la vraie prognathie canine

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LA VRAIE PROGNATHIE CANINE
Dès le début de la cynologie officielle moderne, c'est à dire à la fin du 19ème siècle un des premiers éléments pris en compte pour la sélection raciale canine fut le
positionnement
Les
chiens
Les
des
avaient
juges
déjà
dans
à
dents
leur
gueule
l'époque
leur
les
principal
comptaient
élément
les
unes
de
survie
dents
et
et
par
la
rapport
dégénérescence
regardaient
si
la
de
cet
aux
outil
position
primordial
des
eut
mâchoires
autres.
été
gravi ssime
était
bonne.
De nos jours, cet examen apparemment facile s'est maintenu tout naturellement sans que personne ne se pose la question de son efficacité réelle ou même remette en
question
Pourtant
la
méthode
malgré
Alors
qui
cette
consiste
barrière
doit-on
à
vérifier
impitoyable
le
rapport
érigée
s'interroger
depuis
de
plus
sur
l'articulé
au
d'un
niveau
siècle,
des
l'anomalie
l'efficacité
du
blocs
incisifs.
persiste
!
système?
Il faut tout d'abord éclaircir le raisonnement en précisant certains points de vocabulaire: Il faut tout d'abord éclaircir le raisonnement en
précisant certains points de vocabulaire:
- Gnathos en Grec veut dire "mâchoire" et peut par conséquent, s'employer pour la mâchoire du haut comme pour celle du bas. On précisera donc à chaque fois
supérieure
ou
inférieure.
- Les préfixes retro et pro voulant dire en arrière ou en avant s'appliquent aussi bien à l'os maxillaire; pro et retro gnathie, qu'à l'os alvéolaire : pro et retro alvéolie.
- Les mots "grignard" et "bégu" (désignant soit un prognathisme supérieur, soit une retro alvéolie inférieure) sont à éviter car ils portent à confusion.
-
Deux
termes
sont
essentiels
dans
cette
démonstration
:
l'os
maxillaire
d'une
part
et
l'os
alvéolaire
d'autre
part.
Il faut en effet considérer que les mâchoires sont constituées de deux formes osseuses qui ont des destinées très différentes: Il faut en
effet considérer que les mâchoires sont constituées de deux formes osseuses qui ont des destinées très différentes:
- L'os maxillaire, qui constitue le corps de la mâchoire et qui va évoluer avec l'ensemble du squelette en particulier des os crâniens et qui signe par sa forme et sa position
un caractère transmissible des rapports intermaxillaires. La correction des anomalies de ces rapports ne peut se faire que par orthopédie chirurgicale maxillaire.
- L'os alvéolaire, qui supporte les dents et englobe dans des alvéoles les racines de celles-ci. C'est un os qui évolue avec les dents et qui disparaît avec elles.
Il est très malléable, transformable, adaptable et signe des phénomènes acquis (Voussure osseuse en regard d'un kyste, etc...). Il disparaît totalement chez les édentés
complets. L'os alvéolaire s'installe dans le couloir dentaire qui se faufile, entre joues et lèvres d'un côté et langue de l'autre côté et il trouve donc son emplacement au sein
d'un
équilibre,
des
sangles
musculaires.
La
correction
de
ces
anomalies
se
fait
très
facilement
par
orthodontie
mécanique.
* Une hypotonicité de la sangle musculaire externe (labiale et jugale) permet le basculement des dents vers l'extérieur.
*
A
l'inverse
une
hypertonicité
linguale
ou
une
macroglossie
(grosse
langue)
provoque
aussi
un
basculement
des
dents
vers
l'e xtérieur.
La conséquence fondamentale est que la position des dents corrige parfois les défauts de rapport des os maxillaires.
CARACTÉRISTIQUES
SPÉCIFIQUES
DE
LA
DENTITION
DU
CHIEN
PAR RAPPPORT À CELLE DE L'HOMME:
La différence essentielle est la diduction: La différence essentielle est la diduction:
- L'homme peut imprimer à sa mâchoire inférieure des mouvements de latéralité en déplaçant la pointe de son menton à droite ou à gauche. Le chien ne le peut pas car il
doit se servir de ses mâchoires pour casser et broyer des os et il est facilement compréhensible que si vous utilisez un casse-noix dont l'articulation permet tous les
mouvements vous risquer de vous pincer ou de vous blesser avant d'arriver à vos fins. C'est pour cette raison que les canines des chiens sont si puissantes car les
mouvements de latéralité ne sont pas possibles puisqu'en occlusion les canines du haut bloquent la mâchoire du bas. C'est pour cela que les racines des crocs sont plus
longues (environ deux fois la taille des couronnes) et s'enfoncent dans l'os maxillaire en prenant une direction de plus en plus horizontale et qu'elles sont les seules à être
ainsi témoin de la réelle position des os maxillaires. Au contraire, les incisives ont des racines très courtes, confinées dans l'os alvéolaire et par conséquent mobilisables
avec lui sous l'effet de pressions parfois légères. En plus, lors d'une retrognathie supérieure il est facile de comprendre qu'avec le manque de place dans l'os pour une
incrustation normale de la racine des crocs supérieurs l'apex de celle-ci s'oriente en dedans et en avant. C'est pour cela que la pointe de la couronne à l'opposé, s'oriente
en dehors et en arrière. Toutes les vraies prognathies inférieures (boxers) ont les canines orientées en dehors et en arrière. Ceci devient un indice supplémentaire pour
parfaire
le
diagnostic.
Dans un cas très rare et sans que l'articulé soit inversé on peut soupçonner aussi une prognathie supérieure lorsque le contact entre les canines est trop fort. Il n'y a
aucun contact sur la face postérieure de la canine supérieure et il y a cependant à cet endroit une zone d'usure très nette (figure 4) ceci est dû au "contact prématuré" au
niveau antérieur de cette même dent qui à cause des chocs fréquents encaissés à la mastication, fait se décoller l'émail du côté opposé. (se rencontre chez les humains
dans
certains
cas
de
bruxisme).
On a longtemps cru que certains chiens de chenil se faisant les crocs sur leur grillage mais, sachant la difficulté qu'il y a de meuler l'émail d'un croc avec une fraise
diamantée montée sur turbine à 400 000 Tr/mn, il paraît plus probable que cette usure soit effectivement due à un signe de légère prognathie supérieure bloquée dans
son
évolution
Figure
Rapport normal des canines et du coin supérieur
par
l'engrenage
des
canines.
1
Figure
2
Décalage antéro-postérieur des maxillaires supérieurs en arrière ou inférieurs en avant
Figure
3
Articulé
inversé
Décalage antéro-postérieur des maxillaires supérieurs en avant ou inférieurs en arrière
Figure
4
Normognathe apparent
Dans les schémas qui sont présentés plus bas, les incisives sont placées en bout à bout (pince) pour faciliter la démonstration, mais il y a en réalité un
recouvrement
La
série
A
du
bloc
représente
incisif
7
inférieur
situations
par
dites
le
bloc
incisif
supérieur
"Normognathe" pour
les
(ciseau)
races
qui
insuffisamment
doivent
avoir
quantifiable
un
rapport
sur
un
maxillaire
tel
schéma.
homologue.
Au niveau des canines, il y a presque contact; l'espace est de toute façon inférieur à 2mm, la canine supérieure étant en position postérieure par rapport à la
canine
inférieure
Profil droit d'un chien normognathe
qui
est
elle-même
en
arrière
du
coin
supérieur.
A
1
Les
incisives
inférieures
et
supérieures
sont
en
position
normale
C'est l'articulé en ciseau recherché et le rapport maxillaire parfait
A
2
Les
incisives
Attention
:
Ce
sont
n'est
inclinées
pas
un
vers
vrai
"bégu"
l'avant:
malgré
il
s'agit
l'apparence,
d'une
car
le
proalvéolie
rapport
osseux
supérieure.
est
normal.
D'où la nécessité d'un contrôle d'articulé au niveau des canines.
A
Les
3
incisives
supérieures
sont
inclinées
vers
l'arrière:
il
s'agit
d'une
rétroalvéolie
supérieure.
Le plus souvent source d'erreur, ce chien est apparemment prognathe. Mais après contrôle au niveau des canines, c'est une fausse prognathie inférieure.
A
Il
4
s'agit
d'une
bi-rétroalvéolie;
l'apparence
est
normale
mais
Ce cas passe généralement inaperçu! Si ce n'est l'impression d'un museau un peu court.
l'articulé
aussi
et
le
rapport
osseux
aussi.
A
Biproalvéolie:
5
Apparence
et
rapport
normaux.
Passe
aussi
inaperçu
si
ce
n'est
parfois
le
signe
d'un
museau
un
peu
long.
Il n'y a cependant pas de défaut transmissible.
A
6
Donne la même impression que A2; Ce chien n'est pas réellement bégu.
A
7
Donne la même impression que A3; Ce chien n'est pas réellement prognathe
La série B représente 7 situations où tous les chiens sont prognathes (Prognathisme inférieur ou rétrognathisme supérieur). Les canines inférieures et
supérieures
sont
séparées
de
plus
de
2
B
Les
mm.
1
rapports
dentaires
signent
les
rapports
osseux.
L'inclinaison des dents est normale et le prognathisme est visible au niveau incisif. Il peut être contrôlé au niveau des canines où le décalage est supérieur à
2 mm.
B
2
Le cas le plus difficile à déceler et à faire admettre par un exposant. La proalvéolie supérieure masque la vraie prognathie qui ne peut être découverte qu'à
l'examen
des
canines.
Dans le contexte actuel, ce cas n'est jamais pris en compte alors qu'il s'agit d'une prognathie inférieure.
B
3
La rétroalvéolie supérieure augmente la prognathie inférieure et facilite la lecture de celle-ci.
B
4
Donne la même impression que B3.
B
5
Encore un articulé d'apparence normale qui camoufle comme B2 une vraie prognathie inférieure qui n'est pour l'instant jamais sanctionnée.
Il y a en plus dans ces deux cas très souvent un bout àbout incisif.
B
6
La Birétroalvéolie ne camoufle pas la prognathie et passe souvent inaperçue.
B
7
La Biproalvéolie est également un phénomène compensatoire.
La série C représente les 7 situations où les chiens sont rétrognathes (Rétrognathisme inférieur ou prognathisme supérieur ou bégu). La position des
canines
est
inversée
(la
lecture
est
beaucoup
plus
facile
à
condition
de
faire
un
contrôle
au
niveau
C
des
canines.
1
L'inclinaison normale des dents ne cache pas la prognathie supérieure.
C
La
2
prognathie
Le diagnostic devient évident.
supérieure
est
aggravée
par
la
proalvéolie.
C
3
Attention!
L'articulé
incisif
est
normal
et
seul
l'inversée
"canine"
signe
la
prognathie
supérieure.
Anomalie pratiquement jamais décelée.
C
4
Attention!
C'est la même situation "apparente" que C3.
C
Equivalent
5
à
C2.
Il n'y a pas de problème de lecture.
C
La Birétroalvéolie pratiquement indécelable ne cache pas le prognathisme supérieur.
6
C
7
La biproalvéolie de la même façon ne change rien puisque l'avancée des dents du haut compense celle des dents du bas et vice et versa.
COMMENTAIRE SUR QUELQUES RACES
- Pour les " normognathes " c'est-à-dire les plus nombreux qui ont dans le meilleur des cas l'articulé en ciseau, le seul regard au niveau incisif ne suffit pas et
le faible pourcentage d'anomalies non décelées nécessite une plus grande vigilance et une meilleure lecture en particulier en se référant à la position des
crocs.
- Pour un prognathe naturel style "Boxer" où la prognathie inférieure est la "normale", il faut, bien sûr, transposer; ainsi le A7 et A3 peuvent être acceptés
alors
que
le
rapport
entre
les
maxillaires
n'est
pas
celui
recherché.
B2 et B5 pourraient être refusés alors qu'il s'agit de vrais prognathes. Il faut donc aussi dans ces 4 positions avoir un contrôle au niveau des canines.
- Pour un Cane Corso qui doit avoir un prognathisme jointif, c'est-à-dire un articulé inversé, mais avec un contact dentaire au niveau des incisives, on voit
que la lecture doit être très affinée et l'espace entre les crocs devrait se situer entre 2,5 mm et 5 mm.
- Surtout qu'en vieillissant les dents s'usent, le menton s'élève pour reprendre le contact et comme le point de rotation de la mâchoire du bas est très
postérieur, celle-ci est propulsée vers l'avant et le prognathisme inférieur est augmenté. On trouve souvent des "pinces" chez les vieux chiens
"normognathe".
En conclusion, on peut signaler qu'un traitement orthodontique qui ne mobilise que les blocs incisifs n'a aucune incidence sur la réalité et n'est pas une
fraude
réelle
puisque
seules
les
canines
sont
les
véritables
témoins
des
rapports
osseux
génétiquement
transmissibles.
Ces traitements sont d'ailleurs d'une facilité déconcertante à réaliser, car en 15 jours, on remet les incisives en place avec un simple fil coronaire en créant
un
mouvement
de
rétroalvéolie
rapide
et
définitif...
Heureusement que ce traitement n'est pas vulgarisé car avec les anciennes méthodes de dépistage du prognathisme, plus un seul chien ne serait éliminé,
sauf
peut-être
les
bégus.
Par contre, il est pratiquement impossible de modifier la position des canines par un traitement orthodontique à moins d'envi sager des forces extra orales ou
autre
masque
de
DELAIRE
ce
qui
serait
utopique
pour
un
chien
mais
en
tout
cas
à
des
coûts
trop
élevés.
Seuls des traitements orthopédiques chirurgicaux viendraient à bout de telles anomalies Nous se sommes pas encore à l'âge de la chirurgie esthétique chez
les
chiens!
LA LECTURE DES RAPPORTS INTERMAXILLAIRES EN EXPOSITION CANINE
Il est maintenant admis qu'une lecture fiable des signes de Pro ou Retrognathie chez le chien ne peut se faire qu'au niveau des crocs lorsque ce diagnostic
doit
être
réalisé
par
un
juge
en
exposition.
Il va de soi qu'un examen radiologique suivi de mesures des contours osseux (ou un scanner) serait le moyen le plus sûr pour conforter à 100% le jugement
des rapports intermaxillaires. Dans l'impossibilité qu'ont les juges d'expositions d'avoir recours à ces méthodes, il est quand même possible d'éviter cet
inconvénient et des procédures juridiques ou autres qui mettraient les instances cynologiques en situations délicates et indéfendables. Sauf si les standards
de races mentionnent clairement le rapport incisif (mais ce n'est plus l'étude des rapports osseux transmissibles).Chez le chien normognathe les axes des
crocs de droite et ceux de gauche sont parallèles vus de face. Vu de profil les axes de ces crocs sont perpendiculaires à la ligne occlusade et l'espace les
séparant
est
inférieur
ou
égal
à
2mm
jusqu'au
contact
non
forcé. (Fig.
A)
Dans ces races dites "normognathes" le diagnostic d'une retrognathie supérieure ou d'une prognathie inférieure est mis en évidence lorsque l'espace entre
les crocs est supérieur à 2mm, que vu de profil l'axe du croc supérieur est dirigé vers l'arrière et que vu de face les crocs sont dirigés vers l'extérieur. (Fig. B)
Pour un chien dont on recherche une prognathie inférieure légère (prognathie jointive chez le cane corso) l'espace entre les crocs devra se situer entre 2 et 5
mm.
Pour les races où le prognathisme est souhaitable il faudra un écart au moins égal au précédent voire plus important. Dans les deux cas il faut une position
oblique en dehors et en arrière de l'axe des crocs. On doit comprendre qu'un raccourcissement maxillaire provoque une rotation obligatoire en dedans et en
avant de l'apex du croc et par conséquent l'inverse en ce qui concerne la pointe coronaire c'est-à-dire en dehors et en arrière. (Fig. B)
Si le chien présente un contact très fort entraînant une perte de substance côté opposé du croc supérieur ou encore beaucoup plus f réquent un inversé
d'articulé entre le croc supérieur et le croc inférieur pour se situer entre l'inférieur et le coin (3ème incisive) il s'agit d'un prognathisme supérieur ou d'un
retrognathisme
inférieur. (Fig.
C)
En terme usuel le chien est bégu. Il n'y a pas de race où cette situation est recherchée. Souvent dans ce type de situation l es crocs supérieurs enserrent
fortement la mandibule en occlusion et les crocs inférieurs s'incrustent à l'intérieur du palais dans le bord palatin de l'os alvéolaire en laissant nettement
l'empreinte
de
leurs
couronnes.
SCHEMAS (on ne tient compte que des positions des crocs) (on ne tient compte que des positions des crocs)
Fig. A - NORMOGNATHE
Fig. B - PROGNATHE INFERIEUR
C - RETROGNATHE INFERIEUR (bégu)
En conclusion : dépister le prognathisme chez le chien en ne regardant qu'au niveau incisif est une source d'erreurs importantes et de contestation
possible. En cas de soupçons il faut impérativement se reporter sur une lecture du rapport entre les crocs qui seuls fixent l a vraie position relative des
maxillaires.
L'examen
de
l'ensemble
de
la
denture
est
de
toute
façon
nécessaire
pour
éliminer
toutes
les
possibilités
d'erreurs.
Avec l'habitude tous les juges même s'ils ne sont pas des odontologistes avertis trouveront cet examen simple et efficace et une meilleure assurance d'un
diagnostic
incontestable.
Suite
à
la
présentation
de
cette
étude
une
objection
a
retenu
mon
attention.
Le Dr Millemann, éminent cynotechnicien, vétérinaire homéopathe et juge SCC bien connu me posait une question sur l'héritabilité de la proavéolie.
En effet, il existe des races où les malpositions des incisives dans le sens transversal, longitudinal ou vertical semblent être héréditaires: c'est le cas chez
l'Estrela (Montagne Portugais) où tous les chiens ont les deux incisives centrales inférieures en bout à bout et en position basse. Il faudrait savoir si
l'anomalie
de
position
des
incisives
est
génétiquement
transmissible
et
si
oui
à
quel
pourcentage.
A mon avis cela mériterait une étude approfondie (beau sujet de thèse pour un vétérinaire) mais ne change en rien le précédent raisonnement, car il faut de
toute
façon
préciser
les
choses
et
distinguer
entre
pro-retro
gnathie
et
pro-retro
alévéolie.
A cette heure tous les standards sont incomplets et à réviser pour préciser si les chiens doivent être prognathes ou en proalvéolie ou les deux ou
compensés,
etc...
Les responsables espagnols d'une nouvelle race, le Dogo canario, proposent dans leur standard que les incisives soient ou en ciseau ou en ciseau inversé
mais pas en tenaille. On ne parle plus ici que de pro ou de retro alvéolie mais la notion de pro ou retro alvéolie n'est pas mentionnée et d'autre part comment
éliminer
par
sélection
une
position
"intermédiaire".
C'est
quasiment
impossible.
Il reste à chaque club de race à faire ses ajustements, mais j'ai déjà entamé une étude race par race pour comparer ce que l'on voit sur le terrain et c e qui
est mentionné sur leur standard, ce qui permettra je l'espère de proposer certaines modifications plus en rapport avec la réalité. Je souhaiterais d'ailleurs que
les clubs puissent m'inviter à récolter des informations lors de leurs manifestations officielles car il n'y a que dans un grand nombre de sujets qu'on puisse
faire des études sérieuses.
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