T/2 < t < T

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1 Principe de l’onduleur autonome:
1.1 D&eacute;finition - G&eacute;n&eacute;ralit&eacute;s :
Onduleur : Convertisseur statique permettant l’&eacute;change d’&eacute;nergie entre une grandeur continue et une grandeur alternative.
Symbole :
~
Autonome : Impose sa propre fr&eacute;quence &agrave; la charge
Assist&eacute; : Par opposition, un onduleur assist&eacute; (redresseur avec transfert d’&eacute;nergie du continu vers l’alternatif) voit sa fr&eacute;quence
impos&eacute;e par celle du r&eacute;seau sur lequel il est branch&eacute;.
1.2 Principe de l’onduleur de tension (monophas&eacute;) :
On ferme alternativement les deux interrupteurs K1 et K2 de sorte &agrave; imposer une tension alternative (et carr&eacute;e) &agrave; la
charge. La commande est sym&eacute;trique.
2 Onduleur de tension &agrave; 2 interrupteurs :
2.1 Charge r&eacute;sistive :
Pour une charge r&eacute;sistive, le courant se d&eacute;termine facilement :
2.2 Charge inductive (R, L) :
M. ALLAMAND
LP. ALFRED DE MUSSET
1
- Sch&eacute;ma de montage : (Dans la pratique, on rajoute 2 diodes aux interrupteurs qui sont des transistors )
- Observation des oscillogrammes :
Si la charge est inductive, les diodes D1 et D2 permettent de renvoyer l’&eacute;nergie vers l’alimentation :
Tension aux bornes de la charge
Courant dans la charge
El&eacute;ment command&eacute;
El&eacute;ment conducteur
- Analyse du fonctionnement :
0 &lt; t &lt; T/2
- Le courant i est n&eacute;gatif, T2 est ouvert, c’est donc D1 qui conduit.
- D1 reste passante tant que l’intensit&eacute; du courant iD1 = -i qui la traverse reste positive.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = E.i n&eacute;gative : il y a donc transfert d’&eacute;nergie
de la charge vers la source, on parle alors de phase de r&eacute;cup&eacute;ration.
- A l’instant t1, i s’annule et devient positif, ce qui impose la conduction de T1. Il y a
t1 &lt; t &lt; T/2 : i &gt; 0 commutation de la diode D1 au transistor T1.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = E.i positive : il y a donc transfert d’&eacute;nergie
de la source vers la charge, on parle alors de phase active.
- Le courant i est positif, K1 est ouvert, c’est donc D2 qui conduit.
T/2 &lt; t &lt; t2 : i &gt; 0 - Il y a eu commutation de T1 &agrave; D2 &agrave; l’instant T/2.
- D2 reste passante tant que l’intensit&eacute; du courant iD2 = -i qui la traverse reste positive.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = - E.i n&eacute;gative : il y a donc transfert
d’&eacute;nergie de la charge vers la source, on est alors en phase de r&eacute;cup&eacute;ration.
- A l’instant t2, i s’annule et devient n&eacute;gatif, ce qui impose la conduction de T2. Il y a
t2 &lt; t &lt; T : i &lt;0
commutation de la diode D2 au transistor T2.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = - E.i positive : il y a donc transfert
d’&eacute;nergie de la source vers la charge, on est alors en phase active.
0 &lt; t &lt; t1 : i &lt; 0
T1 command&eacute;
T2 ouvert
Impose
v=E
T/2 &lt; t &lt; T
T2 command&eacute;
T1 ouvert
Impose
v = -E
2.3 Grandeurs caract&eacute;ristiques de l’onduleur :
M. ALLAMAND
LP. ALFRED DE MUSSET
2
Fr&eacute;quence : Impos&eacute;e par la commande des interrupteurs.
3 Onduleur en pont :
3.1 Sch&eacute;ma de principe :
Int&eacute;r&ecirc;t : Il n’y a plus besoin que d’une seule source de tension.
3.2 Commande sym&eacute;trique (charge RL) :
- Observation des oscillogrammes :
Tension aux bornes de la charge
Courant dans la charge
El&eacute;ments command&eacute;s
El&eacute;ments conducteurs
- Analyse du fonctionnement :
Dans toute l'&eacute;tude, on adoptera la repr&eacute;sentation suivante :
0 &lt; t &lt; T/2
M. ALLAMAND
Parcours du courant
El&eacute;ment command&eacute;
La commande impose K2, K4 ouverts et K1, K3
command&eacute;s ! v = E &gt; 0
LP. ALFRED DE MUSSET
3
! 0 &lt; t &lt; t1 : i &lt; 0
K1
- Le courant i est n&eacute;gatif, ce qui impose la conduction de D1 et
D3.
- Ces diodes restent passantes tant que l’intensit&eacute; du courant +E
iD1 = iD3 = -i qui les traverse reste positive.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = E.i n&eacute;gative :
il y a donc transfert d’&eacute;nergie de la charge vers la source, on
est alors en phase de r&eacute;cup&eacute;ration.
K2
D1
D2
v
R
L
K4
K3
D4
D3
! t1 &lt; t &lt; T/2 : i &gt; 0
K1
- A l’instant t1, i s’annule et devient positif, ce qui impose la
conduction de K1 et K3.
+E
- Il y a commutation de D1 vers K1 et de D3 vers K3.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = E.i positive : il
y a donc transfert d’&eacute;nergie de la source vers la charge, on est
alors en phase active.
K2
D1
D2
v
R
L
K4
K3
D4
T/2 &lt; t &lt; T
D3
La commande impose K1, K3 ouverts et K2, K4
command&eacute;s ! v = - E &lt; 0
! T/2 &lt; t &lt; t2 : i &gt; 0
- Le courant i est positif, ce qui impose la conduction de D2 et
D4.
- Ces diodes restent passantes tant que l’intensit&eacute; du courant +E
iD2 = iD4 = i qui les traverse reste positive.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = - E.i n&eacute;gative :
il y a donc transfert d’&eacute;nergie de la charge vers la source, on
est alors en phase de r&eacute;cup&eacute;ration.
K1
K2
D1
D2
v
R
L
K4
K3
D4
D3
! t2 &lt; t &lt; T : i &lt; 0
- A l’instant t2, i s’annule et devient n&eacute;gatif, ce qui impose la
conduction de K2 et K4.
+E
- Il y a commutation de D2 vers K2 et de D4 vers K4.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = - E.i positive :
il y a donc transfert d’&eacute;nergie de la source vers la charge, on
est alors en phase active.
K1
K2
D1
D2
v
R
L
K4
D4
K3
D3
3.3 Commande d&eacute;cal&eacute;e (charge RL) :
- Observation des oscillogrammes :
M. ALLAMAND
LP. ALFRED DE MUSSET
Tension aux bornes de la charge
4
- Analyse du fonctionnement :
0&lt;t&lt;τ
K1, K2 ouverts et K3, K4 command&eacute;s ! v = 0, i est n&eacute;gatif
K1
- Le courant i est n&eacute;gatif, ce qui impose la conduction de K4 et
D3.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i nulle : il n’y a +E
donc aucun transfert d’&eacute;nergie, cette phase est commun&eacute;ment
appel&eacute;e phase de roue libre.
K2
D1
D2
v
R
L
K4
K3
D4
D3
Courant dans la charge
τ &lt; t &lt; T/2
K2, K4 ouverts et K1, K3 command&eacute;s ! v = E &gt; 0
! τ &lt; t &lt; t1 : i &lt; 0
K1
- Le courant i est n&eacute;gatif,
ce qui impose
la conduction de D1 et
El&eacute;ments
conducteurs
+E
D3.
- Ces diodes restent passantes tant que l’intensit&eacute; du courant
iD1 = iD3 = -i qui les traverse reste positive.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = E.i n&eacute;gative :
il y a donc transfert d’&eacute;nergie de la charge vers la source, on
est alors en phase de r&eacute;cup&eacute;ration.
! t1 &lt; t &lt; T/2 : i &gt; 0
D2
v
R
L
K4
K3
D4
D3
K1
K2
D1
- A l’instant t1, i s’annule et devient positif, ce qui impose la
+E
conduction de K1 et K3.
- Il y a commutation de D1 vers K1 et de D3 vers K3.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = E.i positive : il
y a donc transfert d’&eacute;nergie de la source vers la charge, on est
alors en phase active.
T/2 &lt; t &lt; T/2 + τ
K2
D1
D2
v
R
L
K4
K3
D4
D3
K3, K4 ouverts et K1, K2 command&eacute;s ! v = 0, i est positif
K1
- Le courant i est positif, ce qui impose la conduction de K1 et
D2.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i nulle : il n’y a +E
donc aucun transfert d’&eacute;nergie, on est en phase de roue libre.
K2
D1
D2
v
R
L
K4
K3
D4
T/2+ττ &lt; t &lt; T
K1, K3 ouverts et K2, K4 command&eacute;s ! v = - E &lt; 0
! T/2+τ &lt; t &lt; t2 : i &gt; 0
K1
- Le courant i est positif, ce qui impose la conduction de D2 et
+E
D4.
- Ces diodes restent passantes tant que l’intensit&eacute; du courant
iD2 = iD4 = i qui les traverse reste positive.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = - E.i n&eacute;gative :
il y a donc transfert d’&eacute;nergie de la charge vers la source, on
est alors en phase de r&eacute;cup&eacute;ration.
M. ALLAMAND
D3
LP. ALFRED DE MUSSET
K2
D1
D2
v
R
L
K4
D4
K3
D3
5
! t2 &lt; t &lt; T : i &lt; 0
K1
- A l’instant t2, i s’annule et devient n&eacute;gatif, ce qui impose la
+E
conduction de K2 et K4.
- Il y a commutation de D2 vers K2 et de D4 vers K4.
- Pendant cet intervalle de temps, on a p = v.i = - E.i positive :
il y a donc transfert d’&eacute;nergie de la source vers la charge, on
est alors en phase active.
K2
D1
D2
v
R
L
K4
K3
D4
D3
3.4 Notion de MLI :
MLI : Modulation de Largeur d’Impulsion
v
+E
T/2
T
t
-E
Avec les onduleurs, on cherche &agrave; se rapprocher le plus possible d’une sinuso&iuml;de, la commande d&eacute;cal&eacute;e semble donc plus
appropri&eacute;e que la commande sym&eacute;trique. Cependant, &agrave; l’aide de la MLI, on peut recr&eacute;er une sinuso&iuml;de presque parfaite &agrave; l’aide
d’impulsions calibr&eacute;es et d’un filtre passe-bas ad&eacute;quat. C’est ce type de commande qui est utilis&eacute; sur la plupart des onduleurs
du march&eacute; (Onduleurs pour la s&eacute;curit&eacute; des ordinateurs par exemple).
4 Principe de l’onduleur assist&eacute; :
4.1 Redressement command&eacute; avec charge (R, L, E) :
On consid&egrave;re le redresseur &agrave; 2 thyristors ayant pour charge : une batterie de fem E, une inductance L et une r&eacute;sistance R
On suppose le courant dans la charge bien liss&eacute; : ic = Io, i &gt; 0,
La conduction est ininterrompue : &lt;Uc&gt; = Uco.cos(α), donc pour α&gt;π/2, &lt;Uc&gt; est n&eacute;gative.
4.2 Fonctionnement en onduleur assist&eacute; :
Consid&eacute;rons le transfert d’&eacute;nergie mis en œuvre par le syst&egrave;me pr&eacute;c&eacute;dent :
M. ALLAMAND
LP. ALFRED DE MUSSET
6
α &lt; π/2
P = Uc.Ic &gt; 0
R&eacute;seau
Redresseur
Source
Pour α &lt; π/2, le dispositif transf&egrave;re l’&eacute;nergie du r&eacute;seau vers la source continue, il en consomme tr&egrave;s peu par lui-m&ecirc;me et
fonctionne en redresseur (redresseur &quot; conversion &eacute;nergie ≈ ! = ).
α &gt; π/2
P = Uc.Ic &lt; 0
R&eacute;seau
Onduleur assist&eacute;
Source
Pour α &gt; π/2, le dispositif transf&egrave;re l’&eacute;nergie de la batterie vers le secteur &agrave; la fr&eacute;quence du secteur. On dit qu’il
fonctionne en onduleur assist&eacute; (onduleur &quot; conversion &eacute;nergie = ! ≈, assist&eacute; car cet onduleur ne peut fonctionner seul, sa
fr&eacute;quence &eacute;tant impos&eacute;e par celle du r&eacute;seau).
4.3 Application : Freinage en r&eacute;cup&eacute;ration :
Montage de deux pont tout thyristors t&ecirc;te b&ecirc;che avec comme charge un moteur &agrave; courant continu (MCC) et &agrave; excitation
s&eacute;par&eacute;e.
- Premier cas α &gt; π/2 :
Seul le pont 1 fonctionne. Le MCC fonctionne en moteur et tourne dans le sens indiqu&eacute;. &lt;Uc1&gt; ≈ e &gt; 0 et &lt;Uc1&gt; =
Uco.cos(α1) ! ei &gt; 0. Le r&eacute;seau fournit la puissance &agrave; la machine.
- Second cas α &lt; π/2 :
Le fonctionnement du pont 1 est interrompu et provoque le fonctionnement du pont 2 en onduleur assist&eacute;. Le sens de
rotation de la machine ne pouvant changer brutalement, sa f&eacute;m e ne change pas de signe. Il n’en est pas de m&ecirc;me de l’intensit&eacute; i
qui devient &eacute;gale &agrave; -ic2; e = -Uc2 = -Uco.cos(α2), i = -ic2 &lt; 0, ! ei &lt;0
Le MCC fonctionne en g&eacute;n&eacute;ratrice et fournit de la puissance au r&eacute;seau. L’&eacute;nergie cin&eacute;tique du moteur est ainsi
partiellement r&eacute;cup&eacute;r&eacute;e, la machine &eacute;tant frein&eacute;e. C’est ce qu’on appelle le freinage par r&eacute;cup&eacute;ration qui est utilis&eacute; dans les
rames de m&eacute;tro ou dans les trains de banlieue : il n’y a plus perte inutile d’&eacute;nergie (gain : rendement, moins de chaleur &agrave;
dissiper dans les freins).
5 Conclusion g&eacute;n&eacute;rale sur les onduleurs :
Un onduleur est un convertisseur statique assurant la conversion de l’&eacute;nergie d’une source continue vers un r&eacute;cepteur
alternatif.
Symbole :
M. ALLAMAND
~
LP. ALFRED DE MUSSET
7
Aliment&eacute; en continu, il modifie de fa&ccedil;on p&eacute;riodique les connexion entre l’entr&eacute;e et la sortie et permet ainsi d’obtenir de
l’alternatif en sortie.
! L’onduleur assist&eacute; est branch&eacute; au r&eacute;seau et peut lui renvoyer de l’&eacute;nergie, &agrave; la fr&eacute;quence impos&eacute;e par le r&eacute;seau
(ce qui explique que sans r&eacute;seau il ne puisse fonctionner, d’o&ugrave; le nom assist&eacute;). La source est g&eacute;n&eacute;ralement un MCC &agrave;
excitation s&eacute;par&eacute;e. Application : Freinage par r&eacute;cup&eacute;ration.
! Dans l’onduleur autonome, c’est la commande des semi-conducteurs qui impose la fr&eacute;quence des grandeurs alternatives
(f est r&eacute;glable). La source continue fournit l’&eacute;nergie. Application : R&eacute;glage de vitesse des moteurs asynchrones,
autopilotage, alimentations de secours se substituant au r&eacute;seau en cas de panne (Onduleurs &agrave; MLI tr&egrave;s utilis&eacute;s sur les
syst&egrave;mes informatiques, il fournissent une sinuso&iuml;de presque parfaite). Une application particuli&egrave;re de l’onduleur autonome
est l’onduleur &agrave; r&eacute;sonance utilisant une charge RLC, il est utilis&eacute; pour le chauffage par induction.
M. ALLAMAND
LP. ALFRED DE MUSSET
8
Conversion Continu ! Alternatif
TEST
1 Sch&eacute;ma de principe :
Une charge assimilable &agrave; un dip&ocirc;le RL s&eacute;rie est aliment&eacute;e par le dispositif de la figure 1. K1, K2, K3 et K4 sont des
interrupteurs unidirectionnels command&eacute;s. Les diodes et les interrupteurs sont suppos&eacute;s parfaits.
j
K1
K2
D1
+E
Figure 1
D2
v
i
R
L
K4
K3
D4
D3
Les chronogrammes de u(t) et i(t) sont donn&eacute;s &agrave; la figure 2.
# Toutes les r&eacute;ponses seront obligatoirement justifi&eacute;es.
(2 points)
1&deg;) Quelle est la fonction &eacute;lectronique remplie par ce montage ?
Citer une application de ce type de convertisseur.
(4 points)
2&deg;) Pour chaque phase de l’&eacute;volution du syst&egrave;me:
- Indiquer sur le document r&eacute;ponse les &eacute;l&eacute;ments (interrupteurs ou diodes) passants,
- Faire un sch&eacute;ma du circuit passant correspondant (en y sp&eacute;cifiant les tensions u et E, les courants i et j, et les
courants dans les interrupteurs ou diodes passants iD1, iK1, iD2, iK2, iD3, iK3, iD4, iK4 ).
(2 points)
3&deg;) A partir de consid&eacute;rations simples sur la puissance re&ccedil;ue par la charge, d&eacute;terminer les phases dites de
&laquo; r&eacute;cup&eacute;ration &raquo; et celles dites &laquo; actives &raquo;.
(4 points)
4&deg;)
(2 points)
a) Tracer les chronogrammes de j(t) et u3(t) sur le document r&eacute;ponse.
b) Indiquer un mode op&eacute;ratoire permettant d’observer simultan&eacute;ment les chronogrammes de j(t) et
u3(t): pr&eacute;ciser le branchement de l’oscilloscope et le mode (AC ou DC) utilis&eacute;.
5&deg;) En mesurant la valeur moyenne de j(t) et la valeur efficace de i(t) on obtient : Jmoy = 2,7A et Ieff = 7,6A.
(1 point)
a) Quel type de multim&egrave;tre, quelles fonctions, et quel mode doit-on utiliser ?
-pour mesurer Jmoy .
-pour mesurer Ieff .
(2 points)
b) - Calculer la puissance moyenne fournie par la source de tension E.
- En d&eacute;duire la puissance moyenne re&ccedil;ue par la charge.
(1 point)
c) D&eacute;terminer la r&eacute;sistance R de la charge.
(2 points)
6&deg;) Calculer Umoy et Ueff .
M. ALLAMAND
LP. ALFRED DE MUSSET
9
v (V)
Figure 2 :
+220
10
0
20
t (ms)
-220
i (A)
+12,5
t (ms)
0
-12,5
El&eacute;ments passants :
u3 (V)
+220
t (ms)
0
-220
j (A)
+12,5
t (ms)
0
-12,5
M. ALLAMAND
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10
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