Le contexte Le Sud Kivu étant l’une des provinces ayant connu de guerres cycliques, par voie de conséquence, son écosystème et sa biodiversité naturels ont été fortement détruits. Actuellement cette situation est ressentie et se répercute sur le quotidien de la population congolaise en tout temps et en tout lieu. En effet, du pauvre paysan au grand riche des grandes villes en passant par l’élite intellectuel chacun à son niveau devrait comprendre que sa contribution est souhaité pour maintenance de l’équilibre naturel sur cette planète unique où nous nous devons tous vivre sans exception. Cependant les conditions socio- économiques se dégradent du jour au lendemain, eu égard à cette situation les paysans congolais s’adaptent pour palier à cette insuffisance économique, ainsi le recours à l’exploitation illégale de bois des chauffes pour la carbonisation reste parmi les palliatifs de la conjoncture dans laquelle la population se retrouve En outre diverses espèces sont en voie de disparition par la coupe du bois, actuellement toutes les couches sociales recourent à ces pratiques sans connaitre les conséquences qui en découlent Sur le plan environnemental, l’exploitation abusive de bois de chauffe comme source principale d’énergie et de fabrication de braise commerciale constituent un danger potentiel de la forêt tropicale. Il faut dire que la femme est en même temps actrice et victime de son action sur l’environnement. L’agriculture pratiquée par la majorité des paysans et principalement les femmes est itinérante sur brulis, les surfaces cultivées sont réduites et les productions agricoles faibles. A chaque saison culturale les paysans vont à la conquête des nouveaux champs impliquant ainsi la déforestation. Le service opérationnel de reboisement systématique est limité et les bois de chauffe se recherche à une grande distance. Le problème du changement climatique implique d’autre défi lié à l’exploitation artisanale de l’or. Actuellement on observe une perturbation des saisons, cela a de l’impact Le Sud Kivu étant l’une des province ayant connu de guerres cycliques, par voie de conséquence, son écosystème et sa biodiversité naturels ont été fortement détruits. Actuellement cette situation est ressentie et se répercute sur le quotidien de la population congolaise en tout temps et en tout lieu. En effet, du pauvre paysan au grand riche des grandes villes en passant par l’élite intellectuel chacun à son niveau devrait comprendre que sa contribution est souhaité pour maintenance de l’équilibre naturel sur cette planète unique où nous nous devons tous vivre sans exception. Cependant les conditions socio- économiques se dégradent du jour au lendemain, eu égard à cette situation les paysans congolais s’adaptent pour palier à cette insuffisance économique, ainsi le recours à l’exploitation illégale de bois des chauffes pour la carbonisation reste parmi les palliatifs de la conjoncture dans laquelle la population se retrouve En outre diverses espèces sont en voie de disparition par la coupe du bois ? Actuellement toutes les couches sociales recourent à ces pratiques sans connaitre les conséquences qui en découlent Sur le plan environnemental, l’exploitation abusive de bois de chauffe comme source principale d’énergie et de fabrication de braise commerciale constituent un danger potentiel de la forêt tropicale. Sur le plan social : Avec l’arrivé massif des réfugiés Rwanda des espaces vertes ont été détruites, les populations qui vivaient en milieu urbain se sont vue obligées de fuir l’insécurité dans des grandes agglomérations où il y avait la sécurité. Avec le déversement des déplacés dans les villes et les grandes agglomérations ; il s’est observé des constructions anarchiques sur des terrains inappropriés, tout ceci avait comme impact des éboulements de terre ; les inondations. En perspective ; nous pensons mener des campagnes une parcelle un arbre fruitier Sur le plan économique Le changement climatique a occasionné des perturbations des saisons, on observe un prolongement de la saison sèche et pour la saison de pluie, i l ya des pluies abondantes très régulières. Le calendrier agricole est touché ; les femmes agricultrices ne savent plus quoi faire. Il ya absence des politique de gestion de changement climatique. Et sur le terrain comme le changement climatique est encore nouveau pour les populations paysans ; elles vivent les effets de ce changement climatique sans pour autant comprendre le vrai sens. En perspective nous pensons organiser des campagne d’information sur le changement climat et ainsité les femmes à s’approprier l’approche agro- sylvo-pastoral Sur le plan énergétique Au moins 80% des territoires ruraux n’ont d’énergies alors que la RD Congo regorge des potentiels en solaire, en éolienne et en chute sur toutes les rivières que le pays regorge ; j’en appel donc au gouvernement du Monde en général et celui de la RD congo en particulier de développer le secteur des énergies nouvelles et renouvelables pour que chaque habitant de la terre et chaque congolais en bénéficie. En perspective, nous pensons mettre en œuvre le projet énergies renouvelables pour tous en milieu rural