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Réponses Quizz pathologies Neurologie :
1. méningiome, papillome, neurinome, épandynome, malformations vasculaires,
2. Augmentation de la taille de la lésion, hydrocéphalie par obstruction de circulation du LCR, ventriculite (altération du
LCR), HTIC, saignement, décès,
3. Faux, c’est la substance blanche qui est atteinte,
4. C’est une maladie imprévisible et parfois invalidante du SNC s’attaquant à la myéline et entraînant l’inflammation et
souvent la détérioration de cette substance par plaque,
5. Troubles visuels, troubles de l’équilibre, troubles urinaires, raideurs musculaires (spasticité), fatigabilité extrême,
douleurs,
6. Epilepsie idiopathique (correspondant à un seuil épileptogène bas), l’épilepsie symptomatique liée à une lésion du
cortex hémisphérique,
7. La crise généralisée ou grand mal, l’absence, la crise partielle,
8. Chute, accident de la route, mort subite, désaturation en O2 +++ (ce qui diminue le seuil épileptogène), morsure de
langue et de joue, état de mal épileptique,
9. Décès, pneumopathie d’inhalation, IdM, récidive d’AVC, phlébite, embolie pulmonaire, infection urinaire, escarres
(surtout complications liées à l’hospitalisation),
10. Thrombolyse par voie artérielle ou générale (examen très risqué), embolisation d’un anévrysme, évacuation d’un
hématome),
11. Hypersudation, hypersialorrhée, HTA, dépression,
12. C’est la dopamine,
13. Faux, c’est lorsqu’elle se déclare jeune,
14. Faux, elle se fait de façon asymétrique,
15. C’est un déficit neurologique central brutal,
16. Avc ischémique (80%) : occlusion artérielle, embolie cardiaque, dissection aortique et AVC hémorragique (20%) :
rupture d’anévrysme, hypertension artérielle,
17. Héparine pour les thrombophlébites et/ou aspirine pour AVC ischémique, monitoring du diabète et de la PA,
18. Faux, une partie du cerveau est plus touchée,
19. Alcool, tumeurs cérébrales, AVC, traumatismes crâniens, malformations vasculaires, encéphalites, méningites,
hypoglycémie, médicaments,
20. Anoxie néonatale, hypoglycémie, hyperthermie, malformations cérébrales, encéphalites, méningites,
21. Gliome, astrocytome, oligodendrogliome,
22. céphalées, vomissements, ralentissements, troubles visuels, altération de la vigilance,
23. Le contexte évocateur (accident), l’amnésie, le coma +/- un déficit neurologique central,
24. Contrôle imagerie, contrôle doppler, monitoring (pouls, TA, saturation, température), capnométrie (hypercapnie,
hypoxémie), saturation jugulaire (retour veineux) en O2 (si elle augmente, c’est que le cerveau n’utilise pas
correctement l’O2 et donc ne fonctionne pas bien),
25. Agressions Cérébrales Secondaires d’Origine Systémique,
26. FAUX,
27. L’aura (début de la crise, signes auditifs, olfactifs), phase clonique (tremblements), phase tonique (contractures+++),
phase de résolution ou phase stertoreuse (signe la fin de la crise avec relâchement des sphincters et des muscles),
28. Ce sont des crises d’épilepsie qui ne s’arrêtent pas, le patient ne se réveille pas,
29. Chutes, perte d’autonomie, démence, pneumopathie d’inhalation, altération de l’état nutritionnel,
30. L-DOPA (MODOPAR®), stimulation cérébrale profonde avec microélectrodes,
31. Lobectomie temporale, stimulation cérébrale profonde, stimulation corticale,
32. Paralysie, chronicité, syndrome de la queue de cheval (troubles génito-sphinctériens),
33. Tremblements (mains, pieds, assez lent survenant au repos), Akinésie (mouvements englués, diminution des
mouvements), Hypertonie (dureté permanente des articulations),
34. Monoradiculalgie unilatérale dans le territoire du nerf sciatique, d’origine vertébrale, relevant d’un conflit disco-
radiculaire,
35. Le scanner,
36. Ouverture des yeux, Réponse verbale, réponse motrice,
37. Soit par poussées, soit progressivement,
38. 70% entre 20 et 40 ans,
39. Dérivation du LCR, hypothermie provoquée (pour abaisser les besoisn du cerveau en O2 et en glucose), ablation
chirurgicale d’hématome et/ou craniectomie,
40. Il permet de diagnostiquer la sciatique, l’élévation du membre inférieur tendu au dessus du plan du lit réveille la
radiculalgie,
41. EEG, ionogramme sanguin, glycémie, alcoolémie, dosage des antiépileptiques (compliance au traitement), IRM
cérébrale, examens diagnostic d’une maladie causale,
42. Faux, ce sont les circuits dopaminergiques,
43. Les locus niger,
44. Les neuroleptiques,
45. Phase d’urgence (0-6h), phase aiguë (0-3 semaines), suites,
46. Crise d’épilepsie inaugurale, céphalée brutale avec vomissements, coma brutal sans autre étiologie,
47. Connaître les facteurs déclanchant (alcool, rupture de traitement, manque de sommeil), adapter son milieu
professionnel, traiter rapidement les facteurs aggravants (ex : hyperthermie),
48. repos+++, AINS, antalgiques I II III, hygiène de vie, chimionucléolyse,
49. Eviter les complications, éviter les récidives,
50. C’est la méconnaissance du trouble ou du déficit.