Kelley-Anne Sabarre (4878387) Le mercredi 29 septembre 2010
Résumé de Muchembled p. 37-42
Chapitre 2 : Dieu, le diable et les hommes
L’histoire de la chasse aux sorcières est toujours liée à l’Église catholique. Nous nous
demandons donc si la doctrine a permis les bûchers ou bien qu’une redéfinition de la doctrine a
permis le bûchage des infidèles.
L’église et la sorcellerie
La doctrine de l’Église contient les idées de saint Augustin de ceux qui concernent les
démons et la sorcellerie, celles-ci ont été l’inspiration d’ouvrages de la sorcellerie. Un des
ouvrages est l’Épiscopi; un autre est le Manuel des inquisiteurs, ceci définir la sorcellerie et
comment distinguer les trois classes de démons. Summis desiderantes affectibus, écrit par le pape
Innocent VIII et qui servait comme approbation pontificale, était le préambule d’ouvrage
Marteau des sorcières.
Le Marteau des sorcières a servi, pour les fidèles, comme une propagation persuasive
envers les adeptes du Satan. Ce texte est en effet une réinterprétation d’Épiscopi qui combine les
enseignements anciens avec les « délits » réels des infidèles, il n’ajoute aucun fait nouveau dans
la doctrine. Le Marteau des sorcières décrit les faits de sorcellerie. Par exemple, une coupable
faisait un pacte avec le diable et commettrait « des relations sexuelles contre nature ». La
diffusion des éditions de cet ouvrage a été possible grâce à l’imprimerie. Les villes de Paris,
Nuremberg, Venise, Lyon et Francfort ont profité de cet ouvrage. Par contre, il existe plusieurs
critiques concernant les enseignements du Marteau des sorcières; les deux objectifs de ce texte
que certaines critiques disaient sont qu’avant ce texte était utilisé pour la chasse aux sorcières, il
servait comme une action systématique exercée sur l’opinion publique pour l’amener à accepter