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PAUL DEFEND SON APOSTOLAT
2 Corinthiens 10 :1-11 :33
Verset Clé 10 :4
« Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles, mais
elles sont puissantes devant Dieu, pour renverser des forteresses. Nous
renversons les raisonnements… »
Je rends grâce à Dieu qui nous a conduits si fidèlement notre étude de 2 épîtres aux
Corinthiens pendant 4 derniers mois. Nous avons devant nous deux leçons restant sur 4
derniers chapitres de 2 Corinthiens. Dans la première leçon de cette épître, - si nous nous
en souvenons Paul parlait de la consolation et que cette consolation vient à travers les
tribulations. Il disait que Dieu donne celles-ci à ceux qu’il aime afin que par elles, ils
peuvent avoir de la profonde consolation en eux. Ensuite, Paul parlait du ministère de la
nouvelle alliance contrairement à l’ancienne alliance. Elle est scellée par le sang de Jésus-
Christ. Puis, Dieu a choisi nous qui sommes des vases de terre si fragile pour porter le
trésor de la bonne nouvelle de Jésus-Christ. Cette demeure terrestre se détruisant un jour,
nous aurons la nouvelle demeure dans le ciel, le corps ressuscité semblable à celui de Jésus
Ressuscité. Entretemps, Dieu nous a confié un ministère de la réconciliation, en nous
désignant comme ambassadeur du Christ. Paul nous exhorte de ne pas former un attelage
avec les gens du monde, car il n’y a aucune chose de commun entre les enfants de lumière
et les enfants de ténèbres. Paul enfin dit la rencontre avec Tite qui lui apportait la nouvelle
de la repentance des Corinthiens. Dans la précédente leçon, Paul exhorta les Corinthiens à
exercer leur nérosité en apportant leur offrande pour partager la souffrance des saints à
Jérusalem en difficulté matérielle actuelle. A partir du chapitre dix, l’apôtre porte
brusquement son attention sur la question qui le trouble particulièrement et qui risque de
faire échouer l’œuvre que Dieu avait commencée dans l’église de Corinthe. Les
Corinthiens ont accueilli et ont écouté des hommes arrogants qui se présentaient en tant
qu’apôtres et qui dénigraient l’autorité et le travail de Paul. Par la parole d’aujourd’hui,
apprenons quel était le combat de Paul, bon berger des âmes des Corinthiens.
Comme un préambule, bien que l’apôtre ne les nomme pas, il est possible d’établir
un certain portrait de ces hommes à partir des arguments qu’il utilise à leur encontre.
D’abord, ce sont des hommes venus de l’extérieur, qui s’introduisent dans l’église de
Corinthe par le moyen de lettre de recommandation. 2. Ils prétendent avoir une grande
autorité, supérieure à celle de Paul. Ils semblent vouloir saboter l’influence de l’apôtre afin
de mieux dominer les Corinthiens. 3. Ils se vantent de leurs origines juives et d’avoir peut-
être connu Christ pendant son ministère sur la terre. Selon toute possibilité, ils prêchent un
légalisme basé sur la loi de Moïse. 4. (c’est le plus important) Ils annoncent un autre
message étranger à la parole de Dieu ; un autre Jésus, un autre évangile, un autre esprit.
Pour eux le pur évangile basé sur le sang de sus ne suffit pas, il faut un alpha que ce soit
d’idée humaine ou de tradition humaine, pour être sauvé.
Premièrement, je vous exhorte par la douceur et par l’humilité. Dans le profond
embarras en face des gens qui s’opposaient à son autorité, quelle était l’attitude de Paul ?
D’abord, Paul était un berger plein de douceur et d’humilité. Ainsi, Paul dit, « Moi, Paul, je
vous exhorte par la douceur et la bienveillance de Christ moi qui suis humble en face de
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vous et qui, de loin, suis plein de hardiesse à votre égard je vous en prie : que je n’aie
pas, une fois présent, à montrer la hardiesse et l’assurance dont je compte user avec audace
contre ceux qui estiment que nous marchons selon la chair. » Par ces mots, nous nous
apercevons que Paul était en train de faire une distinction entre les ouailles de Corinthe et
les adversaires à son autorité. Si on redit cette phrase, cela aurait voulu dire que Paul ne
souhaite pas qu’il soit toujours hardi à l’égard des Corinthiens, ce pourquoi sa lettre
envoyée assez sévère. Il voulait qu’il soit doux et humble à leur égard du débout jusqu’à la
fin. Tandis que pour l’ennemi de Dieu, il est plein de hardiesse, de loin et de près, car il le
méritait.
Paul savait que si les ouailles de Corinthe sont tombées, c’est à cause de leur
faiblesse. Pourtant ils n’avaient pas de mauvaises intentions à l’égard de lui-même ni à
l’égard de l’église. Seulement ils ont été séduits et emportés par les désirs coupables
propres. Paul était plein de compréhension à leur égard. C’est pourquoi ils pleuraient
beaucoup de larme quand ils prenaient connaissance qu’ils étaient tombés dans le péché.
Puis, en connaissant leur faiblesse, ils ne cessaient de se prosterner devant Dieu pour lui
supplier en larme qu’il les protège. C’était son intérêt constant non seulement pour l’église
de Corinthe mais pour toutes les églises. Ainsi, il confessera juste avant de partir pour
Jérusalem et d’être arrêté, devant les anciens d’Ephèse, « Veuillez donc, en vous souvenant
que, pendant trois ans, je n’ai cessé nuit et jour d’avertir avec larmes chacun de vous. »
Paul était vraiment le bon berger des âmes de Corinthe. La première lettre envoyée à
eux était plein d’admonestations et avertissement et me jugement, car il savait que leurs
mœurs sont devenus très relâchés. Les gens se divisaient en disant selon la tendance des
écoles philosophiques de la localité, « je suis de Paul » « je suis de Céphas » etc. Paul se
sentit désolé et leur fit reproche doucement, « est-ce que Jésus est divisé ? » « Suis-je
crucifié pour vous ? » Paul réprimanda doucement quand il s’éclata un procès entre les
fidèles qui fut mené jusqu’au tribunal du monde, en disant « ne savait pas que les élus
jugeront le monde ? » Même devant l’affaire de la relation sexuelle d’un soi-disant croyant
avec la belle-mère, il reprocha à toute l’église afin qu’elle le chasse de l’assemblée, il dit
avec douceur : quand il a fait de retour en repentance, il fallait que vous lui pardonniez.
Paul savez que les ouailles de l’église de Corinthe étaient si faibles et impuissants devant
l’impétueuse tendance charnel de la ville et devant l’accusation de l’ennemi de Dieu qui les
attire à leur profit.
Donc, l’attitude de Paul à l’égard des Corinthiens était plein de douceur et
d’humilité. Auparavant Paul n’était pourtant pas ainsi. Le mot douceur ne se trouvait pas
dans son dictionnaire. L’humilité non plus. Car c’est trop humiliant d’adopter ce genre de
caractère. Ce sont des caractères des vaincus, se disait-il. Donc, chaque jour où il se leva, il
se regarda dans le miroir, endurcit suffisamment ses cous et épaules avant de sortir de sa
maison. Chaque jour c’était une expédition d’éradiquer les cafards sales qui venait de
surgir à l’encontre de sa religion orthodoxe juive pure. Donc, pour ces bêtes, il n’y a pas de
quartier, tous les moyens et produits d’insecticide sont permis. Mais un jour, il arriva qu’il
devint chef de fil pour éliminer un des disciples les plus influents de la secte de Nazaréen,
appelé Etienne. Les Juifs l’amenèrent dehors et le lapidèrent. Alors le témoignage et la face
d’Etienne bouleversa Paul. Actes 7 :59 dit : « ils lapidèrent Etienne, qui priait et disait :
Seigneur Jésus reçois mon esprit ! Puis, il se mit à genoux et s’écria d’une voix forte :
Seigneur, ne les charge pas de ce péché ! Et, après avoir dit cela, il s’endormit. » Luc ne
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put décrire en disant qu’il décéda, mais il s’endormit, tellement que son visage était calme
et comme s’il rêvait.
Deuxième évènement définitive pour lequel il abandonna son attitude endurci était
son renversement sur le chemin de Damas. Il partit de Jérusalem avec la lettre de
recommandation du souverain sacrificateur pour arrêter et amener les Chrétiens qui
vivaient à Damas. Alors sur le chemin, il vit Jésus venir à sa rencontre. Jésus lui dit,
« Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? » Il fut tombé du cheval et ses yeux
s’aveuglèrent. « Qui es-tu Seigneur ? » lui demanda-t-il. Jésus lui répondit, « Je suis sus
de Nazareth que tu persécutes. » Il sut à l’instant que ce Jésus est le Dieu des cieux et de la
terre et il fut ressuscité par la puissance de Dieu donc, le souverain de l’univers, mais il n’a
pas jugé cet ennemi mais l’a pardonné. A ce moment, sa dureté de cœur l’abandonna
complètement.
A ce moment, il prit conscience de comment Jésus était si doux et humble pour
venir jusqu’à lui qui n’était qu’une ordure pour le rencontrer, pour le restaurer et pour le
rétablir. Emu de cette compassion, il décida désormais de devenir bon berger des âmes
perdues et de prédicateur de l’évangile de Jésus de tout son cœur pour toute sa vie.
(NOIR) On dit que Marc était l'interprète de Pierre. On dit aussi que Pierre, après
être délivré de Hérode, restait dans la maison de Marc. Marc, même s'il avait une fois
abandonné le voyage de mission avec Paul, celui-ci a renoué la relation et gardé contact
avec lui. On dit que Marc était un des disciples de Jésus pendant son vivant. On dit aussi
que le jeune homme dans l'évangile selon Marc qui se débarrassa du vêtement et courut nu
était Marc lui-même. En tout cas, Paul aurait entendu des récits sur Jésus à travers Marc. Si
on voit Marc 5, nous voyons un personnage moniaque. Il habitait parmi les tombes et
jour et nuit poussait des cris comme des bêtes et se déchirait son corps. On avait enchaîné
son corps, mais sans tarder, il brisa les fers, avec sa puissance redoutable. Jésus connaissait
l’agonie de cet homme, du fait que la seule cause de cette malheur était son instinct de
devenir libre et un peu rebelle à ses parents. Alors sa nature coupable l’emportant sur lui, il
devint vagabond et violent et solitaire pour vivre parmi les tombes. Jésus combattra contre
les diables et les chasse hors de cet homme démoniaque. Jamais cet homme n’a pas eu la
force de décision, sauf s’il a décidé de se rebeller à ses parents et sa société. Mais
désormais, il décida de vivre comme disciple de Jésus-Christ.
Dans la parabole du fils prodigue, le fils cadet demanda à son père son part
d’héritage et s’en alla et dans la ville il gaspilla tout son bien parmi les prostituées en mode
de beuverie et de jeu d’argent, pour finir par être ami de cochon au milieu de la famine
frappant le pays mais ne pas manger les caroubes malgré envie, car les cochons l’ont
abandonné comme des amie prostitués l’avait fait quand sa poche était vide. Dieu est
comme son père qui attendait son retour en allant chaque jour sur la colline pour regarder
loin la porte d’entrée de son domaine. Quand il fut de retour, le père l’aperçut et courra
vers lui et l’embrassa, car il se disait, « Voici le fils qui était mort mais il est revenu à la
vie. » Il ne demanda pas son passé et fit un grand festival d’accueil en tuant le veau gras. Il
savait qu’il avait péché contre lui et contre Dieu, mais comprit que cela avait pour cause sa
propension pécheresse innée dont il avait été emporté.
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Paul savait comme Jésus que les ouailles qui avaient tourné le dos une fois n’étaient
pas ainsi parce qu’ils étaient mauvais, mais seulement parce qu’ils étaient si faibles devant
la tentation du pécet de Satan. Il était humble à leur égard et vint devant Dieu pour le
prier qu’il les protège et faire revenir vers lui par la repentance. Dieu l’a exaucé, car la
personne qu’il avait demandé être excommunié était de retour, et toutes les ouailles de
l’église se repentirent de leur péché selon Tite. C’était la victoire d’un cœur de berger.
Mais Paul combattait contre ceux qui étaient ennemi de Dieu. Ils s’opposaient
express contre son autorité pour s’emparer des ouailles de Corinthe à leur profit. Donc,
Paul opta tout à fait une autre attitude à leur égard. Leur motif était malsain et leur désir
impur. Il n’y avait pas de quartier dans la guerre contre eux, car il s’agissait de la question
de vie ou de mort pour l’église de Dieu. Il ne leur put pardonner aucunement, à tel point
qu’il dit que je viendrais les punir et les traiterait avec hardiesse et audace. Jésus a
demandé à la question de Pierre au sujet de pardon : « tu leur pardonneras soixante-dix-
sept fois sept fois » c’est-à-dire infiniment. Paul pardonne tous les péchés des ouailles de
Corinthe, mais il ne put pardonner même une fois le péché de ces faux apôtres, car le
Seigneur lui-même disait qu’ils ne seront jamais être pardonné, ceux qui empêchait
l’œuvre du Saint-Esprit. L’attitude de Paul était sans équivoque, en ce qui concerne
l’empêcheur de l’œuvre de Dieu. C’est souvent la limitation au-delà de laquelle ne peuvent
se dépasser les humanistes.
Paul était donc un bon berger des âmes de façon à la fois offensive et défensive.
Pour le premier aspect, il est comparable à David dans l’ancien testament, il avait
combattu avec les lions et ours jusqu’au bout pour protéger les brebis de son père. Une fois
le jeune garçon David témoigna à Saül : « ton serviteur faisait paître le troupeau de son
père. Et quand le lion ou l’ours venait enlever une bête du troupeau, je courais après lui, je
le frappais et j’arrachais la bête de la gueule. S’il se dressait contre moi, je le saisissais par
le poil du menton, je le frappais et je le tuais. » Il était un jeune garçon, mais il sentait une
grande responsabilité de garder les moutons de son père et en plus il aimait chaque mouton
comme lui-même. Donc, il se battait si acharné avec les bêtes sauvages sans regarder sa
vie. Paul aimait tendrement les Corinthiens et combattait l’ennemi de l’église comme une
question de vie ou de mort. Aussi était-il si hardi contre l’ennemi. Mais de A à Z, il était
humble et doux à l’égard des ouailles. Il fallait que les ouailles comme vous et moi,
doivent le comprendre. C’est-à-dire que même si le ton du mentor monte et qu’il
s’aventure pour les corriger, le fond de ses actes est basé sur l’amour. A mon avis, c’est
une sorte d’entrainement de la vie. C’est-à-dire de ne pas voir et interpréter selon l’instinct
les actes d’autrui, mais voir le motif caché derrière. L’esprit de vengeance s’emportant,
combien facilement l’homme tourne le dos envers ceux qui veulent le corriger ou lui font
reproche. Mais au fond, leurs actes étaient venus de leur amour envers lui. Paul fit appel à
leur conscience pour qu’ils n’endurcissent pas leur cœur mais accepter le fait qu’il agissait
ainsi à cause de sa douceur et de son humilité envers eux, pour faire connaître l’amour de
Dieu par la conduite à la repentance bienfaitrice. Beaucoup de gens sont tellement habitués
de la méfiance dès l’enfance, ou la vengeance, qu’ils n’acceptent pas ne serait-ce qu’un
petit coup de fouet physique ou verbal des autres qui souhaitent le corriger. Ainsi, son âme
ne grandit pas et reste puérile, même jusqu’à un âge très avancé.
Deuxièmement, nous renverseront leur forteresse. La situation était assez accablante
pour Paul, car l’ennemi qui n’avait rien à voir avec le labeur de salut des Corinthiens
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s’infiltra pour avilir son autorité et s’emparer des ouailles ignorantes. Ils ne cessaient le
critiquer en mettant en cause sa faiblesse humaine. Alors, comment Paul combattait ces
hommes ? Est-ce que son cœur fut assombri à cause de cela ? Ici nous sommes étonnés de
voir que son cœur n’a été jamais chancelé à cause de l’attaque de Satan. Mais comme
général spirituel, il s’avance audacieusement vers la victoire que Dieu avait déjà réservée
pour lui. Nous avons appris 6 armes de guerre que Dieu confère à son peuple. Les armes
offensives qui sont ceinture de vérité, les pieds de bonne disposition que procure
l’Evangile, l’épée du Saint-Esprit qui est la parole de Dieu et les armes défensives qui sont
le cuirasse de la justice, le bouclier de la foi, et la casque de salut. Avec toutes ces armes
portées, le chrétien n’a rien à craindre de toutes les attaques de Satan. Celui-ci est déjà
vaincu, car ces armes ne sont pas charnelles, mais puissantes devant Dieu, suffisantes pour
terrasser l’ennemi Satan, si redoutables soient les siens. Quand nous recevons le pouvoir de
l’évangile d’en-haut, nous pouvons renverser tous les raisonnements hautains qui se sont
élevés contre Dieu. Dieu nous approvisionne ses armes, surtout lorsque nous obéissons à sa
parole. Quand le peuple d’Israël obéit à la parole de Dieu, et la mit en pratique en tournant
le muraille de Jéricho 1 fois par jour, 7 fois le dernier jour et se mit à crier, la muraille
tomba comme un château de papier au gré du vent. Voulez-vous avoir des armes aiguisées
chaque jour ? Obéissez à la parole de Dieu et ne vivez pas en compromis avec le monde.
Dieu vous donnera cette puissance en vous rendant capable de même de renverser les plus
fortes murailles.
Que veut dire Paul, quand il dit la pensée captive ? Romain 1 :18 dit, « La colère de
Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent
injustement la vérité captive. » Depuis la chute de l’homme, l’homme est plongé dans la
spirale de l’incroyance. La désobéissance à Dieu conduisit l’homme à la pensée captive de
l’incrédulité de laquelle il sera difficilement défait. Tout en sachant que le Dieu Créateur se
fait voir par les magnificences naturelles, les hommes renoncent à son existence et
remplace sa place par les idoles corruptibles d’homme ou des animaux. Il en est de même
de ces faux apôtres qui prétendaient être chrétiens mais qui faisaient tout amalgame avec la
pureté de l’évangile.
Satan est très rusé et il se déguise et se montre sous différentes formes selon les
époques, mais sa nature était sans changement. Le Darwinisme du début de 19e siècle et le
communisme du début du 20e siècle ont le point commun qui est l’orgueil de leurs
fondateurs par lequel ils excluaient l’existence de Dieu et se rebellaient contre Dieu. Au
moment la culture occidentale commence à prendre son déclin, les gens modernes
s’intéressent de plus en plus à la philosophie orientale. La philosophie orientale est la
philosophie de l’union du ciel et de l’homme et elle constitue à dire que l’homme est Dieu.
La philosophie de l’air consiste aussi à dire que l’air intérieur de l’homme s’identifiant
avec l’air ultime de l’univers l’homme s’accomplit et jouit de la connaissance et de la joie
en tant qu’un être ultime. Le mouvement cent du Nouvel Âge aussi est équivalent à la
philosophie de la communion du ciel et de l’homme. Ce mouvement a pour origine le
Gnosticisme influencé par l’hindouisme. Le gnosticisme est une évolution de l’esprit qui
s’épure de plus en plus par l’incarnation et la réincarnation. Et au bout de ce processus, on
y trouve Dieu, donc l’homme a la possibilité de devenir Dieu. Ce mouvement s’infiltre
partout dans les activités modernes, la musique, les spectacles, la médecine, sans parler de
l’éducation et de la politique. Le scientisme aussi est la pensée que l’homme peut évoluer
par sa science et se dérober de l’idée de Dieu. Tous ces raisonnements ont le point commun
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