I/ Les constituants de l’atome.
x A : nombre de masse (N+Z).
Z : numéro atomique, nombre de protons.
q : nombre d’e-.
N : nombre de neutrons.
Un élément est caractérisé par son numéro atomique ou son nom (ex : C=6).
Un isotope est un atome dont le nombre de masse est différent mais garde le même numéro
atomique (ex : 14C isotope de 12C).
Un atome dont la charge est non nulle est un ion.
Un cation est un atome ayant perdu minimum un e-.
Un anion est un atome gagné minimum un e-.
II/ Nombres quantiques et orbitales atomiques.
Y 0.01nm X 1nm UV 100nm SL 400-700nm IR 1mm ondes radios
Une émission de lumière représente le saut d’une orbitale a une autre par un électron.
En= - RH h c. Z²/n² Energie négative = stable.
En=0 : électron éjecté.
Plus n augmente plus les orbitales sont proches moins il faut d’énergie pour y dissocier les
électrons.
1) Les nombres quantiques.
N [N] 0<l<n l [N] -l<m<l m [Z] s=-1/2 ou ½
2) Les orbitales atomiques.
Type s : sphérique.
Type p : bilobale [x,y,z].
Type d : quadrilobale.
Règle de Pauli : dans un atome deux e- doivent différer d’au moins un nombre quantique.
Règle de Hund : Pour des états de même énergie, les e- se placent a raison de un par case, avec la
même valeur de spin et ne s’apparient en doublet que s’ils sont plus nombreux que les états.
Règle de Klechkowski (n+l minimal): parmi les couches encore vides, la première à se remplir est la
couche avec le n+l minimal, si deux cases ont la même valeur de n+l, alors on prend le plus petit n
possible.
La structure électronique : ss ps ps dps (ss ps pds si ionisation d’un e-).