Sur quelques années, il y a eu des passages de crises violentes à

Sur quelques années, il y a eu des passages de crises violentes à des crises beaucoup plus pacifiques. Il
y a eu des périodes dans lesquelles les pays civilisés se sont révélés capables de la pire violence
existante comme les militaires français en Algérie, en Indochine ou encore à Madagascar après leurs
tueries, ils reviennent dans la société civilisée malgré leurs actes. L’armée américaine a des membres
capables de se prendre en photo des supplices qu’ils ont fait subir aux irakiens et de se faire prendre
par la police, ce sont des meurtriers, des tortionnaires.
I- Un processus de civilisation
N. ELIAS (sociologue allemand) a fait du niveau de la maîtrise de l’affectivité dans une société un
élément déterminant du procès de civilisation. D’après lui, c’est dans la mise à l’écart de l’agressivi
et de la violence par le contrôle social ancré dans l’organisation étatique que se voit marqué une
société civile.
« La civilisation des mœurs » : il y décrit le climat psychologique à 2 moments de l’histoire de France
où il va comparer les guerriers du moyen âge avec l’homme de cour après la renaissance. L’homme
médiéval doit pouvoir et vouloir infliger la mort ou encore accepter de risquer sa vie jusqu’à la perdre,
il faut plusieurs années d’apprentissage. La vie du guerrier au moyen âge est un combat permanent, la
cruauté physique et le plaisir qu’on peut y prendre ne sont pas jugés sévèrement et même ces
manifestations de cruauté sont considérées comme légitimes. L’homme médiéval doit pouvoir haïr et
aimer avec la même passion, sans limite, il doit pouvoir se contrôler mais ce contrôle dans la société
guerrière ne sert que dans l’exercice de l’expérience physique pour être plus efficace dans la violence.
Non seulement, le guerrier apprend à être efficace dans la violence mais elle est aussi légitime mais
quelques centaines années plus tard (entre 1650 et 1750) ce même chevalier doit, au contraire de ses
aïeux, réfréner ses passions, qu’il soit distinguer et il doit faire attention à sa manière de s’habiller, de
se déplacer, etc. S’il excède dans ses passions, il risque de paraître ridicule ou d’être quelqu’un sans
éducation. Ce que montre ce sociologue, c’est que cette différence de comportement ne vient pas de la
volonté individuelle mais c’est la structure de la société qui postule et cultive une certaine forme de
répression affective. Il cherche à découvrir l’origine des structures sociales à l’origine de ces nouvelles
structures émotionnelles. La raison pour laquelle l’homme médiéval devient l’homme de cour
s’explique par un mécanisme que Weber et Elias appellent mécanisme de monopolisation de la
violence par l’Etat : seul les représentants de l’Etat sont légitimes à utiliser da violence physique.
Dans 2 endroits, en même temps au moyen âge, 2 familles royales : Hugues Capet en France et
Guillaume le conquérant en Grande-Bretagne se lancent dans une compétition effrénée pour
monopoliser la violence pour étendre le territoire de la royauté pour unifier un seul territoire pour une
famille, seuls les représentants de la famille du roi peuvent utiliser la violence. Au départ, le roi a
besoin de la noblesse guerrière mais une fois le territoire intérieur conquis, il ne fait plus la guerre
dans son territoire et seul les rois peuvent utiliser la violence : la noblesse n’a plus besoin de connaître
la violence mais de se raffiner, d’autant plus que le roi décide de réunir la noblesse à sa cour et il faut
faire attention à soi. La noblesse guerrière va donc apprendre à contrôler ses attitudes car en devenant
le souverain unique, le roi a rendu les autres dépendants à son bon vouloir et ça suppose à chacun plus
de retenue dans ses manifestations émotionnelles parce que le roi confère des privilèges qu’il peut
reprendre : cette noblesse est totalement car elle a besoin d’argent d’où sa connaissance de l’Etiquette
qui donne son prestige social, les armes sont les mots et ça devient une pression importante.
Les gens de la cour sont tiraillés entre la résistance à ces contraintes et la fierté à savoir se maîtriser,
comme l’Etat central a monopolisé la violence, le champ de bataille c’est importé à l’intérieur des
individus (des élites) : l’homme doit savoir gérer ses émotions, ses pulsions, ses passions et d’une
certaine manière faire que son champ de bataille se fait dans son for intérieur. Le processus de
socialisation est un processus d’intériorisation, une société civilisé, c’est une société policée
(urbanisée). On privilégie la vue plus que le toucher : on met de la distance. On va apprendre aux
jeunes hommes à se contrôler et non pas à se battre : ce recule de violence physique ne veut pas dire
que l’affrontement et la compétition entre les individus est moins forte, au contraire, mais les armes
utilisées ne sont plus les mêmes : on va utiliser les armes symboliques et culturelles : les mots. Les
gens qui ont le savoir ont donc le pouvoir.
II- Le processus d’intériorisation de la contrainte
La différence entre la violence et le pouvoir : la violence, lorsqu’elle agit sur un corps ou un objet,
peut se soit le transformer en objet passif soit le détruire en cas de résistance mais c’est pas possible
pour le pouvoir car la relation c’est ce qui fait exister le pouvoir : on ne peut pas transformer l’autre en
objet passif car il faut lui laisser la possibilité de réagir pour ne pas rompre la relation et donc ne pas
faire disparaître le pouvoir.
2 ouvrages de Michel Foucault (philosophe français) :
« L’histoire de la folie à l’âge classique » (1961) où il explique comment l’apparition de la raison a
fait apparaître la folie en miroir : le fait d’être impertinent, le fou prend les traits du pauvre : celui qui
ne peut subvenir à ses besoins et va devenir le personnage central de nos sociétés car c’est une menace
potentielle pour l’ordre public et ça nécessite un contrôle social d’où l’invention de l’hôpital général à
Paris en 1656 dans lequel on va placer les pauvres, les fous, les déviants sexuels, les blasphémateurs,
les prostituées, les vagabonds, etc. et le fait de les regrouper va créer une figure de l’étranger qui
devient un personnage réel : on enferme donc toutes formes de violences qui échappent à l’institution,
c’est la naissance de la psychiatrie, la folie.
« Surveiller et punir » où il s’intéresse à la prison qui apparaît fin 17ème par J. Bentham. Avant on avait
les oubliettes et maintenant c’est l’incarcération qui est plus violent psychologiquement et
intérieurement. Ca a été créé à cause du supplice de DAMIEN qui a essayé de tuer Louis XIV, on l’a
mis sur un roue en bois, un bourreau lui a brisé les membres un par un à coups de bâton, on lui a incisé
les muscles pour y verser de l’huile bouillante et on attache ses membres à 4 chevaux mais il ne
s’écartèle pas donc on lui sectionne les tendons. La cruauté de l’Etat est terrible, on passe de ce mode
de châtiment en quelques années à la prison avec le prisonnier qui se surveille seul car pour lui un
garde est présent : c’est l’autodiscipline, le contraste social va se diffuser en plusieurs institutions.
Le modèle du « panoptique » (de la vision totale) est créé par Bentham et il aura un grand succès
jusque dans la période contemporaine. La prison de la santé était une prison en soleil : les prisonniers
avaient le sentiment d’être surveillés même quand ils ne le sont pas, ce phénomène va obliger le
détenu à intérioriser la contrainte et à se surveiller lui-même même sans que la surveillance soit
effective. Ce modèle de la prison va avoir un tel succès qu’il va s’appliquer à d’autres institutions :
l’usine et la ville.
Dans l’usine, à la même période, se déroule un phénomène de concentration du capital et des ouvriers
dans des endroits uniques : il y a une mutation qui se déroule d’abord dans le textile même si on parle
de a question de l’ouverture du textile chinois dans l’importation, il y a un impact colossal. Le textile
ne va plus se faire comme avant : plus par des paysannes mais par une concentration de la production
du textile dans le même endroit : l’usine, c’est un changement considérable et le contremaître ou les
surveillants pourront vérifier la production avec le même principe que pour la prison, les femmes sont
sur les bacons extérieurs au mur de l’usine pour avoir une vue d’ensemble et tous les espaces vont
s’adapter au modèle : les collègues se surveillent entre eux.
La ville va connaître, à la fin du 18ème et fin 19ème) des mutations sans précédents. La plupart des
grandes cilles dans l’occident ont été créées par les grecs et les romains, ils avaient une technique de
fondation en damier pour gérer l’écoulement des eaux, faciliter le passage, etc. elles étaient constituées
à partir de camps militaires. Après la chute de l’empire romain, les cilles sont fuites ou détruites pour
d’autres villes en forme de colimaçon (escargot) : elle protège, repliée sur elle-même, on construit en
hauteur. C’est une ville de protection mais cette période de 1750 connaît une croissance
démographique exceptionnelle et on ne peut plus loger tout le monde dans cette ville. La population
est très difficile à contrôler alors pour mieux contrôler la ville, l’Etat va chercher à mettre en place le
modèle de Bentham et va créer de larges avenues en cassant le colimaçon pour contrôler la ville : le
regroupement d’individus sera vite remarqué. Cette nouvelle ville est créée pour l’ordre public et la
santé des habitants (insalubrité des villes), ça limite les épidémies, la circulation est plus facile et on
peut contrôler la ville avec ce nouveau système.
Toutes ces formes (écoles, prisons, hôpitaux, villes, etc.) peuvent être regroupés dans les « techniques
disciplinaires », on n’a plus besoin de châtiments cruels pour punie, il s’agit de contrôler et de
surveiller la population en améliorant leur mode de vie. Le but de l’Etat est de prendre en charge les
habitants, des villes de la naissance jusqu’à la mort. Nous ne sommes pas sortis de ce système, deux
nouvelles révolutions technologiques permettent d’augmenter le pouvoir de l’Etat par 3 révolutions
sont connectées : la révolution économique (globalisation dans un seul marché unique), la révolution
informatique et la révolution génétique ki permet un meilleur contrôle de la population par l’Etat grâce
à une information individuelle : il y a un phénomène d’accélération de ce modèle, on ne voit pas
encore les impacts désagréables.
III- L’évolution des formes de contestation en France
C. Tilly (historien américain) a écrit « la France conteste de 1600 à nos jours » (1986). Dans cet
ouvrage, Tilly rend compte, à travers la France, des modèles de contestation et il évoque ses formes :
dans la France du 17ème, il y a une multitude de conflits qui tournent autour de trois enjeux religieux :
entre les catholiques et les protestants contre les hérétiques ; entre les autorités régionales contre
l’autorité du pouvoir central ; le refus de l’impôt qui pèse sur la population qui prend des formes de
l’agression du récepteur des impôts.
Ces trois enjeux religieux sont réunis dans la fronde : quand Louis XIV est trop jeune pour régner, la
noblesse va faire pression pour avoir plus de prestige et de pouvoir ; Louis doit quitter Paris et va le
leur faire payer : la noblesse va résider à la cour du roi (quasiment enfermée) encadrée par l’Etiquette t
le règlement : la transformation de ces luttes au 18ème prennent forme de luttes pour contrôler la
nourriture, la terre et le travail. En même temps que ce développe le phénomène de concentration du
pouvoir, se développe un autre mouvement de concentration : la concentration du capital, la
bourgeoisie commence à être suffisamment puissante pour avoir les moyens financiers pour augmenter
ses prestiges : ces 3 formes de concentrations prennent la population en étau d’où la révolution de la
population régulière contre la spéculation (ex : attente de la famine pour vendre de la nourriture ;
attente de voir augmenter les prix des terres pour les vendre, etc.) contre la pression de l’Etat qui
s’immisce dans la vie quotidienne.
Il faut attendre le 19ème pour voir l’Etat décider de s’allier avec le pouvoir capitaliste, de la bourgeoisie
et en contrepartie l’Etat va protéger une partie de la population : les plus riches de la grande majorité
de la population qu’elle va essayer de tenir à distance. Plus le temps passe, plus les actions de l’Etats
vont être répressives vis-à-vis des pauvres : on peut s’arrêter sur la révolution par excellence, la
révolution française qui se déclenche en 1789 et qui aboutit à l’abolition de la royauté et qui prend
forme de la mobilisation populaire contre la puissance de l’Etat et du capital, c’est une révolution
bourgeoise, violente et égalitariste. Il y a une atteinte à l’autorité de l’Etat et du capital, cette
révolution est confisquée par d’autres enjeux mais la mobilisation va susciter une grande mutation
dans les formes de contestations mais aussi dans le domaine de l’action collective : une série de
comités sont créés, etc. Toutes ces formes d’action collective rendent compte q’une révolution
politique qui voit l’émergence de la souveraineté populaire : la population française dit que la source
de pouvoir ne provient pas d’un seul homme, le roi, mais du peuple qui le confit au roi. C’est un
changement important car la manière d’envisager la monde n’est plus la même. Cette idée réside dans
le peuple, c’est de la révolution de 1789 que cette idée est popularisée. Quand la souveraineté
populaire agit de manière autonome, c’est pas beau à voir : violence incontrôlable : une partie de la
bourgeoisie va reprendre le contrôle et s’organise pour encadrer la révolution populaire. Une police
moderne et politique va s’occuper de contrôler les mouvements revendicatifs et les canaliser : c’est le
renouvellement du pouvoir de l’Etat car il y a création du comité du salut public avec la souveraineté
par le peuple : il y a un besoin de contrôle sur le peuple.
Une des formes de colère est l’émeute frumentaire (de la faim) : la population paysanne subissait une
mauvaise récoltes et un impôt mais il pouvaient pas nourrir leur famille donc ils prenaient leur fourche
pour aller crier leur mécontentement. Dans notre société, ça n’arrive plus, il y a un changement de la
forme : une remise en cause cyclique des autorités locales par le carnaval.
Beaucoup de lynchages avaient lieux sur les mendiants qu’on accusait de vols, il se faisait tué mais les
gens rentraient chez eux tranquillement.
Le phénomène de grève a connu un changement : quelques mouvements dans les corps de métier.
Aujourd’hui, elles ne touchent pas les unités isolées mais des usines entières à l’échelle nationale.
Elles sont caractérisées par le fait que les contestations sont maintenant dominées par une mise en
scène de la contestation, comme par exemple les luttes pour le pouvoir se déroulent pendant un
moment particulier (une période électorale) mais peu par des actes violents : la vie politique est
dominée par les paris politiques et les syndicats, etc. qui rationalisent la lutte. La ritualisation
rationalise la lutte : le meeting, la manifestation. L’institutionnalisation a tendance a organiser la
contestation. De plus en plus de causes de manifestations sont des causes de confort, d’amélioration
d’une situation de vie qui n’est pas difficile : ce n’est pas une question de vie ou de mort, une question
de survie.
La révolution de 1789 est une monarchie remise en question et abolie avec l’exécution de Louis XVI,
c’est une révolution bourgeoise avec x facteurs : déclenchement d’une guerre européenne contre cette
révolution, la France est donc en guerre contre les autres pays qui restent des monarchies. Paroxysme
en 1793 (période de Terreur) et guerre civile (la guerre contre les Chouans) qui est un massacre (plus
de 100 000 morts). Puis le pouvoir se restructuralise et devient une sorte de dictature avec Napoléon
Bonaparte : 1er coup d’Etat de l’histoire le 18 Brumaire, c’est le 1er consul et il devient le seul
responsable politique et il se fait couronner empereur en 1802 : c’est une mutation très importante
pour la France. Les principales institutions ont été créées par Napoléon : le rayonnement international
avec a création du code civil. Napoléon a créé une armée très organisée mais à force de guerre la
France s’épuise puis quand Napoléon est battu par les anglais la monarchie est restructurée de 1814 à
1830 : la restauration. Charles X a une vision méprisante du peuple, il est pour une différenciation des
individus, pour une société inégalitaire.
La monarchie de juillet : monarchie bourgeoise : système de vote réservé aux plus riches (système
censitaire) avec un climat apaisé et assez calme mais ce régime prend fin dans le contexte de 1848.
I- La crise de 1846-1847 et la révolution de 1848
Le régime paraît stable mais en fait il est très fragile et il va s’effondrer très rapidement avec une série
de transformations de la société française et une conjoncture économique ???? ????? les ennemis du
régime. Le 1er ministre de cette monarchie parlementaire est Guizot, il adopte un point de vue de plus
en plus conservateur.
Les différentes mutations qui vont préparer cette révolution :
1) les mutations sociales
Développement de l’individu.
Construction massive de voie de chemin de fer.
Accroissement et concentration importante de populations ouvrières dans les villes.
Conditions de vie : le prolétariat se dégrade rapidement et c’est décrit par le sociologue Villermé :
condition de vie épouvantable (épidémies comme le choléra) et travail pénible.
Le prolétaire n’a pas de représentant politique et n’est pas considéré, ils n’ont pas pu faire la
révolution car ils n’ont pas de conscience collective, trop de pauvres et trop « fatigués ». Le sentiment
révolutionnaire va naître des artisans (Moyen-Âge : corporation) qui sont traditionnellement organisés.
La 1ère manifestation est très violente : les artisans menacés par le machinisme est donc mis en danger
par la production de masse : d’où le luddisme (aller casser les machines). En 1840, les artisans ne sont
pas encore pénétrés par le socialisme : égalisation des conditions politiques et sociales et présence de
sociétés secrètes (compagnonnage).
La petite et la moyenne bourgeoisie sont frustrées. Elles ne se reconnaissent plus dans le régime qui
favorise la grande bourgeoisie : conséquence politique importante, il y a des réformes (ils ne peuvent
plus voter).
2) La crise économique de 1846
Ce n’est pas bon quand plusieurs crises se combinent entre elles : la crise de 1946 est multiforme.
Crise de la pomme de terre (touche l’ensemble de l’Europe), c’est une crise d’alimentation grave car la
hausse des prix fait baisser la croissance des biens individuels => crise industrielle et donc une crise
financière.
Comment en est-on arrivé à la crise financière ?
Le chemin de fer est très coûteux et beaucoup ont prêté. En plus la France s’est lancé dans la guerre
d’Algérie depuis 1830 en 1846 : il faut envoyer toujours plus de troupes. En plus Paris s’est lancé dans
des fortifications (coûteux) d’où une pénurie des capitaux => les crédits sont très chers, les
entrepreneurs ne peuvent donc plus construire d’où la fermeture de chantiers de construction, le
chômage technique et la crise la plus grave de tout le 19ème (crise européenne).
Les conséquences : chômage (situation insurrectionnelle), les personnes issues de l’exode rurale n’ont
plus de travail.
3) Une crise politique
C’est une série de scandales. Guizot est accusé de corruption mais par opposition on réclame
une réforme électorale (abaissement du niveau d’impôts à payer pour pouvoir être inscrits sur
les listes électorales) et une demande d’incompatibilité entre les mandats électifs et certaines
fonctions publiques : c’est une campagne de banquets.
En juillet 1847, environ 70 banquets se tiennent en France et les organisateurs s’aperçoivent
de la popularité de leurs discours. Cette campagne n’a au départ rien de révolutionnaire. Les
bourgeois veulent seulement soulever des opinions aux parlementaires et ça va tourner au
soulèvement politique.
II- Les journées révolutionnaires de 1848
Les républicains se sont fait mystifier pendant la révolution de 1830, on leur a dit d’arrêter la
révolution et se font rouler avec un régime conservateur. Cette fois-ci, ils savent que c’est
favorable et ils vont profiter de cette crise pour prendre leur revanche en tenant compte du
mécontentement de la populaire qui touche tout le monde : les républicains vont ????? de se
mécontentement.
Qu’est ce qui déclenche la crise ?
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