11 Quelles sont les sources d’émission des différents gaz à effet de serre ?
L’effet de serre est un phénomène naturel qui est indispensable à la vie sur terre telle que nous la
connaissons ; sans lui, la température terrestre serait de -18°C au lieu des 15°C que l’on connaît
actuellement.
En fait, une partie du rayonnement solaire qui parvient à la surface est absorbée par la Terre qui
ensuite émet à son tour de l’énergie sous forme de rayonnement infrarouge. Certains gaz, comme la
vapeur d’eau, de CO2 ou le CH4 agissent comme le vitrage d’une serre et empêchent donc le
rayonnement de passer et donc l’énergie de s’échapper dans l’espace. C’est ce qu’on appelle l’effet
de serre.
Le principal gaz est la vapeur d’eau, mais celle-ci n’est pas prise en compte dans les gaz
problématique d’origine humaine durée de vie de 15 jours. Sa contribution au réchauffement est
négligeable.
Les sources d’émissions sont à la fois naturelles et anthropogènes. En effet, toute forme de
combustion ou de décomposition de matière végétale libère une certaine quantité de gaz à effet de
serre dans l’atmosphère.
Comme sources naturelles d’émission, on peut penser aux incendies de forêts (pas d’origine
criminelle), des éruptions de volcans ou encore la respiration végétale ou animale.
Les gaz à effet de serre d’origine humaine (ou « anthropogène ») sont :
* le dioxyde de carbone (CO2)
* le méthane (CH4)
* le protoxyde d’azote (N2O)
* les chlorofluorocarbones (CFC) et les hydrofluorocarbures (HFC)
Le CO2 représente 63% des gaz à effet de serre. En fait, il existe un cycle du carbone qui se joue
entre océans, atmosphère, lithosphère et biosphère. C’est un cycle lié à la production et la
destruction de la végétation : les plantes, en grandissant, emmagasinent du CO2 qu’elles relâchent
lorsqu’elles meurent. Il y a également de grandes quantités de CO2 présentes dans les sols (1'600 gt).
Mais la plus grande partie du CO2 est absorbée par les océans (38'000 gt + 2 par... )
Le transport aérien mondial émet davantage de gaz à effet de serre que l'ensemble des activités d'un
pays comme la France. Par exemple, un aller-retour Paris-New-York émet près d'une tonne de CO2
par passager. Un voyageur en avion émet environ 140 g de CO2 au km, contre 100 g pour un
automobiliste.
Introduction :
Depuis la nuit des temps, notre surface terrestre est soumis à un processus naturel qui nous est
très indispensables par le mécanisme de ses gaz dites gaz à effet de serre. Ces derniers
Naturellement présents dans l’atmosphère jadis, étaient pour la survie surtout des êtres humains,
l’accumulation de ces gaz aujourd’hui dans l’atmosphère est soupçonné à l’origine du récent
réchauffement climatique d’où ces conséquences qui fait l’objet de notre sujet de ce jour
Définition
Nous ne pouvions entrer dans le vif de notre sujet sans pourtant définir le terme clés de
notre sujet. C’est ainsi on a :
Effet de serre : est un processus naturel qui, pour une absorption donnée d’énergie
électromagnétique, confère au corps qui reçoit cette énergie une température de surface nettement
supérieure à une situation «sans effet de serre». L’usage courant de cette expression est une
généralisation du phénomène empiriquement bien connu qui permet aux serres (c’est une structure
généralement close destinée à la production agricole) de maintenir les cultures à une température
plus élevée.
Gaz à effet de serre : sont des composantes gazeuses qui absorbent le rayonnement infrarouge émis
par la surface terrestre contribuant à l’effet. Notons que ces gaz sont naturellement présents dans
l’atmosphère (la vapeur d’eau(H2O),le dioxyde de carbone(CO2),le méthane(CH4),le protoxyde
d’azote(N2O), et l’ozone(O3)) et représentent moins de 1% de l’ensemble des composants la
constituant.
L’atmosphère : Enveloppe gazeuse entourant un corps céleste et pouvant contenir des particules en
suspension (poussière, gaz, aérosols)
3. Effet de serre, l’homme causes principales du réchauffement climatique :
L’effet de serre est principalement dû à la vapeur d’eau (0,3% en volume,55% de l’effet de serre) et
aux nuages(17% de l’effet de serre) soit environ de 72% pour H2O, porte la température moyenne à
la surface terrestre de -18degré Celsius(ce quelle serait à son absence) à +15 degré Celsius. Une
faible minorité affirme que seuls les nuages et non les vapeurs d’H2O ont un effet sur la
température du globe. Néanmoins le dioxyde de carbone est la principal gaz à effet de serre produit
par l’activité humaine soit 74% du total. L’utilisation massive des combustibles fossiles(charbon, les
produits pétroliers, le gaz naturel etc..) :en dizaines d’années, on a rejette dans l’atmosphère des
quantités considérables de dioxyde de carbone provenant de carbone longuement accumulé dans le
sous-sol depuis l’ère primaire, l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère qui en résulte peut être un
facteur de réchauffement climatique. En 2007, le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur
l’évolution du climat)indique que l’homme semble être, avec une probabilité d’environ de 90%,
responsable du changement climatique. Mais de plus en plus que les scientifiques et les spécialistes
du climat comme Roger A pielke, pensent que l’influence de l’homme sur le changement climatique
est plus complexe que seulement un accroissement de C02 qui est un gaz important et dangereux de
l’effet de serre d’où son accumulation dans l’atmosphère est de nos jours un handicap considérable
pour l’humanité. C’est ainsi l’effet de serre est soupçonné la cause principale du réchauffement
climatique.
4. Conséquences :
Ces conséquences sont visibles dans plusieurs plans notamment notre planète qui en périt.
Aujourd’hui l’accumulation des GES (gaz à effet de serre) s’avère nocive pour ce dernier. C’est ainsi
on assiste à des tsunamis, des séismes, des volcans, à des disparitions de certains espèces bref à
plein de choses qui nuisent à l’homme surtout à sa santé. D’après les scientifiques ,l'augmentation de
la température provoquerait d'abord une augmentation mécanique du volume d'eau de mer par
dilatation et par la fonte des glaciers (et non des icebergs), qui engloutiraient une partie des terres
(les îles coralliennes, comme les îles Maldives sont les premières menacées), mettrait en danger de
nombreuses espèces et pourrait être à l'origine de la dégradation du premier « poumon » de la Terre
: le phytoplancton (produisant 80 % de l'oxygène terrestre et absorbant une part non négligeable de
dioxyde de carbone).
D'autres conséquences comme l'augmentation de la pluviométrie ou la modification des courants
marins pourraient être désastreuses. Des conséquences plus ou moins difficiles à prévoir risquent de
provoquer un véritable changement climatique. Les scientifiques prévoient une augmentation de 1,5
°C à 6 °C (une telle marge d'erreur signifie en fait : on en sait rien précisément !) pour le siècle à venir
en supposant que l'augmentation des rejets de GES continue au rythme actuel. Un arrêt total des
rejets de carbone n'empêcherait cependant pas la température moyenne de la planète de continuer
à augmenter pendant plusieurs dizaines voire centaines d'années.
Dans tous cela la flore et la faune ne sont pas épargnées. Cela s’explique par ce qui suit La surface de
la Terre qui se refroidit en émettant un rayonnement est comparé à un joueur de tennis qui envoie
des balles : certaines des balles envoyées heurtent le filet et reviennent vers lui. D’une façon
semblable, une partie des rayonnements qui sont arrêtés (parce qu’ils sont absorbés) par ces gaz
reviennent au bout du compte vers la surface de la Terre et la réchauffent. Ces gaz ont donc
contribué à réchauffer la surface de la Terre. Il se passe la même chose dans une serre de jardinier :
la vitre, transparente, laisse bien passer les rayons du soleil (tout comme l’atmosphère elle aussi,
laisse passer les rayons du soleil), mais absorbe une partie des rayons invisibles émis par le sol et les
réémet en partie vers le sol, ce qui réchauffe ce dernier. C’est ainsi que ces répercutions s’affichent
sur ces constituants, la faune et la flore.
5. Lutte :
Le développement durable, c’est réussir à concilier les activités des entreprises tout en préservant
l’environnement. De nombreux pays se sont engagés dans cette voie, avec des objectifs concrets
pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et préserver la planète. Pour lutter contre ce
phénomène qui menace la planète mais aussi l’homme, il n’y a pas de secret : il faut réduire nos
émissions de carbone. L’un des premiers gestes à faire, c’est de repenser les transports et la voiture.
6. Conclusion.
L’effet de serre est un phénomène naturel qui permet à notre planète d’accueillir la vie. Sans lui, la
température à la surface terrestre serait de l’ordre de -18°C ! Avec cette vitesse de concentration de
GES dans l’atmosphère, nous laisse croire que notre planète tend vers son déclin si rien n’est fait.
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