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Que ce soit pour l’ensemble des français, comme pour les patients ou leurs proches, la communication sur
le sujet est jugée défaillante : deux tiers des Français (65 %) jugent que les hôpitaux ne communiquent
pas suffisamment sur ces infections, une proportion qui atteint 71 % pour les médias et même 81 %
pour les pouvoirs publics.
Par ailleurs, près de la moitié des patients ou proches de patients s’estime mal informée sur la définition
même des infections nosocomiales (47%) et considère que les bonnes pratiques à adopter par les patients
ne sont pas assez partagées (55 % se disent « mal informés »). En conséquence, 61 % des patients et
proches déclarent ne pas avoir été informés par le personnel médical des bonnes pratiques à adopter
pour éviter les maladies nosocomiales lors de leur dernier séjour/dernière visite à l’hôpital.
Mieux vaut prévenir.
Les professionnels de santé sont certes unanimes sur l’amélioration de la prise en compte de cette
problématique (importante sensibilisation du personnel, formations internes, campagnes de
communication, mesures de précaution très strictes…), mais les protocoles de prévention des risques se
révèlent contraignants pour le personnel en contact avec les patients (lavage de mains très réguliers,
changement de gants lors des interventions chirurgicales...).
24 % des patients et leurs proches estiment en effet que lors de leur dernière visite à l’hôpital, les
bonnes pratiques pour éviter les infections nosocomiales n’avaient pas été respectées. Et
malheureusement, les demandes proactives d’informations interviennent surtout a posteriori en cas
d’infection effective. Les professionnels interrogés affirment que si une information liée spécifiquement aux
infections nosocomiales est systématiquement communiquée, elle peut encore manquer de visibilité, celle-
ci étant intégrée à la documentation technique fournie en amont de l’hospitalisation.
Autre axe de prévention, les politiques de stérilisation des établissements de soins montrent que la
tendance générale est de valoriser de plus en plus les consommables à usage unique. Ces derniers
représentent un avantage financier mais également d’efficacité, permettant d’alléger les process de
prévention pour le personnel.
Thibaut Hyvernat, Président Directeur Général de STERIMED déclare: « Nous avons réalisé cette
étude pour sensibiliser les français à ces maladies souvent évoquées mais encore méconnues, et surtout
pour identifier les pistes d’amélioration dans la prévention des risques. 76 % des Français estiment que la
prévention contre les infections nosocomiales doit être une priorité, un chiffre qui atteint même 80 % chez
les patients et leurs proches. Sterimed est particulièrement fier de son implication dans la lutte contre ces
infections. Aujourd’hui, plus d’un dispositif médical sur 4 utilisé dans le monde est protégé de la
contamination grâce à nos produits et la performance des emballages stérilisables est un élément clé pour
la protection des patients. »
ARJOWIGGINS HEALTHCARE devient STERIMED pour construire l’avenir:
Acteur de premier plan dans les solutions d’emballages de stérilisation et de prévention des infections, Sterimed
(anciennement Arjowiggins Healthcare), produit et transforme des papiers et substrats utilisés pour emballer les
dispositifs médicaux stériles (seringues, sets de soin, champs opératoires, cathéters,…). Le groupe commercialise ses
produits dans plus de 70 pays grâce à ses 9 bureaux commerciaux (Paris (FR), Palalda (FR), Brno (CZ), Helsingborg
(SW), Charleston (USA), Miami, Shanghaï, Tokyo et Hong-Kong), et opère depuis 4 sites dans le monde (France,
Etats-Unis, République tchèque et Chine). Avec le soutien de Meeschaert Capital Partners, un partenaire financier
solide depuis début 2016, Sterimed a l’ambition de poursuivre son développement de manière active au service de ses
clients, en comptant sur la créativité de ses collaborateurs, représentants de plus de 15 nationalités.