Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire 12/10/2015 HERMET Laure L2 CR : Clémentine Payrastre Tissu sanguin et système immunitaire OLIVE Daniel 16 pages Mise en place de la réponse immunitaire Plan A. Introduction I. Maladies congénitales et virales II. Les différentes réponses immunitaires et cinétiques III. Rôle des cytokines et lymphocytes T IV. Différentes réactions aux agents infectieux B. Cytokines et interleukines I. Définitions II. Mécanisme C. Lymphocytes T I. Récepteur T II. Formation LT III. Activation LT IV. Rôle des LT D. Lymphocytes B I. Définitions II. Comparaison avec les LT 1/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire A. Introduction I. Maladies congénitales et virales Les diapos sont là pour aider, ne pas apprendre par cœur Les déficits immunitaires combinés sévères correspondent à un type des syndromes. Le point commun est l'absence de lymphocytes B (LB) ou T (LT) Les conséquences : chez ses enfants, ils ont des déficits immunitaires donnant des infections très importantes, mais on arrive à les guérir (CR : guérison possible grâce à la transplantation de moële osseuse) 2/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire Le point de départ : identification de patient atteint du sida (VIH, déficit immunitaire aussi) Les patients décèdent de cancers ou d'infections → leur point commun est la disparition des LT CD4 au fur et à mesure que le virus se développe Quand l'anomalie est grave et qu'on a plus de lymphocytes, il n'y a plus de réponse immunitaire et le patient meurt Le lymphocyte T est le cœur du système immun. II. Les différentes réponses immunitaires et cinétiques La plupart des contacts avec l'extérieur sont bien gérés : par les muqueuses, l'épiderme qui empêchent les corps étrangers de rentrer. Mais dès qu'il y a une brèche, les pathogènes peuvent entrer Les acteurs de la réponse immune innée vont s'en charger : les macrophages, les natural killer etc. La réponse immunitaire va se mettre en marche après ce signe d'alerte et tout va se mettre en route pour stimuler les lymphocytes. Définitions : – Immunité innée : l'acteur de la réponse est déjà prêt à l'emploi, présent, il n'a pas besoin de se préparer. Il va agir dans les secondes/minutes/heures qui suivent. Les acteurs sont les polynucléaires, macrophages etc. – Immunité adaptative = acquise : le système n'est pas prêt à fonctionner. Les cellules sont présentes mais on a besoin d'étapes pour qu'elles puissent fonctionner correctement. 3/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire Schéma de la cinétique de ce qu'il se passe quand un pathogène pénètre L'immunité innée démarre directement et on a un processus silencieux avec la mise en route des systèmes T et B qui se fait progressivement. Le système T et B ne peut pas fonctionner pendant une fenêtre de 5-7 jours (temps pour la mise en place). L'immunité innée permet donc de gérer l'infection si possible, et permet la mise en route du système T et B Les anticorps et lymphocytes prennent en charge le pathogène et l'éliminent. III. Rôle des cytokines et lymphocytes T On peut mesurer ce qu'il se passe dans le sang. Les deux premières courbes montrent l'immunité innée qui prépare la mise en route des lymphocytes T (dernière courbe, la plus tardive). On peut détecter dans le sang des facteurs solubles : interférons, interleukines → ils sont là pour participer à la mise en route. On peut aussi mesurer le nombre des cellules immunes activées. La réponse T se met en place après le pic atteint au bout d'une semaine. 4/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire IV. Différentes réactions aux agents infectieux Si on a un antigène avec un agent infectieux : l'antigène est pris en charge et la réponse se met en place. Si la réponse est déficiente, cela peut mener au décès ou à des infections récurrentes selon l'importance du déficit. Le message est le même pour les cancers : les cellules cancéreuses sont prises en charge par des acteurs du système immunitaire et si on a des déficits, on a une incidence plus forte des cancers chez ses patients Ontogénie : c'est le point de départ de toutes les cellules immunes, issues de cellules souches de la moelle osseuse. Cette ontogénie a lieu dans le thymus. Ces cellules vont ensuite aller dans la circulation : à ce stade les cellules sont naïves (elles n'ont jamais vu d'antigène) Cette cellule va ensuite s'activer en voyant un antigène : cette activation se passe dans les organes lymphoïdes La dernière étape : la cellule se différencie pour acquérir des fonctions. 5/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire B. Cytokines et interleukines I. Définitions – – – Soit la production est continue et permanente (pas le cas pour le lymphocyte qui a besoin d'une cytokine induite) Les lymphocytes (surtout les CD4) sont de très grands pourvoyeurs de cytokines, ils produisent des facteur solubles Les cytokines agissent sur des cellules récepteurs : elles sont libérées et passent dans le sang ou la lymphe et vont agir sur les cellules portant les récepteurs. L'action a ensuite lieu, la réponse se met ne route Un lymphocyte possède des récepteurs T, récepteurs de surface qui rendent compte de la spécificité II. Mécanisme C. Lymphocytes T I. Récepteur T C'est un hétéro dimère Ce récepteur est doté de capacités de reconnaissance de l'antigène mais dénué de transmission de signaux, d'informations. C'est un complexe CD3 multi-moléculaire (5molécules) qui va transmettre les signaux. 6/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire Ce que voit le lymphocyte T a été très dur à identifier. C'est un complexe multi moléculaire porté à la surface de cellules. L'antigène est une serrure en plusieurs pièces → système clef serrure La gouttière correspond à un peptide, une molécule HLA, et l'antigène n'est pas une protéine mais il correspond à des fragments de protéines que l'on observe dans cette gouttière. Ces peptides sont de tailles différentes selon que l'on active un lymphocyte T CD4 ou CD8. Il y a donc plusieurs niveaux de régulation de ce système II. Formation LT Réarrangement génétique : Plus de 10 ans de travail, très long, car ce qui codait pour le récepteur T est en réalité plusieurs gènes, et non un seul. Les recombinases vont permettre de former un gène chimère (les gènes se rapprochent). Le récepteur T correspond à deux gènes chimères, cela se passe dans le thymus. A la fin, le gène est transcrit, la protéine est exprimée. 7/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire Des combinaisons se mettent en place avec différents processus : – le VDJ = Variable Diversity Joining : on a plusieurs gènes, J, V et D (ne pas les apprendre!). Avec ces différentes combinaisons on a tous les scénarios possibles. Il est possible d'avoir l'ajout de plusieurs nucléotides (erreurs de recombinaison) Si on prend toutes les combinaisons possibles, le spectre généré dans le thymus est très important et est censé recouvrir la plupart des antigènes possibles que l'on peut rencontrer. C'est un processus stochastique = hasard du phénomène Le thymus Le thymus est dans le médiastin (partie antéro-supérieure), adhérent au péricarde. Au niveau de cet organe en coupe, on voit 2 régions différentes : – – La partie corticale : là où les cellules issues de la moelle osseuse vont migrer et entrer dans le thymus. Elles vont proliférer. Pendant cette prolifération, la création de la diversité se met en place, c'est à ce moment que la recombinase fonctionne et crée des gènes chimères La partie médullaire : plus lâche, il n'y a plus de prolifération. Par contre la sélection se met en place. Le processus stochastique crée une très grande diversité. Cependant des récepteurs T auto réactifs créés peuvent s'activer et détruire des composants de notre propre corps → donc des cellules font une sélection négative. Elles présentent des antigènes que l'on retrouve dans notre corps et les présentent aux thymocytes (toujours dans le thymus). Donc la plupart des lymphocytes auto réactifs sont éliminés. 8/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire Circulation des LT naïfs Le lymphocyte va chercher l'antigène qu'il reconnaît. Il va voyager dans tout le corps entre le sang et la lymphe. Il va donc sortir du sang à travers des cellules pour entrer dans un organe lymphoïde où il va chercher sur des cellules présentatrice d'antigène son antigène. S'il ne trouve rien, il continue à circuler jusqu'à ce qu'il le trouve, pendant des semaines ou des mois. Parfois ils meurent sans avoir rencontré l'antigène qui lui correspond. La plupart des éléments de la vie du lymphocyte sont dans des organes lymphoïdes en général : ganglions etc. Organe lymphoïde Dans le ganglion poplité, il y a un endothélium particulier : HEV, important en terme de taille au niveau de ces ganglions. Les cellules de l'endothélium ont tous les ingrédients permettant l'interaction avec un lymphocyte T naïf. On a des cellules dendritiques étoilées présentatrices d'antigène. Ces cellules vont les amener par la voie lymphatique dans le ganglion et à ce niveau là, la rencontre a lieu. On a 2 types de rencontres : – Contact mais il ne trouve pas ce qu'il cherche, contact neutre, il continue son chemin – Il entre en contact avec son antigène, s'active et prolifère 9/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire Addressins Les adressines, sélectines et intégrines participent aux phénomènes d'adhésion. Un lymphocyte T naïf est caractérisé par un spectre d'expression d'antigène et va pouvoir ainsi interagir Les molécules d'adhésion diffèrent La L-sélectine ( leucocyte) reconnaît des déterminants sucrés porté par des molécules CAM. Elle va permettre ainsi de trouver le chemin pour entrer dans l'organe (interaction ligand-récepteur) III. Activation LT On voit le récepteur T, des CD4, des peptides de 15 AA Le récepteur T voit l'antigène mais il est aidé dans son interaction avec son antigène (pour rendre plus stable l'interaction) par un co-récepteur : CD4 ou CD8 – CD4 interagit avec une faible affinité avec les molécules MHC (CR : en français : CMH Complexe Majeur d'Histocompatibilité) de classe II – CD8 interagit avec MHC classe I Les CD4 participent à la reconnaissance mais ne reconnaissent pas eux mêmes l'antigène. 10/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire Récepteur de co-stimulation : Le récepteur T est la clef de voûte du système, il détermine la spécificité du lymphocyte pour l'antigène. Il est aidé par CD4 ou CD8 (co récepteurs) pour être plus stable, et avoir une meilleure puissance d'activation. Le récepteur de co-stimulation est une molécule comme CD28, qui permet d'envoyer un deuxième signal d'activation à la cellule. CD28 a 2 ligands : B7.1 et B7.2. Ces molécules ne sont pas ou peu présentes sur les cellules de l'organisme, sauf les cellules présentant l'antigène activées par la rencontre avec un pathogène. Ces molécules B7.1 et B7.2 s'expriment ensuite. Le système est régulé par plusieurs signaux : – signal 1 : le récepteur, l'élément clef est activé par l'antigène. – signal 2 : sans lui, le système ne fonctionne pas. La molécule d'adhésion CD28, donnant les signaux de co-stimulation, est activée par B7.1 et B7.2. 11/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire Le système a une très forte puissance → on a une très grande prolifération et beaucoup de divisions En même temps que la co-stimulation on a une co-signalisation négative Dès que le LT est activé, on voit en 24h CTLA-4 qui est très homologue à CD28 et se fixe sur B7.1 et B7.2 En cancérologie, on agit sur ces « freins » pour stopper l'activation. Interleukines II Elles correspondent aux facteurs de croissance. IL2 est produite essentiellement par les LT CD4 (productrice majeure dans l'organisme), elle fait le carburant de la prolifération des lymphocytes. Le récepteur est formé de 3 chaînes avec des fonctions complémentaires : – les chaînes bêta et gamma qui vont transmettre les informations qui seront véhiculées par IL 2 une fois qu'elle sera en contact avec son récepteur – La chaîne alpha : pas de capacité à médier des éléments pharmacologiques mais crée un contact à haute affinité. Un lymphocyte au repos possèdent les chaînes bêta et gamma. Au terme de l'activation (après les deux signaux), on a un récepteur complet de haute affinité : il peut fonctionner même si on a très peu d'interleukines, et les lymphocytes pourront s'activer et proliférer La cellule déjà activée va sortir de l'organe lymphoïde et va aller faire son travail. Le lymphocyte va migrer et aller sur le site de l'infection. Il a besoin essentiellement du récepteur T Ici on a le LT CD8, il va aller sur le site où il y a le pathogène, et en voyant l'antigène associé à la molécule HLA, il va agir directement sans que des systèmes régulent son fonctionnement. 12/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire IV. Rôle des LT – Si on prend en compte différents types de pathogènes, d'une part on a les pathogènes de type viraux (intracellulaires) et certaines bactéries à développement intracellulaire Les cellules les prenant en compte sont les LT CD8. Leur fonction essentielle est de tuer une cellule infectée qui exprime l'antigène associé à HLA classe I – On a aussi les bactéries localisées dans des vésicules (ex dans le macrophages) et non dans le cytosol. Les cellules impliquées sont essentiellement les LT H1 (helpers 1) . Leur fonction essentielle est de produire des facteurs cytokines qui vont activer les macrophages. – Pour les bactéries extra cellulaires ou les toxines, elles vont se retrouver dans les fluides. On a 2 types d'acteurs : LT H1 et LT H2 qui produisent des cytokines qui vont produire des LB – Un LT CD8 = cytotoxique entre en contact avec un récepteur et va tuer par des mécanismes de surface (apoptose) ou de canaux (perforines) permettant à la cellule de faire entrer dans la cellule des enzymes. Ces enzymes vont tuer et cliver la cellule cible. Ils produisent aussi des cytokines. 13/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire – TH1 qui active le macrophage. Elle va agir par les cytokines et par l'expression de récepteur CD40 ligand qui va stimuler le macrophage pour participer à l'activation très importante de la cellule cible et ainsi éliminer le pathogène – TH2 interagit à travers son récepteur T sur un antigène d'un LB pour le faire proliférer et se différencier. L'interleukine est très importante, en coopération avec CD40 Le processus se passe sur la cellule qui a été activée. Certains des facteurs vont jouer un rôle pour orienter la différenciation vers une certaine voie – – – TH1 : la cytokine qui va permettre à la cellule d'aller vers cette voie est la IL 12. Elle est produite par la cellule présentatrice d'antigène. L'IL12 va agir pour induire la transcription de gènes TH2 : l'IL4 est le facteur qui va orienter cette production de TH2 dans les tissus : notamment les mastocytes (réaction allergique et contre les vers) qui produisent de l'IL4. Treg (régulateur = suppresseur) : Ces cellules vont réguler de façon négative la réponse immune. On produit des cytokines notamment TGF beta, essentiellement dans les tissus en train de se renouveler, comme dans le cas des brûlures. Il va induire des T inhibiteur qui vont faire que la réaction va être inhibée. Les cytokines vont agir pour moduler les profils de différenciation 14/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire D. Lymphocytes B I. Définitions Prise en charge des pathogènes extracellulaires à travers la production d'anticorps AC ou immunoglobulines Ig. L'acteur majeur est donc l'anticorps qui agit de plusieurs façons : – l'action des toxines bactériennes (tétanos), elles sont neurotoxiques et l'anticorps est neutralisant. A travers des récepteurs, le complexe AG-AC va être phagocyter par les macrophages – Fonction d'opsonisation : l'AC se fixe sur la bactérie et en interagissant avec les macrophages, va permettre de faire rentrer le complexe dans le macrophage et d'être détruit – Capacité d'un AC à se fixer et à activer des composants présents dans le sang, de complément. La 1ère fonction est de permettre en se fixant à un AC d'induire la lyse : processus enzymatique régulé dont la fin est de faire des pores dans la cellule et de la détruire 15/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire Structure de type immunoglobuline : 110 AA retrouvée des milliers de fois dans le génome. Ça a été trouvé en premier dans l'AC On a un hétéro dimère avec une partie qui se distingue : capacité d'avoir ce domaine appelé partie constante (Fc). Il a amène tout un spectre à l'AC. On a le récepteur T qui agissent dessus L'AC a pour fonction de reconnaître l'anticorps. Un des éléments distinguant l'AC est son isotype qui dépend des cytokines. La production de TGF beta par exemple va favoriser la production de l'isotype IgA trouvée dans les intestins car elle va permettre de capturer les bactéries L'interféron gamma 1 est responsable de la formation de l'isotype IgG1 Pour la lyse de la bactérie : l'isotype permet de prédire la fixation du complément. CR : l'isotype est définit par la partie constante de l'Ac, il permet de définir la fonction de l'Ac et l'antigène qu'il reconnaîtra. Il permet également de déterminer la capacité de l'Ac à traverser différents tissus comme le placenta etc. La capacité à se fixer à des récepteurs pour le fragment Fc diffère encore : IgG1 et IgG3 bien, IgG2 non On voit ainsi ce que peut faire l'AC 16/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire II. Comparaison avec les LT Le LB se transforme en plasmocyte et produit des AC. Mais le processus est très long – Ontogénie : toujours des précurseurs mais la différenciation se fait dans la moelle osseuse chez l'Homme. Le processus se fait donc au contact de cellules de la moelle (CR : cellules stromales) A ce stade, ce sont des cellules naïves. Elles sortent ensuite de la moelle osseuse (du thymus pour les LT) et dans les organes lymphoïdes se font les différenciations terminales : dans les centres germinatifs des organes lymphoïdes. Les cellules se différencient et deviennent soit des plasmocytes ( il est dépourvu d'Ig à la surface mais les produit) soit des LB mémoires (expriment à la surface une Ig de membrane qui détermine ce type d'AC) – Activation : dans les organes lymphoïdes secondaires et co-signalisation comme les LT CD40 : ligand amené par le LT CD4 donne un co-signal. Donc LT CD4 activé, mais il n'exprime pas CD40. Il est activé par les 2 signaux et peut donner ensuite le signal au LB 17/18 Tissu sanguin et système immunitaire – Mise en place de la réponse immunitaire La famille des Fc récepteurs est assez grande : ils seront exprimés de façon différente dans les cellules et vont médier des fonctions différentes – Le Fc récepteur pour le IgE est présent sur les mastocytes, éosinophiles et les basophiles. Ils prennent en charge certains pathogènes et ont des rôles dans l'allergie. Ils ne reconnaissent que les IgE et on peut prédire la fonction : activation de ces cellules qui vont produire des granules avec des propriétés protéasiques – Le CD16 (Fc récepteur gama) fixe le Ig1. Il va induire une activation par procuration de ces cellules Les AC à travers les isotypes vont être capable de recruter d'autres cellules de l'immunité 18/18