tellement activement contre l'oppresseur
soviétique, qu'en 1944, suite à la récupération de
ces régions par les bolcheviques, Staline ordonna
de déporter dans les Goulags de Sibérie l'ensemble
du peuple tchétchène. Les survivants ne purent
regagner leur Caucase natal qu'après bien des
souffrances et des morts, une partie sous la
dictature de Kroutchev, une autre sous celle de
Brejnev. Mais leur haine du bolchevisme resta
encore si vive, que 50 ans plus tard, sous la
"présidence" du juif Eltsman (dit Eltsine) ils se
révoltèrent à nouveau en déclenchant la guerre
russo-tchétchène de 1994 (guerre calmée et cessée
à grande peine grâce à l'intelligence du général
russe Lebed).1
Rappelons enfin, pour faire fi de ce soi-
disant antisémitisme hitlérien, que dans son
Testament politique Hitler préconisa l'alliance
constante du National-Socialisme avec les peuples
musulmans évolués. Il reçut toujours avec
bienveillance de nombreux dirigeants arabes, comme
le grand Mufti de Jérusalem, comme Bourguiba le
leader tunisien, ou même comme l'Aga Khan, qui lui
rendit visite en octobre 1937. A cette occasion
Hitler lui expliqua comment il espérait
solutionner les problèmes de l'Anchsluss, des
Sudètes et de Dantzig. L'Aga Khan approuva avec
une telle chaleur Hitler, que son traducteur Paul
Schmidt (en réalité un anti-nazi comme la plupart
des membres des Affaires Etrangères d'Allemagne de
l'époque) en fut étonné au point de relater le
fait dans ses mémoires. En outre dans son
"Testament Politique" dicté juste avant sa mort
Hitler regretta de ne pas en avoir fait beaucoup
plus dans le sens d'une véritable alliance
hitléro-musulmane, mais qu'il en fût toujours
1 Cette guerre fut reprise en 1999 par Eltsine et surtout continuée par son dauphin Poutine en 2000. Ce
dernier est un colonel du KGB de Saint Petersburg et comme tous les gradés de cet organisme est juif lui
aussi (comme l'est d'ailleurs Jaruzelski ce fameux leader provocateur de "l'extrême droite russe", lui aussi
ancien colonel du KGB.) Suite aux provocations policières de Poutine et de son KGB qui fit sauter
plusieurs immeubles moscovites, la guerre contre les Tchétchènes trouva l'excuse pour recommencer, car
il s'agissait de permettre au pétrole russe de la mer Noire, pétrole appartenant à 90 % a Abramovitz, autre
mafieux juif de la bande a Eltsine, de passer sans ennui par le territoire tchétchène plutôt que par le
Turquie. En fait nous assistons là a une guerre entre mafieux tchétchènes, Juifs de Russie et Juifs
cosmopolites siégeant en Amérique.