d’une manière clandestine, et ces membres étaient toujours en risque d’être dénoncés, arrêtés,
torturés, emprisonnés, exécutés ou déportés, ce qui rendait leur fonctions très difficile et
dangereux. Pendant la période de guerre les résistants n’avaient pas un grand nombre,
c’étaient que les plus courageux qui en fesse partie. Drôlement, après la guerre ce nombre est
monté rapidement, avec la majorité de la France qui adhérait.
L’engagement de la résistance était la plus puissante pendant les ânées avant guerre
(1940-41) et vers la fin de guère en 1943-44. Ces résistants avaient des diverses raisons pour
joindre, soit le refus de la défaite et de l'occupation allemande, refus du régime de Vichy et de
la collaboration, refus de la répression et des mesures antisémites, volonté de combattre pour
libérer la France. Alors chaque’ un d’entre eux avait des raisons différents pour joindre, des
idéologies, religions et appartenance politiques différentes. La résistance s’opposait sur
plusieurs niveau, comme en fessant de la propagande sur radio et journaux et en plus
important leur opérations clandestin. Ces opérations étaient soit des attentats des personnages
importants, le sabotage (souvent des chemins de fer ou de ponts) ou la lutte armé dans les
marquis. La résistance aidait aussi aux pilotes alliés abattus au-dessus du territoire français et
aux prisonniers évadés. Ils participaient aussi aux réseaux d’évasion et refusaient de faire le
service du travail obligatoire (STO) qui était mis en place entre 1942 et 1943.
La résistance française était face a face aux plusieurs difficultés, notamment le fait qu’ils
ne pouvaient pas compter sur l’aide de la population a cause de la collaboration. Ils ne savaient
pas qui ils pouvaient faire confiance, ils étaient complètement isolés. Non plus ils ne pouvaient
pas compter sur les forces alliées qui tardaient avec leur aide et offrait une coopération très
limité. En plus de tout ca ils ont du surmonter des divisons entre eux-mêmes, comme la
cohabitation dont il y avait des membres communistes, non communistes et anticommunistes
et entre les partisans du général de Gaulle et les antigaullistes de différentes sensibilités. Il y
avait souvent des désaccords sur le plan stratégique de leurs opérations clandestines en
particulier les groupes comme les communistes avec l'Organisation spéciale (OS), puis les
Francs tireurs et partisans français (FTPF) et leurs groupes de la Main- d'œuvre immigrée
(MOI). L’opposition entre eux peut être brièvement décrit comme une opposition entre ceux
qui entendaient combattre pour des changements profonds et ceux qui souhaitaient
simplement un retour à la situation d'avant-guerre. La division entre les factions de la
résistance se complique encore plus avec la séparation des deux zones en France (l’occupé et le
libre). Dans la zone du sud non occupé ou zone libre il y avait les groupes le Combat, Libération,
Franc-tireur, Témoignage chrétien, Armée secrète, Groupes francs, Organisation de résistance
de l'armée ou ORA et au nord ou zone occupé la Libération-Nord, Défense de la France,
Organisation civile et militaire, Ceux de la résistance ou CDLR, Ceux de la libération ou CDLL,
Résistance-Fer. Une autre division se fera entre ceux qui se sont engagées des le début (1940,
et ils étaient très peu), qui comportaient des petites groupes isolées, agissant de façon
spontanée, sans mots d'ordre, sans liens entre eux et d’autres qui se sont mis au service des
réseaux britanniques du Special Operation Executive (SOE). Une des plus importantes actions de
la résistance était en 1944 quand ils aidaient à retarder l'arrivée des renforts allemands au
lendemain du débarquement de Normandie, les forces armées de la résistance ont mis en
œuvre les plans de sabotage des moyens de communication : Plan vert pour les voies ferrées,