Les Églises Chrétiennes de Dieu
[185]
Le Socinianisme, l’Arianisme et
l’Unitarisme [185]
(Édition 1.5 19961221-20150612)
Le terme Socinianisme a été appliqué très aléatoirement sur un grand corps de doctrines
anti-trinitaires. La Divinité est la question centrale du Socinianisme. À partir du point de
vue des Catholiques et des Unitaires, ils soutenaient correctement que Dieu est absolument
singulier. Ils ont conclu que la distinction des personnes est destructive à cette singularité.
À partir de cette logique, ils niaient la Trinité en tant que logiquement défectueuse. La
distinction entre le Trinitarisme et l’Unitarisme est que cet hommage rendu à Christ est dû à
sa relation avec le Père et d'un type secondaire - tandis que les Trinitaires le soutiennent
comme le culte de latrie, où il est en fait Dieu, comme le Père est Dieu.
Christian Churches of God
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(Copyright 1996, 2015 Wade Cox)
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Le Socinianisme, l’Arianisme et l’Unitarisme [185]
Le terme Socinianisme a été appliqué très
aléatoirement sur un grand corps de doctrines
anti-trinitaires. Le terme est provenu de Lelius
Socinius (1526-1562) et de son neveu Faustus
Socinius (1539-1604), natifs du pays de Sienna.
La secte a surgi avant que Faustus ne soit entré
en contact avec elle, mais elle lui doit son
individualité. Une société secrète a été formée à
Vicenza dans le diocèse de Venise pour
discuter de la Trinité. Parmi les membres
étaient George Blandrata (le médecin),
Alciatus, Gentilis et Lelio Socinius. Lelius (ou
Lelio) Socinius était un prêtre de Sienna et
l'ami de Bullinger, Calvin et Melancthon.
L'objectif de la société était la promotion de
l'anti-trinitarisme. La société était divisée, et ses
membres se sont enfuis en Pologne ils ont
de nouveau été persécutés.
Il devrait être noté que les Nominalistes sous
Abelard étaient les géniteurs réels de l'anti-
trinitarisme durant la période de la Réforme
comme les Catholiques l'ont vu, et c'est le
sentiment de Hugh Pope dans son article sur le
Socinianisme (Cath. Encyc., Vol. XIV, p. 113).
Correctement nommés les anti-réalistes, le
nominalisme a été rejeté par la philosophie
Catholique. Le nominalisme concerne
l'explication des choses en termes d'individu et
de la réalité externe particulière. Il nie donc
l'existence de concepts abstraits et universels, et
refuse d'admettre que l'intellect a le pouvoir de
les produire. Par conséquent, la progression
mystique est exclue. Le Réalisme Exagéré
invente un monde de réalités correspondant
exactement aux attributs du monde de la
pensée. Les catholiques étaient des Réalistes
Aristoteliens Modérés (particulièrement à partir
d'Aquinas et surtout d’Occam), plutôt que des
Réalistes Platoniques Exagérés. Ce processus
de pensée a d'énormes implications et
conséquences pour l'explication de la Théorie
Causale et du monde spirituel. La science
moderne et la pensée empirique sont
essentiellement concernées par l'explication des
événements en termes physiques. Les
Nominalistes ont développé leurs théories plus
particulièrement à travers Hume, Stuart Mill,
Spencer, Huxley and Tain. Les Catholiques les
considèrent comme confondant des opérations
logiques essentiellement distinctes (la simple
décomposition des représentations sensibles ou
empiriques avec l'abstraction l'analogie
correctement soi-disant et aussi de l’analogie
sensible avec le processus d'universalisation)
(voir De Wulf Nominalism, Realism,
Conceptualism, Cath. Encyc., Vol. XI, p. 93).
Les Catholiques Aristoteliens sont considérés
(par eux-mêmes) comme distinguant
soigneusement entre ces deux opérations
mentales. Le nominalisme est irréconciliable
avec une philosophie spiritualiste et, de là,
aussi avec le Scolasticisme. Le
Phénoménalisme de Kant est aussi considéré
comme détruisant tous les liens qui pourraient
relier le concept avec le monde externe (de
Wulf, ibid.). Les Catholiques soutenaient
jusqu'à la fin en ce siècle que nous ne créons
pas en bloc l'objet de notre connaissance, mais
nous l’engendrons en nous sous l'influence
causale de l'objet qui se révèle à nous (ibid.).
Cela a une implication pour la révélation
volontaire de Dieu et, par conséquent, la nature
de Dieu. L'explication de la réalité est comme
une ontologie. L'ontologie est la science de
l'étude de l'être. Elle touche à l'étude de l'être
ou l'essence des choses dans l’abstrait. De là,
toute religion est concernée par cette
explication dans l’abstrait. Une telle explication
donne la réalité à Dieu et aux fils de Dieu et
aux démons.
L’Ontologisme, qui s’apparente au Réalisme
Platonique, identifie arbitrairement les types
idéaux, qui nous viennent à partir du monde
sensible au moyen d'abstraction, avec les types
idéaux consubstantiels avec l'essence de Dieu.
De Wulf soutient que quand nous formions nos
premières idées abstraites, nous ne
connaissions pas encore Dieu. Nous sommes si
ignorants de Lui que nous devons utiliser ces
premières idées pour prouver a posteriori Son
existence. De Wulf pense que l'Ontologisme a
vécu sa vie et ce monde est maintenant si
enchanté par l'expérience et l'observation, qu'il
ne retournera pas aux rêves de Platon (ibid.).
Les Catholiques n'ont pas tenu compte dans
Le Socinianisme, l’Arianisme et l’Unitarisme [185] Page 3
leur avis que certains des plus grands penseurs
étaient des Unitaires aussi bien que des
producteurs d'explications scientifiques et
philosophiques de la réalité John Locke et Sir
Isaac Newton étant des exemples notables.
Ainsi, les Unitaires (ou Ariens comme les
Trinitaires les ont catalogués) ont probablement
joué un rôle aussi important dans ce processus.
Cette vue de la connaissance et de la Théorie
Causale a été traitée dans l’ouvrage Création :
De la Théologie Anthropomorphique à
l’Anthropologie Theomorphique. Les
Nominalistes étaient des anti-Trinitaires à partir
de leur philosophie guidée par la raison qui
niait le Mysticisme néo-Platoniste. La
distinction entre les Catholiques et les anti-
Trinitaires religieux était selon des motifs
semblables, en ce que Dieu s’est révélé Lui-
même à travers sa révélation de Lui-même, et
seulement à l’adulte baptisé dans l'Esprit Saint.
Ainsi, eux seuls pouvaient être consubstantiels.
C’est pour cette raison que les Catholiques ont
supprimé ce sentiment anti-trinitaire vu que
cela enseignait une relation consubstantielle
conséquente à l'obéissance et avec une égalité
avec Christ, mais subalterne à la volonté de
Dieu. Les Catholiques ont nié cette fonction vu
que Dieu a amorcé et a utilisé la progression
mystique pour devenir Dieu tel que défini par
les Cappadociens. C'était la distinction
conceptuelle à laquelle les Catholiques se sont
opposés à partir des Cappadociens (voir les
études L'Esprit Saint (No 117) et
Consubstantiel avec le Père (No 81)).
L'histoire nous montre que l'Église de Dieu
avait longtemps précédé la Réforme et les
Vaudois ont continuellement été anti-
Trinitaires jusqu'à la Réforme. Hugh Pope dit
que les anti-Trinitaires sont les représentants
des Sabelliens, des Macédoniens et des Ariens
d'une période antérieure. En effet, les Vaudois
ont été condamnés et sous la description
générale d’Arianisme en 1180 EC dans le traité
par Bernard de Fontcaude (Adversus Vallenses
et Arianos ; voir l'étude Le Rôle du Quatrième
Commandement dans l’Histoire des Églises de
Dieu Observant le Sabbat (No. 170)).
Les gens en Europe appelés anti-Trinitaires
sont entrés en schisme en tant qu’un effet de la
Réforme et parce qu'ils soutenaient des vues
différentes. Il est donc trompeur de se référer à
ces gens en tant que des Sociniens. C'est le
même effet que de se référer aux Églises de
Dieu à partir des États-Unis depuis le milieu
des années 1800 en tant que des
Armstrongistes. Il était un leader postérieur
d'une branche. Comme Armstrong, nous
verrons que les Sociniens eux-mêmes ont
changé leurs vues sur la nature de Dieu.
Lelius Socinius a vécu principalement à Zurich,
mais il était le pilier du parti qui se réunissait à
Cracovie. Il est mort en 1562 et les anti-
Trinitaires ont subi des perturbations à partir de
ce point. En 1570, les Sociniens se sont
séparés et, sous l'influence de Jean Sigismund,
ils se sont établis à Racow. En 1579, Faustus
est venu en Pologne avec les écrits de son
oncle. Il a trouvé la secte divisée et a d'abord
été refusé l'admission parce qu'il ne voulait pas
se soumette à un deuxième baptême. Son
premier baptême doit donc avoir été en tant
qu'adulte. En 1574, les Sociniens avaient publié
un Catéchisme des Unitaires. La nature et les
perfections de la Divinité étaient décrites mais
le document était silencieux sur les attributs
divins qui étaient considérés comme
mystérieux (par les Catholiques). Christ était
considéré comme étant l'homme promis et le
médiateur de la création.
Faustus Socinius a uni les factions sous lui à
partir de 1579. Il avait été invité à Siebenburg
(ou Siebenburgen) pour contrer la position anti-
trinitaire de Francis David (ou Davidis) (1510-
1579). David est mort au Château Deva il
avait été emprisonné à cause de ses vues sur la
nature de Christ. L'Église à Siebenburg après la
mort de Francis David, a été dirigée par
Andreas Eossi et c'était l'Église de l'Est de
l'Europe qui était les descendants des Vaudois.
Nous savons hors de tout doute qu'ils étaient
unitaires (souvent appelés Ariens par les
Catholiques). Ils observaient le Sabbat, les
Jours Saints et les Nouvelles Lunes et ils
étaient la vraie Église de Dieu en Europe, étant
ce que nous appellerions l'ère Thyatire (voir les
études La Distribution Générale des Églises
Observant le Sabbat et aussi Le Rôle du
Quatrième Commandement dans l’Histoire des
Églises de Dieu Observant le Sabbat (No.
170)).
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David avait refusé d'accepter le principe
particulier Socinien que Christ, sans être Dieu,
devait être adoré. L'Église de Dieu en Europe
n'avait jamais accepté que Christ soit l'objet de
prière ou d’adoration. Le rejet de l'adoration de
Christ était la vue cohérente de l'Église de Dieu
au cours des siècles, y compris les Vaudois
dont l'église à Siebenburg faisait partie. David a
été emprisonné à cause de cette vue et il est
mort en prison. Hugh Pope note aussi que
Budnaeus a été dégradé pour avoir tenu la
même vue que David et a été excommunié en
1584. Ces deux ont été ainsi convertis à la foi
de la soi-disant Orthodoxie.
Les Sociniens, en ce temps là, ont supprimé le
vieux catéchisme et en ont publié un nouveau
ayant pour titre le Catéchisme de Racow qui,
bien que rédigé par Faustus Socinius, n'a été
publié qu'en 1605, l'année après sa mort. Il a été
d'abord publié en Polonais et ensuite en Latin
en 1609.
Les Sociniens ont prospéré. Ils ont établi des
universités, tenus des synodes et ont possédé
des presses d'impression desquelles ils ont
produit de grandes quantités de littérature.
Cette littérature a été rassemblée par Sandius
sous le titre de Bibliotheca Antitrinitarianorum.
Les oeuvres de Faustus sont rassemblées dans
l'oeuvre Bibliotheca Fratrum Polonorum.
L'Église de Dieu à Siebenburg, d'autre part,
s’est vue refuser le statut d'une église et une
presse d'impression. Eossi a rédigé son oeuvre à
la main et il a été copié par des assistants.
En 1638, les Catholiques ont insisté pour que
les Sociniens soient bannis. La secte était
redoutée en Europe mais Pope dit qu’un grand
nombre de princes l'ont favorisée secrètement
(ibid., p. 114). On a pensé à un moment qu'elle
pourrait envahir l'Europe. L'Ambassadeur
Britannique a averti les états de la Hollande que
les Sociniens arriveraient en provenance de la
Pologne, ce qu'ils ont fait en 1639. En 1653, ils
ont été supprimés au moyen de décrets très
rigoureux.
Ils n'ont pas obtenu un grand appui en
Angleterre, comme Pope l’observe, bien qu’en
1612, Leggatt et Wightman aient été
condamnés à mort pour avoir nié la divinité de
Christ. John Biddle a soutenu ce qui était décrit
comme étant des principes Sociniens et a été
banni par Cromwell aux Îles Scilly desquelles il
est retourné sous un mandat d'habeas corpus. Il
a été mis en prison de nouveau après la
Restauration, et il est mort en 1662.
Hugh Pope note correctement (ibid.) que les
Unitaires sont fréquemment identifiés avec les
Sociniens, mais il y a des différences
fondamentales entre leurs doctrines.
Nous verrons que le terme Unitaire est souvent
mal appliqué par les Catholiques, et Pope
utilise le terme dans un seul sens uniquement,
que nous considérons comme étant incorrect.
Les Catholiques soutiennent que les termes
Unitaire, Arien et Socinien sont des termes
distincts et exclusifs tandis que Schaff, par
exemple, les classerait tous sous le terme
Unitaire (avec pratiquement tout le reste)
comme nous le voyons à partir de son Histoire
de l'Église Chrétienne (Vol. II, pp. 571 ff).
Les Sociniens croyaient que :
La Bible était l’unique autorité, mais
devait être interprétée par la raison.
Ils rejetaient tous les mystères ("les
Mystères sont en effet exaltés au delà de
la raison mais ils ne la renversent en
aucun cas ; ils n'éteignent en aucun cas
sa lumière, mais la perfectionnent
seulement." John Crell (d. 1633) de Deo
et ejus Attributis ; cf. Pope, ibid.).
L'unité, l'éternité, l'omnipotence, la
justice et la sagesse de Dieu doivent être
insistées puisque nous pouvons être
convaincus de celles-ci par la raison.
L'immensité, l'infinité et l'omniprésence
de Dieu étaient considérées comme
étant au-delà de la compréhension
humaine et donc pas essentiel pour le
salut.
La justice originale signifiait qu'Adam
était libre du péché en tant qu’un fait,
non pas qu'il était doté de dons
particuliers ; de là, Socinius niait la
doctrine du péché original entièrement.
Puisque la foi était la confiance en
Le Socinianisme, l’Arianisme et l’Unitarisme [185] Page 5
Dieu, les Sociniens niaient la doctrine
Catholique de justification dans le sens
qu'ils la soutenaient. Ce n'était rien
qu'un acte juridique de la part de Dieu.
Il n’y avait seulement que deux
sacrements mais ceux-ci étaient
considérés comme étant seulement de
simples mesures d’incitation à la foi. Ils
n'avaient aucune efficacité intrinsèque
(et par conséquent, la
transsubstantiation était rejetée et la
mort actuelle du vieil homme au
baptême est aussi, peut-être remise en
question).
Ils rejetaient le baptême des enfants et
l'enfer. Les méchants étaient tout
simplement anéantis.
La Divini est la question centrale du
Socinianisme. À partir du point de vue des
Catholiques et des Unitaires, ils soutenaient
correctement que Dieu est absolument
singulier. Ils ont conclu que la distinction des
personnes est destructive à cette singularité. À
partir de cette logique, ils niaient la Trinité en
tant que logiquement fectueuse. Les
Catholiques voient cette vue comme étant
fausse à partir de la doctrine de la
Circumincession ou de la distinction de la
Trinité dans la Divinité. Le Dithéisme moderne
d'Herbert Armstrong, tel qu’avancé à partir de
1978, essaye de réconcilier ce problème de
l'Unité et de la Distinction en essayant de nier
la trinité et de garder l'Esprit Saint séparé de la
combinaison. Ceci est la position qui a forcé le
Concile de Constantinople en 381, et qui a
abouti au Trinitarisme formel (cf. Grégoire de
Nazianze 380 EC, tel que cité dans l'oeuvre Le
Gouvernement de Dieu). C'est semblable à
l'erreur Macédonienne qui est aussi appelée le
semi-Arianisme, en ce qu'il essaye
d'accommoder une Christologie élevée. Les
disciples d'Armstrong sont arrivés à l'étape, en
1990, de la déclaration que Dieu et Christ
avaient eu une discussion sur lequel allait
descendre pour être sacrifié (Worldwide News
et l'adresse par l'évangéliste G. Waterhouse,
Canberra, Australie Fête des Tentes 1990).
Les Sociniens, cependant, ont continué à
déduire qu'il ne peut y avoir aucune proportion
entre le fini et l'infini et, de là, il ne peut y avoir
aucune incarnation de la Déité, ce qui exigerait
une telle proportion. Cependant, si par une
impossibilité, il y avait la distinction des
personnes dans la Déité, aucune personne
divine ne peut être unie à une personne
humaine puisqu’il ne peut y avoir aucune unité
entre deux individualités. Le deuxième
argument est contraire à l'Écriture Sainte.
Aquinas traite du premier point à partir du
point de vue Catholique à Summa, I, Q. xii, a. 1
ad 4 am (voir Petavius pour le reste).
Les Sociniens ne sont pas devenus soi-disant
Ariens comme le furent Campanus et Gentilis.
On voit que Gentilis était une personne de la
société originale. Il a été décapité à Berne en
1566, et certains lui ont attribué le terme de
Trithéiste comme Pope l'observe (voir A Short
History of Valentius Gentilis the Tritheist,
London, 1696). Les vues Dithéistes peuvent
s'effondrer dans ce problème quand l'Esprit
Saint est peu clairement expliqué ou il
existe un certain penchant au Trinitarisme. Ceci
est arrivé dans l'Église Adventiste du Septième
Jour qui est devenue trinitaire à partir de 1931,
après la mort d'Uriah Smith à sa déclaration en
1978, et dans l’Église Universelle de Dieu entre
1978 et 1993 elle est aussi devenue
trinitaire.
Les Catholiques disent que Socinius n’est pas
devenu Unitaire, bien que, comme Paul de
Samostata et Sabellius, il considérait l'Esprit
Saint simplement en tant qu’une opération de
Dieu, une puissance pour la sanctification.
C'était dans l'enseignement du Christ que
Socinius différait des Unitaires, bien qu'il
enseignait l’adoration à Christ, ce que l'Église
de Dieu a refusé de faire. Socinius soutenait
que Christ était le logos mais niait sa pré-
existence. En tant que la Parole de Dieu, il était
l'interprète. Pope dit (ibid.) que Socinius
expliquait Jean comme se référant à la
régénération seulement. Sans doute, ceci était
tiré à partir du concept tohu et bohu de Genèse
1:1-2. (Cette idée a beaucoup plus d'acceptation
avec les découvertes archéologiques modernes.)
Christ a été, cependant, miraculeusement
engendré. Il était l'homme parfait. Il était le
médiateur nommé mais il n'était pas Dieu,
seulement un homme déifié. Dans ce sens, il
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