word 1600 Ko - Les Terribles Enfants

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Dossier de presse
CARTE BLANCHE AUX TERRIBLES ENFANTS
ATELIER DE LA DOLCE VITA
28 AVRIL → 1 MAI 2005
ER
MARRAINE PAR ANCA VISDEI
Entre coups de cœur et coups créatifs, ils vous font partager leur dernier coup de folie…
Ils ? Les Terribles Enfants !
Ce sont au total 3 soirées qui seront entièrement dédiées à la découverte et à la création, avec l’éclectisme et le souci
de qualité qui caractérisent ces trois passionnés d’art et de rencontres. Audacieux, malicieux, curieux, tous se
réuniront dans ce lieu chaleureux qu’est l’Atelier de la Dolce Vita pour des moments uniques et savoureux…
Demandez le programme !
Après le Festival….
En juin dernier, les Terribles Enfants mettaient sur pied un festival ; un concept unique dans le temps et dans
l’idéologie. Le Festival des Arts Mort-Nés dénonçaient la politique culturelle et offrait à plus de 50 artistes d’univers
différents, tous professionnels, débutants ou confirmés, une semaine de prestations dans 6 lieux de la capitale.
Un an après, les trois organisateurs ne se sont pas reposés sur les acquis de cette réussite : l’écriture, la musique
(concerts, enregistrements d’albums et de démos), l’organisation de concerts ou autres soirées, l’édition d’un mensuel
poétique (A.A.R.G.H. !), les démarches administratives (… encore) furent au menu.
La compagnie artistique fut créée il y a déjà 5 ans. Leur cheval de bataille est la création, sous toutes ses formes,
toujours de premier choix. Ils ne connaissent aucune restriction, s’entourent de peintres, graphistes, musiciens,
comédiens … et s’ils ont fondé leur asbl pour mettre leurs propres œuvres au monde, ils ont à cœur de s’en servir
pour soutenir nombre d’autres acteurs de monde culturel (artistes, organisateurs, etc).
Mais il restait encore un petit détail à régler pour les Terribles Enfants : se présenter, tout simplement !
Annoncée par une soirée musicale pour se faire plaisir (le 12 mars avec Christophe Astolfi, Tcha Limberger et Pierre ²),
cette Carte Blanche est donc l’occasion de voir, de comprendre et d’apprécier sous quelles formes s’articulent les
Terribles Enfants.
Ecrivaine qui affectionne particulièrement le travail des Terribles Enfants, Anca Visdei marraine la Carte Blanche…
Et avec quoi on la noircit, cette carte blanche ?
D’abord, avec la dernière création théâtrale des Terribles Enfants :
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Le monde et Nous (vendredi 29, samedi 30 avril et dimanche 1 mai à 20h15)
er
En gros, il y a ELLE
Et puis, il y a aussi LUI
ILS sont dans une voiture.
ILS viennent de se rencontrer.
Pas de quoi se prendre la tête,
Et pourtant…
Quand ILS en descendent,
Rien de bon à l’horizon.
ILS ne savent pas vraiment où ILS sont !
Alors, ILS extrapolent,
ILS s’imaginent être quelque part
Ici ou ailleurs, le pire ou le meilleur ?
Le monde et Nous
…est un spectacle de quarante minutes
qui marie la projection de capsules vidéos
aux jeux d’acteurs.
Le thème est la situation actuelle du monde
confronté aux petits parasites quotidiens
d’un couple.
Création collective des Terribles Enfants, avec l’aide et la participation de :
Texte : Bernard B.
Mise en scène : Alexandre Drouet
Avec : Jean-François Jacobs et Rachel Lecomte
Chorégraphie de : Ana Margarida Gomes
Réalisation capsules vidéos : Requiem 4 TV et Bernard De Keyzer
Décor et bande son : Gilles Masson et Bertrand Dubois
Musique originale : Sébastien Maret
Production : les Terribles Enfants
Et puis …. ?
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Des concerts, des expos, des marionnettes…
vendredi 29 avril, concerts :
à 21h00 : Jeanmi (chanson française)
Samedi 30 avril,
à 10h00 : Spectacle de marionnettes pour enfants : Le théâtre du Ratinet
Créations
à 21h00 : Saule & the pleurers (chanson française)
à 22h00 : Soirée VJ par Requiem 4 TV
Dimanche 1er mai, concert
à 21h00 : Amor Tropical (musique brésilienne)
Du vendredi 29 avril au vendredi 6 mai 2005, exposition
Laurent … Carpentier
Vernissage le 28 avril à 19h00
Qui est qui et qui fait quoi ?
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Les Terribles Enfants :
Gilles Masson
Entré en 1997 au Conservatoire Royal de Bruxelles, il suit deux années durant les cours
d’art dramatique de Michel de Warzée. En 2001, il obtient le Premier Prix de
déclamation dans la classe d’Andrée Vincent.
Son expérience scénique se décline en deux aspects : le théâtre et la musique.
A 25 ans, Gilles a été dirigé dans Les Enfants Terribles (où il tenait le premier rôle),
Tailleur pour Dames, la Revue Camique (de Charlie Degotte), Gigi ou la Cage au Loup et
Wait and See : le clown, Il y avait quelque chose dans le noir qu’on avait pas vu , Jules
César (de Shakespeare au Théâtre des Martyrs), l’Avare, les Héritiers.
Depuis février 2002, il est régisseur, manipulateur et décorateur au Théâtre du Ratinet.
Musicien autodidacte depuis l’âge de 12 ans, il joue du piano, de la guitare (classique,
électrique et basse, son instrument de prédilection), des percussions, du digeredoo et
compose sur base de fichiers informatiques.
Eclectique, il met son talent à contribution dans de nombreux groupes : My Second Skin
(rock), Amor Tropical (musique brésilienne), Saule & the Pleurers (chansons française).
Il compose une bande originale (électro) en vue du spectacle Mea Culpa et travaille à la
création d’un album d’électro-poésie en collaboration avec Jean-François Jacobs.
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Jean-Michel Distexhe
Né en 1978, Jean-Michel vient de la région de Huy-Waremme.
Après avoir suivi des cours de guitare à l’Académie Julien Gerstmans de
Hannut, il se dirige vers le théâtre et obtient le Premier Prix du
Conservatoire Royal de Bruxelles en art dramatique. (La Descente d’Orphée de
T. Williams dirigé par Y. Claessens et Les Liaisons Dangereuses de Müller
dirigé par M. De Warzée.)
Pluridisciplinaire, Jean-Michel écrit, joue, chante, compose et met en scène
(Le Trou, Avalanche).
En effet, il est, entre autre, le créateur de deux pièces pour enfants (Ratinet
la Quête du Tinlu et Le Flamand Rose ou Ratinet fait de la musique) ; a
incarné divers rôles dans des pièces telles que Les Terribles Enfants, Tailleur
pour Dames, La Revue Camique, Cyrano de Bergerac, Gigi ou la Cage au
Loup ; et a participé à deux courts métrages (Mon Tendre Amour et Dolorès).
La musique n’est pas en reste puisque cela fait dix ans qu’il se produit avec
ses différentes formations, nous baladant de chansons françaises en rythmes
brésiliens (Perrine et Jeanmi, Amor Tropical, Jeanmi, et jusqu’il y a peu,
Non Affolato).
Egalement auteur d’un roman, Bruxellose, il est actuellement marionnettiste
au Théâtre du Ratinet.
Jean-François Jacobs
A bientôt 30 ans, Jean-François a déjà un beau parcours artistique derrière lui.
En 1999, il obtient le Premier Prix du Conservatoire Royal de Bruxelles, après avoir
suivi un cursus artistique dans plusieurs écoles de Wallonie (humanités musicales à
Huy, conservatoire de Liège et de Mons).
C’est à 14 ans qu’il interprète ses premiers rôles (Le Petit Crack, La Comtesse
d’Escarbagnas, L’oiseau Vert). Après deux assistanats du metteur en scène international
Dereck Golby, il entame sa propre carrière de metteur en scène avec deux créations
contemporaines dont un texte à lui : Wait and See : le Clown, il enchaîne avec un
spectacle sur Cocteau, tout en continuant de jouer la comédie et embrasse les turpitudes
de l’écriture (Fatum, L’erreur du sexe, poésie et nouvelles).
Présent sur tous les fronts, il intervient, dans de nombreuses représentations dont Lulu,
Bent, Les Lettres Persanes, Gigi ou la Cage au Loup, Apocalypse, Les Enfants Terribles , …
Devant la caméra, on le retrouve dans plusieurs films et courts-métrages (Le Huitième
Jour, Jeunesse Sans Dieu, Limberstraün, HS).
En plus de ses collaborations avec le Centre TEFO (Raconte-moi mon histoire et L’avis des
jeunes), il est l’auteur d’un roman, Mea Culpa, qu’il compte adapter au théâtre en
automne prochain.
Ceux qui participent :
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LE MONDE ET NOUS
Alexandre Drouet est acteur et metteur en scène diplômé de l'IAD Théâtre.
Depuis juin 2004, il met en scène le spectacle Microsouft World, une écriture collective qu'il a lui-même dirigée, dont
différentes versions ont été ou vont être jouées dans plusieurs lieux bruxellois : Bar des Clandestins au Théâtre de Poche, Atelier
de la Dolce Vita, Théâtre de la Balsamine, Zone Urbaine Théâtre, Petit Chapeau Rond Rouge,…
En juillet 2004, il a co-scénarisé et co-réalisé un moyen-métrage intitulé 15, Rue des Jambes, produit par Roxim Vidéo
Production, société pour laquelle il donne également, depuis deux ans, des cours de jeu face à la caméra.
Il travaille actuellement sur différents projets : mise en scène de la pièce Eh oui, Petite Madame la Juge de Olivier Rosman qui se
jouera en avril 2005 au ZUT lors du Festival Hors-Série, mise en scène du court spectacle Le Monde et Nous pour l'asbl les
Terribles Enfants, et préparation d'un long-métrage destiné à la télévision.
Site internet : www.essef-theatre.new.fr.
Après une formation sérieuse dans divers domaines artistiques, Rachel Lecomte a
commencé sa carrière à l’image de sa formation. Un seul mot suffit pour la résumer : pluriel.
Théâtre, cinéma comme comédienne, présentatrice et chroniqueuse à la télévision, elle vient de
remporter un concours d’écriture de scénario et une fois celui-ci réalisé par ses soins, le courtmétrage se fait immédiatement remarquer sur la scène nationale. De quoi la motiver à
remonter sur les planches…
Bernard B.
Juego et G_rom. Deux VJ. Une équipe d’artistes informatiques dont le but est de plonger le public dans des
expériences visuelles.
C’est la rencontre entre l’univers du clip vidéo et celui de l’audio, un jeu de cuts, de scrtatchs, de loops à la manière
des DJ. Le résultat est une vision d’ombres et de lumières dirigeant les pas des spectateurs dans un voyage à travers la
manipulation des projections.
www.requiem4TV.com
Ana Margarida Gomez travaille depuis 1998, tant en Hollande qu’au Portugal, pour différentes compagnies
de danse comme T.R.A.S.H., Les Enfants Terribles et avec des chorégraphes comme Uri Iugi, Jochein Stechmam, Cristina
Benedita , Duncau Mc Farland. Sans négliger de développer ses propres projets, elle obtient en 2003 un graduat de
danse contemporaine à l’académie de danse Foutys en Hollande. L’année dernière, elle a participé à deux courtmétrages de Jacco Gaillard : « Agua » et « De winter Komt »
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D’abord diplômé de l’IHECS, en communication, Bernard De Keyzer s’est ensuite intéressé à la photographie.
Il s’est ainsi forgé une expérience de journaliste, critique et photographe au sein du magazine musical Rif Raf.
Ce passage par la presse écrite l’a conduit tout droit au cinéma, où il sévit en tant que photographe de plateau.
Cependant, il reste fidèle à sa première passion et réalise toujours de books de comédiens et des photos de rue.
Quand Arthur et Hyppolite, ses jumeaux, lui en laissent le temps, Sébastien Maret se concentre sur son
propre travail. Interprète formé au Jazz Studio à Anvers, on a pu le découvrir comme narrateur musical dans
l’adaptation du roman « Les Enfants Terribles » de Jean Cocteau au théâtre de Poche. En dehors de ses propres
créations, il est resté au service du spectacle. D’abord au Public et en tournée dans « Moscou Nuit Blanche » de
Thierry Debroux en 2003, puis comme claviériste dans « Jésus-Christ Super Star » à l’Abbaye de Villers la Ville pour
Del Diffusion. Il fut également pianiste sur « Si c’est chanté, c’est pas perdu » au centre Wallonie-Bruxelles de Paris.
L’EXPO
Laurent… est un peintre « et caetera »
Sous ce pseudonyme laconique se cache en effet un artiste complet et heut en couleurs : Louis-Laurent Carpentier est né
sous le signe du crayon, le 4 octobre 1968 à Bruxelles. Il a suivi des humanités artistiques à l’Institut Saint-Luc, et
parfait sa formation à la Cambre en cours du jour et à l’Académie de Saint-Gilles en cours du soir. Par la suite, il
devient spécialiste de la mise en couleur par ordinateur, collaborant ainsi à de nombreuses séries de bandes dessinées
à succès : L’Agent 212, Cupidon, Du côté de chez Poje, etc…
En 1994, il crée « Lulu et Berlu », dont les aventures absurdes sous forme des strips sont réunies dans un album
paru aux éditions Topgame. La publicité est raide dingue de lui puisqu’il réalise d’innombrables illustrations, logos,
sites web, affiches, dépliants entre autres… Ce n’est que récemment que Laurent… décide de se lancer dans la peinture,
et comme il n’aime pas le gaspillage, d’en profiter pour pondre quelques toiles. Et ce n’est qu’un début…
Site web : http://laurent.topgame.be
Il est inutile, au regard du parcours de Laurent… , de se demander pourquoi ses toiles baignent dans un univers coloré, absurde, et peuplé d’animaux fabuleux. C’est une pure
représentation, réaliste et presque scientifique de l’environnement fantastique qui fait son quotidien. Plus encore, c’est avec une fraîcheur et un naturel déconcertants, qu’il
nous décrit non sans ironie, le monde tel qu’il est réellement, mais tel que nous ne sommes pas (ou plus) capables de le considérer. Parmi tous ces portraits, à peine masqués,
se cachent des gens comme vous et moi, anonymes ou célèbres, des gens qui vivent aujourd’hui, ici et maintenant. Si vous ne les connaissez pas tous, vous en croisez tous les
matins. Simplement, et c’est un fait établi, nous sommes tous un peu « ternes ». Entrez, ouvrez grand les mirettes, laissez-vous entraîner… vous sortirez un peu « gris », mais
cette fois dans le bon sens du terme. Regarder de plus près, et peut-être, vous vous arrêterez brusquement devant une toile, figé, paralysé, sans voix. Et pour cause, vous venez de
vous reconnaître…
Stéphane CUSTERS
LES CONCERTS
Après avoir joué 2 ans en solo, Jeanmi se conjugue désormais au pluriel. Accompagné à
la batterie de Max Silvapulle, au piano de Raphaël Debaeker, à la guitare de Christophe
Astolfi et à la contrebasse de Matthieu Verkaeren, Jeanmi chante.
Il chante les débris de tout ce qui se casse. Il déstabilise son public par un phrasé
tonique, sans détour ni artifices.
La solitude, les mamans saoules, les filles en vacances, le bus 71, des sujets tantôt
graves, tantôt légers soulignés par le charisme brutal d’une personnalité qui se livre sans
compromis sur scène et dans ses textes.
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Ce retour à l’esprit de groupe, c’est ce que Jeanmi a toujours voulu faire : partager la
scène avec 4 musiciens saisissants et talentueux ! De la chanson française classique,
singulière, déroutante…
A découvrir !
Renseignements sur www.musicprodctive.com
Saule est né il y a 1 ans de la rencontre d'une guitare et d'un grand
type appelé Baptiste. Il en sort des berceuses mélancoliques, des histoires
abracadabrantes , des pt'its nœuds dans la gorge, des silences qui parlent et
des ambiances très intimistes... On y rencontre des personnages étranges : des
cantatrices Suédoises, des arbres qui parlent, des petites dames mythomanes...
Les mélodies sont simples, la voix aiguë se rapprocherait plutôt d'un "M"
mais avec une musique plus minimaliste et des textes très personnels... Saule
est hypochondriaque, fleur bleue, spasmophile, espiègle, dans la lune,
agoraphobe, généreux, pleureur, chatouilleux, grand, discret et seul en scène.
Après 2 sélections la même année dans 2 concours "Chantons a la
Française" et "La Biennale de la Chanson française", il continue son petit
bonhomme de chemin et enregistre un 4 titres... Sur sa route, il rencontre
d'autres musiciens avec qui il se produit parfois mais aussi, parfois pas...
Mais aussi parfois quand même ! La formation prend alors le nom
gargantuesque de " Saule and the Pleurers"
Amor Tropical
Ils sont trois, flairant les traces du Tropicalisme né dans les années 50. Sac au dos, nez en l’air, ils revisitent le
Brésil de Chico Cesar, Jobim, Barbosa …
Jean-Michel Distexhe découvre il y a quelques années les différentes musiques du pays de Baden Powell ; il embarque
son jazz-man contrebassiste de pote Samuel Gerstmans dans l’aventure et convainc (sans difficultés) Gilles Masson
de venir scander ses airs.
Un moment de pur plaisir.
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Jeanmi, Saule et Amor Tropical n’ont pas que leur don pour la musique et leur implication au sein des Terribles
Enfants en commun. En effet, s’y retrouvent Gilles et Jeanmi, tandem masculin du trio Perrine et Jeanmi. Lauréats
de la Biennale de la Chanson française (3ème Prix), ils livrent des textes touchants sur des accords minimalistes et
calculés, interprétés avec beaucoup de finesse et de sensibilité par Perrine, le tout dans des prestations proches du jeu
théâtral et dont on pourra bientôt se délecter sur CD. S’ils ne participent pas à cette Carte Blanche, ils seront
cependant en concert à l’Atelier de la Dolce Vita le samedi 9 avril à 21h.
→ démos sur www.lesterriblesenfants.be
Barabouffe délicieusement ouvert tous les jours aux gastronomes à partir de 19h00
C’est où et ça coûte combien ?
L’Atelier de la Dolce Vita : 37a, rue de la Charité – 1210 Bruxelles
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Réservations : Les TERRIBLES ENFANTS
Tél. : 02/647.20.52
[email protected]
www.lesterriblesenfants.be
Prix :
5 € pour la pièce seule
5 € pour les concerts seuls
8 € pour la pièce et les concerts
CONTACTS
Pour tout contact, document ou information :
Catherine Grenier
0477/47.17.90
[email protected]
Les Terribles Enfants asbl
[email protected]
www.lesterriblesenfants.be
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