place était axé sur la recherche optimisée de réservoirs de gaz naturel dont le sous sol est
abondamment pourvu, pour les besoins énormes locaux dans un environnement difficile
pour l'homme. L'un des premiers brevets concernant des systèmes de type radio émetteurs
du projet HAARP avait pour projet un site de plus de 70 km de diamètre utilisant de grandes
quantités d'énergie électrique fournies par les turbines de centrales fonctionnant au gaz
naturel.Le système, tout en rendant obsolète le système de laser destructif à rayons X cher
à Reagan dans le cadre du programme anti-missile de la " guerre des étoiles ", du temps de
la présidence de Ronald Reagan et abandonné depuis, permettrait de concevoir un bouclier
de protection globale rendant inopérant tout système de navigation et de guidage de
n'importe quel missile en vol et ce, sur n'importe quel point du globe. L'idée de base de ce
nouveau concept d'arme est de générer un faisceau d'ondes radio d'une intensité énorme
(1.7 Gigawatts - 2.8 à10 MHz) en direction de la haute atmosphère selon le mode opératoire
inversé d'un radio télescope puisqu'il s'agit d'émission et non de réception, afin d'y
provoquer l'ionisation de certaines particules neutres par l'échauffement des électrons à
certaines altitudes. N. Tesla avait baptisé ces ondes " ondes stationnaires terrestres ".
L'ionosphère serait alors utilisée comme des lentilles, un miroir ou un système d'antennes.
L'ionosphère constitue un bouclier électrique contre le bombardement cosmique constant de
particules à haute énergie et les piège pour les empêcher d'atteindre la surface de la
planète. La partie de l'ionosphère concernée se situe à une altitude comprise entre 60 et 900
km au-dessus de la surface terrestre. Les recherches officiellement reconnues tendent à
assurer l'amélioration des communications radio à longue portée, ou des moyens de
transmission avec les sous-marins. Le Pentagone est le principal pourvoyeur de fonds. Le
Département de la défense, de l'Air Force et de la Marine sont naturellement concernés. Les
ondes générées par les systèmes de transmission radio à hautes fréquences classiques
sont pour la plupart absorbées par les couches de la basse atmosphère et se désintègrent.
La basse atmosphère terrestre est principalement composée de gaz constitués de
molécules et d'atomes neutres. L'ionisation concerne la haute atmosphère, l'ionosphère
donc, où les rayons ultraviolets et les rayons X transforment ces particules en électrons
libres et en ions. La notion de température est plutôt fonction de l'état " d'excitation " des
électrons. Suivant les fréquences et les conditions atmosphériques, l'ionosphère réfléchit,
absorbe ou altère les signaux radio. Les ondes radio de Moyenne Amplitude (AM) " passent
" mieux de nuit lorsque la réflectivité de l'ionosphère est accrue, alors que leur portée est
nettement diminuée de jour. Les champs magnétiques terrestres perturbent d'autre part
notablement la nature de l'ionosphère. Une argumentation en faveur du système HAARP
allègue qu'il serait possible de protéger les hautes couches atmosphériques en empêchant
la dégradation des trop fameuses couches d'ozone. Ainsi c'est plus de 200 millions de
dollars de budget, aux frais du contribuable américain et pour sa propre ruine à plus ou
moins longue échéance, auront été investis dans le programme de recherche d'ici la fin de la
décennie. Le système prochainement mis en place, dont le nom est " IRI " pour Instrument
de Recherche Ionosphérique, sera constitué d'un ensemble de 360 antennes, soit dix fois
plus qu'actuellement. Le potentiel disponible engendré par le système du projet HAARP est
absolument fantastique et peu de citoyens du monde ont conscience de la révolution
profonde qui va s'appliquer aux moyens de servitude dont va pouvoir disposer un jour ou
l'autre une élite qui rêve d'un contrôle total de l'humanité. Afin par exemple d'ausculter la
surface terrestre, des antennes virtuelles générant des trains d'ondes gigantesques à
fréquences extrêmement basses (Extremely Low Frequency ELF), enregistrent leurs
réflexions pour les renvoyer à des laboratoires où des calculateurs les analysent. L'imagerie
ainsi constituée est le reflet des ruptures d'homogénéité du sous sol terrestre ou des
profondeurs marines. Des micro ondes à pulsion rapide excitent les composants
électroniques et provoquent leur destruction finale par fusion, tout ceci s'accomplissant à la
vitesse de la lumière! Cette technologie, à caractère environnemental, permet dans le cadre
d'applications purement militaires de:
Perturber sérieusement les systèmes de communications des satellites au point par
exemple de plonger dans le silence une partie de la planète.
Modifier, intercepter et contrôler la trajectoire de missiles ennemis bien avant qu'ils se
profilent à l'horizon.
Modifier la météorologie au dessus de zones prédéfinies en localisation et en étendue…
inondations et sécheresses seraient ainsi donc programmables.
Modifier les fréquences de l'air.