ALLEGORIE Représentation de façon imagée une idée abstraite

ALLEGORIE
Représentation de façon imagée une idée abstraite. Souvent comme
une personnification, donc majuscule pour l'identifier. Le Temps mange la vie.
ALLITERATION Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots. Aboli bibelot d'inanité sonore.
ANAPHORE
Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de
phrase ou de vers pour insister sur une idée ou produire un effet de
symétrie.
Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout
les fruits.
ANTITHESE 2 termes de sens opposés dans une même phrase. Le navire était noir, mais la voile était blanche.
ASSONANCE Répétition d’un même son voyelle dans un groupe de mots. (Assonance en [u]) Je vous envoie un bouquet de
Ronsard.
CHIASME Ordre inverse des mots de deux propositions qui s'opposent.
Il regarde longtemps, longtemps cherche sans voir. /
Ces murs, maudits par dieu, par Satan profanés. / Il
était très riche en défauts, en qualités très pauvre.
COMPARAISON
Établir un parallèle entre un comparé et un comparant à l’aide d’un
mot-outil (comme, semblable à...). Tes yeux sont bleus comme le ciel.
ELLIPSE
Omission d'un ou de plusieurs mots à l'intérieur d'une phrase, leur
absence ne nuisant ni à la compréhension ni à la syntaxe.
(Ellipse du verbe) Pierre mange des cerises, Paul des
fraises.
ENUMERATION
ACCUMULATION
Juxtaposition d'une série de termes. Un gros meuble à tiroirs encombrés de bilans, de vers,
de billets doux, de procès, de romances.
EUPHEMISME Formulation adoucie d’une idée qui pourrait paraître trop brutale. Les non-voyants (aveugles) / Il est décédé (il est mort)
GRADATION
Succession de mots ou d'expressions de sens voisins et dont l'ordre
traduit une progression croissante ou décroissante. Elles piaillaient, beuglaient, hurlaient.
HYPERBOLE Exagération dans le choix des mots pour choquer les esprits. Un bruit à réveiller un mort. / Verser des torrents de
larmes.
LITOTE Dire moins pour faire comprendre plus. Ce n’est pas mauvais (c’est bon) / Va, je ne te hais
point (je t’aime)
METAPHORE
Assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés
sans outils de comparaison.
Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots.
Et tes mains, feuilles de l’automne. / Les étoiles
volaient dans les branches des arbres.
METONYMIE
Remplacer un élément par un autre élément appartenant au même
ensemble logique (contenu -> contenant ; partie -> tout).
Boire un verre./ Manger son assiette./ La salle
applaudit.
OXYMORE
Réunir à l’intérieur d’une même expression deux mots aux sens
opposés. Une obscure clarté.
PERIPHRASE
Remplacer un terme par une expression qui le définit. On pourrait le
dire en un seul mot. La capitale de la France. / Le roi des animaux.
PERSONNIFICATION Attribuer des qualités humaines à un objet inanimé. Cette rose aimable comme toi. / Un soleil voit naître et
mourir la rose.
PLEONASME Répétition de termes superflue. Un géant vraiment grand. / Descendre en bas.
PROSOPOPEE Faire parler un mort, un animal, une chose personnifiée
SYNECDOQUE
Remplacer un mot par un autre ayant une relation d’inclusion avec
celui-ci (la partie pour le tout ou la matière pour l'objet, ou le contenant
pour le contenu et inversement). Cas particulier de la métonymie : +
réaliste.
(Le tout pour la partie) Metz a gagné la finale. /
(La partie pour le tout) Je quitterai bientôt ces murs.
DETERMINANT
(pas de fonction,
se place devant le nom,
on peut le remplacer par
un déterminant,
on ne peut ni le déplacer,
ni le supprimer)
○ article
- défini
∙ contracté (au : à + le, du : de + l'/le, des : de + les)
∙ décontracté (la, les, le, l') devant les noms comptables
- indéfini (un, une, des)
- partitif (du, de la, de l', d', des) devant les noms non-comptables
relatif (lequel fruit fera l'affaire, auquel, duquel)
possessif (ses, son, sa, leur, mon, ta, notre, vos, ...)
démonstratif (cet, ce, ces, cette)
numéral/cardinal (deux, trois)
indéfini (plusieurs, aucun, certain, tout, chaque) : quantité + ou - précise
exclamatif (quel !)
interrogatif (quel ?)
PRONOM
(se place devant un verbe
ou un GN,
il a une fonction,
il remplace quelqu'un ou
quelque chose, sauf
impersonnel,
on peut le remplacer par
"quelque chose" ou
"quelqu'un")
numéral (ex : J'ai trois frères, deux sont avocats)
indéfini (tout, aucun, pas un, on, un tel, personne, nul, plusieurs, chacun, ...)
possessif (le mien, le sien, les leurs, ...)
interrogatif (ex : Qui vient demain ? Combien ? Que fais-tu ? Quoi ?, Lequel ?, Qui est-ce qui ?)
personnel (moi, il, nous, il m'amuse, il lui donne, en (COD ou COI), y (COI))
→ peut être réfléchi : il se trouve ... (sujet)
impersonnel (ex : il pleut)
démonstratif (C'est bien, celui, celle, celui-ci, celle-la, cela, ce, ceux)
relatif (qui (sujet), que (objet), quoi, dont, où, à, quiconque, de qui, auquel, lequel) peut se remplacer
par "tout homme qui" ou "toute chose que"
ADJECTIF
peut être attribut (avec un
verbe d'état, on ne peut
pas le supprimer) ou
épithète (on peut le
supprimer)
○ qualificatif (une eau claire, la crème solaire)
ordinal (la quatrième branche)
indéfini (autre, même,quelconque)
verbal (un bouquet refusé, un cœur aimant)
ADVERBE
on peut l'enlever,
invariable
temps ( demain, aujourd'hui, ...)
manière (-ment, ainsi, comme, comment, debout, ensemble, vite, volontiers, plutôt, mieux, ...)
lieu (-ci, là, ailleurs, ci-contre, là-bas, ici, ...)
quantité (beaucoup, très, moins)
opinion (oui, peut-être, volontiers)
liaison (cependant, pourtant, puis)
négation (ne pas, jamais)
locution adverbiale (à toute allure, nulle part, sans cesse, jamais de la vie, sans doute)
PREPOSITION
on ne peut pas l'enlever,
invariable
(à, par, sans, près de, autour de, grâce à, sauf, excepté, supposé, vu, y compris, dans, chez, de, en, tout est
compris, dans, ...)
CONJONCTION
on ne peut pas l'enlever,
n'a pas de fonction, ni
d'antécédent
coordination (mais, où, est, donc, or, ni, car)
subordination (que, qui, comme, lorsque, puisque, quand, quoique, si, afin que, au cas où)
INTERJECTION (whaou !, bim !, bam !, aïe !, mon dieu !, voyez donc !)
NOM abstrait/concret - humain/non humain - propre/commun - comptable/non comptable - simple/construit
VERBE
s'accorde en genre et en nombre invariable█ █
Déictique : on ne sait pas de quoi on parle.
Anaphore : reprise d'un être ou d'un objet mentionné.
Anaphore fidèle : reprise d'un même nom. Ex : Un chien est né. Ce chien est noir.
Anaphore infidèle : elle n'a rien à voir avec son antécédent. Ex : Du vase sont disposées des fleurs. Le sèvres était donc bien fleuri.
Anaphore libre : quand l'expression anaphorique prend son antécédent dans une autre proposition (≠ anaphore liée)
Anaphore liée : deux anaphores qui se suivent (n.b : tous les pronoms réfléchis sont des anaphores liées). Ex : Ils s'aiment. Je me
brosse les dents. Tu te laves. De quoi te mêles-tu ?
Anaphore distribuée/plurielle : elle se rapporte à 2 antécédents différents. Ex : Jean a rencontré Paul. Ils étaient contents.
Anaphore associative : ne désigne pas un objet déjà mentionné, mais un objet associé à un objet déjà mentionné.
Cataphore : situation où une expression anaphorique précède son antécédent. Ex : Quand il viendra, Pierre te verra.
Types de phrases : - déclarative, - exclamative (expression d'une émotion), - jussive (ordre), - interrogative (totale : oui/non, ou
partielle)
Points de vue : C'est très rare d'avoir des points de vue uniques dans un texte, souvent ça se mélange selon les passages.
Hétérodiégétique : narrateur qui n'est pas un personnage de l'histoire qu'il raconte. Pas de "je".
Homodiégétique : narrateur apparaît. Il peut faire des commentaires sur le récit ou être le personnage principal.
Autodiégétique : narrateur personnage principal.
Interne : action vue dans la tête du personnage.
Externe : narrateur extérieur aux événements qu'on nous raconte : on n'a pas accès aux pensées du personnage. Comme si c'était
quelqu'un de témoin.
Omniscient : narrateur qui voit tout et a accès aux pensées des personnages. Il sait tout.
Registre/genre épidictique : discours qui visent à louer ou à blâmer, ici c'est pour blâmer la cour du roi.
Un incipit (début de récit) : informer le lecteur d'un cadre (des informations sur le lieu, l'époque, un nouveau personnage) et à
donner envie au lecteur de lire la suite du livre.
Dans un commentaire, il faut observer :
la construction : * du texte (progression ? opposition ? …) * des phrases : longueur / rythme des phrases / constructions originales
(inversion, incises …)
les champs lexicaux : connotation ? oppositions ? associations intéressantes ?
les verbes : leur type (verbes d’état, de mouvement…)/ leurs temps/ leur mode (actif, passif)
l’énonciation : les pronoms, leur rôle/ implication de l’énonciateur ? (termes évaluatifs, affectifs, modalisateurs ) / interpellation du
destinataire (pronom, question, apostrophes) / types de phrases
les figures de style : images : personnifications, métaphores, comparaisons, énumérations, répétitions, anaphores, parallélismes,
hyperboles, antithèses, ironie…
le ou les registres : pathétique, tragique, lyrique, polémique, satirique, comique, épique, fantastique, réaliste
les effets sonores : allitérations, assonances
dans les textes narratifs : le statut du narrateur, la focalisation employée, la description (éléments, ordre, utilité …les mouvements,
ordre/désordre, les 5 éléments, les 5 sens, verticalité/horizontalité…), le traitement du temps : ordre rythme…, les personnages (rapports
entre eux, qui agit, qui subit …)
dans les textes poétiques : la mise en page du poème (pour distinguer immédiatement un poème à forme fixe d’un poème en prose)
la versification : le rythme, - les sonorités (disposition et richesse des rimes, allitérations (= répétition d’une même consonne), assonances
(= répétition d’une même voyelle) )
dans les textes théâtraux : les didascalies : attention, le théâtre est un langage multiple (gestes, décors, éclairages, bruitages, costumes
…), la double énonciation
dans les textes argumentatifs : - la stratégie argumentative : implicite/explicite, arguments, connecteurs logiques, concession réfutation,
convaincre persuader, rôle des exemples, - l’implication du locuteur
La concession :
Concéder consiste à reconnaître à la thèse adverse une part de vérité. Ses outils syntaxiques et lexicaux sont :
- des adverbes ou expressions adverbiales : naturellement, certes, bien sûr, en effet ...
- des verbes : reconnaître, admettre, concéder ... (parfois à l'impératif : "reconnaissons que ...")
- des tournures impersonnelles, des périphrases : il est vrai , il serait vain de nier ...
Donc toutes les formules qui laissent en suspens le "mais" ou le "pourtant".
Identification de la valeur des lettres :
Valeur phonologique Valeur morphologique (grammaticale)
de base de position auxiliaire zéro trigramme verbale nombre genre flexion verbale
sale vase, rose, geai geai toutmoment finitchevaux, centspetiteTu cries
- valeur de base : prononciation courante de la lettre. Ex : lavabo /!\ œ est un seul graphème /!\
- valeur de position : quand une lettre modifie la sonorité du mot. Ex : geai, ensemble
- valeur auxiliaire : quand un graphème n'est pas prononcé mais modifie la prononciation d'un autre graphème.
- valeur zéro : lettre muette, on ne l'entend pas et elle n'influe pas une autre lettre. Ex : hôpital
- valeur de digramme ou de trigramme : la lettre perd sa valeur de base , mais fait un nouveau son en association. Ex : pain
- valeur grammaticale : peut toucher la marque du pluriel, du genre, du verbe. Ça concerne les lettres finales.
/!\ toujours justifier la valeur de chaque lettre dans une copie. Ex : « rose » → prononciation [z] car le <s> est entre deux voyelles.
Accord du participe passé :
- sans auxiliaire : il a une fonction d'adjectif, il s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte. Ex : des fleurs
vendues.
- conjugué avec l'auxiliaire "être" : s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte.
- conjugué avec l'auxiliaire "avoir" : s'accorde en genre et en nombre QUAND le COD est avant le verbe. Quand il est après, il est
invariable.
- avec des verbes pronominaux : se conjuguent avec le verbe "être"
* réfléchis : le sujet fait l'action sur lui-même. Accord avec le sujet. Ex : ils se lavent les mains.
* réciproques : les sujets agissent les uns sur les autres. Même règle qu'avec l'aux. "avoir". Ex : ils se sont réconciliés /
elle s'est blessée / elle s'est blessé la main.
- placé entre deux "que" ou entre "que" et "qui" :
* toujours invariable quand c'est précédé de "que" et suivi de "qui". Ex : les hommes que j'avais prévenu qui viendraient.
* quand le 1er "que" est pronom relatif : accord. Ex : Les personnes que tu as prévenues que je viendrai.
- précédé de "en" : Les 2 choix sont possibles, c'est au choix du locuteur suivant qu'on désire "en" en tant qu'une entité ou
plusieurs choses. Ex : Voyez ces fruits, en avez vous mangé/és ?
QUE :
- "Que" introduit une proposition subordonnée qui a la fonction de sujet :
* Le verbe de la subordonnée se met à l'infinitif après des verbes qui expriment la certitude
Ex : Il est certain que vous êtes génial.
* Après des verbes qui expriment le doute, l'obligation ou la possibilité on utilise le subjonctif
Ex : Il est possible que vous soyez à l'heure.
* On utilise le conditionnel pour exprimer une condition
- "Que" introduit une proposition subordonnée qui a la fonction d'être attribut :
* Quand le fait est réel on utilise l'indicatif
Ex : L'essentiel est que nous sommes protégés.
* Quand le fait est envisagé ou souhaité on utilise le subjonctif
Ex : Son envie est que tu réussisses ton examen.
- "Que" introduit une proposition subordonnée qui a la fonction d'être COI ou COD :
* Le verbe de la subordonnée se met au présent après des verbes de déclaration, d'opinion, de perception (actions
avérées)
Ex : Je crois que tu ne dors pas.
* Le verbe de la subordonnée se met au subjonctif après des verbes de volonté, de doute ou de souhait
Ex : Si vous pensez que l'amour fasse le bonheur …
- "Que" introduit une proposition subordonnée qui a la fonction d'être CC :
* Quand le fait est avéré on utilise l'indicatif
* Quand le fait n'est pas avéré ou douteux on utilise le subjonctif
- "Après que" : se construit toujours avec l'indicatif ou le conditionnel. /!\ Ne jamais mettre de subjonctif à "après que" /!\
Ex : Il ferme la porte après que vous êtes sortis.
- "afin que", "pour que", "de peur que", "bien que", "encore que", … : On met toujours du subjonctif juste après.
La proposition indépendante
Cest une proposition qui se suffit à elle-même : sa construction et son sens sont complets. Elle ne s’appuie sur aucune autre
proposition. Ex : La brise caresse les vagues indolentes et le soleil lézarde l’azur. → Cette phrase comporte deux propositions
indépendantes reliées par une conjonction de coordination.
La proposition principale
Cest une proposition dont dépend une autre proposition, appelée proposition subordonnée. Ex : Depuis que le vent est tombé, la
surface de la mer semble immobile. → La proposition principale dépend de la proposition subordonnée : Depuis que le vent est tombé.
La proposition subordonnée
Cest une proposition qui dépend d’une autre proposition, dite proposition principale. Elle est introduite par un mot
subordonnant (une conjonction de subordination ou un pronom relatif). Sa construction ne se suffit pas à elle-même : seule, elle
ne pourrait constituer une phrase correcte. Ex : Depuis que le vent est tombé, la surface de la mer semble immobile. → La
proposition subordonnée Depuis que le vent est tombé dépend de l’autre proposition.
Natures des propositions subordonnées (peuvent être supprimées, remplacées par un pronom, mais pas déplacées)
→ Elle complète un nom,
ou un pronom Proposition subordonnée relative
→ Elle complète un verbe
→ Elle est sujet, COD,
COI, attribut
Proposition
subordonnée
complétive
(= substantive)
Proposition subordonnée complétive conjonctive
Proposition subordonnée complétive interrogative
Proposition subordonnée complétive infinitive
→ Elle est CC du
verbe de la principale
Proposition subordonnée (conjonctive) circonstancielle (= adverbiale)
Proposition subordonnée participiale
- Proposition subordonnée relative : Elle a un rôle d'adjectif. Elle est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où,
auquel, lequel, laquelle, …) et souvent elle complète un nom (son antécédent). Ex : Antoinette jette les lettres que sa mère lui a
écrites. (fonction de CDN) / Voici ce grand ami qui m'a toujours aidé. (fonction de CDN) / Qui m'aime me suive. (fonction de nom) /
Qui a bu perdra.(fonction de nom) / Paul, qui allait partir, a reçu une visite. (fonction de CC)
- Proposition subordonnée complétive conjonctive : Elle complète un verbe. Elle est introduite par la conjonction de
subordination : "que" ou par une locution conjonctive (ce que, par lequel, ...). Le mot subordonnant n'a pas de fonction.
→ Elle peut être COD. Ex : Je veux que tu partes. - Je désire que vous réussissiez l'examen.
→ Elle peut être COI. Ex : Je m'attends à ce que tu partes.
→ Elle peut être attribut du sujet. Ex : Son souhait est que tu partes.
→ Elle peut être CDN. Ex : L'idée qu'il ait gagné me rend jalouse. / Elle conserve l'espoir qui me guérira. (pas d'antécédent)
→ Elle peut être sujet du verbe de la principale. Ex : Que tu partes m'arrangerait./ Qu'elle vienne me surprendrait.
- Proposition subordonnée complétive interrogative : * indirecte : Elle sert à rapporter une question au discours indirect. Elle est
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