Les conditions pour une intégration sécuritaire au métier - Un regard sur le secteur
minier québécois
REMERCIEMENTS
En 2009, dans un contexte d’effervescence du secteur et de départ prochain de nombre de bébé-
boumeurs, M. Jean Drolet, alors directeur de l’Association paritaire pour la santé et la sécurité du
travail du secteur minier (APSM), a fait une demande afin que soit initiée une recherche portant
sur les conditions d’intégration des nouveaux travailleurs. Nous le remercions chaleureusement
d’avoir, dès lors et jusqu’à sa retraite, partagé son enthousiasme et sa connaissance du milieu et
facilité les démarches nécessaires pour mener à bien cette étude.
Un grand merci à M. Paul Potvin, actuel directeur de l’APSM, de même qu’à tous les autres
membres du comité de suivi. Par leur riche expérience, ils ont contribué à valider et à enrichir le
portrait des enjeux d’intégration tirés de cette étude-terrain. De ces échanges nourris ressort un
point particulièrement marquant soit l’engagement profond des intervenants en SST du secteur à
véritablement prévenir les lésions professionnelles, ce qui représente un réel défi dans un
contexte de croissance rapide. Merci à : André Lavoie, Pierre Thibault1 et Tanguy Paquot de
l’Association minière du Québec (AMQ); à Michel Bélanger1, Luc Baillargeon et Françoise
Colombani du Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’industrie des mines (CSMO Mines); André
Racicot et Alain Croteau du Syndicat des Métallos; Claude Bénard de la Fédération de l’industrie
manufacturière (FIM-CSN); Claude Ferland1 et France Gauthier de la Commission de la santé et
de la sécurité du travail (CSST); et Serge Guertin, ergonome.
Le cœur de l’étude reposait sur la collecte de données effectuée dans cinq entreprises minières.
Ces minières ont déployé les ressources nécessaires pour atteindre les objectifs de recherche
visés. Qui plus est, les personnes rencontrées, membres de la direction, gestionnaires,
représentants des travailleurs et mineurs ont partagé avec générosité leurs connaissances, savoir-
faire et fierté du métier. Un sincère merci pour la richesse de leur contribution et la chaleur de
leur accueil.
De nombreuses personnes ont aussi apporté leur soutien au cours de cette recherche et nous
souhaitons leur exprimer notre gratitude. Charles Gagné, conseiller en valorisation de la
recherche à l’IRSST, qui a su tisser les liens indispensables avec les acteurs du secteur. Christian
Larue, professionnel scientifique à l’IRSST, a mis son ingéniosité au service de notre équipe
pour développer le système nous ayant permis de filmer et d’enregistrer les échanges entre les
travailleurs. Esther Cloutier, chercheuse, Jean Bernier, professeur retraité, Anne-Marie
Laflamme, professeure à l’Université Laval, Chloé Thuillier, professionnelle scientifique et
Louis-David Poirier, étudiant ont apporté une contribution essentielle à cette recherche.
Finalement, nous tenons à souligner notre reconnaissance envers les organismes
subventionnaires sans lesquels l’étude n’aurait pu être réalisée : l’Institut de recherche Robert-
Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST), la Commission des partenaires du marché du
travail (CPMT) avec le Fonds de développement et de reconnaissance des compétences de la
main-d’œuvre (FDRCMO), le Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’industrie des mines
(CSMO Mines) et le Réseau de recherche en santé et sécurité du travail (RRSSTQ).
1 Ont changé d’emploi en cours de projet.