Le tableau pèriodique

Le tableau périodique
1. L’ancien tableau périodique était basé sur: la réactivité et la masse atomique. Le tableau
moderne est basé sur la structure des atomes et les particules subatomiques. Le tableau
change très peu, mais la théorie est plus complexe, exacte.
2. Avec le temps, on découvre que tous les éléments sont une fonction de leurs propres types
de particules ou d’atomes. Mais, les éléments ne sont pas fait d’atomes indivisibles. Chaque
atome contient des protons, des neutrons et des électrons. Les protons et les neutrons se
trouvent au centre d’un nuage électronique comme ci-dessous.
Toute la masse de l’atome est concentrée au centre, une fonction des protons et neutrons.
Presque tout le volume d’un atome est concentré dans les couches électroniques, où se
trouvent les électrons sur des couches successives. Entre, il n’y a rien, de l’espace.
Les protons portent une charge positive, les électrons une charge négative et les neutrons
sont neutres.
3. Chaque couche peut contenir un maximum d’électrons.
i. Couche #1 2 électrons
ii. Couche #2 8 électrons
iii. Couche #3 18 électrons
iv. Couche #4 32 électrons Notez (2N2)
Mais, s’il y a 8 électrons dans la couche périphérique, l’atome est normalement stable. On
appelle ceci un octet stable. S’il y a moins que 8 électrons dans la couche périphérique,
l’atome est plus ou moins instable, dépendent du nombre d’électrons de valence.
e.g.

4. L’identité d’un élément est une fonction de ses atomes. Le nombre de protons d’un atome
détermine son identité. Le nombre atomique sur le tableau périodique indique le nombre de
protons et détermine sa réactivité chimique.
e.g.
5. La masse atomique, ou la masse totale de l’atome, est une fonction du nombre de protons et
de neutrons au centre de l’atome. Mais, notamment, c’est souvent le cas que la masse
atomique ne reflète pas un nombre naturel Ceci est dû au fait que le nombre de protons peut
varier. E.g.
6. Les composés, ou la combinaison d’éléments est déterminée par le nombre d’électrons dans
la couche périphérique. Les éléments avec une octet stable dans la couche périphérique
(groupe #8) ne réagissent pas souvent. Mais il y a quatre groupes qui nous intéressent ici.
i) Groupe #1 Les métaux alcalins ont un électron de valence.
e.g. hydrogène (H), lithium(Li)
ii) Groupe #2 Les métaux alcalinoterreux ont deux électrons
e.g. sodium (Na)
iii) Groupe #7 Les halogènes ont sept électrons de valence
e.g. fluor (Fl), Iode (I)
iv) Groupe #8 Les gazs rares ou inertes
e.g. argon(Ar), helium (He)
En cherchant à devenir stable, les atomes avec moins que quatre électrons ont tendance à se
débarasser de leur électrons et les atomes avec plus que quatre ont tendance à ramasser des
électrons.

7. Il y a aussi des composés qui sont plus stable que d’autres dû à leur structure. Les composés
ioniques sont formés en perdant et en recevant des électrons. Par exemple, quand les
halogènes et les métaux alcalins forment un composé, l’attraction est forte entre les atomes
parce que l’échange d’électrons de valence crée une charge positive sur un atome et une
charge négative sur l’autre. Un ion est un atome avec une charge positive ou négative.
Cette charge est entre chaque atome dans toutes les directions.
e.g.
8. Les composés moléculaires n’ont pas cette forte attraction parce qu’ils forment des
composés en partageant les électrons de valence. Cette liaison est aussi moins forte parce
qu’elle est seulement entre deux atomes à la fois. E.g.