Aventures Bicyclétales
20 000 km à vélo de Bangkok à Châteaudun …
pour un bilan NEUTRE en CO2.
Pourquoi ce projet ?
1. Pour rentrer en France sans dégager de gaz à effet de serre, et donc se déplacer sans polluer !
Ayant décidé de rentrer vivre en France chez moi à Châteaudun après plus de 10 années d’expatriation en Asie,
les points de départ et d’arrivée de ce voyage se sont imposés d’eux même. Ce voyage se veut utile et le sera !
Concernant le moyen de locomotion, il se devait d’être non polluant et silencieux, deux qualités qui sont
unanimement reconnues à la petite reine. Enfin, aussi saugrenue que soit la question « pourquoi donc ne pas
polluer ? Puisque c’est autorisé », j’évoquerais ici de graves problèmes de conscience à prendre du plaisir dans
une activité qui nuirait à 6 milliards d’individus, ainsi qu’à leur descendance, pour les prochains siècles et les
prochains millénaires …
2. Pour promouvoir l’utilisation du vélo comme moyen de transport quotidien
Le vélo n’est pas réservé à un usage dominical, il est particulièrement adapté aux petits trajets quotidiens et
constitue une alternative crédible aux transports motorisés, permettant ainsi d’éviter les deux principaux fléaux
que connaissent aujourd’hui nos villes, à savoir pollution atmosphérique et engorgement urbain. L’engouement
récent du Vélib’ parisien atteste que ce moyen de transport a besoin d’un petit coup de pouce pour convertir de
nouveaux adeptes. Je me propose d’en faire la promotion par l’exemple, par le biais de mes supports de
communication et grâce à l’organisation de conférences.
3. Pour sensibiliser à la problématique du réchauffement climatique
Le réchauffement climatique devient, bon an mal an, un sujet d’actualité en France mais reste malgré tout
particulièrement mal compris par les particuliers. Il y a encore beaucoup de travail à réaliser devant ce
phénomène diffus aux conséquences pour l’instant peu évidentes. Je me propose, à mon échelle, de participer à
cette nécessaire prise de conscience.
4. Pour présenter le concept de la compensation du CO2
Remiser sa voiture et se mettre au vélo aujourd’hui, c’est bien, c’est même très bien ; mais pour que la boucle
soit bouclée, il faut aussi se pencher sur les quantités de gaz à effet de serre émises dans le passé et sur les
moyens disponibles actuellement afin d’en atténuer l’impact : le meilleur moyen connu aujourd’hui s’appelle la
compensation du CO2. Je me propose là encore d’en faire la promotion par l’exemple via un appel à don pour
compenser mes émissions passées (et donc re-devenir neutre en CO2), par le biais de mes supports de
communication et grâce à l’organisation de conférences.
5. … et aussi pour satisfaire un goût pour l’aventure particulièrement tenace !
Effectivement, il ne serait pas très honnête de ma part de faire croire que mon projet est exclusivement basé sur
une prise de conscience environnementale et une volonté de faire avancer les mentalités (et comportements) des
citoyens de notre planète. Il se trouve qu’en plus de servir une noble cause, pédaler vers l’inconnu et aller au
devant de l’aventure constitue chez moi une seconde nature … ainsi qu’un plaisir de tous les instants.