Les Églises Chrétiennes de Dieu
[B7_5]
Le Mysticisme Chapitre 5
L’Islam [B7_5]
(Édition 1.0 19900810-20001006)
L'Islam est une extension logique du Judéo-christianisme et il est apparu suite à l'influence des Cultes du
Mystère sur le Christianisme.
Christian Churches of God
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(Copyright 1990, 2000 Wade Cox)
(Tr. 2012)
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Le Mysticisme Chapitre 5 L’Islam [B7_5]
Histoire Religieuse de la Naissance de
l'Islam
Croyances Arabes
Les forces mêmes qui ont causé Mouhammad à
commencer sa mission et à forger une
expansion islamique unifiée devaient
finalement affecter sa théologie.
Le culte des Arabes, à l'époque de Mohammed,
était Animiste, impliquant de nombreux dieux
et deux ou trois déesses.
"Ces divinités avaient leurs divers lieux saints,
l'homme recourait à l'occasion pour leur demander
leur aide, accomplir un vœu, ou consulter l'oracle.
Les enceintes sacrées étaient délimitées par des
pierres. L'objet de culte, ou, pour parler plus
exactement, l'objet dans lequel la divinité habitait,
était le plus souvent de pierre, parfois un arbre ou un
groupe d'arbres. Dans la Mecque, il y avait un petit
temple carré ; dans un coin duquel la pierre sacrée
était construite. Les idoles, comme l'image de Hubal
dans ce temple, étaient rares et d'importation
récente." (G.F. Moore - History of Religions, vol. 2
T & T Clark Edinburgh impression de 1965 -
p.388).
La pierre de la Kaaba est, en fait, un vestige de
ce passé animiste. Les prêtres n’étaient pas un
sacerdoce sacrificiel, mais étaient des devins et
parfois les gardiens des lieux saints (ibid.).
Les festivals religieux annuels à La Mecque et
l'affluence des étrangers ont précédé l'Islam et
étaient :
"Le plus fréquenté de ces festivals dans toute cette
partie de l'Arabie. La suspension des guerres tribales
et les vendettas durant les mois sacrés, une sorte de
trêve de Dieu, assurait la sécurité des visiteurs à la
fête et lors du voyage" (ibid., p.389).
Les circumambulations rituelles de la Ka’ba
sont les sept ascensions de l'échelle
chamanique, autour du point cardinal, ou objet
de culte, des Animistes arabiques. C'est une
dérivation directe de l'Animisme chamaniste
primitif des Mages ba sur la théologie
chaldéenne. Le Christianisme et le Judaïsme
étaient largement connus des Arabes. Les
formes étaient cependant assez divergentes.
Plus tard, le Judaïsme talmudique avait été
pénétré par ce même mysticisme. Le
Christianisme était devenu nettement ascétique
et monastique.
Les formes de Mysticisme juif et de
l'occultisme comme le mysticisme
kabbalistique ont été exposées dans le Grand
Hekhloth ; dont les détails ont été publiés
(1982) comme Meditation and Kabbalah par
Aryeh Kaplan. Drury se réfère à cela dans son
dictionnaire Dictionary of Mysticism and the
Occult (pp. 104 et 113). Ces formes sont des
développements des cultes du mystère dans le
Judaïsme post exil, trouvant une expression
formelle, après la destruction du Temple de
l'influence hellénistique extrême jusqu’au
premier siècle de l’ère courante, culminant dans
les œuvres de Philon et puis devenant des
œuvres secrètes sur le Mysticisme. Ces œuvres
devaient pénétrer une grande partie de l'Est et
trouvent leur expression dans l'Islam. Même le
prophète a utilisé cette cosmologie à la Sourate
2:29 :
"C'est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la
terre, puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit
sept cieux. Et Il est Omniscient."
Le commentaire Commentary on the Qur'an,
vol. 1 par Al Tabari (pp. 192-205. Oxford,
1987), montre que le prophète n’était pas
compris de préconiser l’ascension mystique,
mais plutôt, deux vies, l'une résultant de la
résurrection. (Quatada les sépare par des
distances de 500 ans d'intervalle). L'utilisation
du mot, Sama, est tenue pour être au singulier.
Tabari attire l'attention sur l'interprétation de
Ha-Huwa-Bi-Kulli shai'in 'Alimun (pp. 203-
204) où les Chrétiens d’alors et les Rabbins
étaient fustigés dans cette section pour
l'interprétation secrète et le déni de la
résurrection. Cependant, il semble avoir utilisé
cette structure chamanique pour illustrer ce
point.
Eliade inscrit que le Mysticisme islamique a
reçu ses éléments chamaniques après la
propagation de l'Islam chez les Turcs d'Asie
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centrale, bien qu'il note (comme précédemment
observé) que la capacité d'Amed Yesevi et
certains de ses derviches de se transformer en
oiseaux et ainsi avoir le pouvoir de voler (et des
légendes similaires concernant les saints
Bekteshite) sont communs au chamanisme en
général, pas seulement le turco-mongol, mais
aussi celui de l'Arctique, l’américain, l’indien
et celui d'Océanie. La présence de la légende de
l'Autruche de Barak Baba, il est apparu en
public avec une "coiffe à deux cornes", (qui est
devenu le signe rituel de l'ordre qu'il a fondé)
montant une autruche, qui "a volé un peu sous
son influence." (De Kopruluzade - Influence du
chamanisme turco-mongole sur les ordres
mystiques musulmans ; pp.16-17 tel que cité
par Eliade - Shamanism, pp. 402-403). Eliade
dit : "On se demande s’il n’indique pas plutôt
une origine méridionale." (ibid.) Cette solution
est beaucoup plus probable puisque les
influences chamaniques étaient générales dans
toute l'Arabie et le Levant depuis le 6ème siècle
avant notre ère au moins avec une forme
grecque hautement développée.
Il ne fait aucun doute que l'idolâtrie et les
Religions du Mystère ont précédé et influencé
l'Islam et le Judaïsme talmudique. L'usage de
stupéfiants tels que le haschisch et l'opium est
devenu perceptible dans certains ordres
mystiques persiques de l'Islam à partir du 12ème
siècle. Eliade se réfère à l'œuvre de Massignon,
dans sa note 118 à la page 402 sur les états
d'extase et le "regard platonicien" provoqué. Il
stipule que :
Ces recettes élémentaires pour l'extase peuvent être
connectées avec à la fois des techniques
préislamiques et mystiques et avec certaines
techniques aberrantes indiennes qui peuvent avoir
influencé le Soufisme.
Une des méthodes d’induire les états d'extase
était par inhibition érotique, ce qui causait "une
forme hautement suspect de l'extase" (ibid.). La
dualité répandue du monachisme et du
mysticisme, qui, selon Wolpert a été étendue à
partir du monachisme bouddhiste (A New
History of India, p. 52), n'est apparemment pas
accidentelle, mais plutôt l'inhibition érotique du
monachisme apparaît facilitatrice pour le
mysticisme.
Il semblerait que l'ascension cérémoniale au
monde des dieux dans le mysticisme
chamanique a trouvé son expression dans le
rituel brahmanique. Les techniques extatiques
sont communes là.
Cependant, comme nous l'avons vu, les
Religions du Mystère induisaient des transes
suite à l'utilisation de l'ergot plutôt que ces
développements ultérieurs du Soufisme, et bien
avant eux. Le Dieu perse de la Lumière, qui
(selon l'Avesta) a comparu avant le lever du
soleil dans un char tiré par quatre chevaux
blancs, était Mithra. Il était le Dieu Omniscient
et la divinité de la fertilité et de l'abondance.
Après les conquêtes d'Alexandre le Grand, une
fusion de croyances religieuses s'est produite
qui a vu Mithra associé à Hélios. Nous avons
vu ailleurs la grande similitude avec Mithra et
Apollo Hyperborios et les divinités du mystère
[et] de la fertilité.
Mithra est devenu le médiateur avec le
démiurge inconnaissable. Il a toujours été lié à
l'astrologie et au Taureau, alors que la
constellation entrait par le soleil au début du
printemps. La divinité du taureau terrassant
était commune à l'ensemble de l'Est et était un
symbole des Perses, en tant que le premier
animal créé par Ormuz.
Les Cultes du Mystère peuvent être vus de
s’étendre de l'Europe et l'Égypte jusqu’à
l'Extrême-Orient. Tous impliquent une
cosmologie chamanique de l'ascension des sept
cieux ou niveaux et ont pénétré le Judaïsme
talmudique, le Christianisme et l'Islam.
Pour réaffirmer la position selon Eliade :
Une échelle (klimax) avec sept barreaux est
documentée dans les mystères de Mithra, et que le
prophète-roi Kosingas menaçait ses sujets qu'il irait
jusqu'à la déesse Héra par une échelle. (Cela a aussi
probablement fait partie de l'initiation orphique.)
(Eliade, ibid. p.488)
Eliade note que :
W Bousset a comparé, il y a bien longtemps,
l'échelle mithriaque avec les mêmes conceptions
orientales et a démontré leur symbolisme commun
cosmologique (ibid. p.488).
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Eliade note également l'utilisation de l'échelle
de Jacob dans son symbolisme du rêve et que
Mohammed a vu une échelle montant du
temple de Jérusalem au ciel avec les anges à
droite et à gauche. Il dit : "L'échelle mystique
est abondamment documentée dans la tradition
chrétienne, le martyre de sainte Perpétue et la
légende de Saint-Olaf ne sont que deux
exemples. Saint Jean Climaque utilise le
symbolisme de l'échelle pour exprimer les
différentes phases de l'ascension spirituelle. Un
symbolisme remarquablement similaire est
trouvé dans le mysticisme islamique ; pour
monter vers Dieu, l'âme doit monter sept étapes
successives - la repentance, l'abstinence, le
renoncement, la pauvreté, la patience, la
confiance en Dieu, la satisfaction. Le
symbolisme de ‘l’escalier des échelleset des
ascensions était constamment employé par le
Mysticisme chrétien" (ibid., p. 489).
Drury, dans son article Fana, à la page 85,
montre l'évolution des étapes de devenir
absorbé en Dieu pratiquée dans le Soufisme.
Ceci peut être trois étapes : l'acte de chercher le
pardon de Dieu, la demande de la bénédiction du
prophète Mouhammad, et enfin de fusionner avec
l'Unicité Divine. Le mystique islamique Abu Hamid
Ghezali a écrit : Lorsque l'adorateur ne pense plus à
son culte ou à lui-même mais est tout à fait absorbé
dans Celui qu'il adore, cet état est appelé Fana.
John Bagot Glubb (A Short History of the Arab
Peoples - Quartet, 1978, pp. 25-26) mentionne
que les tribus nomades d'Arabes au début du
7ème siècle étaient des adorateurs des esprits
indigènes et il suggère que ce culte
peut avoir été influencé par les Chaldéens du cours
inférieur du Tigre et de la Vallée de l'Euphrate, qui
étaient célèbres comme astronomes. Ainsi, avant
l'Islam, on trouve des Arabes avec le nom d’Abid
Shems, serviteur du soleil. On disait que le temple
de la Mecque, un petit bâtiment carré en pierre
appelé Kaiaba, contenait 365 idoles.
Glubb mentionne l'établissement du
Christianisme remplaçant cette idolâtrie, ou
chamanisme animiste des Mages, qui était sous
l'influence de l'Inde sur une base continue avec
les concepts hindous et bouddhistes.
Dispositions Tribales et Pouvoir
Dans un autre chapitre concernant les divisions
de l’Est dans le Christianisme et la pénétration
des Religions du Mystère, on a vu que les
frontières de la Syrie et l'Irak étaient devenues
chrétiennes et que les tribus syriennes étaient
chrétiennes. Sur les frontières de la Perse, les
Nestoriens avaient fait beaucoup de convertis.
Il y avait des communautés chrétiennes dans le
Yémen et Nejran (ibid.). Il y avait aussi de
grandes quantités de personnes professant la
religion juive, c'est à dire des convertis au
Judaïsme talmudique à Khaibar, Médine (qui
s'appelait alors Yathrib) et au Yémen. Ainsi,
alors que les tribus nomades étaient toutes
animistes et chamanistes, les
communautés arabes plus civilisées le long des
bords du désert avaient déjà été pénétrées par le
Judaïsme et le Christianisme.
La Mecque était le site d'un temple idole important
et un poste caravanier important. Le pèlerinage
annuel à La Mecque était un festival animiste qui
était combiné avec une foire commerciale pour
l'élimination des marchandises à la pièce de Damas
(ibid., p. 26).
Au 6ème siècle, la plupart des habitants de la Syrie et
de la Palestine étaient de la secte chrétienne
monophysite, qui avait été déclarée hérétique par
l'église orthodoxe ou établie de l'Empire. En 581
après JC, en raison de ces différences religieuses, le
Prince du Beni Ghassan fut arrêté et transporté à
Constantinople. Par la suite, les tribus arabes de la
Syrie orientale sont restées dans l'anarchie et la
semi-rébellion.
En 605 après JC, Naaman ibn al Moundhir, le prince
Lakhmid, se querella avec le Grand Roi, qui abolit la
position privilégiée dont bénéficiait jusqu'ici la
famille en tant que défenseurs de la frontière du
désert, avec pour résultat que les tribus arabes le
long de l'Euphrate se révoltèrent contre la Perse.
En 628 après JC, par conséquent, lorsque les deux
empires étaient épuisés après vingt-six années de
guerre l'un contre l'autre, leurs satellites arabes le
long des frontières du désert étaient partout
mécontents ou en révolte ouverte" (ibid., p. 24).
Moore se réfère aux royaumes de l’Arabie du
Nord par leur nom de Palmyre et de Hira en
tant que États-tampons vassaux des Empires
romain et perse, respectivement. (Moore, vol.
2, p. 389.) Le puissant Empire parthe, séparant
l’Empire romain d'Orient à Constantinople et la
Perse, s’était éloigné en Europe de l'Ouest dès
le 2ème siècle.
Le Mysticisme Chapitre 5 L’Islam [B7_5] Page 5
L’Émergence de l'Islam
Ce qui n'est pas pleinement apprécié, c'est que
la foi Chrétienne était vue par les Arabes
comme étant divisée entre "[les] Chrétiens"
(telles que les églises Orthodoxes et [celles]
soi-disant appelées Monophysites) et les "gens
de l'Évangile" (dont les Pauliciens et une partie
de l'Église Monophysite semblent avoir été
appelés dans la langue vernaculaire arabe) et la
distinction dans la terminologie dans le Coran
n'est pas entièrement comprise, même par
l'Islam moderne.
Contrairement à la croyance populaire, la
position des Trinitaires, et l'adoption des
Pâques/Easter au cours de la Pâque quarto
décimale, (débutant dès Anicet et opposé par
Polycarpe, Apôtre de Jean, et Polycrate, son
successeur, et les Évêques de Smyrne) était une
innovation postérieure. L'introduction des
Pâques/Easter à partir des cultes du mystère et
du soleil a été le premier schisme important
(voir l’étude Les Disputes Quartodécimanes
(No. 277), CCG, 1999). La faction trinitaire
était seulement solidement prise en charge dans
l'Empire romain à partir de 381 EC (ère
courante), après que le Concile de
Constantinople t consolidé les Trinitaires
Athanasiens ou Cappadociens. Elle était
opposée à l'Est par les sectes connues plus tard
comme Monophysites, et Pauliciens. Certains
Athanasiens se référaient à tort aux Pauliciens
comme une secte manichéenne. Ils étaient
opposés à l'ouest par les Chrétiens Unitariens
appelés Chrétiens Ariens, par les Trinitaires de
Rome. La destruction de nombreuses statues à
Rome par les Vandales était, contrairement à la
croyance populaire, pour des raisons
idéologiques, puisque les Vandales et les Goths
étaient des Unitaires iconoclastes, qui
s'opposaient à l'érection de statues à Rome, sur
la base de la violation du deuxième
commandement contre les images taillées.
Comme on le verra, ces guerres unitariennes de
l'Ouest durèrent jusqu'en 586 EC lorsque la
conversion Arienne au Catholicisme en
Espagne s'est produite. L’Unitarisme n’a pas
cessé sur une base nationale, cependant, jusqu'à
la conversion au Catholicisme des Thuringiens
par Boniface aux environs de 742 EC. Puis ils
sont devenus progressivement absorbés par les
Francs dans le Sud et les Saxons dans le Nord.
(Articles - Thuringia and Arianism, Catholic
Encyclopedia, volumes 1 et 14 (p. 712)
Consultez aussi l’étude Les Guerres
Unitaires/Trinitaires (No. 268) de CCG, 2000).
L'église chrétienne dans l'Est incluait une des
églises originales fondées par les Apôtres, celle
de Jean à Éphèse et de Smyrne, et aussi, plus
tard, des branches quasi hérétiques, y compris
les Nestoriens et les divers éléments, qui ont
plus tard été appelés monophysites.
Ce qu’il faut garder à l'esprit en lisant le Coran,
c'est que l’on parle d'environ trois
Christianismes distincts, avec deux concepts
inconciliables de Dieu. Le Monophysisme,
cependant, avait des divergences hérétiques
postérieures à partir de la secte d'origine des
Apôtres. Le Monophysisme était à la fois la
doctrine des Unitaires (souvent aussi appelés
Ariens) et aussi celle des Asiatiques. La
confusion sur le concept de la nature de Christ
causée par les Mystères et le Trinitarisme avait
également abouti à une division de la nature de
Christ, comme à la fois divine et homme, basée
sur la doctrine chaldéenne erronée de l'âme.
Elles ont abouti aux disputes mentionnées dans
le chapitre sur les Guerres Unitaires.
Les Athanasiens ont finalement obtenu le
contrôle des "Secteurs d’Églises-Mères"
d'Alexandrie, Corinthe et Rome. Les autres
Églises-Mères étaient à Jérusalem, Antioche et
Éphèse (cf. Schaff, History of the Christian
Church, vol. II, p. 153) et l'Évêché
métropolitain de Constantinople. Cependant, ils
n'ont pas éradiqué les sectes, étant donné que
les provinces orientales étaient sous la
domination perse et que la Syrie était
pratiquement autonome. Les sectes n'ont pas
été éradiquées, et dans un ultime effort pour le
faire, le prince du Beni Ghassan a été arrêet
emmené à Constantinople. Cet acte, cependant,
a laissé la province en révolte ouverte et a
abouti à des conquêtes arabes. Elle a conduit à
des fusions Monophysites avec l'Islam, ou leur
protection avec les Pauliciens en Mésopotamie,
jusqu'à la reconquête par Constantin
Capronymous (741-775) C 750 EC, (lui-même,
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