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Mélanie, Damien et Igor. J’ai pu partager quelques lubies geekétique avec cette première, tandis que ce
dernier, grâce à sa bonne humeur imperturbable, a constitué un très bon compagnon de soirée tardive et
de semaine à rallonge au laboratoire.
N’ayant certainement pas la même bonhomie mais assurément sympathiques, Gaétane, Clémence, et
Frédéric, furent également un grand plaisir à côtoyer. Malgré ma constante tyrannie, je crois (le bon
mot serait "espère") avoir laissé un bon souvenir à mes collègues de bureau, Paranthap et Octavian. Je
regrette toutefois que nous n’ayons jamais pu cueillir de tomates.
Il ne faudra pas non plus que j’oublie de remercier mes autres compagnons de souper : Emilie, Ludivine,
et Julien. Au passage, je ne voudrais pas oublier de remercier la mère de Julien pour ses délicieux
gâteaux de Noël. Il y a aussi tous ces gens que j’ai pu côtoyer et qui sont depuis partis : Nabila (non, je
ne t’avais pas oubliée), Olivier et son stagiaire, Antonin, Camilo, Otmane pour ne citer que eux....
Dans ce lot de non-permanents (puisque le monde est ainsi divisé) je mettrais quand même quelques
mentions spéciales à Mbolo, Ahmed, Wilfrid, Carlos, Joanna, Hassan, Nadine, et Jean-Luc avec qui
j’ai eu le plaisir de converser du monde à de nombreuses reprises. Même si j’ai eu beaucoup moins
l’occasion de converser avec eux, je tiens à remercier mes voisins de laboratoire que sont Marie-France
Achard et Béatrice Agricole, avec qui j’ai eu le plaisir d’échanger quelques conversations.
Je ne pourrais également pas oublier tous les gens qui ont participé à ma vie extra-laboratoire. Je
commencerais avec ceux que j’ai rencontré lorsque je suis arrivé sur Bordeaux et qui m’ont enseigné
l’anglais (et je dois les remercier pour ça) Paula, Andreas, Berhnard, Deniz, Hongfeng et Ren Wei.
Je remercie encore une fois Olivier (décidément !), Sylvain, et Alessandro, auxquels j’ajouterais
Katérina, Victoria, Dalice, Remi et Diégo. Ce fut un véritable plaisir de partager ces moments avec
vous. J’ajouterais également les différentes personnes avec qui j’ai vécu et qui se sont succédé
dans ma colocation : Pauline, Claire, Marie, Lise, François le français, Romain, Simon, et Jim.
Mais il y a également tous ceux que j’ai rencontrés au gré des "pique-niques" et "dîners" Lucille,
Marie Dumont, Marion, Delphine, Clémence, Sarah, Henry, Florent, David, ou encore Alain. J’en ou-
blie encore un bon nombre mais la mémoire des noms n’a jamais été (entre autres) un de mes points forts.
Si jusqu’à maintenant, je n’ai cité que les personnes du présent Bordelais, je me dois de remer-
cier ceux qui m’entourent depuis quelques années maintenant : je dois reconnaître toute l’amitié que
j’ai pour Alice et Yannick, Anne, Mathias, Nicolas, Peio, Mathieu, Fabien que j’ai rencontré durant mes
années universitaires. Depuis ces années, nous en avons fait du chemin mesdemoiselles et messieurs ! Et
puis, j’y joindrais également Frédéric et Guillaume, avec qui maintenant j’ai juste assez de doigts pour
compter les années nous séparant de nos premières tartiflettes. J’espère bien vous voir tous au Japon !
Dans ce lot (ou liste si vous préférez) de remerciements, il y a un groupe de personnes que je
mettrais à part. Si la thèse ne représente pas une fin en soi, elle constitue un accomplissement dans un
cursus universitaire. Elle permet de clore le cycle "estudiantin" et de commencer à entrevoir une vie plus
établie. Si atteindre ce stade m’a été possible, c’est bien grâce et avec l’aide de ma famille. Mes parents
tout d’abord, Anne et Jean, à qui je dois dire que j’ai toujours apprécié qu’ils n’essayent pas de pousser
dans une quelconque direction (pas certain que s’ils avaient voulu, ils auraient réussi). Pour leur soutien
indéfectible durant toutes ces années, je les remercie très sincèrement. Et puis il y a ma soeur et mon
frère, Céline et Antoine, auxquels je n’oublierai pas de joindre leurs moitiés respectives Jonathan et
Carole. Je les remercie de m’avoir supporté (ou peut être préféreront-ils utiliser le mot "subi") pendant