Remerciements
ii
Voici venu le moment de remercier les personnes qui ont permis l’aboutissement de ces trois années
de recherche. Je me rends compte ô combien il est difficile de n’oublier personne lors de la rédaction
des remerciements. Je remercie donc l’ensemble des personnes avec lesquelles j’ai travaillé tout au
long de mon doctorat, aussi petite mais certes fructueuse fût leur contribution dans ces travaux.
Je remercie notamment M. Lamine Kone sans qui les mesures de champ électromagnétique n’auraient
pas pu être menées à bien. Merci, Pierre pour nos discussions scientifiques au cours de nos footings
effrénés autour du campus de Lille. Je souhaite une bonne continuation aux doctorants de TELICE
Abdou, Youssef, Nedim et Paul et aux doctorantes Hamid et Sam le Lapin. Un grand merci, à Manue
pour son soutien et sa bonne humeur quotidienne.
Je tiens également à remercier toutes les personnes du D10 qui m’ont accueilli lors de mes séjours à
Labinal. Merci à Stéphane pour son aide technique précieuse (promis je t’expliquerai la CEM ;-).
J’exprime aussi ma gratitude à M. Serge Roques pour ses explications si précises des évolutions
techniques de l’avion "plus électrique".
Merci Cyrille pour ton aide sur les programmes aussi variés que le FPGA en VHDL, le VB pour
l’interface graphique ou le calcul des paramètres linéiques des câbles avec COMSOL. Merci à touts
les permanents du SATIE notamment Bertrand, Eric et Stéphane, sans oublier les membres du
secrétariat, notamment Martine et Gigi et le personnel technique : Jean-Pierre, Jean-Marie, Marie-Line
et Dominique. Je remercie tous mes collègues de bureau et dieu sait que j’en ai eus beaucoup. Merci
donc à mon poulet, quizz des boss, Alain que l’on entend plus arriver bizarrement, Jean-Mimi, Medhi
qu’il est inutile de chercher à 14h, Chaiyan, Gelux. Un grand merci également à l’équipe des bras
cassés d’avoir supporté mes blagues foireuses : Fab, Sylvain et Tartiflette ; eux qui sont rigolos.
Je ne saurais comment remercier ma famille qui m’a soutenu pendant toutes ces années et j’espère
qu’ils comprendront combien ils ont été importants dans l’aboutissement de mes études. J’exprime
tout mon amour à Nadine, ma femme, sans qui je n’aurai pas eu la force d’effectuer le dernier sprint et
de franchir cette ligne d’arrivée tant attendue. Je la remercie de nous avoir donné la petite fille la plus
mignonne au monde : Tina puce. Je n’oublierai jamais cette soirée où rentrant d’une dure journée de
rédaction j’ai été accueilli par ma petite puce. A peine la porte franchie, elle a couru vers moi à quatre
pattes car elle ne savait pas encore marcher, elle s’est alors arrêtée à 2m de moi pour terminer debout
et se jeter dans mes bras avec ses petits yeux qui disaient "T’as vu papa, ce que je sais faire".
Thèse de Jérôme Genoulaz, Lille 1, 2008
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