Les agrégats de revenu
Ils décrivent le processus de formation des revenus des secteurs institutionnels
résidants issus de la répartition primaire et des transferts. Ex. (RN, RNDB, ENB)
RN = PNB – AMORTISSEMENT RNDB = RN + CCF (amortissement)
RNDB = ENB + CF national
REVENU MOYEN = RNBD / NOMBRE D’HABITANTS
Le revenu national est d’habitude évalué au coût des facteurs : RN=RN Nef=PNB–AMOT–I.I+S
b- épargne nationale brut : ENB = RNDB – CFN
Les agrégats de la dépense
Dépense national brut = CFN+FBCF+VS
C° finale national = RNDB-ENB
Demande finale = CFI+FBCF+VS+X
Formation nette du capitale fixe = FBCF – amortissements
Formation du capitale = FBCF + VS
Taux d’investissement = FBCF/PIB*100
Taux d’auto financement = ENB / FBCF *100
*le post le plus important est celui du matériel et outillages ; il représente plus que la moitié du FBCF ce post traduit
l’effort de la nation en matière d’équipement productif, car il permet une grande participation à la production.
*il est suivit par le post de bâtiment avec 28 %, cela montre l’effort pour la lutte contre l’habitat insalubre. Il est suivit
par les autres postes.
Entre 2004 et 2003 la FBCF à augmenté de 8.54%, cette augmentation est due principalement à l’augmentation du
poste matériel et outillage de 10.29%.
Variation en %=
L’indice simple
Propriété de l’IS :
Identité Réversibilité Transférabilité
I1
0=1 cela signifie que P1=P0 I1
0*I0
1=1 I2
1*T1
0=I2
0
Le PIB/habitant (ou par tête) est la valeur du PIB divisée par le nombre d'habitants d'un pays. Il est plus
efficace que le PIB pour mesurer le développement d'un pays, cependant, il n'est qu'une moyenne donc il
ne permet pas de rendre compte des inégalités de revenu et de richesse au sein d'une population. Cet
indicateur n’est pas égal au revenu par tête.
Il est un bon indicateur de la productivité économique, mais il ne rend pas lui-même compte du niveau de
bien-être de la population ou du degré de réussite d'un pays en matière de développement. Il ne montre
pas dans quelle mesure le revenu d'un pays est réparti de manière équitable ou non entre ses habitants.
Comme le PIB, il ne reflète pas les atteintes causées à l'environnement et aux ressources naturelles par les
processus de production, et ne tient pas compte du travail non rémunéré qui peut être effectué au sein des
ménages ou des communautés, ni de la production à mettre au compte de l'économie souterraine.
*Le PIB ne tient pas compte de l'auto-production (ou auto-consommation), c'est-à-dire les richesses
produites et consommées au sein-même des ménages : par exemple les fruits d’un verger qui sont auto-
consommés, ou la production domestique (activités domestiques des femmes au foyer par exemple).
*Le travail au noir est mal mesuré, et sa valeur ajoutée est estimée et incluse dans le PIB.
*Le bénévolat, qui est un service non marchand, est très mal mesuré (la valeur ajoutée étant comptabilisée
essentiellement à partir des coûts de personnel, lesquels sont par nature insignifiants dans les activités
bénévoles)
*Le PIB n'est pas un indicateur du bien-être, de bonheur, ou de qualité de vie. Ainsi certaines
consommations font gonfler le PIB alors que de toute évidence elles ne reflètent pas une amélioration du
bonheur des habitants – par exemple une hausse des achats de médicaments anti-dépresseurs.