Rédaction en Français / Edna
ORTHONET
Notre LEXIQUE n'est pas un DICTIONNAIRE.
Mais il vous propose (dépannage immédiat):
plus de 25 000 réponses sur des difficultés d'orthographe ou de syntaxe;
une conjugaison modèle: DONNER
plus de 1000 conjugaisons difficiles: tapez l'infinitif du verbe;
l'orthographe des noms de nombres
les principaux formants (grecs) de vocabulaire savant
des éléments de grammaire sur l'accord des participes
idem sur les formes d'infinitif
des conseils sur les choix singulier/pluriel des noms
des conseils sur l'orthographe nouvelle
UTILISEZ CES DONNEES PRATIQUES !
Le Conjugueur
Sans vouloir être exhaustif, voici les réponses à quelques questions que je reçois assez
souvent. Peut-être trouverez-vous la réponse à une question que vous vous posez.
Est-il possible de conjuguer un verbe au féminin ?
Oui, le féminin n'a pas été oublié dans la conjugaison d'un verbe. Après avoir conjugué un
verbe, il y a une section "Variante de conjugaison" qui permet de modifier la conjugaison
d'un verbe en cours. En cliquant sur "Féminin", le pronom "il" est remplacé par "elle".
Je ne trouve pas la forme à laquelle je m'attendais pour le verbe asseoir, est-ce une
erreur ?
Asseoir est un verbe qui admet deux formes : j'assois et j'assieds. Le Conjugueur présente
les deux formes de conjugaison mais il n'en affiche qu'une seule à la fois pour des raisons
de facilité de lecture. Pour passer d'une forme à une autre, il faut aller dans la section
"Variante de conjugaison" et cliquer sur "2e forme". On peut ainsi passer d'une forme à une
autre.
La réforme de l'orthographe de 1990 autorise aussi d'écrire assoir en abandonnant le e. Le
Conjugueur ne reconnaît pas cette orthographe qui n'est pas encore reprise par tous les
dictionnaires.
J'ai conjugué le verbe descendre mais je m'étonne de le voir conjugué avec l'auxiliaire
avoir ?
C'est tout à fait normal. En français, certains verbes dont descendre admettent les deux
auxiliaires dans leur conjugaison. Le sens de la phrase est par contre modifié (ex : J'ai
descendu l'armoire à la cave./Je suis descendu par l'escalier.). En dessous du verbe à
l'infinitif et du groupe, on retrouve l'auxiliaire utilisé par ce verbe. En cliquant sur "avoir"
ou sur "être", on peut passer d'un auxiliaire à l'autre.
Par défaut, Le Conjugueur affiche toujours la conjugaison avec l'auxiliaire avoir quand il y
en a deux sauf lorsque manifestement l'auxiliaire être est le plus utilisé. C'est le cas du
verbe tomber qui admet lui aussi les deux auxiliaires : j'ai tombé la chemise/je suis tombé
par terre. Dans ce cas-ci, l'auxiliaire être est beaucoup plus fréquent et est présenté par
défaut.
Est-il possible de recevoir des cours de langue par correspondance ?
Malheureusement, Le Conjugueur ne propose pas de cours par correspondance et n'a pas
pour vocation de devenir une école de langue.
Le Conjugueur est-il disponible pour l'iPhone ?
L'affichage du site Le Conjugueur a été optimisé pour l'iPhone. Pour le logiciel par contre,
il n'existe, à l'heure actuelle, aucune application spécifique pour l'iPhone ou tout autre
smartphone mais j'y travaille...
D'où provient la base de données ?
Tout le site a été créé par mes soins. Je me suis servi du Bescherelle et du Grevisse comme
source d'information mais la suite, les algorithmes et les bases de données sont ma création.
Si vous trouvez une erreur, je compte sur vous pour me la signaler.
Est-ce que je peux avoir les sources du site Web ou accès à la base de données ?
Non, même si le site est gratuit, il n'est pas en open source.
Est-ce que je peux installer un lien vers votre site ?
Oui bien sûr, aucun problème.
Comment puis-je télécharger le site ?
Il n'est pas possible de télécharger l'ensemble du site. Si vous utilisez un aspirateur de site,
vous verrez que vous n'y arriverez pas, tout simplement parce que les pages sont créées au
moment où vous les demandez.
Faut-il payer pour télécharger le logiciel ?
Non, le logiciel est gratuit en téléchargement. Seul son usage au-delà de la période d'essai
de 30 jours est payant. En le téléchargeant, vous n'avez aucune obligation d'achat. Le
logiciel n'est pas bridé dans son utilisation durant la période d'essai.
L´auteur
Pour me présenter brièvement, je suis en 1978 à Lorient, en Bretagne. À la maison, j'ai
eu la chance d'avoir un père qui fut parmi les premiers à s'équiper en matériel informatique.
Autant dire que j'ai grandi dedans.
L'informatique a toujours été une de mes plus grandes passions. Avant de savoir lire, je
m'amusais déjà à taper sur les touches. Au primaire, je donnais les cours d'informatique à
mon instituteur qui ne comprenait pas grand chose à son TO7... Pour ceux qui ne
connaissent pas le TO7, il s'agit d'un très vieil ordinateur français du début des années
80.Pour ce qui est du français, disons que jusqu'au collège, cela ne m'avait jamais vraiment
passionné car je ne comprenais pas la logique de toutes ces règles. Mais depuis en y
réfléchissant un peu, on se rend compte que tout vient de l'histoire de la langue et que ce
n'est pas si illogique. Puis, en voyageant en Irlande puis au Québec, je me suis rendu
compte de la chance qu'on a d'avoir une aussi belle langue. C'est à partir de ce moment que
j'ai commencé à développer le site.
Ensuite je me suis orienté vers des études d'ingénieur. Je n'ai jamais fait d'études littéraires
mais après tout, je n'ai jamais vraiment étudié l'informatique non plus. À présent, je suis
diplômé de l'Ecole des Mines et je travaille dans l'informatique à Bruxelles.
Et pour la suite, on verra bien...
Qu'est-ce que la terminologie ?
Un mot pour chaque chose, pour chaque notion, pour chaque réalité…
Une langue n’est pas une entité figée, fixée une fois pour toutes : sans cesse des mots
disparaissent, meurent, des mots nouveaux apparaissent…le monde change, et le lexique
évolue.
Pour désigner les réalités nouvelles, le français, comme toutes les autres langues, s’enrichit
de nouveaux mots -les néologismes- qui sont créés à partir du français ou empruntés aux
langues étrangères.
Dans la langue courante, cette création est en quelque sorte spontanée, l’inventivité des
jeunes, des journalistes, sans parler des écrivains et poètes… se déploie dans la plus grande
liberté. Il suffit de penser à tous ces mots nouveaux, gouvernance, altermondialisme,
écocitoyen, slam …) que l’on entend dans les médias, que l’on voit dans les journaux.
Tantôt ils passent de mode rapidement, tantôt ils s’implantent durablement dans l’usage, et
dans les dictionnaires.
Dans les domaines techniques et scientifiques, les données sont différentes et d’une toute
autre ampleur : pour exprimer des notions souvent très complexes, les professionnels
emploient dans leur domaine d’activité particulier des mots ou des expressions très précis,
des termes, qui se dénombrent en centaines de milliers (par comparaison, un dictionnaire
de langue générale compte 50 000 à 100 000 mots au maximum).
Une terminologie est d’abord un ensemble de termes spécialisés relevant d’un
même domaine d’activité qui a son vocabulaire propre: terminologie de la
médecine, de l’informatique, du sport, de la marine…
Le mot terminologie désigne aussi une activité, l’ « art de repérer, d’analyser et,
au besoin, de créer le vocabulaire pour une technique donnée, dans une situation
concrète de fonctionnement, de façon à répondre aux besoins d’expression de
l’usager » de produire les termes et définitions pour désigner les notions et réalités
d’un domaine : récemment il a fallu créer génome, cybercaméra, biocarburant,
minimessage
La terminologie (ou terminographie) s’applique aux langages spécialisés comme la
lexicographie touche à la langue générale. Une notion, une définition, un terme :
c’est le principe d’élaboration de toute terminologie ; chaque notion nouvelle doit
être définie avec précision et désignée par un terme, le plus adapté, le plus parlant,
le plus clair possible.
Elle est proche de la traduction, se fondant sur le sens d’une notion pour donner des
termes équivalents d’une langue à l’autre.
C’est enfin une discipline linguistique qui étudie les concepts spécialisés et les
termes qui les désignent en langue de spécialité.
Ce site vous est proposé par la délégation générale à la langue française et aux langues
de France (ministère de la culture et de la communication).
1 / 5 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !