Après-guerre

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La France dans la Seconde Guerre mondiale
Črt Zorič
01/04/2011
Filozofska Fakulteta
Aškerčeva 2
1000 Ljubljana, Slovenija
La France avant la Guerre :
Avant la seconde guerre mondiale, la France était dans un très mauvais état.
Economiquement, politiquement et même militairement tout est en désordre. C’est l’époque
après la grande dépression, ou tout est mis en question. La situation était la pire au niveau
politique, pendant di x ans il y avait une instabilité parlementaire, ou 29 gouvernements se
succèdent. En totale 29 gouvernements se succéderont en dix ans, avec une durée moyenne de
5 mois entre 1929 et l’occupation en 1940. En ce moment le président de la troisième
république est Albert Lebrun mais son second mandat est suspendu de facto par l'arrivée au
pouvoir du maréchal Philippe Pétain le 10 juillet 1940. En mai 1940, les allemands rentrent dans
les Ardennes et la France est prise d’assaut. Tout se termine avec la convention d'armistice,
signée à Rethondes le 22 juin 1940, qui prévoit le découpage de la France en deux zones : la
zone occupée au nord ; la zone non occupée au sud, de part et d'autre d'une ligne de
démarcation allant de la frontière espagnole à la frontière suisse. A cette époque, l’armé
française est gravement réduite (il en reste que 100,000 hommes), et la France dois payer des
frais d’occupation aux allemands. Les combats on eu une fraie immense de 120 000 morts, 200
000 blessés et 1 600 000 prisonniers emmenés en captivité en Allemagne. Puis le 30 octobre
1940 Pétain annonce à la radio la collaboration et soumission de la France aux allemands.
Cependant Charles de Gaulle quitte la France pour l’Angleterre, ou le 18 juin 1940, via Radio
Londres de la BBC, il appelle les Français à la résistance.
L’Occupation :
En 1940 le gouvernement français s’installe à Vichy ou la majorité parlementaire votent
les pleins pouvoirs au maréchal Phillipe Pétain. Ceci est la mort de la 3eme république, et le
début de « l’état Français » dont la nouvelle devise est Travail, Famille, Patrie. Pétain, le chef
d’état prend tout pouvoir. Le 24 juin 1940, Pétain signe l’armistice avec l’Allemagne. A ce
moment, la population française est divisée. Ils n’ont le choix de soit collaborer ou être poursuit
par la guerre. Des nombreux français sont contre l’armistice et la collaboration francoallemande. L’était même est divisé en deux parties, la partie occupé allemande et la partie
Vichyste. En même temps, les allemands annexent l’alsace-Lorraine. Après que les Alliés eurent
envahi l'Afrique du Nord, la ligne de démarcation fut franchie par les forces armées allemandes
en novembre 1942, sous prétexte de défendre le continent européen. Pendant toute cette
époque, l’Allemagne profite de toutes les richesses de la France, pour faire tourner
leur « machine de guerre ». La plupart des postes officielles et positions au gouvernement sont
prise par des officiers allemands ou des français pro-nazi. Comme partout ailleurs, les
allemands établissent en France leur troupes S.S. (escouade de protection) et la Gestapo (police
secrète de l’état, responsable pour le nettoyage ethnique).
La collaboration :
La collaboration en France peut être divisée en trois sortes : la collaboration d’état, les
collaborationnistes et la collaboration privée. La collaboration d’état mené par le régime de
Vichy, les collaborationnistes sont des français d’idéologie fasciste (Parti populaire français
PPF), et la collaboration privé non politique (entreprises, artistes etc.). Aujourd’hui le terme
« collabo » est encore fort offensif.
La collaboration d'État est l'aide apportée à l'Allemagne nazie par le gouvernement de
Vichy et l'administration française. Cette aide vient principalement des plans économiques (les
hauts frais d’occupation), de la cote policière par les luttes contre la résistance et livraison
d’allemands antinazi exilé en France etc. Cette collaboration apporte aussi le recensement,
arrestation et déportation des juifs, et même du cote militaire avec l’accord Darlan (contrôle la
armada française a l 'Afrique du nord) et la création des Waffen-SS français.
Les collaborationnistes ne se concernaient pas de pratiquer la collaboration mais plutôt
de l’encourager, de la promouvoir. Il est fait des partis politiques et de la presse
collaborationnistes. Les deux parties principales étaient le Parti populaire français ou le PPF
(fondé en 1936 et dirigé par Jacques Doriot, ouvertement fasciste. Maximum de 20 000 à
30 000 membres) et le Rassemblement national populaire ou le RNP (fondé en 1941 et dirigé
par Marcel Déat, ancien député socialiste SFIO puis néo-socialiste, parti de classes moyennes,
plus « modéré » que le PPF. Maximum de 20 000 à 30 000 membres.) La presse
collaborationniste était aussi très importante, comme le Canard enchainé, l’intransigeant, le
populaire et l’humanité. Quelques auteurs célèbres collaborationnistes ont été Louis-Ferdinand
Céline, Alphonse de Châteaubriant et Jacques Chardonne.
Plusieurs entreprises connues ont fait partie de la collaboration privée (économique),
comme Groupe Renault (dont les usines se font confisquer et nationaliser après la guerre) et
Photomaton (« Nous pensons que le rassemblement de certaines catégories d'individus de race
juive dans des camps de concentration aura pour conséquence administrative la constitution
d'un dossier, d'une fiche ou carte, etc. Spécialistes des questions ayant trait à l'« identité »,
nous nous permettons d'attirer particulièrement votre attention sur l'intérêt que présentent
nos machines automatiques Photomaton susceptibles de photographier un millier de
personnes en six poses et ce en une journée ordinaire de travail. »).
La résistance :
Pour commencer il faudra juste mentionner que même aujourd’hui on ne sait pas trop
sur la résistance française pendant la deuxième guerre mondiale. Personne ne sait exactement
qui et combien étaient les résistants, quand et pourquoi se sont-ils engagés, comment la
résistance intérieure s'est-elle organisée, quelle stratégie a-t-elle adoptée, quels étaient ses
rapports avec la résistance extérieure et le général de Gaulle, avec les Alliés….
Les résistants étaient des hommes et femme de tous âges et de toutes couches sociale.
Notamment c’est vrai que pour la plupart c’étaient des jeunes ou très jeunes, et souvent des
femmes. Ces résistants appartenaient à tous les groupes religieux, les sensibilités
philosophiques et même de toutes les parties politique, gauche et droite. En France la
résistance ne comportait pas seulement de la population française mais aussi plusieurs groupes
étrangers comme les antifascistes italiens, antinazis allemands, républicains espagnols réfugiés
en France, immigrés polonais et arméniens et les juifs apatrides. La résistance fonctionnait
d’une manière clandestine, et ces membres étaient toujours en risque d’être dénoncés, arrêtés,
torturés, emprisonnés, exécutés ou déportés, ce qui rendait leur fonctions très difficile et
dangereux. Pendant la période de guerre les résistants n’avaient pas un grand nombre,
c’étaient que les plus courageux qui en fesse partie. Drôlement, après la guerre ce nombre est
monté rapidement, avec la majorité de la France qui adhérait.
L’engagement de la résistance était la plus puissante pendant les ânées avant guerre
(1940-41) et vers la fin de guère en 1943-44. Ces résistants avaient des diverses raisons pour
joindre, soit le refus de la défaite et de l'occupation allemande, refus du régime de Vichy et de
la collaboration, refus de la répression et des mesures antisémites, volonté de combattre pour
libérer la France. Alors chaque’ un d’entre eux avait des raisons différents pour joindre, des
idéologies, religions et appartenance politiques différentes. La résistance s’opposait sur
plusieurs niveau, comme en fessant de la propagande sur radio et journaux et en plus
important leur opérations clandestin. Ces opérations étaient soit des attentats des personnages
importants, le sabotage (souvent des chemins de fer ou de ponts) ou la lutte armé dans les
marquis. La résistance aidait aussi aux pilotes alliés abattus au-dessus du territoire français et
aux prisonniers évadés. Ils participaient aussi aux réseaux d’évasion et refusaient de faire le
service du travail obligatoire (STO) qui était mis en place entre 1942 et 1943.
La résistance française était face a face aux plusieurs difficultés, notamment le fait qu’ils
ne pouvaient pas compter sur l’aide de la population a cause de la collaboration. Ils ne savaient
pas qui ils pouvaient faire confiance, ils étaient complètement isolés. Non plus ils ne pouvaient
pas compter sur les forces alliées qui tardaient avec leur aide et offrait une coopération très
limité. En plus de tout ca ils ont du surmonter des divisons entre eux-mêmes, comme la
cohabitation dont il y avait des membres communistes, non communistes et anticommunistes
et entre les partisans du général de Gaulle et les antigaullistes de différentes sensibilités. Il y
avait souvent des désaccords sur le plan stratégique de leurs opérations clandestines en
particulier les groupes comme les communistes avec l'Organisation spéciale (OS), puis les
Francs tireurs et partisans français (FTPF) et leurs groupes de la Main- d'œuvre immigrée
(MOI). L’opposition entre eux peut être brièvement décrit comme une opposition entre ceux
qui entendaient combattre pour des changements profonds et ceux qui souhaitaient
simplement un retour à la situation d'avant-guerre. La division entre les factions de la
résistance se complique encore plus avec la séparation des deux zones en France (l’occupé et le
libre). Dans la zone du sud non occupé ou zone libre il y avait les groupes le Combat, Libération,
Franc-tireur, Témoignage chrétien, Armée secrète, Groupes francs, Organisation de résistance
de l'armée ou ORA et au nord ou zone occupé la Libération-Nord, Défense de la France,
Organisation civile et militaire, Ceux de la résistance ou CDLR, Ceux de la libération ou CDLL,
Résistance-Fer. Une autre division se fera entre ceux qui se sont engagées des le début (1940,
et ils étaient très peu), qui comportaient des petites groupes isolées, agissant de façon
spontanée, sans mots d'ordre, sans liens entre eux et d’autres qui se sont mis au service des
réseaux britanniques du Special Operation Executive (SOE). Une des plus importantes actions de
la résistance était en 1944 quand ils aidaient à retarder l'arrivée des renforts allemands au
lendemain du débarquement de Normandie, les forces armées de la résistance ont mis en
œuvre les plans de sabotage des moyens de communication : Plan vert pour les voies ferrées,
Plan violet pour les lignes téléphoniques et Plan bleu pour les installations électriques. A la fin
de la guerre il y avait un peu prés de 80,000 de résistants morts. Apres la guerre de nombreux
résistants ont joint la nouvelle armé française out soit ont aidé a la reconstruction de la 4eme
république française.
La bataille de Normandie ou L’opération Overlord :
Pendant la deuxième guerre mondiale il y en avait plusieurs batailles sur le front
français, mais le plus important et plus grand, qui a changé la balance de la guerre a été la
bataille de Normandie, Operation Overlord ou le plus connu le jour « J » (D Day). La bataille se
déroule entre juin et aout 1944 en Normandie, et permet aux forces alliées de rentrer en
Europe et libérer des pays occupé allemand. Cette bataille débute le 6 juin 1944, nommée le
jour J. Le débarquement devait prendre lieu le 5 juin, mais a cause des mauvaises conditions
météorologiques, la date a été pousse au 6 juin.
Pendant la nuit du 5 au 6 juin, des forces allies canadien, américain et anglais lancent
des bombardements par avion sur Normandie, ou ils font tomber 5,000 tonnes de bombes.
Pendant ce temps 12 000 avions sont lancés pour donner du support et 17,000 parachutistes
anglais, canadien et américain descendent derrière les plages de Normandie. Les parachutistes
attaquent les villes et régions de Benouville, Merveille Battery, Caen, Pointe du Hoc et Saint
Mère-Eglise. Les plus importantes des ceux étaient Caen et St. Mère-Eglise, qui empêchaient les
forces allies d’avancer vers l’intérieur d’Europe.
Au jour même, les forces allient, débarquent sur les plages de Normandie. Il y en avait 5
plages principaux ou les forces allies débarquent. Les américain rentrent sur les plages de Utah
et Omaha, les britanniques sur les plages Gold et Sword et puis les forces Canadiennes sur place
Juno. En total, cette armada est la plus grande de notre histoire, et c’est l’assaut naval le plus
grand dans l’histoire. En total 1,213 bateaux de guerre cuirassés, 736 navires de soutien, 864
navires de cargos, et 4,126 engins et péniches débarquent sur les plages, portant 20,000
véhicules et 156,000 hommes. Ces soldats prennent le jour même toutes les plages de
Normandie, mais les taux étaient immenses. Ce jour les 135,000 soldats américains, 65,000
soldats anglais, 18,000 soldats canadiens et 12,000 soldats français perdent leurs vies ou
disparaissent. En totale ca donne environs 230,000 de mort ou disparut des forces allies, et
320,00 de soldats allemand. A partir de ce point les forces alliées continuent à rentrer vers
l’intérieur de l’Europe, et c’est le moment qui a changer le bilan de la guerre pour les forces
allies.
La première capitulation fut signée dans une salle du « Collège technique et moderne »
à Reims à 02:41 heures le 7 mai 1945. La délégation était composé de Generaloberst (chef de
l’armé allemande) Alfred Jodl, l'amiral von Friedeburg et le major Wilhelm Oxenius et ils signent
la reddition sans condition des forces armées allemandes.
ACTE DE REDDITION MILITAIRE
1. Nous soussignés, agissant au nom du Haut Commandement Allemand, déclarons par la
présente que nous offrons la reddition sans condition au Commandant Suprême des Forces
Expéditionnaires Alliées et, simultanément au Haut Commandement Soviétique, de toutes les
forces de terre, de mer et de l'air qui sont à cette date sous contrôle allemand.
2. Le Haut Commandement allemand transmettra immédiatement à toutes les autorités militaires
navales et aériennes allemandes et à toutes les autorités militaires sous contrôle Allemand,
l'ordre de cesser de prendre part aux opérations actives à 23 heures 01 heure d'Europe centrale
le 8 mai et de rester sur les positions qu'elles occuperont à ce moment. Aucun navire ni avion ne
sera sabordé et aucun dégât ne sera fait à leur coque, à leurs machines ou à leur équipement.
3. Le Haut Commandement Allemand adressera immédiatement aux commandants des forces
intéressées tous les ordres donnés par le Commandant suprême des Forces expéditionnaires
Alliées et par le Haut Commandement soviétique, et s'assurera de leur exécution.
4. Cet acte de reddition militaire ne préjuge pas de l'avenir et sera remplacé par tout autre
instrument général de reddition qui sera imposé par ou au nom des Nations unies et applicable à
l'ALLEMAGNE et aux forces armées allemandes dans leur ensemble.
5. Dans le cas où le Haut Commandement allemand ou certaines forces sous son contrôle
manqueraient d'agir conformément à cet acte de reddition, le Commandant Suprême des Forces
Expéditionnaires Alliées et le Haut Commandement Soviétique prendront toutes actions
punitives ou autres qu'ils jugeront appropriées.
Signé à Reims France à 2 heures 41, le 7 mai 1945.
Au nom du Haut Commandement allemand.
Signature du général JODL
EN PRÉSENCE DE
Au nom du Commandant Suprême des Forces Expéditionnaires Alliées
Signature du général BEDELL-SMITH
Au nom du Haut Commandement Soviétique,
Signature du général SOUSLOPAROV
Général, Armée française (Témoin)
Signature du général SEVEZ
Le 8 mai, vers minuit la seconde capitulation se fait signer à Karlshorst dans la banlieue
de Berlin. Les représentants de la Grande-Bretagne, France, les États-Unis et l’USSR, et les
représentants du haut commandement allemand, emmenés par le Generalfeldmarschall
Wilhelm Keitel signent la seconde capitulation. Ceci est la capitulation militaire ce qui veut dire
que l’armé entière du troisième Reich donne sa reddition, a marque le fin de la guerre en
Europe. Le 8 mai a été déclaré jour férié de commémoration en France le 20 mars 1953. Le
président Charles de Gaulle supprime le caractère férié de ce jour par le décret du 11 avril 1959.
Pour se placer dans une logique de réconciliation avec l'Allemagne, le président Giscard
d'Estaing supprime également la commémoration de la victoire alliée en 1945. C'est le
président François Mitterrand qui rétablira à la fois cette commémoration et ce jour férié le
1er juin 1981.
Après-guerre :
La libération de la France est directement suivi de l’épuration des personnes suspectés
collaborateur. Environ 20,000 femmes sont tondues pour collaboration horizontale. Les
collaborateurs ont été poursuivi que pour trahison et pas pour des crimes de guerre, mais aux
tribunaux certain collaborateurs on eu des peines très légères a car la majorité des juges on
prête serment a Pétain. La période de après-guerre dure jusqu’aux débuts de la guerre froide.
C’est une période de restauration, réparation et le renouvèlement des lois et politique. Cette
période est marquée par le manque de nourriture et produits de toute sorte, des conditions
horribles de vie, et de la tristesse et dépression, ce qui est bien évident dans l’art et littérature
de cette époque.
Sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Seconde_Guerre_mondiale
http://hsgm.free.fr/
http://www.secondeguerre.net/
http://www.france3945.com/occupation.html
http://www.crdp-reims.fr/memoire/bac/2GM/connaissances/04france.htm
http://www.historylearningsite.co.uk/french_resistance.htm
http://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Overlord
http://seconde.guerre.mondiale.pagesperso-orange.fr/
http://www.fotosearch.fr/creatas-stock-footage/deuxieme-guerre-mondiale-jour-j/CRT708/
http://la-guerre-au-jour-le-jour.over-blog.com/28-index.html
http://doinghistoryproject.tripod.com/id28.html
http://www.dday.co.uk/
Larousse de la Seconde Guerre mondiale (Claude Quétel, Philippe Masson, Christophe Prime (2007))
La France dans la Deuxième Guerre mondiale (1939-1945) (Durand, 2002)
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