BIBRACTE, 58 av. JC
« Nos soldats, lançant le javelot de haut en bas, réussirent aisément à briser la phalange des
ennemis. Quand elle fut disloquée, ils tirèrent l’épée et chargèrent. »
BG, 1, 25
Armée Romaine :
1 chef Supérieur/Charismatique 30
4 unités de légionnaires vétérans 48
2 unités d’auxiliaires 18
1 unité de cavalerie moyenne 20
1 unité de cavalerie légère 14
1 colline 10
Total 140
Armée Helvète :
1 chef 10
8 unités de guerriers 80
1 unité de fanatiques 10
1 unité de cavalerie légère 14
2 unités d’archers 16
1 colline 10
Total 140
Le joueur Helvète joue en premier.
PLAINE D’ALSACE, 58 av. JC
Le scénario s’inspire des évènements ayant conduit César à affronter en bataille rangée les
« Germains » du redoutable Arioviste (bizarre, un nom à consonance celte pour un chef de
tribu prétendument germanique…). En infériorité numérique, et manquant cruellement
d’infanterie, le général Germain doit inclure dans sa ligne de bataille ses unités d’élite,
l’infanterie et la cavalerie légères, qui combattent en terrain défavorable et n’éviteront pas la
défaite ni le massacre qui s’ensuivit.
Armée Romaine :
1 chef Supérieur/Charismatique 30
6 unités de légionnaires vétérans 72
2 unités de cavalerie légère 28
Total : 130
Armée Germanique :
1 chef Supérieur/Charismatique 30
4 unités de guerriers 40
4 unités d’infanterie légère* 28
2 unités de cavalerie légère* 32
Total : 130
* : voir plus loin le tableau de caractéristiques pour ce scénario
Terrain entièrement dégagé
Placement en « double aveugle », le joueur offensif est tiré au sort.