Devant l’Armistice, les Français ont réagi avec soulagement parque que
les conditions sévéres de cet « accord » ont pesé sur la vie de tous les
habitants jusqu’à la libération.
Pétain ira, en jullet 1940, pendant chef de l’État français, addopter une
politique de collaboration, prennant des mesures comme la fidélité à Hitler.
Pour ça, il addopte une divise de collaboration : il a remplacé la divise de la
République « Liberté, Égalité, Fraternité » par celle de « Travail, Famille,
Patrie ».
A la fin de la guerre, Pétian sera jugé par la haute Cour de Justice et
condanné à la peine de mort, mais comme il était très âgé, il a été arrêté en
détention à perpétuité.
En conclusion, le maréchal Pétain a pris beaucoup de mesures. Ils pensait
que son aviotion était la meilleure, ainsi comme il pensait que « les fôrets des
Ardennes étaient impénétrables » ; quand Hitler a envahit la France, Pétain est
devenu son collaborateur.
Après ça, Pétain, qui voulait faire mieux que son maître Hitler, a pris des
mesures comme celles de donner des enfants et des juifs aux estreminateurs
nazis. Pètain n’a pas deffendu le peuple juif, en approvant la création de la
Milice.
Le général de Gaulle et l’Appel du 18 juin
De Gaulle est un officier et homme politique français, qui est âgé de 50
ans.
A propos de ses idées militaires, il a profit ces longs mois pour étudier la
tactique et lire des classiques de la litérature militaire. Il a été contre
l’Armistice, parce qu’il a été le chef de la Résistance français.
En mai 1940, de Gaulle s’illustre dans la bataille de France à la tête
d’une division cuirassée ; il est alors promu général. Le 18 juin, il lance de
Londres son appel, invitant les Français à continuer le combat (il dit aux
français que « rien n’est perdu pour la France. »). Pétain et de Gaulle, la
Secondde Guerre Mondiale verra s’opposer ceuz qui avaient combattu
ensemble en 14-18.
Le 18 juin 1940 a permis à de Gaulle de dissocier les Français non
seulement de tout ce qui se faisait à Vichy, mais de tous les poids de compromis
quotidiens, de misère morale, d’humiliation, dont l’occupation les accablait.