Préparation au C2I

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Préparation au C2I
Année 2011
Présentation
C2I = Certification Informatique et Internet
Objectif de cette UE : obtenir la partie « pratique »
Partie « théorique » : QCM sur ordinateur
Organisation :
3 Cours
6 TD sur ordinateurs de 3h
Évaluation sur ordinateur
Projet personnel à rendre
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
2
Projet personnel
Choisir un article du site Wikipédia avec :
Au moins 8000 mots
Une table des matières avec au moins 10 items
Au moins 3 images
Au moins un tableau et des notes de bas de page
Formater l'article sous Writer (en citant les sources)
Faire une présentation Impress de cet article
(comme si vous deviez le présenter à l'oral)
Évaluation sur la forme !!
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
3
Plan du cours
Codage de l'information
Fonctionnement d'un ordinateur
Systèmes d'exploitation
Rôle
Système de gestion de fichiers
Interpréteur de commandes
Droits d'accès
Processus
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
4
L'informatique : c'est quoi ?
Wikipédia :
« Le terme Informatique, contraction de information et
automatique, désigne l'ensemble des sciences et des
technologies en rapport avec le traitement
automatique de l'information par des machines telles
que les ordinateurs, les consoles de jeux, les robots,
etc. »
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
5
Un ordinateur : c'est quoi ?
Un outil qui permet de traiter de l'information
automatiquement :
Entrée
Ordinateur
Sortie
Comment code-t-on l'information ?
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
6
Codage de l'information
Pour des raisons physiques, on code l'information
avec des 0 et des 1.
Une mémoire peut être vue comme une longue ligne
de 0 et de 1.
0 1 1 0 1 1 0 0 1 0 0 1 1 0 0 1
Une unité de mémoire (une « case » du tableau) est
appelé bit.
En informatique, on regroupe souvent les bits par 8 :
8 bits forment un octet.
17/03/11
0
1
0
Bertrand Estellon - Département Info - C1
1
1
0
1
0
7
Codage de l'information
Avec des 0 et des 1, on peut représenter un très grand
nombre de choses :
Des nombres entiers, rationnels...
Des caractères, du texte,
Des images,
Du son,
Des adresses mémoires,
Des programmes informatiques...
Besoin de normes
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
8
Codage des nombres entiers
On utilise la base 2 (au lieu de la base décimale)
27
26
25
24
23
22
21
20
1
0
1
1
0
0
1
0
= 1 x 27 + 0 x 26 + 1 x 25 + 1 x 24 + 0 x 23 + 0 x 22 + 1 x 21 + 0 x 20
= 178 (en base 10)
0
0
0 =0
Sur n bits, on peut coder 2n valeurs différentes :
- de 0 à 2n-1 si tous positifs
- ou de -2n/2 à 2n/2-1
0
0
1 =1
0
1
0 =2
0
1
1 =3
1
0
0 =4
1
0
1 =5
1
1
0 =6
1
1
1 =7
Sur 8 bits, on peut coder 256 valeurs différentes :
- de 0 à 255 si tous positifs
- ou de -128 à 127
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
9
Codage des nombres flottants
Nombres à virgule flottante = approximation des réels.
Un nombre à virgule flottante possède :
Un signe s
s
(-1) x m x 2
Une mantisse m
e-x
Un exposant e
Norme IEEE 754 :
Encodage
Signe
Exposant
Mantisse
Simple précision
32 bits
1 bits
8 bits
23 bits
s x m x 2e - 127
Double précision
64 bits
1 bits
11 bits
52 bits
s x m x 2e - 1023
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
Valeur du nombre
10
Codage des caractères
Un texte = un liste finie de caractères.
Un caractère peut être une lettre, un nombre, un signe
de ponctuation, des commandes de contrôle, etc.
Normes de codage des caractères :
ASCII (Bob Bemer en 1961)
Unicode (développée par le Consortium Unicode)
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
11
ASCII
L'ASCII définit 128 caractères numérotés de 0 à 127
et codés en binaire de 0000000 à 1111111
Les caractères de 0 à 31 et le 127 non affichables
Code ASCII étendu :
Utilisation du 8ème bit (d'un octet)
128 nouveaux caractères
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
12
ASCII
0 (NUL)
1 (SOH)
2 (STX)
3 (ETX)
4 (EOT)
5 (ENQ)
6 (ACK)
7 (BEL)
8 (BS)
9 (HT)
10 (LF)
11 (VT)
12 (FF)
13 (CR)
14 (SO)
15 (SI)
17/03/11
16 (DLE)
17 (DC1)
18 (DC2)
19 (DC3)
20 (DC4)
21 (NAK)
22 (SYN)
23 (ETB)
24 (CAN)
25 (EM)
26 (SUB)
27 (ESC)
28 (FS)
29 (GS)
30 (RS)
31 (US)
32
33 !
34 "
35 #
36 $
37 %
38 &
39 '
40 (
41 )
42 *
43 +
44 ,
45 46 .
47 /
48 0
49 1
50 2
51 3
52 4
53 5
54 6
55 7
56 8
57 9
58 :
59 ;
60 <
61 =
62 >
63 ?
64 @
65 A
66 B
67 C
68 D
69 E
70 F
71 G
72 H
73 I
74 J
75 K
76 L
77 M
78 N
79 O
Bertrand Estellon - Département Info - C1
80 P
81 Q
82 R
83 S
84 T
85 U
86 V
87 W
88 X
89 Y
90 Z
91 [
92 \
93 ]
94 ^
95 _
96 `
97 a
98 b
99 c
100 d
101 e
102 f
103 g
104 h
105 i
106 j
107 k
108 l
109 m
110 n
111 o
112 p
113 q
114 r
115 s
116 t
117 u
118 v
119 w
120 x
121 y
122 z
123 {
124 |
125 }
126 ~
127
13
Unicode
Unicode Consortium :
« Qu'est ce qu'Unicode?
Unicode spécifie un numéro unique pour chaque caractère,
quelle que soit la plate-forme,
quel que soit le logiciel,
quelle que soit la langue. »
« Unicode is a vital part of the effort to make computing global. »
(Rob Pike)
Unicode 5.10 : plus de 100 000 caractères
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
14
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
15
Codage des images
Une image est composée de pixels
chaque pixel a une couleur
Couleur = une quantité de rouge, de bleu, de vert
Une quantité = un nombre (codé en binaire)
0 0 0 0 0 1 1 0 1 0 1 1 0 1 0
0
17/03/11
14
Un pixel
14
Bertrand Estellon - Département Info - C1
16
Codage des images
Le code d'une image est la succession des codes des
pixels de l'image
0
1
2
3
4
5
6
7
8
0
1
2
3
4
5
6
7
8
+ longueur d'une ligne
Avec ce codage, si on code chaque pixel sur 2 octets,
une image de 300x300 pixels prend 180000 octets
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
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Fonctionnement d'un
ordinateur
Périphériques de stockage :
Mémoire vive :
Disque dur,
Lecteur de CD/DVD,
Clé USB, etc.
RAM
(Random Access Memory)
Périphériques de sortie :
Processeur
Carte vidéo (et moniteur),
Carte son, Imprimante, etc.
17/03/11
Bus
Périphériques d'entrée :
Périphériques d'entrée/sortie :
Clavier, souris, webcam,
scanner, etc.
Carte réseau, modem,
écran tactile, etc.
Bertrand Estellon - Département Info - C1
18
La mémoire
La mémoire peut être vue comme une suite de
cellules numérotées
Chaque cellule contient une valeur codée sur
plusieurs bits (souvent 8 bits, plus sur les calculateurs)
Chaque cellule est adressable : « on peut accéder à la
valeur de chaque cellule en donnant son numéro »
La valeur de chaque cellule peut être modifiée
Physiquement : la mémoire RAM se présente sous la
forme de barrettes mémoire
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
19
La mémoire
L'unité de mesure utilisée pour mesurer une quantité
de données est l'octet (symbole o)
Une mémoire composée de 1024 cellules d'un octet
chacune, a une taille de 1024 octets
Comme en physique, on peut utiliser les préfixes kilo,
méga, giga, etc.
Comme 1000 n'est pas une puissance de 2, on
approxime 1000 par 1024 = 210
Donc 1 Ko = 1 024 octets, 1 Mo = 1 048 576 octets,
1 Go = 1 073 741 824 octets.
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
20
La mémoire
Norme de 1998 du CEI :
1024 = 1000 : contradiction avec les autres normes
Introduction de nouveaux préfixes :
Kibi = « kilo binaire » (symbole Ki)
Mébi = « méga binaire » (symbole Mi)
Gibi = « giga binaire » (symbole Gi)
Tébi = « téra binaire » (symbole Ti)
Exemple : 1 048 576 octets = 1024 Kio = 1 Mio
Attention : norme très peu respectée (même dans
les questions du C2i) !!
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
21
La mémoire
Sur 1 octet, on peut coder 28 valeurs différentes
donc : 28 = 256 valeurs différentes
Une connexion de 100 Méga (ça ne veut rien dire)
signifie une connexion de 100 Mégabits par
seconde (Mb/s ou Mbit/s)
donc : (100 x 1 000 000)/8 octets/s
donc : 12 500 000 octets/s
donc : environ 12 Mio/s
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
22
Ordinateur vs Calculatrice
Calculatrice :
En entrée : des données, une opération
La calculatrice effectue l'opération sur les données
En sortie : le résultat de l'opération
Ordinateur :
En entrée : des données, un programme
L'ordinateur exécute le programme sur les données
En sortie : les données transformées par le prog.
Un programme : c'est quoi ?
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
23
Programme
Un programme est une suite d'instructions
Chaque processeur a un jeu d'instructions qui
représente l'ensemble des opérations élémentaires
qu'il peut réaliser
Un code (binaire) compréhensible par le processeur
est associé à chaque instruction
De cette manière, un programme peut être décrit par
une suite de bits
Les programmes sont des données exécutables par
un ordinateur
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
24
Programme
Exemple de programme :
Entrée : valeur de la cellule 50
0 : Mettre la valeur 0 dans la cellule numéro 40
1 : Diviser par 2 la valeur de la cellule numéro 50
2 : Ajouter 1 à la valeur de la cellule numéro 40
3 : Si la valeur de la cellule numéro 50 est > 0
Retourner l'instruction numéro 1
Sortie : valeur de la cellule 40
MOV
0
40
DIV
2
50
ADD
1
40
JGZ
50
1
120
0
40
125
2
50
140
1
40
145
50
1
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
25
Programme
MOV
0
40
DIV
2
50
ADD
1
40
JGZ
50
1
120
0
40
125
2
50
140
1
40
145
50
1
L'ordinateur répète indéfiniment :
Charger la prochaine instruction à exécuter
Charger les données nécessaires en mémoire
Effectuer l'opération
Ranger le résultat du calcul
Se déplacer sur la prochaine instruction à exécuter
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
26
Rapidité d'un ordinateur
La rapidité d'un ordinateur dépend :
Du nombre d'instructions par seconde que le
processeur peut réaliser
Des temps d'accès à la mémoire (vitesses des bus)
Des temps de lecture/écriture de la mémoire
De la taille et de la vitesse de la mémoire cache
De la faculté qu'a le processeur à paralléliser des
calculs
Du nombre de processeurs dans l'ordinateur, du
nombre de cœurs, etc.
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
27
Rapidité d'un processeur
Un processeur de 2 GHz signifie qu'il réalise
2 000 000 000 cycles d'horloge en une seconde
Attention : une instruction prend plusieurs cycles
d'horloge et un processeur réalise souvent plusieurs
opérations simultanément
Le lien entre fréquence d'horloge et puissance de
calcul est de plus en plus difficile à faire mais cela
reste un bon indicateur de performance
On mesure également la rapidité d'un processeur en
MIPS (millions d'instructions par seconde) et en
FLOPS (Floating-point operations per second)
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
28
Registres et mémoires caches
Registres : cases mémoires placées dans le
processeur. Elles définissent l'état du processeur et
ont le meilleur temps d'accès (un registre conserve
l'adresse de la prochaine instruction à exécuter)
Mémoire cache : mémoire relativement petite et très
rapide qui stocke les données les plus utilisées par le
programme
Mémoire cache entre le processeur et la RAM : parfois
plus importante en terme de performance que la
fréquence du processeur (pour certaines applications)
Mémoire cache sur les disques durs, sur les réseaux...
17/03/11
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29
Périphériques de stockage
Disques Durs : mémoire de masse magnétique
composé de plateaux rigides en rotation et de têtes de
lecture/écriture
Mémoire flash : caractéristique d'une mémoire vive
sans effacement lors de la mise sous tension
(baladeur MP3, clé USB, téléphone portable, etc.)
Non mécanique donc résiste aux chocs !
SSD (Solid State Drive) : disque à base de mémoire
flash (qui devrait remplacer les disques durs)
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
30
Périphériques de stockage
Mémoire ROM (read only memory) : mémoire en
lecture seule, utilisée pour stocker des données
d'usines servant au démarrage des ordinateurs, etc.
CD-ROM (compact disc) : gravé en usine, un disque
peut contenir 700 Mo
DVD-ROM (digital versatile disc) : disque pouvant
contenir jusqu'à 15 Go (souvent 4,7 Go)
CD-RW et DVD-RW : versions ré-inscriptibles des CDROM et DVD-ROM.
Blu-ray : jusqu'à 50 Go
17/03/11
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etc.
31
Système d'exploitation (OS)
Son rôle : lier les ressources matérielles d'un
ordinateur aux logiciels. Il fournit des points d'entrée
génériques aux périphériques (et rend les
programmes indépendants du matériel)
Composition :
Un noyau
Des bibliothèques
Ensemble d'outils système
OS : Linux, Mac OS, Solaris, Windows, etc.
17/03/11
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32
Le noyau
Son rôle :
Gérer les périphériques
Gestion des processus (prog. en cours d'exec.)
Ordonnancer les processus (sys. multitâche)
Gestion des fichiers (système de fichiers)
Gestion de la mémoire, du réseau, etc.
Gestion des interruptions
17/03/11
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33
Les bibliothèques
Elles sont constituées de fonctions
Ces fonctions permettent de :
Simplifier l'écriture des programmes
D'utiliser les fonctionnalités offertes par le noyau
Exemples :
Bibliothèque pour la lecture et l'écriture de fichiers
Bibliothèque pour gérer les fenêtres, la souris, etc.
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
34
Outils système
Ils permettent de configurer, de gérer, d'utiliser le
système, de mettre au point et d'exploiter des
programmes
Exemples :
Gestion des comptes utilisateurs
Configuration du réseau, des droits, etc.
Navigation dans le système de fichiers
Interpréteur de commandes (shell, console)
Interface graphique
Compilateurs, éditeurs de texte, etc.
17/03/11
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35
Organisation
Logiciels
Outils système
Bibliothèques
Noyau
Matériel
17/03/11
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36
Système de gestion
de fichiers (SGF)
Structure de données permettant de stocker des
informations et de les organiser sur un périphérique de
stockage
Rôle : manipulation, allocation, localisation, sécurité et
contrôle d'accès des données.
Chaque système d'exploitation a ses systèmes de
gestion de fichiers (parfois, il comprend les autres) :
Windows : NTFS, FAT16, FAT32, VFAT, etc.
Linux : Ext, Ext2, Ext3, Ext4, FFS, etc.
Mac OS : HFS, etc.
17/03/11
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37
Système de gestion
de fichiers
L'unité informationnelle est le fichier
Un fichier est une suite ordonnée d'octets
Le SGF attache à chaque fichier des méta-données :
Nom du fichier
Localisation du fichier sur le support, taille du fichier
Droits d'accès en lecture, écriture, exécution,
Date de la dernière modification, etc.
En général, les fichiers sont stockés sur les disques
sous forme de blocs indivisibles de plusieurs Ko (pour
utiliser au mieux la mémoire cache)
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
38
Système de gestion
de fichiers
L'organisation physique du support est masquée
(même SGF sur une clé USB et sur un disque dur)
L'organisation logique (celle vue par l'utilisateur) est
(presque) toujours arborescente :
Les fichiers sont regroupés dans des dossiers
(appelés aussi répertoires, directories ou folders)
Vue utilisateur : Un dossier contient des fichiers et
d'autres dossiers (récursivement)
Vue SGF : Un dossier est un ensemble de métadonnées associées à des fichiers et des dossiers
17/03/11
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39
Organisation des salles de TP
Terminal 2
Terminal 1
Terminal 3
Serveurs
(OS, disques durs, etc.)
Terminal 7
Terminal 4
Terminal 6
Terminal 5
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
40
Système de gestion
de fichiers (Salles de TP)
Point d'entrée : Le dossier racine (notée « / »)
/
bin
etc
dev
usr
Votre dossier personnel
(votre « home directory »)
noté « ~ »
17/03/11
home
home1
...
home5
...
z999999
Bertrand Estellon - Département Info - C1
41
Système de gestion
de fichiers (salles de TP)
z999999
Extension d'une présentation Impress
C2I
C1.odp
C2.odp
Anglais
Extension d'une video MPEG
video.mpg
17/03/11
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42
Interfaces graphiques
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
43
Interpréteur de commandes
Interpréteur de commandes
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
44
Interpréteur de commandes
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
45
Interpréteur de commandes
L'invite de commande (prompt) est affiché au début de
chaque ligne et vous invite à saisir une commande au
clavier
Après avoir saisi une commande, il faut appuyer sur la
touche Entrée du clavier, pour la valider
La commande est alors interprétée et exécutée si elle
est syntaxiquement correcte
La sortie standard du programme est (par défaut)
affichée sur le terminal
Lorsque l'exécution de la commande est terminée,
l'invite de commande est à nouveau affichée
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
46
Interpréteur de commandes
Avec l'interpréteur de commande, vous pouvez :
Naviguer dans les systèmes de fichiers
Déplacer, Copier, Supprimer des fichiers
Créer, Déplacer, Supprimer des répertoires
Exécuter des applications, des programmes
Effectuer des opérations (simples) sur des fichiers
Lancer des scripts (ensemble de commandes à
exécuter à la suite), etc.
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
47
Commande pwd
La commande pwd (print name of working directory)
affiche le nom complet du répertoire courant
Exemple :
Vous saisissez la commande « pwd »
(et validez avec la touche Entrée)
$ pwd
/home1/z999999
$
La commande « pwd » affiche le nom du
répertoire courant
L'invite de commande est ré-affichée
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
48
Commande cd
La commande cd (change directory) change le
répertoire courant
en paramètre l'endroit où
l'on veut aller
Exemple
$ cd /home1/z999999/anglais
$ pwd
/home1/z999999/anglais
$ cd ..
On peut donner un chemin relatif
Ici, on va vers le répertoire père
$ pwd
/home1/z999999
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
49
Chemins absolus et relatifs
« /home1/z999999/Anglais »
«.»
/
« /home1/z999999 »
« .. » ou « ~ »
« /home1/z999999/C21/C1.odp »
« ../C2I/C1.odp »
home1
z999999
C2I
C1.odp
Chemin absolu
(commence par /)
«/»
« ../../.. »
C2.odp
Anglais
video.mpg
Chemin relatif
(ne commence
pas par /)
Répertoire courant
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
50
Commande ls
La commande ls affiche la liste des fichiers et
répertoires d'un répertoire
Exemple :
$ ls /home1/z999999/C2I
Répertoire à lister
C1.odp C2.odp
$ pwd
/home1/z999999
$ ls
Sans paramètre, liste les fichiers
et les dossiers du répertoire courant
Anglais C2I
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
51
Commande ls
Avec l'option -l, la commande ls affiche des
informations supplémentaires :
Exemple :
$ ls -l /home1/z999999/C2I
total 423
-rw-rw-r-- 1 z999999 z999999 123 déc. 27 11:39 C1.odp
-rw-rw-r-- 1 z999999 z999999 300 déc. 27 11:39 C2.odp
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
52
Commande cp
La commande cp permet de copier des fichiers et des
répertoires
Exemple :
$ pwd
/home1/z999999/C2I
Source
$ cp C1.odp ../Anglais
Destination
$ ls ../Anglais
C1.odp video.mpg
17/03/11
Un espace qui sépare les deux paramètres !
Bertrand Estellon - Département Info - C1
53
Commande cp
Avec l'option -r, la commande cp copie récursivement
un répertoire (l'intégralité des éléments qu'il contient)
Exemple :
$ cp /home1/z999999/C2I /home1/z999999/Anglais
cp: omission du répertoire `/home1/z999999/C2I'
$ cp -r /home1/z999999/C2I /home1/z999999/Anglais
$ ls /home1/z999999/Anglais
C1.odp C2I video.mpg
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
54
Commande man
La commande man affiche le manuel en ligne associé
à une commande
Exemple :
$ man ls
(affiche le manuel de la commande ls)
Appuyez sur q pour quitter
$
17/03/11
Bertrand Estellon - Département Info - C1
55
Autres commandes
importantes
mv : déplacer/renommer un fichier ou un répertoire
rm : supprimer un fichier (ou un répertoire avec -r)
mkdir : créer un répertoire
rmdir : supprimer un répertoire
cat : afficher le contenu d'un fichier
echo : affiche ses paramètres
grep : chercher dans des fichiers
passwd : changer son mot de passe
17/03/11
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Les droits d'accès
Chaque utilisateur fait partie d'un groupe (ou plusieurs)
Le système a un administrateur : l'utilisateur root
Chaque fichier et répertoire a un propriétaire (owner)
et un groupe propriétaire (le propriétaire est par défaut
l'utilisateur qui a créé le fichier)
Chaque utilisateur (et l'administrateur) peut changer
les privilèges de ses fichiers et de ses répertoires en
utilisant la commande chmod
Les commandes chown et chgroup permettent de
changer le propriétaire et le groupe propriétaire
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Les droits d'accès
3 types d'accès :
●
Lecture (ou Read)
●
Écriture (ou Write)
●
Exécution (ou eXecute)
●
●
●
Autorise la lecture d'un fichier
Permet de lister le contenu d'un répertoire
Autorise la modification d'un fichier
Autorise l'ajout/la suppr. de fichiers/répertoires
Autorise l'exécution d'un fichier
Permet de traverser un répertoire
3 classes d'utilisateurs :
Le propriétaire (ou User)
Le groupe propriétaire (ou Group)
Avec ls -l :
drwxrwxrwx
Les autres (ou Others)
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U
G
O
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Fichiers exécutables
Un fichier exécutable contient une suite d'instructions
compréhensibles par le processeur (ou par une
machine virtuelle)
Il est obtenu en compilant avec un compilateur un
code source écrit dans un langage de programmation
comme le C/C++, Java, C#, etc.
L'utilisation des bibliothèques système permet
d'interagir avec le système d'exploitation
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Les processus
Démarrer un logiciel : exécuter un fichier exécutable
Avec l'interface graphique : on clique sur une icône
Dans l'interpréteur de commande : on saisie le nom du
fichier exécutable (avec son chemin)
Dans les deux cas, un processus est créé
Un fichier peut être exécuté plusieurs fois, ce qui va
donner naissance à plusieurs processus
Un processus contient les instructions à exécuter, le
contexte d'exécution et les ressources utilisées
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Les processus
Les commandes top et ps affichent la liste des
processus en cours d'exécution sur l'ordinateur
L'ordonnanceur d'un système d'exploitation choisit les
processus qui vont être exécutés par les processeurs
De temps en temps, l'ordonnanceur réaffecte les
processus aux processeurs pour simuler une
exécution parallèle des processus
Objectif : utiliser au mieux les processeurs
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Mieux utiliser l'interpréteur de
commandes
Complétion automatique : lorsque l'utilisateur appuie
sur la touche Tabulation du clavier, l'interpréteur
essaie de compléter la suite du mot
La flèche Haut permet de remonter dans l'historique
des commandes que vous avez tapées (pratique pour
ré-exécuter plusieurs fois une commande)
La flèche Bas permet de redescendre dans l'historique
CTRL+C tue la commande en cours
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Téléchargement