Milieux ferromagnétiques et puissance en régime sinusoïdal page 1/3
MILIEUX FERROMAGNÉTIQUES ET PUISSANCE
EN RÉGIME SINUSOÏDAL
VRAI FAUX
L’aimantation est une grandeur mesurable.
Les densités de courants liées ne sont pas mesurables avec un ampèremètre.
Les densités de courants liées n’apparaissent pas dans l’équation de Maxwell-Ampère
avec le champ magnétique.
ont la même dimension.
En présence d’un milieu magnétique, les sources du champ magnétiques sont les courants
libres.
Le théorème d’Ampère dans les milieux magnétiques n’est valable que dans l’ARQS.
Le théorème d’Ampère dans les milieux magnétiques n’est valable que dans les milieux
LHI.
Les équations de Maxwell dans les milieux magnétiques permettent de déterminer les
champs
Les milieux LHI non ferromagnétiques permettent de créer des champ magnétiques
intenses.
Dans un milieux ferromagnétique, les vecteurs
sont colinéaires.
Dans un milieux ferromagnétique, les relations entre les valeurs algébriques
sont colinéaires.
Un matériau ferromagnétique aimanté se désaimante en l’absence d’excitation.
Un matériau ferromagnétique dur est facile à désaimanter.
Les noyaux ferromagnétiques des bobines à noyau ou des moteurs sont doux..
L’inductance propre d’une bobine dépend de son noyau ferromagnétique.
Dans un circuit magnétique, la norme du champ magnétique a la même valeur dans le
noyau et dans l’entrefer (étroit).
Dans un circuit magnétique, la norme de l’excitation magnétique a la même valeur dans le
noyau et dans l’entrefer (étroit).
L’hystérésis engendre des pertes par effet Joule.
Un milieu doux a très peu de pertes par hystérésis.
Les pertes par courants de Foucault sont les pertes par effet Joule dans les fils de cuivre
entourant le noyau ferromagnétique.
I-1) On considère la surface de séparation entre le vide et un milieu magnétique L.H.I.
isolant, de perméabilité magnétique µ
1-a) En calculant le flux du champ magntéique à travers une surface fermée passant par deux
points très voisins de la surface, l’un à l’intérieur du milieu et l’autre à l’extérieur, montrer que la
composante normale du champ magnétique est identique de part et d’autre de la surface (on parle
de continuité de la composante).
b) En utilisant le théorème d’Ampère sur un contour passant par les deux points
précédents, montrer que la composante tangentielle de l’excitation est aussi continue.
2) Une plaque mince d’épaisseur constante d’un milieu magnétique isolant L.H.I tel que
M H= χ
est placée dans un champ magnétique extérieur
0
perpendiculaire aux faces de la