Une succession desuccès
L’an dernier, la performance de Domtar a été remarquable en dépit de conditions
de marché défavorables, notamment la lente reprise de l’emploi aux États-Unis.
Ce succès s’explique en grande partie par l’accent que nous avons mis en2009 et
en2010 sur l’essentiel: les clients, les coûts et lecomptant.
En offrant des produits et services qui répondent aux besoins de nos clients, nous
avons été récompensés par leur loyauté et par de nouveaux débouchés
.
Nous
avons continué de gérer nos coûts en améliorant l’efficacité de notre système et en
réduisant l’inventaire ainsi que les temps d’arrêt dans les usines de pâtes et papiers.
Les ventes ont augmenté grâce à la hausse des prix de vente moyens, et ce, malgré
le déclin à long terme du volume. Le fait de nous concentrer sur les marges plutôt
que sur le volume s’avère rentable. Le bénéfice net a presque doublé par rapport à
l’an dernier et les flux de trésorerie disponibles ont dépassé la marque du milliard de
dollars
.
Nous avons également mené à bien notre programme systématique de réduc-
tion de la dette
,
réduisant cette dernière de moitié
,
à savoir de près de 900millions$
.
Nous avons fait de grands pas dans la rationalisation de notre portefeuille d’actifs.
Au cours du premier trimestre de 2010, la fermeture de l’usine de Columbus,MS,
a marqué notre retrait du secteur des papiers couchés de pâte mécanique. Il
s’agissait-là de la première d’une série de mesures visant à rationaliser notre
portefeuille d’actifs
.
La vente fructueuse de notre secteur des produits fores-
tiers et celle de notre usine de pâte de feuillus de Woodland, ME, ontsuivi.
Notre solide position nous a également permis de commencer à redistribuer
une partie des bénéfices à nos actionnaires
.
Au cours du deuxième trimestre
de 2010, nous avons annoncé un divi-
dende trimestriel de 0,25$ l’action et
un programme de rachat d'actions de
150millions$.
Un bilan plus solide et la baisse du
niveau de la dette de Domtar sont le
résultat positif d’un plan bien orchestré.
Notre discipline financière, ainsi que
l’amélioration de nos pratiques de
gestion de la trésorerie et des coûts,
continuera de servir de moteur dans
cette nouvelle phase de notreévolution.
«NOUS AVONS RÉUSSI À
GARDER LE CAP SUR NOS
PRINCIPES DE BASE TOUT AU
LONG DE LA RÉCESSION ET
DE LA LENTE REPRISE QUI A
SUIVI. NOUS AVONS CONTINUÉ
D’OFFRIR UN MILIEU DE TRAVAIL
STIMULANT ET SÉCURITAIRE À
NOS EMPLOYÉS ET DE CRÉER DE
FAÇON TANGIBLE DE LA VALEUR
POUR NOS ACTIONNAIRES ET
NOSCLIENTS.»
John D. Williams
Président et chef
de la direction