Dr Christian Balamou, Gwladys Bichat – 04 74 45 30 30 – odlc01@odlc.org – www.depistagecancer01.org
Communiqué de presse
Bourg-en-Bresse, le 10 mars 2015
Le « Côlon Tour » à Ambérieu-en-Bugey, samedi 21 et dimanche 22 mars 2015 pour
promouvoir le dépistage organisé du cancer colorectal
30,9 % de participation au dépistage organisé du cancer colorectal en 2013-2014 dans l’Ain,
c’est insuffisant !
Mars sera, une nouvelle fois, le mois de la mobilisation contre le cancer colorectal. L’occasion de
rappeler qu’avec 42 152
1
nouveaux cas estimés en 2012 en France métropolitaine (23 226 hommes et
18 926 femmes), ce cancer reste le 2
ème
cancer le plus meurtrier et le 3
ème
cancer le plus fréquent.
Pourtant, détecté tôt, il guérit dans 9 cas sur 10. Un paradoxe qui invite à rappeler la gravité de ce
cancer qui touche aussi bien les femmes que les hommes, et l’importance de sa détection précoce.
Depuis 2012, le comité départemental de la Ligue contre le cancer de l’Ain organise en
partenariat avec l’Office De Lutte contre le Cancer de l’Ain (ODLC 01), la fondation ARCAD (Aide et
recherche en cancérologie digestive) et la SFED (Société française d'endoscopie digestive), un Côlon
Tour® dans des villes du département de l’Ain. Cette année, le Côlon Tour® sera présent à Ambérieu-
en-Bugey, les samedi 21 et dimanche 22 mars 2015 à l’occasion du salon Forme Santé Bien-Etre pour
promouvoir le dépistage organisé du cancer colorectal.
Grâce à une structure gonflable d’une longueur de 12 mètres représentant l’intérieur du côlon, les
partenaires du Côlon Tour® proposent aux visiteurs :
• une information sur le développement d’un cancer colorectal : visualiser et parcourir l'intérieur
d’un côlon pour comprendre comment est fait notre corps et les différents stades des lésions
(diverticules, polypes (adénomes) plans, sessiles ou pédiculés et cancer).
• une information sur la coloscopie et son rôle : grâce à la présence de médecins gastroentérologues
qui permet de mieux comprendre à qui s’adresse cet examen, pourquoi et comment il se pratique.
•
une sensibilisation sur le dépistage organisé, les traitements et les chances de guérison : le
diagnostic à un stade précoce garantit des traitements plus courts, moins douloureux, moins
mutilants et accroît fortement les chances de guérison.
• par de l’information et des échanges de dédramatiser un sujet qui reste encore tabou et
d’inciter les patients à l’aborder avec leurs médecins à partir de 50 ans.
1
Source : Les cancers en France, Les Données, INCa, janvier 2014.