Cependant …
Si c’est réellement un problème, alors il est clair
que nous ne devrions pas utiliser ces techniques
avec les patients cancéreux.
Si ce n’est pas un problème et que l’on
s’abstient, il est possible que le patient soit
privé d’un traitement qui pourrait lui être
bénéfique.
Il y aura toujours plusieurs zones grises mais on
devrait essayer de reposer nos décisions
cliniques sur des guides de bonne pratique.
Obligation d’informer les patients sur les risques
et les bénéfices et les alternatives