Livre 1:
: Le terme mondialisation est définit par les dictionnaire comme le fait de devenir
mondial, de se répandre dans le monde. C’est aussi le terme français pour désigner ce que
les Anglophones appellent la globalisation que l’on peut décrire plus précisément comme un
mouvement complexe d’ouverture des frontières économiques et de dérèglementation, qui
permet aux activités économiques capitalistes d’étendre leur champ d’action à l’ensemble de
la planète. Ce terme apparaît dans les années 80 dans les écoles de management nord
américaines, puis dans la presse anglo-saxones.
C’est un processus qui affecte toutes les dimensions de la société, parce qu’il constitue un
processus selon lesquels les phénomènes de divers ordres (éco, environmt, pol.) tendent à
revêtir une dimension proprement planetaire.
Il touche donc à la fois à l’économie (échange accru des biens et des services qui enjambe les
frontières nationales et les relativise), aux mouvement financiers ( multiplication des
transactions réelles et surtout virtuelles sur l’ens.de la planête. Interconnexion des bourses), à
la communication (développement des technologies qui brassent dans leurs réseaux
universels les communications les plus diverses (internet)), aux styles et aux modes de vie
(qui paraissent s’imposer un peu partout dans le monde (radio japonaises, thé de Ceylan ou
arabica d’amérique latine, vêtements en coton d’Egypte ou d’Inde, laine d’Australie, Cuir de
Chine, jeans USA, montre suisse, lunettes en écaille de tortue d’Equateur, portefeuille pécari
des caraïbe, voiture coréenne, vodka rsse, télévision cablée qui envoie des infos en multiples
langues, …))à l’extension des réseaux de mafia et du terrorisme, et touche enfin à notre
vie quotidienne.
En somme il désigne un brassage de diverses pratiques qui se moquent des frontières
nationales et culturelles, ms aussi de la marginalisation d’un certains nombres d’hommes
laissés pour compte dans ce phénomène.
Il est nécessaire d’apporter un éclairage historique à ce terme parce que c’est un phénomène
d’une grande ampleur, géographiquement et temporellement parlant. Cela va également
permettre d’apporter certains éclairages sur cette réalité, qui est un processus commencé
(dans le temps) et qui n’a pas encore atteint sa perfection (dès le 15èm ac les conquêtes de
l’Amérique), et vu qu’il se présente comme un processus d’occidentalisatin du monde,
c’est interessant de le préciser dans le temps et l’espace pour comprendre les enjeux et
mesurer les résistances. Cela permettra enfin de répondre à une série de questions ( de
type, processus est il animé d’une logique implacale, une sorte de fatalité qui emporte toute
une humanité impuissante pour agir ? Est l’enfant de la modernité commencée dès la
renaissance prolongé par les lumière ? Conséquence de ce processus sur les autres cultures ?
: L’impérialisme est définit par le dictionnaire comme une politique d’un état visant à
réduire d’autres etats sous sa dépendance politique, éco, militaire et culturelle. Il a été
enployé pour la première fois en 1902 par un économiste anglais John Atkinson Hobson,
dans son livre intitulé Imperialism. Celui va proposé une analyse des forces et des facteurs
économiques moteurs de l’impérialisme ainsi que certains de ces prolongements
politiques. Il s’inquiète en fait de la pénétration dans les masses pop. de la doctrine de la
mission nationale (volonté d’apporter la lumière aux autres civilisations) qui prend une
allure de chauvinisme, car selon lui il n’existe pas d’idéologie impériale qui n’est un
pendant d’idéologie nationaliste. La notion d’empire, elle, remonte a 1876.
Cette idée d’impérialisme s’est propagée dans l’opinion de la G-B grâce à la presse
populaire à grand tirage apparue en 1896/1900 et qui alimente des mouvements, qui
deviennent à leur tour des lieux de réflexions nouvelles. Le rôle de la « ligue pour la
fédération impériale, en 1884 est aussi à signaler ; elle va s’efforcer d’associer ds une meme
organisation des politiciens de tous bords et des universitaires. La « ligue primervère » en
1885 va se vouloir une organisation de masse, qui grâce à nombreuses manifestations (fêtes,
cérémonies, folklore,..) va regrouper un million d’adhérents en 1891 et le double en 1911. La
littérature va aussi avoir son pesant dans la « véhiculation » de cette idéologie , notamment
grâce à Rudyard Kipling (poète romancier anglais) qui emploira une expression celèbre « le
fardeau de l’homme blanc » ( à savoir devoir de civiliser les hommes inférieurs).
En France, c’est grâce à la création au sein des Chambres d’un groupe colonial,
rassemblant en 1902 près de 200 députés recrutés dans ts les groupes parlementaires.
En 1890, le Comité de L’Afrique française est créé, puis s’ajoutent les comités d’Asie
française, du Maroc, … Ces comités vont jouer un rôle important dans la progpagande,
et vont avoir leur pendant dans les milieux éco. telle L’Union coloniale française, fondée
en 1903. Ces groupes vont faire converger leurs efforts pour multiplier les publications et
organiser congrès et expo.
En Allemagne, Mouvement qui est plus tardif, mais virulent : en 1886 un explorateur
(Peeters) crée « la ligue de défense des intérets allemenands au delà des mers ». Ses
thèmes sont repris plus tard dans « La ligue allemande générale » née en 1890 et qui
devient en 91 « La ligue pangermaniste » championne de la Mittel Europa (europe centrale)
et du partage du monde en zones d’influences.
En Italie, Ce sont les écrits de Francesco Crispi qui vont diffuser dans le peuples des idées
de possession d’un empire colonial.
: Joseph Gobineau, jeune diplomate français, fait paraître 4volumes de son essai sur
« l’inégalité des races humaines » (idée de hiérarchie) entre 1853 et 1855. Ce livre
entièrement consacré à l’exposé d’une théorie rasciste est le plus important à cette époque.
Cet essai se présente comme un système de philosophie de l’histoire. Ce système se
propose de faire entrer l’histoire dans la famille des sciences naturelles. Autrement dit il
s’agit d’expliquer toute l’aventure de l’espèce humaine par un pur déterminisme
biologique (celui du sang) ne laissant aucune place au hasard, ou à la liberté.
Il affirme également que les destins des civilisations dépend d’un principe interne : celui
de la qualité du sang des hommes qui les composent, sa force, son énergie =VITALITE
La mesure de la vitalité du sang est établie en fonction des métissages (trois grandes races
distinctes lors de la création du monde, déjà inégales : blanche, jaune, noire. Blanche
suppérieure car possède le plus de vitalité donc belle intelligente et dynamique, Jaune,
matérialiste, et Noire, incapable de faire des projets) La race blanche est hiérarchisé (la
famille caucasienne comprenant les Arians(plus tard Ariens) et sémitique=juifs. Ariens=
ceux qui parlent des langues indo européenne, (peuple de l’Inde ou nord de l’europe) et les
Germains sont les premiers.
La race suppérieure (caucasienne, blanche et Arienne), en vertu de sa vitalité tend a absorber
les couches inférieurs, en se mélangeant avec eux. Les autres races ont plutot une tendance à
se replier sur elle-même. Ce mélange est bénéfique aux classes inférieures qui absorbent les
qualités des races supérieures, mais pour les classes supérieures, ce métissage est nocif car
cela pervertit leur sang Propre. Enclenchement d’un processus de dégénérescence : sang des
races inférieurs se perfectionnent, celui des races supérieurs se dégrade. C’est en cela que
Gobineau condamne les colonisations La colonisation est un suicide involontaire et
inconscient de la race Blanche, mais le déterminisme rend un retour en arrière impossible.
Gobineau va créer le mythe de la race supérieur.
Son œuvre restera longtemps confidentielle, mais ouvrira l’âge du racisme scientistes. (car
il attend de la sciences-biologie, une réponse aux pbs sociaux) Cet âge durera de 1880 à
1945 et durant cette période, on assiste à un foisonnement de publications inspirée
directement de la thèse de Gobineau. Influence notamment le darwinisme (en G_B).
4 : Le darwinisme social (apparut en G-B et se désignant comme application aux sociétés
humaines des principes de la sélection naturelle) est l’œuvre de Charles Darwin, un
savant contemporain de Gobineau, qui publie en 1859 un essai sur « l’origine des espèces »,
qui jette les bases d’un évolutionnisme, une théorie qui va devenir pdt près d’un siècle le
cadre de références obligée de toute pensée sur la nature. Ms ses idées de lutte pour la vie et
de survivance des plus aptes ne s’appliquent pas a l’humanité.
C’est son cousin, l’explorateur Francis Galton qui appliquera cette théorie a l’espèce
humaine. Et c’est lui qui établit vraiment le darwinisme social. Cette théorie sera adaptée
à l’expansionnisme européen.
Cette théorie du darwinisme donne vie à deux scénarios différents ou la sélection naturelle
peut jouer de deux manières
1 en faveur des races qualitativement supérieures. La sélection naturelle s’opère elle-
même. L’homme intégré au grand jeu de la nature :de la survie du plus apte (transformée
en garantie d’une supériorité de certaines races sur d’autres), de la lutte pour la vie
(justification des appropriations territoriales) destinée manifeste de certains peuples à
gouverner les autres pour leur propre bien, … Cette théorie se manifeste dans l’esprit des
élites, et est nourrie d’une admiration classique, pour les grands empires de l’antiquité.
2- en faveur des races quantitativement les plus nombreuses, ou races inférieures. Il faut
contrarier la sélection naturelle par une intervention de l’état dans les mécanismes de la
reproductions biologiques. Une solution radicale qui abouti à l’eugénisme (amélioration de
la race humaine prônée par Galton) Cette solution suppose la définition d’un modèle : le
modèle Arien, et donc toutes familles de race blanche non aryenne seront qualifiée des
races inférieures.
Conception qui sera souvent imprégné de messianisme religieux : « rendre grâce au dieu de la
race impériale »
: La colonisations s’intensifie dès 1880, notamment à cause de l’élargissment du
nombre de pays colonisateurs. En effets aux anciennes puissances coloniales (Portugual,
Espagne, P-Bas, Grande Bretagne, et France) s’ajoutent de nouveaux compétiteurs(
Allemagne, Italie, Belgique, Russie (qui colonise par voisinage les états de l’est)), pour la
plupart états récemment unifiés (qui pense qu’une colonie est un attribut-symbole de
l’indépendance).
De plus, dès 1880, les explorations prennent une allure politique (ex : Brazza au Congo
via le Gabon, contre Stanley, au service de Leopold premier. Course qui divise L’Afrique
entre le Congo français et le Congo belge. Ex-bis : Expansion française reprend depuis
l’Algérie. Mise en place du protectorat sur la Tunisie et le Sénégal 1883. Ex tribis : les
troupes anglaises occupent l’Egypte dès 1882. Ex : quadri bis : Bismarck, chancelier
allemand fait occuper divers points des côtes, tensions avec la France pour le Cameroun.).
Bismarck organise un Congrès a Berlin en 1885 réunissant les pays colonisateurs pour
tenter de trouver une solution au partage de l’Afrique centrale, mais la règle qu’il propose va
déclencher une course aux colonies : en effet, aucun pays ne peut désormais revendiquer
la possession d’une région sans l’occuper effectivement. C’est le début de la scramble
(mélée) + csquences : conflits de frontières entre les pays colonisateurs.
En 1914 L’empire britanique gouverne directement 60colonies dépendantes peuplées de
5.200.000 habitants dispersé sur plus de 8 millions de km². Le destin de L’Inde
(322millions d’hab. + 5millions de Km²) est également géré par cet empire. Il conserve
également des droits étendus dans 5dominions (gouvernements autonomes ms régit par un
britanique et peuplés en grande majorité de blancs) Canada, Australie, Nouvelle Zelande,
Union sud africaine (regroupant 24millions d’hô pour 19millions de km². Au total l’empire
contrôle 28% de la pop. mondiale.
L’empire britanique est également lié par la mer (chemin intérieur). L’idée d’un manque
de cohésion est tout a fait fausse, car partout les positions britanniques commandent le
passage des détroits, les golfes et les grandes routes maritimes (ex : Gibraltar Maltes,
Chypre, Cap, Port Natal, île Maurice, Zanzibar, Singapour, Hong Kong, Lagos, canal de Suez
+ 1914 PANAMA =>grande voie transocéanique, dérèglementation, passage par le Canada,
et premier transcontinental ferrovière.
Et Finalment cet empire possède également une marine de Guerre puissante, dans une
optique de défense des colonies et de ce contrôle sur les mers : Des navires de plus en plus
gros, en fer puis acier, ac des grosses pièces d’artilerie, partant du principe que la flotte
britannique doit valoir la somme des deux flottes des états les plus puissants après elle.
Finalement, elle arrive à la somme des flottes des 5puissances arrière 1883, puis repasse à
deux ( France + Russie)1898. Cela dit, la menace de ses déployement de flotte (surtout
allemande) engendre une politique d’armement navals.
: La méthode de pénétration économique s’applique à de vieux empires supposés
riches dont les puissances occidentales n’osent pas détruire l’intégrité ou entreprendre le
démembrement. Elle a commencé vers 1880, ou plutôt que de se faire la guerre les
puissances coloniales s’entendent pour obtenir des avantages éco tt en sauvegardantt la
façade pol. de ces empires.
Cette méthode fut appliqué à l’empire Ottoman : depuis 2siècle décadent, incapable de
s’opposer à une entreprise de force de l’europe coalisé. Au lendemain de la guerre de
Crimée, oùl’empire Ott. avait été protégé contre les poussées russes (par France +G-B),
l’empire ott fut obligé de laisser libre champ aux entreprises commerciales et culturelles
des occidentaux. (Création en 1863 de la banque ottomane=banque franco anglaise). En 80
crise financière grave pour l’empire ott. Et les services publics ne peuvent être assurer que
grâce aux avances de la banque ottomane. Celle-ci sur décret off. Obtient de pourvoir aux
déficiences de l’état, moyennant la perception des principaux revennus gérés par le
nouvel organisme (administration de la dette publique ottomane). Cette banque (Banque
impériale ottomane) devient la banque officielle de l’état, en demeurrant une société
étrangère et donc, la tutelle de l’état ottoman passe en Europe.
La suite du processus : nombreuses entreprises européennes (pays colonisateurs)
obtiennent la concession des principaux services, l’exploitation des ressources, et la
construction de routes ou voies ferrées, et obtiennent des avantages exhorbitant (All :
concession du chemin de fer de Bagdad et participation aux recherche et à l’exploitation des
gisements pétrolifères. Inquiètude de la G-B qui veut protéger la route des indes et s’assurer
du monopole du pétrole au Moyen Orient, depuis la découverte des gisements iraniens).
La Chine dès 1885 se voit depecée (break up). Le Japon entre en guerre, et sort
victorieux, et chacune des grandes puissances industrielles (à l’ex. du Japon) s’efforce
d’obtenir des nouveaux avantages éco. C’est cette battaile des concessions, break up
version chinoise du mouvement général qui conduit les groupes financiers d’occident à
rechercher des débouchés avantageux pour leurs capitaux et non plus slmt pour leurs
marchandises. Année 1896/1902 les grdes puissances font plier la Chine à l’obligation
d’emprunts à des taux élevés, et se font reconnaître le droit à l’exploitation des mines,
chemin de fer, implantation d’usine, et exclusion des concurrents. Ce sont les Zones
d’influences : Nord est=> Russie
Péninsule du Shandong=> Allem.
Bassin du Yangzi=> Angleterre
+1898 Hong kong et port du Wei-hai-wai.
3provinces du Sudest=> France (Tonkin)
Ces investissements sont sous surveillances militaire.
Après la révolte des boxeurs (révolte pop. contre puissance Occidentale) le gouvernmt
impérial solidarisé ac les révoltés, doit accepter les dures conditions du « protocole du
boxeur » et payer des indemnités (450millions de taëls), qui seront versée a une banque
occidentales. Csq : aggravation de la dépendance financière de la Chine.
: Dès 1889, le centre de gravité de l’émigration s’installe en Europe centrale, et
méditerranéenne (Autriche, Hongrie, Russie, Italie, Balkans et l’empire ottoman). Ils fuient
tous vers l’Amérique, dans l’espoir d’une vie plus libre. Le nombre des émigrands ne
cessent d’augmenter jusqu’en 1914, Entre 1880 et 1900, environ 13 millions d’Européens
quittent le continent, (le meme chiffre qu’entre 1840-et 1880)
Puis Dès 1900, Un million d’émigrans par an partent en direction des états unis. En un
siècle, plus de 60 millions d’Européens ont émigrés (cela aussi parce en raison du manque
de place en Europe 1800 : 187millions d’hab, 1900 : 401millions !!).
Ces émigrés, on l’a déjà dit plus haut, partent vers le nouveau continent, le continent
américain. (USA+AMERIQUE LATINE)
Amérique du nord (Etats Unis) = 32millions d’entrées., et au 19e, l’afflux des émigrants =
facteur essentiel de l’accroissement de la population.
Amérique du sud = 8 millions d’entrées, beaucoup Espagnols, Italiens, Allemands répartit
respectivement, en Argentine, et au Sud du Brésil (beaucoup de colonies all.)
Palestine : (dès 1880, suite aux pogroms de la russie tsariste), les juifs de la zone de
résidence (environ 5millions) émigrent vers la terre des ancêtres. 1882-1903 (première
aliyah) 20 à 30 mille émigrants, puis avec la naissance du sionisme politique (Théodore
Herzl) le mvt s’emplifie => 1904-1914 = 35 à 40 milles.
Russie : (1880-1890) 50 000 colons se dirigent vers la sybérie. Cette colonisation est
renforcée par la construction du transsybérien (1891), et permet la mise en valeur de cet
immense territoire, (? Pg. 20 ) devient un instrument de la pol. d’expansion en Ext. Orient.
Vladivostok (dominateur de l’Orient, fondé par les russes en 1860) + annexion de L’Oussouri
= terminus de la ligne. La ville se développe rapidement.
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