Nanotechnologies et immunologie. La guerre nanoscopique, bactéries construites sur le modèle d’un Starcraft dans le corps humain, développant des nano-usines dans le corps à détruire, construisant des nanodrones pour collecter les molécules nécessaires à la production de drones de destruction, aptes à créer des dysfonctionnements mortels dans la machine humaine. Constitution de ces machines : deux chemins. Le premier, l’engineering, part de matières non organiques pour construire des robots. Très difficile. C’est le chemin pris par les nanotechnologies. Deuxièmement ; imiter mère nature, et utiliser des chaînes carbonées pour développer des choses organiques. Très dangereux. C’est une application de la génétique. Genetical engineering. Choses aptes à se reproduire et à s’organiser de façon systématique. Création ‘d’antidotes’, de contre machines destinées à paralyser et détruire ces armes nanoscopiques. - Affrontement direct, dans ce cas, création d’un système immunitaire parallèle par créations d’usines, et réplication d’agents immunitaires artificiels. Une stratégie pourrait être d’investir dans un ‘tout artificiel’, cela consisterait à neutraliser le système immunitaire naturel pour permettre le développement d’un système immunitaire plus puissant car n’ayant pas à transiger avec le système naturel (cas du CMH, de la sélection des molécules, les molécules inorganiques stimulant une réponse immédiate). Dans ce cas, on se retrouve avec une presque machine sur le plan immunitaire. Et peut être une arme aussi ; ses sécrétions, salive, sueur, sang, lymphe et sperme sont autant de moyens pour attaquer quelqu’un. - Stimulation et sensibilisation du système immunitaire pour le rendre apte à maîtriser l’agresseur. - ‘Technosymbiose’. Troisième forme d’arme ; une usine de nature organique. Une organisation hiérarchique de drones allant du constructeur / matrice à l’effecteur, qu’il soit destructeur, informateur, ou destiné à collecter les molécules nécessaires au développement à l’entretien et au fonctionnement de cette armée. Réutilisation du système nerveux pour transmettre des informations instantanément sur l’ensemble du champ de bataille, corps humain. Ce ‘piratage’ de neurones peut être perçu par l’homme champ de bataille, dans certaines circonstances très précises. Ce piratage permet aussi demodifier les messages naturels, ex message de douleur, ou de fatigue. Il y a trois parties dans cette guerre, le système immunitaire, très puissant car possédant un contrôle absolu avant infection par l’attaquant, et la défense, injectée au champ de bataille pour le sauver. Chaque champ de bataille est extrêmement imprévisible, la sensibilité de son système immunitaire étant très variable. Des ‘allergiques’ seront parfois beaucoup plus résistant grâce à l’extrême sensibilité de leur réponse immunitaire. Il est difficile de parvenir à élaborer des structures organiques ou non, qui ne soient pas détectées par le système immunitaire. En effet, celui-ci détruit tout ce qui n’a pas de CMH, et dont la structure permet une lyse (molécules superficielles laissant une prise aux pseudopodes, structure sensible aux enzyme lytiques). IV Ca déraille. Perte de contrôle - dysfonctionnements dans le système immunitaire artificiel, guerre ouverte contre le système naturel, ou attaque du corps, ou formation de molécules toxiques, agglomérations non souhaitées de molécules constituant des caillots (attaques, infarctus…) - association symbiotique entre système artificiel et bactérie, virus, ou n’importe quel procaryote, ou eucaryote. …puis le Virus de synthèse, évoluant à tel point qu’il devient impossible de s’en prémunir. Garder à l’esprit que notre vision du futur le modifie. Futur où la notion d’équilibre comme en écologie a pris sa place dans l’esprit des gens. I had a dream. Industrialisation de la consommation. Les gens deviennent jusque dans leurs habitudes de consommation des machines. Cadré à grande échelle ; les campagnes de pub règlent les différentes phases de la vie, sans laisser de possibilité d’y échapper. Vacances, rentrée, noël, paques, sans compter les trois anniversaires annuels du magasin, les foires à 10 francs qui doivent paraître festives, les soldes… Mécanisme de ralentissement économique. La popularité des supermarchés tient exclusivement aux prix qu’il pratique et au gain de temps qu’une telle concentration de marchandises rend possible. rchandises rend possible. Ces deux attraits existent du fait de la trace encore fraîche dans l’histoire des révolutions industrielles, fixant un temps de travail alors nécessaire. Les besoins immense en main d’œuvre ont contraint les salariés à des horaires énormes. Le besoin n’existant plus pour un production de richesses encore plus grande, la tendance tend à un réajustement qui peut entraîner un retour à la possibilité de prendre le temps de faire ses courses, et de choisir les choses en s’adressant à quelqu’un qui connaît ses produits, et ce qui contribue à recréer du tissu social. Pression sur le producteur, qui se fait baiser. …Lorsque les supermarchés fermeront. Possibilité de mélanger les deux histoires qui précèdent, avec un retour à une vie plus ‘roots’ et sympa, et en même temps la présence totalement ignorée d’une guerre dans nos propres corps. LE retour à une qualité de vie intéressante serait alors attribué au fait que l’intérêt des grandes puissances s’est déporté vers une échelle infiniment plus petite.