirs 100 28 40 Escaliers, quais de chargement 150 25 40 Magasins, entrepôts 100 25 60 Magasins de vente, zones de vente 300 22 80 Zones de caisses 500 19 80 Espaces publics, halls d’entrée 100 22 80 Guichets 300 22 80 Restaurants, hôtels réceptions, caisses, concierges 300 22 80 Cuisines 500 22 80 Bâtiments scolaires, salles de classe en primaire et secondaire 500 19 80 Salles de dessin industriel 750 16 80 300 500 500 300 200 19 19 19 22 25 80 80 80 80 80 Eclairage des bureaux Facteur de puissance Le facteur de puissance caractérise le déphasage entre le courant et la tension. Plus le facteur de puissance se rapproche de 1, meilleur est le comportement du luminaire sur le réseau électrique. P = U x I x cos Zones, tâches, activités - classement - dactylographie, lecture - postes CAO - réceptions - archives Ex : Un luminaire possédant une puissance de 20 W avec un cos de 0,5 le réseau EDF devra fournir une intensité 2 fois plus élevée pour maintenir la puissance du luminaire ! Efficacité lumineuse du luminaire Le coefficient d’efficacité lumineuse s’exprime en lumens par watt (lm/W). Cœfficient d’efficacité lumineuse = Flux lumineux utile fourni par le luminaire Puissance électrique totale consommée par le luminaire Eblouissement d’inconfort (facteur UGR) En éclairage intérieur l’éblouissement d’inconfort est évalué par le calcul du taux d’éblouissement UGR (Unified Glare Rating). La méthode calcul de l’UGR est définie par la publication CEI 117 sur une échelle de 10 (éblouissement négligeable) à 30 (éblouissement intolérable). 14 Cahier technique Cahier technique 15 Normes, recommandations et décrets relatifs aux luminaires et leur installation Normes, recommandations et décrets relatifs aux luminaires et leur installation Protection des luminaires Tenue au fil incandescent Protection contre les chocs électriques Conformément à la norme NF EN 60598, les luminaires doivent satisfairent les exigences de tenue au feu. Classe I Luminaires à isolation principale qui comportent des dispositifs reliant l’ensemble de ses parties mécaniques accessibles au conducteur de protection. Classe II Luminaires dont les parties accessibles sont séparées des parties actives par double isolation ou isolation renforcée. Classe III Luminaires alimentés sous une très basse tension de sécurité (T.B.T.S.) qui n’excède pas 50 V (valeur efficace en courant alternatif) Les arrêtés du 11 décembre 2009 pour les ERP et du 30 décembre 2011 pour les IGH publiés au Journal Officiel définissent à quel essai au fil incandescent les luminaires doivent répondre. Indice de protection des luminaires IP 1er chiffre degré de protection des parties sous tension contre la pénétration de SOLIDES Degré Description Degré de protection des parties sous tension contre la pénétration des LIQUIDES Symbole Degré Description Symbole 0 Non protégé 0 Non protégé 1 Protégé contre les corps solides supérieurs à 50 mm 1 Protégé contre les chutes verticales de gouttes d’eau 2 Protégé contre les corps solides supérieurs à 12 mm 2 Protégé contre les chutes d’eau pour une inclinaison de 15° maxi. 3 Protégé contre les corps solides supérieurs à 2,5 mm 3 Protégé contre l’eau «en pluie» 4 Protégé contre les corps solides supérieurs à 1 mm 4 Protégé contre les projections d’eau 5 Protégé contre la poussière 5 Protégé contre les jets d’eau 6 Totalement protégé contre la poussière 6 Protégé contre les paquets de mer 7 Protégé contre les effets de l’immersion 8 Protégé contre l’immersion prolongée* prof. en mm Locaux concernées ERP¹ (date application : 16/05/2010) IGH² (date application : 01/04/2012) Circulations horizontales et escaliers 650 °C 850 °C Autres locaux 650 °C 650 °C ¹ Etablissement Recevant du Public ² Immeuble de Grande Hauteur (hauteur du plancher du niveau le plus haut > 28 m) *...m Degré de protection contre les chocs mécaniques Indice IK 01 IK 02 IK 03 IK 04 IK 05 IK 06 IK 07 IK 08 IK 09 IK 10 Energie de choc (Joule) 0,14 0,20 0,35 0,50 0,70 1 2 5 10 20 16 Cahier technique Cahier technique 17 Normes, recommandations et décrets relatifs aux luminaires et leur installation Normes, recommandations et décrets relatifs aux luminaires et leur installation Réglementation relative à l’accessibilité des bâtiments ERP et IGH en matière d’éclairage NF C 15-100 dans les salles de bains La réglementation technique relative à l’accessibilité du cadre bâti aux personnes handicapées est applicable depuis le 1er janvier 2007 aux bâtiments neufs ou rénovés accueillant des établissements recevant du public ou des locaux d’habitation. Cette réglementation s’appuie sur les arrêtés du 1er août 2006 l’un relatif aux ERP (Etablissements recevant du Public) et l’autre aux BHC (Bâtiments d’Habitat Collectif). Hors volume Site de référence : http://www.accessibilite-batiment.fr/bhc-neufs/eclairage-des-parties-communes/arrete.html Parties communes Cheminements extérieurs accessibles (en tout point)* 20 lux Circulations intérieures horizontales (en tout point)* 100 lux Postes d’accueil (au droit)* 200 lux Paliers d’ascenseur (en tout point)* 100 lux Escaliers (en tout point)* 150 lux Intérieur des locaux collectifs (en tout point)* 100 lux Volume 2 Volume 1 IP X1 IP X4 IP X4 2,40 m 0,60 m 2,25 m 3m *Dans un site de questions/ réponses, le Ministère explique que par “valeur d’éclairement minimale mesurée au sol en tout point”, il faut comprendre “niveau d’éclairement moyen horizontal à maintenir”. 2,25 m Niveau d’éclairement moyen minimum à maintenir au sol Volume 3 Volume 0 IP X7 Base : sol de la salle d’eau Vue de coté Base : fond de la baignoire Espace sous la baignoire Volume 1 ou Volume 3 Parcs de stationnement intérieurs et extérieurs Circulations piétonnes des parcs de stationnement couverts (en tout point)* 50 lux À retenir Tout autre point 100 lux •L’IP en volume 2 passe d’IPx3 à IPx4 •disparition du volume 2 au-dessus de la baignoire ou de la douche • ces évolutions donnent notamment la possibilité d’installer des points d’éclairage dans les petites salles de bain • introduction du socle DCL en salle de bain (IPx4), par exemple en attente avec obturateur ou par luminaire IPx4 recouvert. Dispositif de commande automatique : Dans le cas d’un fonctionnement par détection de présence, la détection doit couvrir l’ensemble de l’espace concerné et deux zones de détection successives doivent obligatoirement se juxtaposer.. Un usager, quelle que soit sa taille, qui emprunte une circulation commune équipée d’un système d’éclairage fonctionnant par détection de présence, ne doit pas risquer de se trouver dans l’obscurité. Définition des matériels admis selon les volumes de protection Volume Matériels admis Temporisation : 0 L’objectif est de fournir un signal prévenant de l’extinction imminente du système d’éclairage afin qu’une personne ne puisse pas se retrouver subitement dans l’obscurité. Cette exigence peut être satisfaite par une diminution progressive ou par paliers du niveau d’éclairement, ou par tout autre système de préavis d’extinction. - tout appareillage interdit sauf matériel en TBTS (12 V alternatif maxi) et transformateur installé à l’extérieur du volume) 1 - tout appareillage interdit (sauf ceux en TBTS 12 V alternatif maxi-chauffe-eau) 2 - sont admis tous les matériels des volumes 0 et 1 - sont admis les appareils de classe II fixes protégés par un différentiel 30 mA. - sont admises les prises 2P avec transfo de séparation faible puissance 3 - sont admis tous les matériels des volumes 0, 1 et 2. - sont admis tous les appareillages (interrupteurs, prises 2P + T, ...) protégés par un différentiel 30 mA. - sont admis tous les appareils de classe I (convecteurs, luminaires) protégés par un différentiel 30 mA. - sont admis tout appareil et appareillage TBTS jusqu’à 50 V sans protection différentielle 30 mA. 4 - aucun matériel interdit. 18 Cahier technique Cahier technique 19 Efficacité énergétique Efficacité énergétique, éclairage haute performance et protection de l’environnement. • L’éclairage consomme en moyenne 16% de l’énergie globale de l’habitat ! • Le déploiement des énergies renouvelables et l’utilisation de matériel efficients sont devenus une nécessité pour limiter l’impact de nos consommations sur l’environnement. • Cet impératif écologique rejoint une des plus importantes priorités de L’Ébénoïd : développer et vendre des produits énergétiquement efficients. Exemple de consommation électrique avec différents types de sources lumineuses : Lampe incandescente - 10 lm/W Lampe halogène basse consommation - 20 lm/W Lampe fluorescente à ballast électronique A2 - 80 lm/W Lampe ou module LED 110 lm/W 60 W (600 lm) - 7 W (560 lm) 6 W (660 lm) 75 W (750 lm) 42 W (840 lm) 9 W (720 lm) 8 W (880 lm) 100 W (1000 lm) 57 W (1140 lm) 13 W (1040 lm) 10 W (1100 lm) 130 W (1300 lm) 70 W (1400 lm) 18 W (1440 lm) 13 W (1430 lm) 200 W (2000 lm) 100 W (2000 lm) 26 W (2080 lm) 18 W (1980 lm) - - 36 W (2880 lm) 26 W (2860 lm) L’efficacité énergétique peut s’envisager selon deux principes : • Parvenir aux mêmes résultats en consommant moins ; • Améliorer les résultats en consommant mieux l’énergie, c’est-à-dire celle juste nécessaire. efficacité énergétique = énergie fournie énergie consommée L’Ébénoïd est totalement impliqué dans ces deux principes : • En encourageant les fournisseurs, les sous-traitants et les clients à adopter des normes environnementales internationales ; • En développant des offres éco-conçues tout au long de la chaîne de valeurs ; • En ne commercialisant que des produits conformes : - à la directive RoHS -2002/95 EC- (réduction de substances dangereuses dans les produits électriques et électroniques), obligatoire depuis le 1er juillet 2006, - ainsi qu’à la directive DEEE (Élimination des Déchets d’Équipements Électriques et Électroniques) ; • En proposant à ses clients des technologies éco-efficaces réduisant la facture énergétique : bi-alimentation, ballasts électroniques, détection de passage (hyperfréquence ou infrarouge) et lampes à économie d’énergie. La Réglementation Thermique 2012 ou RT 2012 Quelles sont les grandes recommandations de la RT 2012 ? Les permis de construire déposés à compter du 1er janvier 2011 pour les bâtiments publics et tertiaires, et du 1er janvier 2013 pour les bâtiments résidentiels, doivent présenter une consommation d’énergie primaire inférieure à 50 kWh/m²/an. (En moyenne selon les régions). RT 2012 - 50 91 à 150 151 à 230 231 à 330 331 à 450 + 450 Bâtiment économe A 51 à 90 kWk/m2/an Les secteurs Résidentiel, Tertiaire et Industrie sont les principaux consommateurs d’énergie. Les bâtiments représentent à eux seuls environ 1/3 de la consommation énergétique européenne. Le Grenelle de l’Environnement a demandé à l’Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques de réaliser une étude sur l’efficacité énergétique des bâtiments. Le rapport de l’OPECST préconise des règles pour mieux atteindre les objectifs d’efficacité énergétique et servira de référence dans la rédaction finale de la RT 2012. B C E FLUO HAL 50.000 H 10.000 H 2.000 H Sensibilité aux commutations d’allumage/ extinction +++ --- ++ Fonctionnement à basse température +++ --- +++ Confort visuel (scintillement 50Hz, directivité du faisceau lumineux) +++ ++ +++ Fonctionnement sur minuterie +++ -- ++ Efficacité lumineuse +++ + -- Allumage instantanée +++ --- +++ Durée de vie F G Bâtiment énergivore Sur chacun des secteurs Résidentiel, Tertiaire et Industrie, l’offre L’Ébénoïd vous accompagne dans la baisse de vos consommations d’énergie. La directive DEEE : Élimination des Déchets d’Équipements Électriques et Électroniques. Pour l’éclairage, toutes les sources doivent être recyclées (sauf les sources à filament). Recylum est l’éco-organisme chargé d’organiser la collecte des lampes usagées depuis le 15 novembre 2006. Cahier technique LED D Pour arriver à cet objectif, deux solutions sont à prendre en compte : - Les solutions passives liées à la conception du bâtiment : forme et orientation du bâtiment, isolation des murs, protection solaire, étanchéité, inertie thermique, utilisation des énergies renouvelables… - Les solutions actives de maîtrise et de gestion de l’énergie : produits et solutions qui équipent le bâtiment. 20 Caractéristique des sources Coût total de la consommation d’énergie sur une année* : 100 80 91 € 60 * Pour 5 hublots dans un couloir avec allumage permanent pendant 10h/jour et 200 jours/an (prix kWh : 0.13 €) 40 20 24 € 17 € 0 70 W Hal 18 W Fluo 16 W LED Cahier technique 21 Efficacité énergétique Notes Directive EuP 2005-32 La directive européenne sur l’éco-conception des produits consommateurs d’énergie (EuP ou “Energy using Products”) impose aux fabricants d’améliorer le rendement énergétique de leurs produits tout au long de leur cycle de vie et de réduire leur impact global sur l’environnement. Dates de suppression des ampoules énergivores Afin de fixer les exigences en matière d’éco-conception et d’impact sur l’environnement auxquels doivent répondre les produits consommateurs d’énergie, la Commission Européenne impose le retrait progressif des lampes énergivores (Directive EuP 2005/32/EC). Les ampoules d’ancienne génération disparaîtront selon le calendrier suivant : 2009 A partir du 1er septembre -L es lampes à incandescence et halogènes non claires (opales, blanches, dépolies, etc.). - L es lampes fluorescentes compactes de classe énergétique B. - Les lampes de classe F et G. -L es lampes à incandescence égales ou supérieures à 100 W. -L es lampes halogènes égales ou supérieures à 75 W et de classe D et E. 2010 À partir du 1er septembre - Les lampes à incandescence de 75 W. - Les lampes halogènes de 60 W et de classe D et E. 2011 À partir du 1er septembre - Les lampes à incandescence de 60 W. - Les lampes halogènes de 40 W et de classe D et E. 2012 À partir du 1er septembre -L es lampes à incandescence de 25 W et 40 W. - Les lampes halogènes de 25 W et de classe D et E. 2013 À partir du 1er septembre - Les lampes incandescentes à culot S14, S15 et S19. 2016 À partir du 1er septembre -L es lampes de classe C (à l'exception des lampes à culot G9 et R7s). 22 Cahier technique Cahier technique 23 Retrouvez toutes nos offres L’Ebénoïd sur notre catalogue général ou sur : www.lebenoid.fr Ile-de-France Services commerciaux LEDbyLÉbénoïd ZAC de la Fouillouse Bât B - 817, rue Nicéphore Niepce 69800 SAINT PRIEST Dans un souci permanent d’amélioration, L’Ébénoïd se réserve le droit de modifier sans préavis les caractéristiques des appareils décrits dans ce document. Les informations n’ont pas de caractère contractuel. Pour précision, veuillez prendre contact avec L’Ébénoïd. Tél : 04 72 11 39 90 Fax : 04 72 11 39 99 www.lebenoid.fr 24 Cahier technique 708.028 Ed1 (04.2014) Création : www.antigone.fr Design - Performances - Qualité