Dossier de presse - Théâtre de la Renaissance

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« Les gens qui ont rempli mon enfance, aux détours des rues, dans le
cadre de l’harmonie municipale, au hasard des conversations de café,
m’ont marqué en bonheur, en beauté avant que les aspérités de la vie
ne m’entraînent. » Jean-Pierre Bodin, le « raconteur » mirobolant
Quand Jean-Pierre Bodin raconte les histoires vraies de l’harmonie
de Chauvigny, ces tronches de vie, les personnages apparaissent
comme par magie. Une galerie digne du Panthéon des bars et des
fêtes. Portraits. Assis derrière une grande table de banquet avec
nappe blanche et verres de vin, ces chroniques montrent une France
rabelaisienne, chaleureuse et goguenarde, plus profonde qu’elle n’y
paraît. Où la musique est prétexte, non à trouver les bonnes notes,
mais à se retrouver entre copains, en famille et faire la fête. Nul
besoin d’avoir fréquenté le conservatoire pour rire aux exploits de
ces instrumentistes à la technique incertaine et au solfège
approximatif, saisis en répétitions chaotiques ou en représentations
arrosées (ah ! les cérémonies du 11 Novembre…).
Lundi 12, Mardi
Décembre à 20h30
Durée : 1h30
13,
Mercredi
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Vous êtes convoqués au Banquet de la Sainte Cécile.
Vous allez vous régaler, et du plaisir vous en mangerez jusqu’à la
surprise finale !
Avec la complicité de François Chattot
Jeu :
Jean-Pierre Bodin
Costumes :
Alexandrine Brisson
Lumière :
Gérard Bonnaud
Coproduction :
La Mouline, Quai N°5,
Théâtre de Poitiers
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Le Banquet de la Sainte Cécile
Le Banquet de la Ste Cécile est la perpétuité, la continuité d'une tradition, d'une mémoire existante, là, juste derrière les yeux.
Les gens qui ont rempli mon enfance, aux détours des rues, dans le cadre de l'harmonie municipale, au hasard des conversations de café, m'ont
marqué en bonheur en beauté avant que les aspérités de la vie ne m'entraînent. Cette oralité que j'ai suivie, peuplée d'images tendres, drôles,
humaines, jubilatoires ou dont, au contraire, je me suis démarqué parfois est toujours là, et les mots dansent, mots auxquels on se raccroche comme
à l'enfance qui disparaît.
Raconter, chroniquer cette envie omniprésente, cet espace dans lequel ressurgissent ces petits personnages généreux, chacun étant un petit tome et
un petit homme d'une bibliothèque de vie, est pour moi à la fois une nécessité et la gourmandise de se délecter d'un vocabulaire que notre époque a
de plus en plus tendance à digérer à jamais.
Jean-Pierre BODIN
"Chaque être humain est un abîme, on a le vertige quand on essaie d'y voir"
Georg Büchner (Woyzeck)
Convocations !
Bien sûr, convocation du public qui est toujours convié au banquet du théâtre où il vient retrouver ses semblables sur la scène, en joie ou en pleurs!
Convocation aussi de l'Artiste qui porte en lui le monde et qui chaque soir convoque lui-même tout un peuple d'êtres humains en veilles et dont il
témoigne, le temps de la représentation : "rires et larmes sans doute".
Jean-Pierre Bodin nous offre le feu d'artifice du réveil de ce peuple, connu et inconnu, mais que l'on reconnaît comme nos frères humains.
Vous êtes convoqués au banquet de la Ste Cécile.
Vous allez vous régaler et du PLAISIR, vous en mangerez!
François CHATTO
Il faut lutter!
L'acteur-auteur qui dit, qui raconte, qui narre, qui crée en direct face public, avec le public, notre monde et des petits personnages qui sont nous
tous!
Race en voie de disparition.Malheur!
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L'acteur-auteur dignité et gloire de notre métier!
Peu sont ceux qui possèdent encore l'humaine tendresse d'écoute des autres et de la collectivité dans son ensemble. C'est pourtant le théâtre vrai.
Je serai presque tenté de dire le seul car il y faut un talent nu, plein, actif.
Famille inouïe, superbe, des acteurs-auteurs (de Toto, Karl Valentin, de Bedos, de Dario Fo...) qui nous fait hurler de rire en nous même, dans ce
monde "méchant" : je suis heureux d'y être, je suis heureux d'en être, et qui nous fait lutter contre nos humaines faiblesses.Jean-Pierre BODIN est de
cette grande famille là.HOURRAH!
Jean-Louis HOURDIN
Extraits de Presse
Télérama – du 15 au 21 avril 2000
Quelle histoire ! Que d'histoires ! Que Jean-Pierre Bodin égrène à merveille, lui qui tint réellement, de 6 à 26 ans, le saxo alto de l'harmonie de
Chauvigny. Avec gourmandise, il se souvient de tout (…) Un bouleversant moment de magie (…) Bodin et sa bande ont aujourd'hui envahi
L'Européen, du côté de la place de Clichy. Aller les rejoindre l'espace d'un soir réchauffe le cœur, réveille en chacun sa mémoire provinciale, ses
racines familiales…
Fabienne Pascaud.
France Inter – Inter Matin
Avec une tendresse mêlée d'ironie, Jean-Pierre Bodin redonne vie aux personnages de son enfance. Et quand à la fin du spectacle, une vraie
harmonie entre en scène, on n'a plus envie de rire : l'émotion est palpable, on les regarde souffler dans leurs cuivres, on les trouve beaux, pour un
peu on aurait envie d'aller y jouer, nous aussi, dans l'harmonie municipale.
Corinne Audoin.
Le Figaro – vendredi 24 mars 2000
Bodin : le "raconteur" mirobolant
Il (Jean-Pierre Bodin) est au centre de l'histoire la plus incroyable qui se soit développée dans le monde du théâtre ces dernières années. Il est
l'inventeur et l'acteur d'un spectacle culte !
Armelle Héliot.
L'Express – du 13 au 19 avril 2000
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Il est souvent malaisé d'expliquer rationnellement l'engouement du public pour un spectacle. Avec ce Banquet pourtant, il semble bien que l'excès
de tendresse et d'humour dont fait preuve l'ami Bodin y soit pour beaucoup. Chaque personnage y est campé avec courtoisie et insolence : une
leçon de tolérance, voire de civisme, qui resserre les liens de la communauté de façon exquise.
Fabienne Arvers.
Le Soir – mercredi 16 octobre 1996
C'est du vécu, c'est de l'humain ! Attention bonheur.
On quitte les lieux à regret, des étoiles plein les yeux. Des petits frissons de tendresse courent encore tout au long de l'échine, des bouffées de rire
flottent dans l'air. Pas de doute, on s'est découvert un frère, un complice, un ami. Son nom : Jean-Pierre Bodin. Son secret : la sincérité, l'humour, la
tendresse. Bodin est un témoin, un conteur, un passeur d'histoires, un éveilleur d'humanité (…) On rit, on s'émeut, on s'émerveille. On redécouvre
une drôlerie humaine, qui vise juste mais sans méchanceté.
Jean-Pierre Bodin
Jean-Marie Wynants.
Il est d’abord régisseur puis comédien sous la direction de Jean-Louis Hourdin. A partir de 1994, il devient acteurauteur et metteur en scène.
ACTEUR :
1994 - Le Banquet de la Sainte Cécile (Jean-Pierre Bodin/François Chattot)
1997 - Parlez pas tout bas (Jean-Pierre Bodin/François Chattot)
2001 - Beauté Misère (Jean-Pierre Bodin/François Chattot)
2003 - Parquet de Bal (Jean-Pierre Bodin/François Chattot)
2005 – La Question (Henri Alleg/François Chattot)
2009 - Chemise propre et souliers vernis (Jean-Pierre Bodin)
METTEUR EN SCENE :
1998 – Exodes d’après des textes de Jean Migault
2004 – Adieu la lumière et le vent, d’après des lettres de fusillés de 41-44
2006 – Fouaces et autres viandes célestes de Denis Montebello
2006 – Chôôôcolaaaah de Stéphane Kéruel / Cie du Chant de la Carpe
2007 – Clic clac les z’amoureux avec la compagnie Les Matapeste
2010 – Obstinato avec la compagnie Zic Zazou
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François Chattot
Pensionnaire entré à la Comédie-Française le 21 juin 2004
2004 - Robert Schuster dans Place des héros, Thomas Bernhard
ACTEUR :
Woyzeck, m.e.s. J-L. Hourdin, Léonce et Léna, m.e.s. J-L. Hourdin ; La Mort de Danton, m.e.s. J-L. Hourdin ; Le Songe d’une nuit d’été, m.e.s. J-L.
Hourdin ; La Tempête, m.e.s. J-L. Hourdin ; Le Monde d’Albert Cohen, m.e.s. J-L. Hourdin
Le Prince de Hombourg, m.e.s Matthias Langhoff , Le Roi Lear, m.e.s. Matthias Langhoff ; Mademoiselle Julie, m.e.s. Matthias Langhoff ; La
Mission/ au perroquet vert, Heiner Müller, m.e.s. Matthias Langhoff ; La Duchesse de Malfi, Webster, m.e.s. Matthias Langhoff
Allegria opus 147, Joël Jouanneau, m.e.s. de l'auteur, Théâtre Vidy-Lausanne et Théâtre national de la Colline, 1996-1997 ; L’Ombre de la vallée et
Les Noces du rétameur, Synge, MC 93 de Bobigny, 1996-1997 ; En attendant Godot, m.e.s. Luc Bondy, Théâtre Vidy-Lausanne/Odéon, 1999 ;
Combat de nègres et de chiens, B-M. Koltès, m.e.s. Jacques Nichet,Théâtre de la Ville/TNT/Festival d’Avignon ; Tracteur, Heiner Müller, m.e.s. I.
Bonnaud, Théâtre Vidy-Lausanne et Théâtre de la Bastille, 2003 ; Corps et voix, Temps morts, Collectif de la Dernière Tangente, textes de Dominique
Brand, Théâtre Vidy-Lausanne, 2004.
MISE EN SCÈNE :
1994 - Le Banquet de la Sainte Cécile
1996/97 - Parlez pas tout bas, J-P. Bodin, conjointement avec l'auteur
1998 - Ça respire encore
2000 - Tête de pluie, L.Arti, MC 93 de Bobigny
2001 - Beauté Misère, J-P. Bodin, conjointement avec l'auteur, Festival d’Avignon
2002 - Morceaux choisis, Victor Hugo (avec M.Schambacher)
2002 - Parquet de Bal (avec Jean-Pierre Bodin)
2004 - Le Tribun de M.Kagel (avec J-L. Hourdin)
2004 - Les uns à côté des autres, Morceaux choisis dans l'oeuvre de C.-F. Ramuz, m.e.espace au Théâtre Vidy-Lausanne.
CINÉMA :
Fifi martengal, réal. Jacques Rozier ;
Adolphe, réal. Benoit Jacquot ;
Monsieur N., réal. Antoine de Caunes ;
Fanfan la tulipe, réal. Gérard Krawczyk ;
Banlieue 13, réal. Luc Besson, 2004.
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« Fabienne Guyon est rare, originale, dotée d’une voix de rêve…
Allez donc au théâtre. Vous verrez ce que c’est que le talent… »
France Soir
Fabienne Guyon est une artiste de chanson internationalement
reconnue pour son talent d’interprète, notamment en matière de
comédie musicale et de théâtre musical. Nominée à cinq reprises
aux Victoires de la Musique, elle a travaillé avec les plus grands
(Michel Legrand, Jacques Demy, Robert Hossein, Alain Marcel...).
Entourée de deux musiciens hors pair, Yves Martin et Jean-Pierre
Solvès, elle a choisi de revisiter des chansons et textes connus et
moins connus du grand artiste du XXème siècle, Boris Vian.
Comment rendre hommage de manière originale à ce grand
musicien, chanteur, poète, écrivain, scénariste, icône des clubs de
jazz enfumés de Saint-Germain-des-Prés ?
Mardi 13 Décembre à 19h
Durée : 1h25
Créé en juillet 2010 au Festival d’Avignon, « Et Vian ! À nous Trois !
» est un spectacle exceptionnel qui nous fait revivre, l’instant d’un
concert, l’œuvre de celui qui continue de marquer aujourd’hui
toutes les générations.
Dans une formule musicale étonnante, sax, contrebasse et voix, le
trio fait feu de toutes notes pour une soirée d’une grande intensité
musicale.
Avec :
Yves Martin :
Saxophone
Jean-Pierre Solvès :
Contrebasse
Fabienne Guyon : Chant
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Les impressions de Jacques HAUROGNÉ
(chanteur-comédien, membre du C.A. de l’A.D.A.M.I, directeur du festival Mino ) à l’issue des dernières répétitions du spectacle :
« Voici un spectacle exceptionnel pour une soirée d’une grande intensité musicales autour de l’œuvre de Boris Vian. Fabienne Guyon y est
divine… comme à son habitude dans une formule musicale étonnante (sax et contrebasse). Le trio fait feu de toutes notes et les excellents
musiciens complices donnent du sens à toutes les interventions, enrichissant de leur jeux, le point de vue personnel de chaque chanson.
La chanteuse aux 5 nominations interprète le répertoire du poète comme personne avant elle. Tout est au cordeau, et on imagine ce
spectacle disputer la place des plus grandes productions sur les meilleures scènes.
Chaque chanson est l’occasion d’une master classe qui nous révèle les secrets de l’interprétation et nous envoie au ciel du plaisir.
L’originalité de l’œuvre de Vian est de répondre au silence de Dieu non pas par un système métaphysique, mais par la dérision et l’absurde.
Celui de ce spectacle est de nous faire comprendre dans ce concert où la réunion de ces talents nous redonne le goût publié d’être pour
instant un spectateur heureux ».
FABIENNE GUYON
Tour à tour Cosette des Misérables, Madeleine des Parapluies de Cherbourg, Audrey dans La petite boutique des horreurs,
Grisabella dans Cats, Violette dans Une chambre en ville, sans oublier Peter Pan... Fabienne Guyon a travaillé aux côtés de
Michel Legrand, Jacques Demy, Robert Hossein, Alain arcel ou Laurent Pelly…
Elle a reçu les encouragements de toute la profession (nominations aux ésars, aux Victoires de la musique et aux Molières
comme révélation théâtrale).
Son talent à été reconnu par les plus grands : Claude NOUGARO, Peter USTINOV mais aussi Shirley MCLAINE pour son
interprétation de My man à Londres dans la comédie musicale Ziegfeld.
LA PRESSE – extraits
L’étincelante Fabienne Guyon accomplit l’exploit d’unir sans fausse note la distinction et l’émotion… - LE PARISIEN
Fabienne Guyon est rare, originale, dotée d’une voix de rêve… Allez donc au théâtre. Vous verrez ce que c’est que le talent… -
FRANCE SOIR
…Elle est dotée d’une voix à rayer le service en cristal de La Tebaldi... LIBERATION
YVES MARTIN
Né à Boulogne-sur-Mer, il fait ses études musicales (contrebasse, harmonie) au Conservatoire National de cette même ville, puis au C.N.R.S de
Versailles. Professeur de contrebasse aux conservatoires de Ste-Geneviève-des-Bois, de St-Michel-sur-Orge et
Ballancourt. Musicien de jazz, il se produit régulièrement dans Paris et sarégion (Alliance Jazz-club, Petit Journal, Bilboquet, Chez Papa…).
Poly-instrumentiste, sa curiosité musicale l’amène à travailler sur des projets aussi divers que l’improvisation, le free jazz, les musiques orientales
mais aussi la musique électronique.
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JEAN-PIERRE SOLVÈS
1e Prix à l’unanimité de saxophone au Conservatoire de Metz, 1e Prix de saxophone et premier Prix de Musique de Chambre au Conservatoire
National Supérieur de Musique de Paris.
Diplômé de la classe de Composition, Arrangement et Orchestration d’Ivan Jullien au C.I.M. Participe aux prestations de formations telles que :
l’Orchestre des concerts Colonne, l’Orchestre Philarmonique de Lorraine, l’Ensemble Intercontemporain (dirigé par Pierre Boulez), Ars Nova,
l’Orchestre de l’Ile de France, etc... Participe à des émissions de télévision telles que : Dimanche Martin, Le Grand Echiquier, Champs Elysees, Stars 90,
Jacques Dieval, Jazz 6… Dirige l’orchestre et écrit les arrangements pour l’émission de Michel Drucker Faites la Fête années 60,. Membre de
l’Orchestre National de Jazz 87 (direction d’Antoine Hervé). Membre du Onzetet de Patrice Caratini et de l'ancien Dodecaband de Martial Solal.
Membre du Big Band de Michel Legrand. Se produit avec : Diana Ross, Daniel Humair, Christian Escoude, Toots Thielemans, Kassav’, Stéphane
Grappelli, Maurice André, Dee Dee Bridgewater, Jean-Loup Longnon, Julia Migenes, Jean Guidoni, Lambert Wilson, le big band “Lumières” de
Laurent Cugny, “Pandemonium” de Francois Jeanneau, le treizetet d’Antoine Hervé, etc... Et dans les spectacles Fin de siècle avec Jean Guidoni, Le
Sire de Vergy aux Bouffes Parisiens, Femmes...Femmes avec Hélène Delavault au Théâtre de Chaillot ... Concert avec Tania Maria et un big band qu'il
dirige. Joue dans la pièce La Locandiera de Goldoni mise en scène par Alain Sachs avec Cristiana Reali, Pierre Cassignard, Jose Paul…au Théâtre
Antoine de janvier a décembre 2005 et en tournze. Réalise des musiques de documentaires : “Les Paysans du Disneyland” de Marc Vandessel diffuse
sur A2, “Vues De Dos” de Philippe Lafaix... Instruments pratiqués : Tous les saxophones, toutes les flûtes, clarinette, clarinette basse, WX7 Yamaha…
Les chansons et textes du spectacle :
J’coûte cher
(B.V/ Jimmy Walter)
On est pas là pour se faire engueuler
(B.V/ Jimmy Walter)
Je bois
(B.V/Alain Goraguer)
Du vent dans mon crâne
(B.V/Serge Gainsbourg)
Cinématographe
(B.V/ Jimmy Walter)
La complainte du progrès
(B.V/ Alain Goraguer)
Les joyeux bouchers
(B.V/Jimmy Walter)
Le petit commerce
(B.V/Alain Goraguer)
Le déserteur
(B.V / B.V et Harold Berg)
Valse dingue
(B.V /B.V)
Natacha
(B.V /B.V)
La complainte de Mackie
(B.V/Kurt WEILL)
J’suis snob
(B.V/ Jimmy Walter)
J’aime pas
(B.V/CL Laurence)
Fais moi mal Johnny
(B.V/Alain Goraguer)
Vous mariez pas les filles
(B.V/Alain Goraguer)
Barcelone
(B.V/Alain Goraguer)
Donne donne
(B.V/ Henri Salvador)
La rue Watt
(B.V / Y. Gilbert)
A tous les enfants
(B.V /C. Vence)
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Lundi 12 et Mercredi 14 Décembre à 19h
Depuis quelques saisons déjà, un groupe d’amateurs se retrouve à la
Renaissance pour partager le plaisir de faire ensemble un spectacle.
C’est ainsi qu’il y a eu Cendrillon, On a tous le Gene Kelly ou encore l’an
dernier, en collaboration et à l’Opéra de Lyon, Kaléidoscope.
Une nouvelle aventure a débuté en 2011 : depuis janvier, 80 personnes
participent aux ateliers chant, théâtre, danse, écriture, costumes,
fabrication de décors… sous le regard artistique de Landy
Andriamboavonjy, Clélia Bressat, Pierre Heitz, Carole Jacques,
Sébastien Quencez et Winship Boyd.
La thématique ? Elle s’écrit par rapport à l’histoire d’Oullins, ville
cheminote depuis un siècle, qui verra arriver les rails du métro en
2013.
Ce projet cabaret amènera les groupes à suivre des rails, légendaires,
insolites ou quotidiens, qui relient les hommes depuis deux cents ans,
de Paris à Istanbul, de Moscou à Pékin, ou de Lyon à Oullins...
C’est le fruit de ce travail mené avec passion, enthousiasme et talent,
réorchestré par Roland Auzet, qui sera présenté en première partie de
soirée, les 12 et 14 décembre, dans la
Grande Salle, avant les représentations du Banquet de la Sainte Cécile.
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