1) Couper les banques
en deux
Séparer les banques d’aaires, les
banques de dépôt et les sociétés
d’assurances, afin de protéger
l’économie réelle et productive,
l’épargne des citoyens, les entre-
prises, les collectivités territoriales
et les services publics, et mettre en
faillite les banques qui ont spéculé.
Nous ne sommes pas responsables des dettes de
jeu. Le peuple n’a pas à renflouer ceux qui ont
joué et perdu.
2) Émettre du crédit public
L’État doit pouvoir émettre du crédit public afin
de financer les grands projets, les infrastructures
et renflouer le service public et les collectivités
territoriales pour réaliser leurs projets. Ainsi met-
trons-nous fin au soi-disant problème de la dette.
Vous avez dit: Récit national ?
Voilà une histoire peu connue de notre pays !
Voici un extrait du programme du Conseil national
de la Résistance (CNR) appliqué à la Libération et
détricoté depuis une trentaine
d'années…
Le 2 décembre 1945 De Gaulle et
le CNR imposèrent une grande
réforme du système bancaire avec
la nationalisation de la banque de
France afin d’avoir les moyens de
financer l’architecture économique
qui permit les trente glorieuses.
Le programme du CNR,
sur le plan économique:
fL'instauration d'une véritable
démocratie économique et sociale, impliquant
l'éviction des grandes féodalités économiques et
financières de la direction de l’économie;
fUne organisation rationnelle de
l'économie assurant la subordina-
tion des intérêts particuliers à l’intérêt
général et aranchie de la dictature
professionnelle instaurée à l'image
des Etats fascistes;
fL'intensification de la production
nationale selon les lignes d’un plan
arrêté par l’État après consulta-
tion des représentants de tous les
éléments de cette production;
fLe retour à la nation des grands moyens de pro-
duction monopolisés, fruit du travail commun,
des sources d’énergie, des richesses du sous-
sol, des compagnies d’assurances et des grandes
banques;
fLe développement et le soutien des coopéra-
tives de production, d’achats et de ventes, agri-
coles et artisanales;
fLe droit d’accès, dans le cadre de l’entreprise,
aux fonctions de direction et d’administration,
pour les ouvriers possédant les qualifications
nécessaires, et la participation des travailleurs à la
direction de l’économie.
Retrouvez l’intégralité du programme du CNR
sur davidcabas.fr.
Souvenez vous: C’est la crise bancaire et financière à l’origine de la crise économique.
Ce qui tue l’entreprise, ce qui tue l’emploi, c’est la folie bancaire et financière.
Ce n’est qu'en mettant les prédateurs financiers hors d’état de nuire que l’on
pourra rétablir l’emploi et le pouvoir d’achat.
Notre bataille pour réorienter
l'argent vers le travail humain
et les services publics
Qui suis je?
Enfant du pays, je suis originaire de Malestroit.
37ans, je suis éducateur dans un collège à Ploërmel.
Gaulliste de gauche?
Issu des traditions de la doctrine sociale de l’Église
et du gaullisme, je me qualifie gaulliste de gauche.
Au contraire de la gauche traditionnelle qui joue la
théorie de la lutte des classes et exploite la misère
à des fins électorales, je pense que le patronat et
les salariés, le capital et le travail peuvent s'associer
dans la marche de l'entreprise. C'était l'idée inache-
vée de Charles de Gaulle, l'idée de l’association,
l'idée de la participation.
Mes engagements
Suite au passage de Jean-Marie Le Pen au second
tour de l'élection présidentielle, le 21 avril 2002, je
décide de m'engager pour changer la politique de
notre pays.
En 2011, première candidature – élections canto-
nales, canton de Ploërmel.
fProposition de loi pour couper les banques en
deux, pour mettre fin au chantage des spéculateurs
sur l'économie réelle et productive.
fAppel pour une enquête parlementaire sur les
emprunts toxiques, dont sont victimes des milliers
de communes, dont Ploërmel et Guer.
En 2012, candidat aux élections législatives dans la
quatrième circonscription du Morbihan.
fAppel à une Commission d’enquête parlemen-
taire sur la crise financière de 2008.
fProposition de loi pour couper les banques en deux.
fÉmettre massivement du crédit public pour la
production.
Début de la grande campagne: «Stop au
racket financier et au matraquage fiscal»
En 2014, tête de la liste citoyenne Ploërmel Libre.
fUn audit de la dette de Ploërmel contre les
emprunts toxiques.
fUn audit sur la gestion de l’hôpital, des déchets,
de l'eau.
fLibérer des flux financiers afin d'investir pour les
Ploërmelais(es) sans nouvel hausse d’impôt.
fEn 2015, candidat aux élections départementales.
fAudit de la dette du département contre les
emprunts toxiques.
fBouclier rural pour lutter contre les inégalités
économiques, sociales, culturelles et territoriales.
fMobilisation pour un transport public en milieu rural.
En décembre 2015, gaulliste et souverainiste de
gauche, j'ai naturellement rejoint la liste de Nicolas
Dupont-Aignant pour les élections régionales.
Pourquoi je suis candidat
aux élections législatives
Depuis plus de 30 ans, les intérêts personnels d'une
minorité dorée dominent l’intérêt général. Avec la
complicité de nos responsables politiques de droite
comme de gauche, cette minorité dorée, cette oli-
garchie, ce monde de l'argent Roi a organisé la spo-
liation de la richesse de notre pays.
Ça sut!
Ce système de pillage n'a pas été imposé par la
force mais par la loi. Depuis plus de 30 ans, nos
députés, nos représentants locaux à Paris, votent
des lois contre l’intérêt des citoyens. Il est temps de
changer le personnel politique.
Depuis 2011, je ne cesse d'organiser la Résistance
contre le monde de l'argent Roi. Aujourd’hui, rejoi-
gnez ma bataille pour réorienter l'argent vers l'éco-
nomie réel et productive, le travail humain et les
services publics.
Dans nos campagnes, nous
perdons nos commerces, nos
médecins, nos services publics.
Nous sommes les laissés pour
compte de la république. Le
monde rural doit être décrété
«cause nationale».
1) Un bouclier rural
pour lutter contre les
inégalités sociales,
économiques,
culturelles et territoriales
La Révision générale des politiques publiques (RGPP)
de Sarkozy, la Modernisation de l’action publique de
Hollande ou encore les multiples plans d’austérité
avec les baisses des dotations aux collectivités terri-
toriales et aux services publics mettent en danger la
population, principalement la classe moyenne et les
plus faibles qui habitent en milieu rural.
Mission d’audit et évaluation des besoin
de la population rural
Pour cela, l’état doit produire des cartes en anamor-
phose afin de visualiser le temps qui sépare chaque
service public de ses usagers, afin d’accompagner
les départements et les communes dans la nouvelle
organisation des services publiques en milieu rural.
Notre bouclier rural doit garantir l’égalité citoyenne
entre les habitants de la ville ou les habitants du
monde rural.
Le Bouclier rural, pour déployer les
services publics, doit comprendre:
fUne garantie d’un service d’urgence à moins de
30 minutes de chaque habitation.
fDes médecins et des infirmières en quantité su-
sante dans chaque commune.
fUn vrai transport collectif en milieu rural.
fUne Maison du service public dans chaque
canton.
fUn maillage susamment dense de gendarme-
ries et de casernes de pompiers.
fUne couverture intégrale en internet très haut
débit et en téléphonie mobile.
fLe maintien des commerces de proximité de base
( café, boulangerie, ...)
2) Faire face à la crise
agricole
La crise agricole est ici dans
nos campagnes le symbole de
la folie du libéralisme et de la
dérégulation. En 2008, le gou-
vernement Fillon a détruit les
derniers outils de régulation
de l'agriculture avec la loi de
modernisation de l'économie.
Une politique jamais remise en
cause par les socialistes, qui
détruit le monde agricole.
Régulation, marchés organisés, protectionnisme
intelligent sont les gros mots pour sauver le modèle
agricole français.
Élu, j'exigerai la constitution d'une commission
d’enquête parlementaire sur la crise agricole afin
de faire la lumière sur la responsabilité des cen-
trales d'achat des grandes surfaces, de l'industrie
agroalimentaire, des gouvernements successifs,
de l'Union européenne, de la représentativité
professionnelle – principalement la FNSEA –, des
Chambres d'agriculture, du secteur bancaire et de
toutes les instances qui prodiguent des conseils
aux agriculteurs.
Ses résultats serviront à l'élaboration de lois pour
créer de nouveaux outils de régulation pour faire
face à la crise agricole, des outils qui garantissent
des prix pour permettre que les agriculteurs
reçoivent un revenu minimum décent pour leur
travail.
Le monde rural: une cause nationale
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