F. Cas et interprétations
F1 Inventaire des cas, locatifs ou non. Donner les cas susceptibles de spécifier une relation
spatiale.
F2 Les cas spécifiant une relation spatiale peuvent-ils recevoir d’autres interprétations
(aspectuelle, temporelle, bénéfactive etc.) ?
G. Deixis
G1 Inventaire des formes déictiques. Quels sont les traits pertinents déclenchant leur emploi
(degré d’éloignement, ponctualité / extensivité, visibilité etc.) ?
G2 Certaines formes déictiques peuvent avoir une interprétation non spatiale ? Donner des
exemples.
H. Classes de constituants de la relation
H1 Quelles sont les classes de morphèmes susceptibles d’exprimer une relation spatiale ?
Donner si possible leur origine (par ex. nom de partie du corps, verbe de mouvement etc.).
H2 Certains de ces morphèmes peuvent-ils recevoir une interprétation non-spatiale (par ex.
aspectuelle) ?
H3 Caractère obligatoire ou facultatif du site après une expression spécifiant une relation
spatiale.
I Verbes
I1 Types de structure exprimant typiquement des déplacements (V + adposition, verbes
sériels etc.) ?
I2 Les compléments initiaux (par ex. de Paris dans je viens de Paris) sont-ils compatibles
avec des verbes finaux (par ex. j’arrive de Paris) ? Inversement, des compléments finaux
sont-ils compatibles avec des verbes initiaux (par ex. je viens à Paris) ?
I3 Existe-t-il une limitation du nombre de compléments de lieu analogue à celle du français
dans : * j’arrive de Paris à Lyon ?
I4 Les verbes intermédiaires du type vadrouiller, traverser, se balader peuvent-ils avoir une
interprétation initiale (impossible en français avec de : * je me balade d’Orléans) ou finale
(impossible en français avec à : je me balade à Orléans) ? A quelles conditions de telles
combinaisons sont-elles possibles (par ex. l’usage de jusque rend acceptable la combinaison
se balader + complément final : je me balade depuis Orléans).
I5 Mêmes questions avec les verbes désignant des manières de se mouvoir (marcher) ou de
mouvoir (secouer).
I6 Les interprétation illative, inessive, situative etc. sont-elles systématiquement distinguées
(l’allatif et le situatif ne sont pas distingués dans je saute sur le lit) ?