La sentence de l’islam concernant le travail de la femme en dehors de son foyer
10:57 2010 ﺮﺒوﺘﻜأ 07 ,ﺲﻴﻤﺨﻠا
avant l’Islam(l’époque de l’ignorance).Accomplissez la Prière, acquittez-vous de
l’Aumône légale, et obéissez à Allah et à Son messager, Allah ne veut que vous
débarrasser de toute souillure, ô les gens de la maison(du prophète),et vous
purifier pleinement.»[Les Coalisés/ Al Ahzab(33)] restez dans vos foyers; c’est à
dire gardez votre stabilité chez vous, n’y sortez que pour une vraie nécessité. Le
messager d’Allah, que Son salut soit sur lui, a dit:«il vous(les femmes) a été
autorisé de sortir à vos besoins.»Rapporté par El Boukhari (5237) et Mouslim
(2170), tandis que pour affermir ce précepte (la constance de la femme dans sa
maison), l’Islam n’a pas obligé la femme de sortir pour la prière en commun ni
celle du vendredi, ni de participer dans la guerre (sainte) dans le sentier d’Allah,
de même, il ne lui a pas imposé de sortir pour gagner sa vie, mais il a confié cela
à son père/ou tuteur légal, puis à son époux, après le mariage. Alors que tout cela
était pour son intérêt, et pour l’intérêt de la société; car Allah Exalté soit-Il, Le
Connaisseur de l’invisible tout comme le visible, c’est Lui qui a créé la femme, Il
sait parfaitement ses capacités et la limite de sa résistance, Il lui a légiféré alors
des sentences qui conviennent à sa nature et à sa féminité, bien que la
société(nation) tire également, de la constance de la femme dans son foyer,
d’immenses profits, par rapport, à son apparition en dehors de chez elle sans
nécessité. Quant aux motifs licitement justifiés pour sortir, tels que gagner sa vie
ou apprendre une science nécessaire, elle peut le faire, mais sous certaines
conditions(7):
Qu’elle sorte pudiquement couverte dans son voile licite et ses bonnes mœurs
(c’est une condition obligatoire pour toute sortie)
Que son besoin de sortir soit vraiment et licitement justifié, non pas pour les
commodités de la vie ou pour avoir des sciences qu’elle n’en aura pas besoin.
Qu’elle n’ait pas une dépense à cause de la pauvreté de son tuteur légal ou son
époux, et que ces derniers n’aient pas une source légale de pitance (gagne pain)
comme par exemple les subventions, la Zakat ou aumônes.
Qu’elle ne parvienne pas à trouver un gagne pain chez elle, tel que la couture, la
broderie, la confection des gâteaux, les travaux informatiques, ou autres, pour
éviter de sortir.
Que ce métier ne déroge pas à l’Islam tel que la vente du vin, l’isolement et la
fréquentation douteuse des hommes.
Que son travail ne soit pas discordant à sa douce nature, ni à sa tendre féminité,
ni à ses habilités et capacités déterminées; donc elle ne doit pas travailler, par
exemple, dans la réparation des routes, ni dans la construction des ponts, ni au
nettoyage des égouts, ni dans un travail éreintant (corvée), ni dans la
ferronnerie…etc.
Que son travail ne l’oblige pas à négliger son propre ménage, ni ses devoirs
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