3) Fonctionnement au-delà de la relation sujet/verbe
= la reprise anaphorique de “la cerise”
réussites : “la cerise est mûre. Elle tombe”
dysfonctionnement : “la cerise est mûre. Elle tombent” => valeur générale du singulier “la
cerise” et apparition du pluriel
L’ORGANISATION TEXTUELLE = ANALYSE DE LA COHERENCE
(Fait partie de la grammaire de texte)
En introduction, indiquer le type de texte à analyser (récit, conte…) et faire référence au
domaine énonciatif :
- type discours (présent de narration), direct, indirect
- type récit (imparfait/passésimple)
1) Les connecteurs
Permettent la cohérence en opérant des liens logiques entre les phrases.
Relèvent de plusieurs catégories de la grammaire traditionnelle (conj de coordination, de
subordination adverbes…)
- temporels : alors, après, ensuite, tout à coup…
- spatiaux : ici, là-bas…
- argumentatifs : d’explication (parce que, car…), de conclusion (donc, ainsi…)
de complémentation (or, de plus…), d’opposition (par contre..)
énumératifs : d’abord, ensuite, enfin…
2) Les anaphores (indiquer le nombre de personnages)
Assurent le suivi des informations déjà données
- soit répétition : Jean… Jean
- soit substitution : évitent les répétitions
. substituts pronominaux : pronoms personnels (sujet/complément), démonstratifs, possessifs,
indéfinis, relatifs
. substituts lexicaux : hyperonyme, synonyme, déterminant (un garçon…le garçon…ce
garçon), adverbe (à la clairière… : là…)
3) La progression thématique
- à thème constant (narration)
- à thème linéaire (descriptions ou explications)
- à thème éclaté ou dérivé (description)
A partir de l’analyse, signaler les incohérences et les réussites par rapport au niveau de classe
de l’élève