REMERCIEMENTS
Je remercie tout d'abord celle à qui j'ai dit que je cesserais d'être avocat, et qui n'a jamais
esquissé la moindre réaction négative, alors que c'était sa profession pendant de nombreuses
années, se contentant de manifester un soutien et une affection énorme envers ma décision. Je
garde ses mots dans mon cœur : « l'amour n’interdit pas, l'amour nous soutient et nous
encourage à oser les envols auxquels notre âme nous invite. L'amour est, plus que tout,
généreux. L'amour n'enseigne pas, il crée seulement les conditions pour que nous puissions
apprendre de nous-mêmes ». J'exprime ma reconnaissance à tous ceux qui m'ont soutenu, pour
l'énorme générosité dont ils ont fait preuve tout au long de ce travail qui a occupé des années
importantes de ma formation – et de ma vie. Il ne fait pas de doute que j'ai aussi conçu ce travail
sous le signe de la générosité, bien que ce soit une certaine souplesse de la volonté qui m'ait
obligé à décider du moment d'y mettre un terme.
Je tiens à exprimer ma reconnaissance envers mon cher directeur Renato Lessa, dans la
ferme conviction (ou croyance) que tant de désaccords théoriques n'impliqueront jamais aucune
epochè de l'affection et du respect mutuels. Je remercie aussi mon estimé professeur César
Guimarães, pour son don singulier de comprendre les intentions de l'autre y compris lorsque
celles-ci sont encore obscures pour ceux mêmes qui les portent. César a été pour moi l'une des
influences les plus notables, non seulement dans ma manière de penser mais aussi pour le
développement de ma sensibilité intellectuelle. Je remercie également le professeur Bernardo
Ferreira. Et je tiens également à exprimer mes remerciements au corps enseignant de l'ancien
IUPERJ et de l'actuel IESP-UERJ, aux professeurs Luiz Werneck Vianna, Marcelo Jasmin,
Frédéric Vandenberghe, Ricardo Benzaquen. Je remercie également le professeur Christian
Lynch pour sa disposition à m'aider lorsque ont surgi les derniers obstacles administratifs à la
fixation de ma date de soutenance.
Je remercie Thaís Aguiar de m'avoir suggéré d'envoyer un projet de thèse au professeur
Étienne Balibar, professeur émérite de l'Université Paris Ouest Nanterre La Défense, qui m'a
fort gentiment tracé nombre de perspectives importantes et m'a conduit à la direction de Laurent
Bove, professeur de l'Université d'Amiens. C'était le début de sept années de dialogue avec le
professeur Laurent Bove, qui m'a reçu au cours de ma période de recherche en France, et dont
les cours et ouvrages ont joué un rôle déterminant dans le développement de ma recherche. Je
remercie également les professeurs Jean-François Kérvegan, Lorenzo Vinciguerra et Vittorio