Arc-en-ciel Cyclone Nuage Orage Tempête Brouillard Neige Tsunami 9. C' est un phénomène optique et météorologique qui rend visible le spectre continu de la lumière du ciel quand le soleil brille pendant la pluie. Bien qu'il couvre un spectre de couleurs continu, il est courant de distinguer plusieurs couleurs significatives. Afin de pouvoir mémoriser l'ordre de celles-ci, Isaac Newton le découpa arbitrairement en sept couleurs : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet. 2. C'est un phénomène météorologique violent à large échelle dite synoptique, avec un diamètre compris en général entre 200 à 1 000 km, caractérisé par des vents rapides et des précipitations intenses. Elle peut être accompagnée d'orages donnant des éclairs et du tonnerre ainsi que de la grêle et des tornades. Vaguessubmersion Avalanches 4. Il est formé d'un ensemble de gouttelettes d'eau ou de cristaux de glace en suspension dans l'air. Son aspect dépend de la lumière qu'il reçoit et des particules qui le constituent. Il se forme par condensation de la vapeur d'eau lorsque l'air humide se refroidit. 3. C'est un phénomène météorologique constitué d’un amas de fines gouttelettes ou de fins cristaux de glace, accompagné de fines particules hygroscopiques saturées d'eau, souvent de taille microscopique, réduisant la visibilité en surface. Sa composition est donc identique à celle d'un nuage dont la base toucherait le sol. Lorsque les conditions sont réunies, il peut être givrant : si la température du sol et des objets baignés par la nappe est inférieure à 0 °C, les gouttelettes en suspension gèlent en se déposant, formant du givre (ou du verglas sur une chaussée). 8. C'est d'abord une forme de précipitation naturelle constituée de glace cristallisée agglomérée en flocons contenant de l'air et pouvant être ramifiés de façons très variées. Elle se forme par la condensation de la vapeur d'eau dans les hautes couches de l'atmosphère puis, selon sa structure, tombe ensuite plus ou moins vite à terre. Les petites particules de glace et l'air des flocons peuvent avoir aussi bien une structure ouverte et donc légère qu'un aspect plus compact voisin de celui de la grêle, même si la formation de celle-ci n'a rien à voir. 6. C'est une série d'ondes de très grande période se propageant à travers un milieu aquatique (océan, mer ou lac), issues du brusque mouvement d'un grand volume d'eau, provoqué généralement par un séisme, un glissement de terrain sousmarin ou une explosion volcanique, et pouvant se transformer, en atteignant les côtes, en vagues destructrices déferlantes de très grande hauteur. 10. C’est un phénomène atmosphérique caractérisé par une série d'éclairs et de coups de tonnerre. Un éclair peut se déclencher à l'intérieur du nuage, entre deux nuages, ou entre le nuage et le sol (c'est le coup de foudre). Ce phénomène est toujours lié à la présence d'un nuage de type cumulonimbus. Il est souvent accompagné par un ensemble de phénomènes violents : rafales de vent, précipitations intenses grêle parfois - et quelquefois vents rabattants, ou bien trombe ou tornade. Il se forme lorsque l'atmosphère est instable. L'air doit alors être chaud en surface et froid en altitude. 7. Chaque année, les régions tropicales sont le siège de violentes perturbations atmosphériques. Ces phénomènes tourbillonnaires tournent dans le sens des aiguilles d'une montre dans l'hémisphère sud et dans le sens contraire dans l'hémisphère nord. Ils mesurent de 500 à 1000 km de diamètre et sont pourvus d'un centre visible sur les images satellitaires appelé “ œil ”. D'un diamètre de 30 à 60 km en général (parfois jusqu'à 150 km), cet œil est une zone d'accalmie : pas de pluie, vent faible. 1. Elles peuvent affecter l'ensemble du littoral de métropole, y compris en Méditerranée où la marée est de faible amplitude. A la différence d'autres phénomènes météorologiques dangereux, comme le vent fort, ce phénomène est très localisé. 5. Elles peuvent être “ spontanées ” ou “ naturelles ”, lorsqu'elles se déclenchent sous l'action directe et immédiate de facteurs météorologiques : fortes chutes de neige, réchauffement important, surtout s'il est accompagné de pluie. Elles peuvent être “ provoquées ”, ou “ accidentelles ”. Dans ce cas, elles nécessitent une action extérieure au manteau neigeux pour se déclencher. Il peut s'agir d'une action volontaire et préventive pour les déclenchements réalisés par les pisteurs artificiers à l'aide d'explosifs, ou bien d'une action involontaire pour les déclenchements liés au passage de skieurs, dont le poids entraîne la rupture d'une plaque de neige.