4. Conséquences :
Ces conséquences sont visibles dans plusieurs plans notamment notre planète qui en périt.
Aujourd’hui l’accumulation des GES (gaz à effet de serre) s’avère nocive pour ce dernier. C’est ainsi
on assiste à des tsunamis, des séismes, des volcans, à des disparitions de certains espèces bref à
plein de choses qui nuisent à l’homme surtout à sa santé. D’après les scientifiques ,l'augmentation de
la température provoquerait d'abord une augmentation mécanique du volume d'eau de mer par
dilatation et par la fonte des glaciers (et non des icebergs), qui engloutiraient une partie des terres
(les îles coralliennes, comme les îles Maldives sont les premières menacées), mettrait en danger de
nombreuses espèces et pourrait être à l'origine de la dégradation du premier « poumon » de la Terre
: le phytoplancton (produisant 80 % de l'oxygène terrestre et absorbant une part non négligeable de
dioxyde de carbone).
D'autres conséquences comme l'augmentation de la pluviométrie ou la modification des courants
marins pourraient être désastreuses. Des conséquences plus ou moins difficiles à prévoir risquent de
provoquer un véritable changement climatique. Les scientifiques prévoient une augmentation de 1,5
°C à 6 °C (une telle marge d'erreur signifie en fait : on en sait rien précisément !) pour le siècle à venir
en supposant que l'augmentation des rejets de GES continue au rythme actuel. Un arrêt total des
rejets de carbone n'empêcherait cependant pas la température moyenne de la planète de continuer
à augmenter pendant plusieurs dizaines voire centaines d'années.
Dans tous cela la flore et la faune ne sont pas épargnées. Cela s’explique par ce qui suit La surface de
la Terre qui se refroidit en émettant un rayonnement est comparé à un joueur de tennis qui envoie
des balles : certaines des balles envoyées heurtent le filet et reviennent vers lui. D’une façon
semblable, une partie des rayonnements qui sont arrêtés (parce qu’ils sont absorbés) par ces gaz
reviennent au bout du compte vers la surface de la Terre et la réchauffent. Ces gaz ont donc
contribué à réchauffer la surface de la Terre. Il se passe la même chose dans une serre de jardinier :
la vitre, transparente, laisse bien passer les rayons du soleil (tout comme l’atmosphère elle aussi,
laisse passer les rayons du soleil), mais absorbe une partie des rayons invisibles émis par le sol et les
réémet en partie vers le sol, ce qui réchauffe ce dernier. C’est ainsi que ces répercutions s’affichent
sur ces constituants, la faune et la flore.
5. Lutte :
Le développement durable, c’est réussir à concilier les activités des entreprises tout en préservant
l’environnement. De nombreux pays se sont engagés dans cette voie, avec des objectifs concrets
pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et préserver la planète. Pour lutter contre ce
phénomène qui menace la planète mais aussi l’homme, il n’y a pas de secret : il faut réduire nos
émissions de carbone. L’un des premiers gestes à faire, c’est de repenser les transports et la voiture.
6. Conclusion.
L’effet de serre est un phénomène naturel qui permet à notre planète d’accueillir la vie. Sans lui, la
température à la surface terrestre serait de l’ordre de -18°C ! Avec cette vitesse de concentration de
GES dans l’atmosphère, nous laisse croire que notre planète tend vers son déclin si rien n’est fait.